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vendredi 21 janvier 2011

La maison condamné (Condemned House)

Cliquez pour agrandir...Si vous
ne craignez pas d'être dégoutés...
C'était avril ou mai 2009. Mon ami (appelons-le Vinnie) faisions une sortie pour boire un coup vers midi. On est allés à une épicerie, avions pris quelques bières et sommes partis. On a eu l'appel d'un autre ami (Justin) disant que lui et sa copine (Kim) allaient nous rejoindre. A ce moment, l'après-midi commençait et on était revenus chez moi.

J'avais dit à Vinnie que la maison d'en face était condamné ; il y avait une pancarte "CONDAMNE" rose fluo parce que le garage derrière la maison s’effondrait. Je n'ai jamais vu personne entrer ou sortir de la maison depuis ces ceux dernières années où je vis en face. J'imagine qu'elle était abandonnée et sur le point d'être démolie.

Etant enfants, on adorait explorer les bois pour trouver des trucs. Cette maison nous donnait la même idée. On était plutôt bourrés à ce moment et on s'est juste dit, "Oh puis merde, allons-y." On arriva derrière le garage, dans le garage à moitié en ruines. La porte du garage qui menait à l'intérieur de la maison était fermée, mais après quelques temps, on a réussi à la forcer. A notre droite il y avait le sous-sol, et nous avons décidé de commencer là. Nous étions surpris par le nombre de choses entassés ; des outils, des engins. A l'arrière du sous-sol, dans sa propre salle, un énorme réseau de trains miniatures. C'était morbide.

Alors qu'on était au sous-sol, on reçut un appel de Justin et Kim disant qu'ils étaient arrivés. Nous revînmes à la maison et je pris mon Nikon. Kim et Justin étaient excités de participer, alors nous sommes tous revenus au sous-sol. Après avoir regardé partout, nous remontâmes à la cuisine. Encore une fois, plein de choses y étaient. Une table du coin de la salle était pleine de canettes et de bouteilles, que nous prévoyons jeter en sortant (on fait du recyclage dans notre ville).

Nous avons pris du temps à fouiller la cuisine. Bien sur, ça sentait mauvais là dedans, mais rien d'anormal. L'odeur normale d'une maison poussiéreuse. J'ai fait l'erreur de jeter un oeil au frigo et CETTE odeur me donna une idée de tout ce qui avait pu pourrir dedans.

Il y avait une porte qui séparait la cuisine du salon et je fus le premier à l'ouvrir. Quand je l'ouvris je vis un visage qui regardait ailleurs sur un fauteuil. Tout ce qui me vint à l'esprit fut que quelqu'un vivait ici et que nous étions en infraction. Je fis demi-tour très doucement, et chuchotai à mes amis, "Merde, y a quelqu'un ici," et nous sommes tous partis discrètement. Une fois revenus dans mon jardin je leur dis que j'avais vu quelqu'un assis dans le fauteuil du salon.

Vinnie, qui était, je crois, plus bourré que je ne l'étais, dit, "Oh bordel. Il n'a pas plus le droit d'y être que nous. C'est surement un junkie." Je n'étais pas très excité de revenir et faire face à un squatteur, mais je fus convaincu quand Justin m'informa qu'il devait surement être complètement stone et qu'il ne remarquera même pas qu'on est là. Nous y sommes finalement retournés, mais plus en silence cette fois. Une fois dans la cuisine, Vinnie fut le premier, cette fois, à ouvrir la porte du salon. Le reste d'entre nous le regarda en train de fixer l'homme sur le fauteuil.

Vinnie ferma la porte, nous regarda, et dit, "C'est un cadavre." Nous le regardâmes choqués, mais son air sérieux était évident. Nous entrâmes courageusement et regardâmes le corps. Sa peau était noire (bien qu'on découvrit plus tard qu'elle était à l'origine blanche) et était assis sur le fauteuil, faisant face au devant de la maison. A l'évidence, il était là depuis un long moment. L'odeur près du corps était insupportable ; nous dûmes couvrir nos bouches et nez avec nos manches. Cela déssaoula Vinnie et moi à une vitesse dingue. Il y eut un silence complet entre nous quatre alors qu'on regardait le corps. Personne ne dit mot.

Je ne peux pas trop vous dire ce qui se passa ensuite, mes souvenirs sont flous. Voir un corps mort est une expérience surréaliste. On a regardé le reste de la maison, à l'étage du dessus et les autres salles restantes, et nous avons finalement trouvé un journal près du corps. En le feuilletant, on vit qu'il avait listé ce qu'il avait mangé, la température, et combien d'argent il a eu en ramenant les canettes au recyclage (ce que je trouvais étrange, vu qu'il en avait pour 50$ avec ce qui restait dans la cuisine).

Je pris quelques clichés de la maison et du corps (bien que, à ce moment, Vinnie s'y opposait) et nous sommes partis au bar. A un moment, Kim était partie et on ne resta plus que trois, mais je me souviens qu'elle avait bien pris l’expérience et ne fut pas aussi dérangée que d'autres filles dans la même situation (certains ne veulent même pas entendre parler de l'histoire).

On alla au bar cette nuit, assis au fond, et on parla discrètement de ce qui s'était passé. Après le bar, encore bourrés, Justin et moi sommes repartis voir la maison encore un coup. Je pris plus d'images et Vinnie et Justin partirent pour la nuit. J'en parlai à mon coloc et à sa copine. Elle fut tellement troublée, elle refusa de venir voir tant que le corps serait encore là. Elle dit que si je n'appelais pas les flics, elle le ferait.

Le matin suivant, je décidai finalement de les appeler. J'appelai d'abord mes amis pour leur en parler. Ils me demandèrent de ne rien faire avant qu'ils n'arrivent. J'attendis et appela la hotline anonyme de la police quand ils furent arrivés.

Au téléphone, je dis simplement que j'avais trouvé un mort. L'opératrice semblait troublé et me demanda de ne pas quitter. Elle me le demanda plusieurs fois. Je gardai la ligne, puis je tombai sur un inspecteur de notre ville. Je lui expliquai ce qui était arrivé et leur indiqua l'adresse. Il demanda mon nom, mais je lui dis qu'il fallait être fou pour que je lui donne mon nom.

Peu après avoir raccroché, nous sommes allé devant le porche pour voir les flics arriver. A peine une minute après avoir raccroché, je vis une bagnole de flic arriver, toutes lumières allumées. Nous étions vraiment surpris par le temps de réponse, Mais il s'arrêta devant chez nous. Quelques minutes après, quelques autres bagnoles de flics arrivèrent et ils nous demandèrent si on avait vu quelqu'un entrer ou sortir de la maison. Je leur répondis que je vivais ici depuis deux ans et que durant tout ce temps je n'avais jamais vu quelqu'un dans cette maison.
La police entra un moment et une camionnette blanche arriva. Quelques filles qui habitaient dans la rue vinrent voir ce qui se passait. LA police répondit qu'ils avaient trouvé un mort. Nous, bien sur, prenions l'air choqué. Ils amenèrent à la camionnette le corps du mort couvert d'un drap (ils ont du prendre un temps fou pour l'enlever du fauteuil) le fauteuil et aussi un fusil qui était dans la maison (un vieux fusil de chasse qui reposait contre un des murs du salon). Je parlait à l'un des flics et dit que la famille du type aurait du s'inquiéter de ne pas avoir de nouvelles depuis tout ce temps et qu'elle aurait du venir de temps en temps (Apparemment, il ne voulait pas entendre parler de sa famille) mais qu'ils ont du arrêter. Il voulait juste être seul.

La seule chose que nous avions gardé était son journal. Il est bien écrit, et il a des adresses. LA première entrée date du 21 janvier, disant que le bouquin a été trouvé dans une décharge. Il y a aussi une entrée qui parle de l’électricité qui était tombé et qu'il fallait acheter de l'essence (il y avait un tas de lampes à essence dans la maison). La dernière entrée, datée du 3 mai, disait, "Malade - très grippé 4 canettes. La grippe malade comme un chien peux pas manger." c'était flippant. La date coïncidait avec le journal le plus récent qu'il avait dans sa maison, au salon.
On décida de ne rien prendre d'autre, par respect pour lui et sa famille. Je sais que certaines choses ont plus de valeur que l'argent, mais je ne serai pas le type qui va piller un mort. J'imaginai que la famille allait venir pour chercher des affaires, mais ils ne sont jamais venus. La maison fut finalement vendue et je vis les nouveaux résidents sortir des cartons avec des partitions, des trains miniatures, etc. La maison a été remise à neuf et elle est à louer. Je n'ai trouvé aucune information sur le mort, même un an plus tard.

Je poste ça pour faire partager mon histoire.C'est arrivé en 2009, mais je me suis décidé à le partager à tout le monde. Je n'essaie pas de blaguer ou faire passer cette histoire comme une histoire marrante. ce gars est mort dans sa maison et il a été trouvé par des étrangers presque un an après. Blaguez si vous voulez, mais ce type était seul. Et apparemment il avait des problèmes.



Je n'arrive pas à voir si c'est un fake ou si c'est une histoire vraie. Il faut savoir que quelqu'un qui meurt dans son appart et dont on ne remarque sa mort que plusieurs jours après est une chose qui peut arriver. Il me semble avoir entendu un cas comme ça en France... L'enquête est ouverte...
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Zelda Ocarina of Death (Broken Ocarina of Time Cartridge)

Il y a quelques mois, j'ai remarqué un petit magasin de jeux vidéos apparu de nulle part dans une rue que je traverse souvent. Je suis toujours à la recherche de jeux rares, durs à trouver, alors évidemment, j'y suis entré. C'était une toute petite salle, grande comme une chambre, avec des murs en bois vides à l’exception de quelques posters de jeux vidéos. Le genre qu'on trouve au milieu des magasines spécialisés, mais ses images étaient différentes. Il y avait un poster de Earthbound où un Ness effrayé regardait l'arrière-plan qui se montre quand on affronte Giygas, un poster de Sonic dans sa position de noyade dans une cité sous-marine sombre, et quelques autres.

Malheureusement, le choix de jeux était restreint. Il y en avait pour toutes les gammes jusqu'à l'Atari 2600, mais il n'y avait que 10-20 jeux pour chaque plateforme, mais c'était soit des jeux que tout le monde avait, soit des jeux de merde dont personne ne veut. Je ne trouvai rien d'intéressant et j'allais partir lorsque quelque chose attira mon regard. C'était une cartouche dorée de The Legend of Zelda: The Ocarina of Time. J'avais déjà le jeu, bien sur, mais il fallut que j'examine la cartouche. L'étiquette était déchirée, le plastique craquelait et il y manquait même des morceaux, Et il y avait comme une marque de brulure dessus. Elle était au prix de 1.99$, et pour une raison inconnue, il me la fallait. Le vendeur ne dit pas un mot ; il encaissa le jeu et je partis avec.

Après être parti, j'ai commencé à me demander pourquoi j'avais acheté ce jeu en horrible état alors que j'avais déjà une copie plus fraiche à la maison, mais maintenant que je l'avais, il ne me restait plus qu'à regarder si elle marchait encore. Je la mis dans ma N64 et l'alluma, et je fus accueillis par des cris de monstres Effroi sur un fond rouge uni. J'éteignis, sortis la cartouche, la remit dedans, et réessaya. Cette fois je vis le modèle de Zelda couché sur le ventre, tournant doucement, alors que le rire de Ganon jouait en boucle. Je réessayai, et j'arrivai cette fois à l'écran titre, mais accompagné d'une version ralentie du thème du bourg d'Hyrule, et le jeu ne répondait pas à la manette.

Les cartouches peuvent produire d'étranges et surprenants effets lorsqu'elles sont endommagées et qu'on les utilise. J'ai entendu parler du "cart tilting" sur les jeux Nintendo 64, et vu que je ne pourrais apparemment pas jouer avec ce jeu, je décidai de faire quelques tests de ce genre avec. Je recommençai à mettre le jeu, j'eus des modèles de persos qui buggaient pendant qu'un son qui ressemblait à une cymbale se jouait en boucle. Je retirai légèrement un pan de la cartouche de son slot, et à mon amusement, cela m'envoya carrément sur l'écran titre tout à fait normal avec la bonne musique, et la manette répondait. Deux sauvegardes étaient déjà présentes, alors je pris la troisième et commença une nouvelle partie.
Le jeu commence avec le monologue de l'arbre Mojo, mais le texte était différent.

La mort est la seule chose de bonne dans ce monde maudit.
Les cruelles déesses ont crée la vie uniquement pour jouer avec, et rire de la douleur de ceux qui ont la vie.
Je souhaite la mort.

La dernière ligne se répéta plusieurs fois, au moins dans six boites de messages. Le jeu arriva finalement sur Link, qui fait un cauchemar. ça se passait comme le jeu normal, mais Ganon avait le visage de Zelda. Link se réveilla, et il n'y avait pas Navi, il a simplement crié et s'est levé tout seul. Je pus prendre son contrôle, et allai au village Kokiri. Il n'y avait personne, Je ne pouvais pas entrer dans les maisons, et le trou pour avoir l'épée Kokiri avait disparu. Comme Mido n'était pas là pour m'empêcher d'y aller, J'allai voir l'arbre Mojo.

Aucune cinématique s'enclencha, mais le donjon était ouvert alors j'y entrai. Le donjon ne ressemblait en rien à celui du jeu normal ; il ressemblait à l'intérieur d'un château. Aucun ennemi, et je n'avais aucun objet, alors j'explorai simplement. Alors que j'allai de salle en salle des rires d'enfants se faisaient entendre, de plus en plus forts. Je trouvai finalement une épée, plantée dans la cage thoracique d'un squelette, comme pour un suicide d'il y a des siècles. Je la pris, et un message apparut, “Vous obtenez l'Epée du Héros ! Serez-vous assez sage pour en être digne ?” A ce moment, un Wizzrobe stylé comme dans Majora’s Mask apparut ; il était du type vieil homme. Il ne bougeait pas aussi vite que dans Majora’s Mask, et je pouvais le tuer à l'épée. Il tomba au sol au lieu de disparaitre en explosion, comme il devrait, et dit :

“Tu as pris ma vie, mais je serai vengé. Mon animal se vengera pour moi.”

Les portes restèrent bloquées, et je commence à entendre des grognements et des bruits de pas lourds qui couraient. ça dura au moins 20 minutes. Je n'avais jamais eu aussi peur d'un perso de jeu vidéo auparavant. Finalement, une espèce d'énorme loup arriva dans la salle. J'essayai de combattre, mais mon épée n'avait aucun effet. Le loup écrasa et charcuta Link jusqu'à la mort, laissant un corps ensanglanté derrière. Le jeu planta sur le corps de Link, et il n'y eut pas d'écran Game Over. J'essayai de rejouer le jeu, mais peu importe ce que je faisais, la cartouche ne montrait que le corps mort de Link.

Auteur : KI Simpson

Creepypasta originale ici

jeudi 20 janvier 2011

Le curieux cas de Smile.jpg (The Curious Case of Smile.jpg)

J'ai rencontré Mary E. en personne la première fois en 2007. J'ai arrangé avec l'aide de son mari, Terence, une interview avec elle. Mary a d'abord accepté, car je n'étais pas un journaliste mais un écrivain amateur qui cherchait des informations pour une thèse scolaire sur, si tout se passait bien, quelques histoires imaginaires. On avait planifié l'interview pour un weekend particulier quand j'étais à Chicago sur des affaires qui n'avaient rien à voir, mais au dernier moment, Mary changea d'avis et s'enferma dans la chambre conjugale, refusant de me parler.

Pendant une demi-heure, je m'étais assis avec Terence près de la porte de la chambre, j'écoutais et prenais des notes pendant qu'il essayait de calmer sa femme. Les choses que Mary disait avaient peu de sens, mais collaient au motif que j'imaginais : bien que je ne pouvais la voir, je sentais dans sa voix qu'elle pleurait, et plus souvent que sa volonté de ne pas me parler était centré sur un détail incohérent de ses rêves - ses cauchemars.

Terence s'excusa profondément en renonçant, et je fis de mon mieux pour les rassurer ; rappelant que je n'étais pas un reporter, mais juste un jeune curieux en quête d'informations. Cela dit, pensai-je à ce moment, je pouvais peut-être trouver un autre cas, similaire si je trouve les ressources et que je me motive.

Mare E. était une opératrice d'un système de tableau d'affichage basé sur Chicago en 1992 quand elle vit smile.jpg la première fois, et sa vie changea à jamais. Elle et Terence n'étaient mariés que depuis 5 mois. Mary était une des 400 personnes estimées qui avaient vu l'image lorsqu'elle a été postée en lien sur un forum, bien qu'elle soit la seule à parler ouvertement de son expérience. Les autres restent anonymes, ou sont probablement morts.

En 2005, quand j'étais en 3ème, smile.jpg avait attiré mon attention comme la plupart des phénomènes du web ; Mary était la victime la plus citée de ce qui était parfois appelé "Smile.dog," la chose que smile.jpg est censé montrer.

Ce qui eut mon intérêt (autre que les éléments macabre évidents des cyber-légendes et ma propension face à ces choses) était l'absence pure et simple d'informations, parce que les gens ne croient pas en ces hoax. C'est unique parce que, bien que le phénomène se centre sur une simple image, ce fichier est introuvable sur le net ; certains simulacres se baladent sur des sites web, notamment 4chan, en particulier sur le chan /x/ réservé au paranormal.

Il est suspecté que ce soient des fakes car elles n'ont pas l'effet que smile.jpg est soupçonné donner, notamment épilepsie temporaire et anxiété accrue. Cette réaction du spectateur est une des raisons qui fait que smile.jpg est regardé avec tant de dédain, car patentement absurde, mais dépendamment à qui on demande, leur répugnance à connaître l'existence de smile.jpg peut être simplement une peur inconsciente.
smile.jpg et Smile.dog ne sont mentionnés nulle part sur Wikipedia, bien que le site présente des articles sur d'autres phénomènes similaires, comme les sites choc scandaleux gotse (hello.jpg) ou 2girls1cup ; toute tentative de créer un article sur smile.jpg est rapidement supprimé par un des admins de Wikipedia.

Les rencontres avec smile.jpg sont des légendes du web. L'histoire de Mary E. n'est pas unique ; il y a des rumeurs non vérifiées d'apparitions de smile.jpg dans les anciens jours de usenet et une histoire plus persistante en 2002 où un hacker a floodé les forums de sites humoristiques et satiriques Something Awful avec un déluge d'images Smile.dog, rendant épileptique presque tous les utilisateurs du forum. Il est dit aussi que courant années 90s, smile.jpg a circulé sur Usenet en pièce jointe d'une chaine de lettre avec pour sujet "SMILE!! GOD LOVES YOU!"

Malgré ces histoires, quelques personnes admettent avoir vécu cela mais aucune trace du fichier ou des liens n'ont été découverts. Ceux qui clament avoir vu smile.jpg disent souvent qu'ils étaient trop occupés pour avoir pensé à sauvegarder l'imager dans leur disque.

Cependant, ces victimes ont tous la même description de la photo : une créature en forme de chien (semblable à un Husky Sibérien), illuminé par le flash de l'appareil photo, assis dans une salle, le seul détail visible de l'arrière plan étant une main humaine sortant des ténèbres de la salle sur la gauche de l'image. La main est vide, mais est souvent décrite comme "pointant du doigt." Bien sur, l'attention est majoritairement donnée au chien (ou créature-chien, car certaines victimes en sont sûres). Le museau de la bête est figée dans un sourire large, révélant deux lignes de dents bien blanches, bien fines, bien acérées, et de forme humaine. C'est, bien sur, non pas une description donnée directement après visionnage, mais plutôt ce que les victimes s'en souviennent, car elles voyaient l'image se répéter dans leur tête à l'infini alors qu'elles avaient, en fait, une crise épileptique.

Ces crises sont rapportées comme interminables, souvent quand la victime dort, résultant à de dérangeants et réalistes cauchemars. Ceux-ci pouvaient être traités par médicaments, bien que certains cas furent plus facilement guéris que d'autres. Mary E., j'imagine, n'a pas eu de médication effective.

C'est pourquoi, après ma visite en 2007, je fis des recherches sur des newsgroup de légendes urbaines, sites web, mailing lists, espérant trouver une victime de smile.jpg qui serait intéressée de parler de son histoire. Pendant un temps, rien n'arriva. Un temps si longs que je l'avais presque oublié, car j'avais commencé la FAC et j'étais assez occupé. Mary me contacta par email, cependant, début mars 2008.

To: jml@****.com
From marye@****.net
Subj: interview du dernier été
Cher Mr. L.,

Je suis profondément désolée de ce qui s'est passé l'été dernier quand vous êtes venu. J'espère que vous comprenez que ce n'était pas à cause de vous, mais plutôt mes problèmes qui m'ont conduite à agir ainsi. J'ai réalisé que je pouvais contrôler décemment la situation ; cependant, j'espère que vous me pardonnerez. A ce moment, j'avais peur.

Pendant 15 ans je suis hantée par smile.jpg. Smile.dog vient dans mes rêves toutes les nuits. Je sais que ça semble idiot, mais c'est vrai. Ces rêves apparaissent dans une qualité incroyable, des cauchemars qui sont plus réalistes que les rêves réalistes que j'aie déjà eus. Je ne bouge pas, je n'avance pas. je regarde simplement droite devant, et la seule chose devant moi est cette horrible scène de l'image. Je vois la main qui pointe, et je vois Smile.dog. Il me parle.

J'ai pensé longtemps à mes options. Je pourrais le montrer à un étranger, un collègue... Même à Terence, tant que l'idée m'en dégoute. Qu'arriverait-il alors ? Si Smile.dog garde ses mots, je peux dormir. Mais, s'il a menti, que devrais-je faire ? Et qui dit quelque chose de pire ne viendrait pas pour moi si je fais ce que la créature me demande ?

Alors, je n'ai rien fait pendant 15 ans, bien que j'ai gardé la disquette cachée dans mes affaires. Toutes les nuits depuis 15 ans Smile.dog vient dans mon sommeil et me demande de répandre le mot. Pendant 15 ans je suis resté forte, bien qu'il y eut des moments difficiles. Bien des victimes du forum où j'allais et qui ont vu smile.jpg ont arrêté de poster ; J'ai entendu dire que certains s'étaient donnés la mort. Les autres gardent le silence, disparaissant de la surface du web. Ils sont ceux dont je m'inquiète le plus. J'espère sincèrement que vous me pardonerez, Mr. L., mais l'été dernier quand vous nous aviez contacté pour l'interview j'étais sur le point de lacher. Je me fiche si Smile.dog ment ou pas ; je veux que ça cesse. Vous étiez un étranger, quelqu'un que je ne connaissais pas, et j'ai pensé que ma souffrance finirait quand vous prendriez la disquette pour vos recherchez et scelliez votre destin. Avant que vous arriviez, j'ai réalisé ce que je faisais : je prévoyais de ruiner votre vie.

Je ne peux pas me permettre ça, et en fait je ne le ferai jamais. J'ai honte, Mr. L., et j'espère que cet avertissement vous dissuadera d'aller plus loin dans l'enquête sur smile.jpg. Vous pourrez peut-être trouver quelqu'un qui, si plus fort que moi, ou alors plus dépravé, quelqu'un qui n'hésitera pas à exéctuer les ordres de Smile.dog. Arrêtez pendant qu'il est temps.

Sincèrement,
Mary E.

Terence me contacta plus tard dans le mois pour m'annoncer la mort de sa femme. En faisant le ménage dans ses affaires, fermer son mail, etc, il tomba sur ce mail ci-dessus. C'était un homme craintif ; il me conseilla de suivre le conseil de sa femme. Il a trouvé la disquette, et la brula jusqu'à ce qu'il ne reste plus qu'un amas uniforme de plastique fondu noir. La chose qui l'a plus effrayé, cependant, était comment la disquette a sifflé quand elle a fondu. Comme un animal, a-t-il dit.

J'avoue n'avoir pas été certain de quoi répondre de ça. D'abord, j'ai pensé à une blague, avec le couple jouant sur la situation pour s'amuser, mais un rapide coup d'oeil dans la rubrique nécrologique des journaux de Chicago, cependant, provaient officiellement la mort de Mary E. Bien sur, aucune mention de suicide dans l'article.

Je décidai que pour au moins une fois, je n'irai pas plus loin sur le sujet de smile.jpg, vu que les examens arrivaient en mai. Mais le monde a de curieuses manières de vous rappeler à l'ordre. Presqu'une année complète après ma venue chez Mary E., je reçus un mail :

To: jml@****.com
From: elzahir82@****.com
Subj: smile

Salut
J'ai trouvé ton adresse sur une mailing list ton profil dit que t'es intéressé par smiledog. C'est pas aussi terrible qu'on en dit je te l'envoie ici. Fais tourner.

:)

La dernière ligne me chatouilla. D'après mon client mail, il y avait une pièce jointe nommée, bien sur, smile.jpg. Je le téléchargeai bien que j'imaginai que c'était un fake, et même si c'en était pas un, je ne crains pas ce genre d'images. Le compte de Mary E. m'a secoué, oui, mais elle était peut-être extrêmement sensible. Après tout, comment une simple image puisse faire faire autant de bousin ? Quelle sorte de créature peut briser une vie avec une simple image?

Et si ces choses sont totalement absurdes, pourquoi cette légende existe ? Si j'ai téléchargé cette image, si je la regarde, et si Mary avait raison, si Smile.dog vient dans mes rêves pour que je passe le mot, que ferais-je ? Vivrais-je ma vie comme Mary, à combattre contre l'envie d'obéir jusqu'à la mort ? Ou bien obéirai-je, et risquer peut-être ma vie ? Et si je fais mon choix, comment le ferais-je ? A qui faire passer le mot ? Si je reprends mon intention d'écrire l'article sur smile.jpg, décidai-je, je pourrais joindre l'image comme preuve, et tous ceux qui liront l'article, tous ceux que ça intéresse, seraient affectés. Et, même si le smile.jpg du mail est authentique, serais-je assez capricieux pour me sauver de cette manière ?


Les trois images de smiledog sont les plus célèbres dans le domaine des creepypastas. Ci dessous les trois images en question

Smile.jpg, photo polaroid de smile, des empreintes de doigt ensanglantées sont visibles
La photo de la creepypasta ci-dessus

Smile.jpg d'origine
La photo originale qui a servi à faire celle de gauche. A mon humble avis, elle fait beaucoup plus peur !

Smile.jpg, version cauchemard, le chien a des dents hyperréalistes et tout à une teinte rouge
Une version modifiée que l'on voit systématiquement auprès des creepypastas. Si elles devaient avoir une image pour les résumer, ce serait celle-ci...

Pour le fun : Histoire du monde 2027-2081

22 janvier 2027 :
Le Dr. Hagiru Sato et son équipe de scientifiques au Japon, USA, Canada, et Grande-Bretagne commencent à travailler sur une machine de transfert de matière-énergie.

11 février 2033 :
Première machine testée avec succès après une centaine d'échecs. Une controverse sur la destruction naturelle par ces expériences commence.

18 juillet 2033 :
Un incident catastrophique avec une de ces machines à transfert détruit la ville d'Hiroshima, qui n'avait pas connu de telle catastrophe depuis la bombe atomique, environ 90 ans avant. Le gouvernement japonais bannit officiellement tout travail sur cette technologie, bien que les pouvoirs occidentaux les poussent à continuer, malgré la bavure.

22 avril 2035 :
Premiers signes d'individus infectés. La plupart sont des animaux ; quelques humains présentent aussi des signes d'infections. La plupart sont vus près des ruines d'Hiroshima qui n'a pas été reconstruite.

13 mai 2035 :
Le japon est divisé en deux, une quarantaine nationale est exécutée sur la partie sud du pays. L'anarchie prend place dans les régions infectées. 15% des humains exposés au mal n'ont aucun effet secondaire. 84.9% sont fatalement contaminés en développant des cancers. 0.1% d'entre eux montrent des signes de mutations. Le “virus” est déterminé comme une sorte d'infection génétique mutationnaire qui se répand, ce qui cause des mutations rapides sur les individus touchés. Toutes les formes animales de la zone sont grandement infectés.

1 janvier 2040 :
98% des animaux du japon ont disparu, l'écosystème est entièrement contrôlé par les individus infectés.

8 mai 2048 :
Les forces de défense japonaises force les individus touchés de rester en quarantaine. Des attaques coordonnées par les individus touchés, humains et animaux, commencent. Haut niveaux d'intelligence confirmés.

10 mai 2048 :
Echec des forces de défense du Japon, la nation du Japon disparait.

13 mai 2048 :
Le croiseur américain George W. Bush est attaqué et coulé par une force inconnue. Un assaut coordonné par des individus infectés a été revendiqué. L'utilisation de l'arme atomique pour détruire toute forme de vie au Japon est considérée mais refusée.

12 février 2052 :
Les habitants restants du Japon semblent, d'après des sources extérieures, commencer à s'adapter à la religion des infectés. L'un des mots d'ordre de la religion est le bannissement des armes et de la violence sur les infectés. Ceci cessa incroyablement tout conflit.

2 avril 2055 :
Les infectés commencent à envahir les USA. Les préparations militaires résultèrent sur une infection bien plus contenue. Centaines de milliers de personnes touchées aux USA, Canada, et Mexique.

11 mars 2061 :
L'armée des USA expérimentent le combat avec les animaux infectés, qui semblent avoir une communication amicale très forte envers les humains qui les traitent bien, comme pour les chiens. Des tests initiaux l'ont confirmé. Plus tard dans la même année, la Chine, la Russie, le Vietnam, et la Corée du Nord réagissent en signant le traité de Kommu, assurant leur protection contre l'occident devenu puissant.

2 juillet 2063 :
L'alliance du Kommu déclare la guerre aux USA. Les infectés participent.

9 novembre 2066 :
Fin de la guerre. L'état communiste est dissous, la Chine et la Russie (ainsi que toute l'asie) sont sous la juridiction du NATO.

25 décembre 2072 :
Les régions, divisées qui étaient autrefois le Japon, commence à s'ouvrir au monde exterieur. Majoritairement pour échanges scientifiques.

1 Février 2081 :
Les scientifiques japonais s'infiltrent au Brésil qui est fortement infecté. Ils réunissent l'ADN d'un des individus qui semblerait être le tout premier infecté.

On croit que les infectés sont en fait une nouvelle étape de l'évolution, et trouver un des originaux aideraient la compréhension. Il y eut des essais et des échecs en clonage, avant qu'une dernière expérience fut un succès. Le résultat de cette expérience, capable de transférer de l'énergie-matière, est responsable de la mort de douzaines de scientifiques avant de s'échapper.

22 mai 2081 :
Sacha Ketchum fête ses 10 ans et commence son voyage pour devenir "dresseur Pokémon".

J'ai pas pu m'en empêcher... Elle était trop lol XD Si la fin du monde et la nouvelle ère se résument à ça, j'espère être là pour tout voir !
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Les yeux d'un enfant (A Child's Eyes)

Si vous vous mettiez à regarder la nuit avec les yeux d'un enfant, vous deviendriez fou. Etre capable de voir ce que vos souvenirs lointains vous laissent imaginer, se cacher sous les couvertures en portant des pyjamas dinosaures priant qu'un Dieu qu'on comprend encore à peine s'arrange pour qu'il ne nous voit pas... Tout cela rendrait un adulte fou à lier. Parce que les adultes oublient les règles.

Couvrez-vous. Si vous ne les voyez pas, ils ne peuvent pas vous voir. Même si c'en est plus dur de respirer.

Ne faites aucun bruit. Le moindre bruit causerait la destruction.

Ne bougez pas. Cela attire leur attention.

Seul la lumière peut les faire partir. De la grande lumière. Pas de lampe-torche, ça empire les choses.

Les adolescents sont piégés entre les deux. Ils ressentent toujours ce qui est là mais ils ne voient rien... Et ils oublient les règles...

Pourquoi croyez-vous qu'il y ait autant d'insomniaques sur leurs ordinateurs, priant inconsciemment que la lumière de leur écran suffira à les éloigner ?

Mais il n'en est rien.

Maintenant, retournez-vous avec les yeux d'un enfant...et essayez de ne pas hurler...

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Le Jeu de Minuit (The Midnight Game Instructions)

“Le Jeu de Minuit” est un vieux rituel païen autrefois utilisé comme punition pour ceux qui ont brisé les règles de la religion païenne en question. Bien que c'était une tactique de frayeur pour les croyants, il y a toujours une chance de mourir pour ceux qui jouent au Jeu de Minuit et il y a une plus grande chance de peur mentale permanente. Il est fortement recommandé de NE JAMAIS JOUER AU JEU DE MINUIT.
Pour les passionnés de rituels occultes, voici les instructions du jeu. Faites-les à vos risques et périls.
INSTRUCTIONS
PRE REQUIS :
Je jeu doit impérativement commencer à 0h00, autrement ça ne fonctionnera pas. Le matériel requis comprend une bougie, une porte en bois, au moins une goutte de votre propre sang, un bout de papier, des allumettes ou un briquet, et du sel. Vous pouvez jouer à plusieurs, mais dans ce cas, chacun doit avoir cette même liste de matériel pour lui, et devront suivre ces étapes séparément.

  1. Ecrivez votre nom en entier sur le papier et mettez une goutte de sang. Etalez-la le plus possible.
  2. Eteignez toutes les lumières de la maison. Allez devant la porte d'entrée, qui doit être en bois, et placez le papier devant. A présent, Prenez la bougie et allumez-la. placez-la sur le papier.
  3. Frappez 22 fois à la porte (Attention il faut que le dernier coup frappe à minuit pile), puis ouvrez la porte, soufflez la bougie, et fermez la porte. Vous avez fait entrer chez vous “l'Homme de Minuit”.
  4. Rallumez immédiatement la bougie.
Le jeu commence ici. Vous allez à présent traverser votre maison dans le noir, bougie à la main. Le but est d'éviter l'Homme de Minuit à tout prix jusqu'à 3h33 du matin. Si la bougie s'éteint à un moment, c'est que l'Homme de Minuit n'est pas loin de vous. Rallumez la bougie en moins de 10 secondes. Si vous n'y êtes pas parvenu, formez immédiatement un cercle autour de vous avec le sel.
Si vous avez raté ces deux étapes, l'Homme de Minuit vous introduira une hallucination basée sur votre plus grande peur qui durera jusqu'à 3h33. Si vous avez réussi à rallumer la bougie, vous pouvez continuer. Si vous avez réussi à faire le cercle de sel, vous devez rester dedans jusqu'à 3h33.
Vous devez continuer le jeu jusqu'à cette heure sans être attaqué par l'Homme de Minuit ou sans utiliser le sel pour gagner le jeu. L'Homme de Minuit partira à 3h33 et vous pourrez dormir tranquille.

Rester au même endroit durant tout le jeu fera que l'Homme de Minuit finira par vous trouver. Il est extrêmement recommandé de marcher constamment durant le jeu.

NE JAMAIS allumer les lumières durant le Jeu de Minuit.

NE JAMAIS utiliser de lampe torche durant le Jeu de Minuit.

NE JAMAIS allez au lit et dormir durant le Jeu de Minuit.

NE JAMAIS utiliser le sang de quelqu'un d'autre sur un papier avec votre nom.

NE JAMAIS utiliser un briquet à la place de la bougie. Cela ne fonctionnera pas.

ET SURTOUT NE JAMAIS tenter de provoquer l'Homme de Minuit EN AUCUNE MANIERE.

C'est tout, amusez-vous bien.

En voila un jeu sympa... Gniark gniark gniark !
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Le jeu de la fête (Don't Look Back)

NECESSAIRE :
  • Une petite salle vide : un cellier, une petite salle de bains, etc, sans fenêtres. La salle doit être assez grande et vide pour qu'une seule personne puisse rester debout sans toucher les murs ou la porte. Si la seule salle disponible a des fenêtres, couvrez-les de façon à ce qu'aucune lumière n'entre.
  • Trois allumettes
  • De quoi avoir l'heure
  • Du papier et un stylo

COMMENT JOUER :
  • Ce jeu se joue mieux seul. Vos invités pourraient ne pas venir s'il ya du monde.
  • Ce jeu doit impérativement se jouer la nuit.
  • Eteignez toute source de bruit: téléphone, TV, etc.
  • Allumez la lumière dans la salle. Si elle n'est pas équipée, utilisez une bougie ou une lampe torche. Il faut une source de lumière à portée.
  • Allez dans le coin de la maison le plus éloigné de la salle puis allez vers la salle en répétant à voix haute à l'adresse des salles que vous croiserez "Je serai bientôt prêt !"
  • Une fois dans la salle, prenez un papier et écrivez, "Vous êtes invités ! Une apparition, gérée par (votre nom). Prenez place à (une heure pour commencer le jeu). Amenez vos amis !" Placez le sur le sol et dites à voix haute, "Je suis prêt ! Entrez !"

Eteignez la lumière et tournez-vous, faites face aux ténèbres de la maison avec la porte ouverte derrière vous. Gardez les trois allumettes en main.

Attendez quelques instants puis commencez à compter à voix haute. Arrivé à 10, grattez la première allumette.

  1. Si elle ne s'allume pas au premier essai, lâchez-là et grattez la suivante. Prenez la troisième si la seconde ne s'allume pas au premier coup non plus. Si aucune des trois allumettes ne s'est allumé du premier coup, vous avez des gatecrashers - des invités indésirables. Ne vous retournez pas pour fermer la porte. Courez vers la source de lumière la plus proche et allumez-la. La fête est terminée.
  2. Si l'allumette s'allume, tenez la le plus longtemps possible. Saluez vos invités. Suggestion : Dire à voix haute, "Je suis content de vous voir ! Merci d'être venus !" Allumez la deuxième allumette. Si elle ne s'allume pas du premier coup, voir étape 1.
  3. Répétez étape 2 pour la seconde allumette et saluez vos invités. Si la troisième ne s'allume pas du premier coup, voir étape 1.
  4. Si la troisième allumette s'allume du premier coup dites à voix haute "A présent, tout le monde est là !" et comptez à nouveau jusqu'à 10. Si tout a été fait correctement vous devriez sentir ou entendre quelque chose. C'est typiquement quelqu'un qui dit "merci" silencieusement. ça peut ou ne peut pas venir de derrière vous. Quelle belle fête ! Vos invités en étaient très contents. Autrement, silence, et pensez à votre sécurité avant tout. Après cela, vous pouvez rallumer les lumières.
Si a un moment donné vous vous êtes tourné ou que vous avez regardé derrière vous, voir étape 1.

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Hotel Mario : The Real Palace of Seizures

Une nouvelle vidéo de Chineln, auteur des creepypastas vidéos sur Hotel Mario et Zelda CD-i. A mon humble avis, c'est sa meilleure vidéo. ça commence normalement avec quelques décalages mineurs, puis ça commence à foirer... et à bien foirer... Ben, qu'est-ce que t'as encore fait ?!

mercredi 19 janvier 2011

Message du futur (The Message)

Ne rejette jamais d'emblée le travail de certains fous furieux. Il y a un sens à cette histoire, si tu veux bien m'écouter ...

Regarde, nous nous demandons tous si le voyage dans le temps est possible, non ? Eh bien, permets-moi de te dire quelque chose... il l'est. Je viens du futur, en fait. Je sais que tu ne vas probablement pas me croire, mais sérieusement, je suis de l'avenir. C'est une chose vraiment grande, pouvoir regarder le passé, les événements qui se déroulent... des trucs comme ça.

Pas que ça me déplaise, mais les voyages temporels ont souvent un but précis mais restent quand même très amusants.

Derrière tout ce plaisir, il y a un aspect plus sérieux. Nous ne sommes pas censés aller dans notre propre vie, et nous ne sommes jamais autorisés à communiquer avec nous-mêmes dans le passé. Permets-moi de te le dire, je suis entrain de briser cette règle maintenant. Oui, petit, tu es entrain de communiquer avec toi même en ce moment. Ton toi futur. Je vais être exécuté pour cela, mais tu sais quoi ? Je l'accepte. Je vais prévenir quelque chose en te parlant qui est pire que la mort. Je ne peux pas te dire d'emblée ce qu'il faut faire, parce que le filtrage pourraient le capturer. Ceci est plus proche moyen que je peux obtenir, crois-moi. Je peux cependant t'envoyer un petit message.

Toi qui me lis, tu devrais probablement lire le premier mot de chaque paragraphe, maintenant.

Traduit et adapté de l'anglais par : Mihai-Edrisch

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Evidence (Change for a Dollar)

La prochaine fois que vous achèterez quelque chose, donnez un billet de 5€ au caissier et demandez-lui de la monnaie. Il vous donnera des pièces de monnaie, et certaines afficheront les visages de personnes historiques décédées.

La pire et la plus courte des pastas jamais écrite ! Pouah comment j'ai pu traduire un truc pareil...
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Le nouveau mobile (The Picture)

Il y a deux mois, le cousin d'une amie (une mère célibataire) a eu un nouveau téléphone mobile. Après une longue journée de boulot, elle mit son phone sur la table basse et regarda la télé. Son fils arriva et lui demanda s'il pouvait jouer avec le nouveau téléphone. Elle accepta à condition qu'il n'appelle personne et qu'il ne fasse pas d'embrouilles avec les SMS, ce que le garçon promit.

A environ 22h, alors qu'elle se sentait fatiguée, elle décida de mettre son fils au lit et elle-même aussi. Elle alla à la chambre du garçon, il n'y était pas. Elle le trouva dans son propre lit en train de dormir avec le téléphone en main. En examinant son phone, elle remarqua des changements mineurs comme un autre fond d'écran, bannière, etc. et alla dans l'album de photos. Elle commença à supprimer les photos prises par le gamin jusqu'à tomber sur une dernière...

Quand elle la vit, elle n'en crut pas ses yeux. C'était son fils, dormant dans le lit comme à présent, mais la photo semblait prise par quelqu'un d'autre. On voit sur la gauche le visage d'une vieille personne.

L'appel de la mère (Mother's Call)

Une jeune fille jouait dans sa chambre quand elle entendit sa mère l'appeler de la cuisine, alors elle partit à l'étage du dessous.

Comme elle courait dans le couloir, la porte du placard sous les escaliers s'ouvrit. Une main tira la fille à l'intérieur. C'était sa mère. La femme murmura à son enfant, "Ne va pas dans la cuisine. Moi aussi je l'ai entendu."

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Pour le Fun : attaque d'un démon

C'est de loin la vidéo la plus terrifiante que j'ai jamais vue. Et je dis pas terrifiante comme un screamer qui joue sur la surprise et l’inattendu. Là, on est sur du vrai paranormal !


Je salue le travail et tire mon chapeau à l'artiste vidéo qui a conçu ça. Comme ils disent dans Pokémon Trash "Comme quoi on peut ne pas être payé et pondre des merveilles". Enfin "merveilles"... Tout dépend du sens...

Sombre Dimanche (Gloomy Sunday)

Szomorú Vasárnap, ou "Sombre Dimanche" en français, est une chanson hongroise écrite en 1933 par le compositeur Rezső Seress. Elle est plus connue sous le nom de "Chanson hongroise du suicide" à cause des centaines (sinon milliers) de suicides commis par les gens qui l'ont entendue. La chanson a été reprises plusieurs fois, la plus connue des reprises étant celle de Billie Holiday, et elle est grandement considérée comme une légende urbaine et une brillante campagne de marketing.
La version qui a passé les ondes radio, cependant, n'est pas la version originellement écrite. Rezső Seress avait écrit ça au départ pour se venger de sa compagne qui l'avait récemment quitté. La chanson réussit à les réunir pendant un court moment, avant qu'elle ne saute par la fenêtre de son appartement. Rezső était dehors à ce moment. Sa compagne avait laissé une lettre pour lui -- "Szomorú Vasárnap."
La chanson a été changé avant la sortie. Rezső Seress lui-même se suicida en 1969, en sautant par la fenêtre, comme sa compagne avant lui.



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La mort de Bart Simpson 2 (A Dead Bart Update)

Il a fallu que je me débarrasse du PC dont je m'étais servi pour regarder l'épisode. Même après un formatage complet, il n'a jamais remarché correctement. L'épisode n'a jamais pu être supprimé et il s'ouvrait même tout seul. J'ai fait des formatages de plusieurs passes et l'épisode ne partait pas. Le contrôle du son ne marchait pas et c'était un ordinateur portable, mais il ne tombait jamais en panne de batterie et il ne voulait pas s'éteindre. Je voulais d'abord garder le PC pour avoir une copie de ce fameux épisode, mais le regarder me rendait nerveux. J'eus un cauchemar plusieurs fois de suite : l'épisode jouait, mais au lieu du corps photo-réaliste de Bart, c'était moi-même à 10 ans. J'ai trouvé une photo de moi à l'age de 10 ans et le cauchemar en était plus proche que dans mes souvenirs. Je jure...que cette image de moi mort à 10 ans commençait à clignoter sur l'écran si vite que je n'en étais pas sur. Après ça, j'ai détruit l'ordinateur.

Je n'ai jamais pu sortir l'épisode de ma tête, cependant, et décidai de faire plus de recherches pour le comprendre. J'ai trouvé quelques personnes qui disaient en avoir entendu parler ; Apparemment l'épisode a été accidentellement diffusé dans une petite banlieue de Portland, Oregon. J'avais un cousin qui regardait les Simpsons tout le temps à cette époque et qui vivait là bas, alors je lui demandai des détails par téléphone. Il me demanda comment je le connaissais ; c'était un cauchemar qu'il avait eu et il n'en avait parlé qu'à ses parents, et j'étais vraiment très petit en ce temps. Je lui parlai, ainsi qu'aux personnes onlines qui l'avaient vu, de l'épisode maudit. Il pensait que je lui faisais une blague, et quand je lui ai montré les posts qui en parlaient, il hurla et raccrocha. Il n'a plus jamais décroché le téléphone pour moi depuis.
Déterminé à trouver le fin mot de l'histoire, je continuai mes recherches en ligne. Je trouvai quelqu'un qui l'avait sur cassette et qu'il acceptait de me la vendre. J'étais nerveux, mais déterminer à découvrir tout ça, peu importe le prix. J'achetai la cassette, puis un magnétoscope VHS d'occasion, bien que j'avais le sentiment que rien ne serait plus comme avant après ça.

L'épisode était pratiquement le même que celui en numérique...Je n'en dirai pas plus ; ça vaut pas le coup et je donnerais tout pour retrouver l'état dans lequel j'étais quand j'avais l'ordi contaminé par ce fichier maudit. J'ai détruit la cassette, mais ça ne changeait rien. Les pubs sur la cassette... Je ne veux pas m'en souvenir. Il y avait des monstres provenant de rêves dont je n'avais jamais parlé à personne, des promos sur des tragédies qui ne sont pas encore arrivées, animations surréalistes générés par ordinateur qui n'était pas possible à faire dans les années 80 - ou même maintenant. Un ami l'a regardé avec moi, il a vu des choses totalement différents, à une exception. Un programme spécial d'infos datant du 6 juin 2013. De manière monotone, ça détaillait sur des millions de gens morts dans leur sommeil, certains se réveillant d'abord, parlant de manière incohérente mais qui parlait de quelque chose en rapport avec des cauchemars. Maintenant vous devinez quelle date est affichée sur les tombes de célébrités dans l'épisode.

Il n'y avait qu'une différence, cela dit. La "blague" que dit Homer était complètement claire dans cette version. Quand ça zoome sur Homer qui regarde Bart, il dit :

"Si seulement on avait cette chance."


Cette pasta est la seconde partie de celle-ci.
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mardi 18 janvier 2011

L'ordinateur portable (Unbranded Laptop)

Mon frère a déménagé de chez nous quand il a eu son poste de technicien informatique en 2002, et il a été porté disparu. Quand je suis venu chez lui, c'était fermé, avec trois couches de scotch devant la porte. Il y avait une enveloppe à mon nom dessus, contenant une lettre. Voici son contenu.


En revenant du taf un jour, j'ai remarqué que quelqu'un avait laissé son ordi portable gris endommagé au milieu de la place de parking de mon garage. Je suis allé l'examiner.

L'écran LCD montrait des signes évidents de dommages faits par l'utilisateur, il y avait un trou dans le côté gauche qui avait la même taille qu'une tête de tournevis Phillips. Il y avait une webcam intégrée, et elle était aussi détruite avec ce même genre de trou. À part ça, cependant, tout le reste montrait des signes d'usure mineurs, comme une bonne partie des lettres des touches effacées, mais rien qui rende l'appareil inutilisable. Je regardai derrière pour voir la marque et le modèle, mais, il n'y avait rien. J'ai regardé partout, aucun texte ou logo indiquant la marque et le modèle. En fait, pas de sticker de garantie, ni contrat de licence dessous, aucun texte. Le plus bizarre c'est qu'il n'y avait que deux ports : un port VGA (pour brancher sur un écran ou un vidéo-projecteur) et un port USB (un seul). Comment ce laptop pouvait-il se recharger sans port pour ça ? Peut-être était-ce un vieux modèle où il fallait enlever la batterie pour la charger sur un dock. Mais pourquoi y avait-il une webcam alors ?

Curieux d'explorer les bas fonds du laptop, j'allai à mon sous-sol où se trouvait mon vieil ordi fixe. Il était là parce que je voulais le faire recycler, puis je l'avais oublié. J'aurais pu l'utiliser comme ordi normal, mais ça prend 5 ou 6 heures pour démarrer car le système lance toujours le mode restauration, et le processeur est trop lent pour restaurer 500Go de données à bonne vitesse (C'est un Pentium 120mhz). Quoiqu'il en soit, je débranchai l'écran de l'ordi fixe et le branchai sur le laptop. J'allais appuyer sur le bouton on quand...

... je m'arrêtai. ça ne pouvait pas marcher, la batterie était sûrement à plat.

Je cherchai mon compteur électrique pour voir le voltage restant de la batterie. Aucun courant ne passait, évidemment. Tant pis, j'irais livrer ça plus l'ordi fixe au recyclage demain matin. Donc, je débranchai l'écran du portable, le remis sur le fixe puis laissai tout en bas. Après avoir quitté le sous-sol, j'allai regarder la télé puis dormir, comme tous les soirs.

Je fus soudain réveillé par le son habituel de démarrage d'un Windows 2000 qui me fit presque tomber du lit. Le son était si fort que j'aurais cru avoir un casque sur les oreilles. Au saut du lit, je restai sans bouger un moment le temps de me réveiller, et pendant une minute, je cherchai à deviner d'où venait ce son. L'ordi fixe ! J'avais sûrement allumé l'ordi fixe accidentellement en débranchant l'écran ! J'allai donc vers le sous-sol, mais m'arrêtai au milieu des marches. Je venais de me souvenir que mon PC n'avait pas pu démarrer avec ce son car il tournait sous Windows 95. Je n'eus plus envie de descendre après cette réflexion, mais mon sens commun me suggéra que c'était sans doute les OS qui se mélangeaient les pinceaux. En descendant, je fus choqué de voir mon PC éteint ; en fait, je me souvins qu'il n'était même pas branché. Il fallait quand même m'en assurer. Je regardai les branchements, rien du tout de branché sur la tour. Et c'était impossible que ce soit le portable. J'enlevai la batterie à nouveau et regardai le voltage.

Cette fois, impossible d'avoir une mesure précise. Le voltmètre devenait fou.

Je remis la batterie et alluma le laptop. Des LEDs s'allumèrent, indiquant que le PC s'allumait bien, mais le son de démarrage de Windows ne se joua pas cette fois. Il fallait que je voie ce qui se passe. Je reconnectai l'écran au laptop. Et ce que je vis...

... fut un bureau nu avec seulement 3 icônes à gauche. La barre des tâches était vide, même pas de menu Démarrer.

Le fond d'écran était noir. Pourquoi ferait-on ça pour son PC ? On pouvait enlever les icônes, mais faut être un sacré bidouilleur pour enlever le menu démarrer. Sur les 3 icônes, Il y avait un dossier Jeux, un dossier Vidéos, et le dernier était un raccourci pour l'invite de commandes DOS. Un PC pour enfants sans doute. Cliquer sur le dossier Jeux confirma mes soupçons ; il appartenait sans doute à une petite fille. J'étais un peu triste pour elle car il n'y avait qu'un seul jeu, que je ne connaissais absolument pas. Le programme s'appelait "princess.exe". Je cliquai dessus pour voir ce que ça donnait. Un écran titre tout animé apparut, avec des princesses volantes tourbillonnantes à côté du logo qui scintillait avec du rose. Le jeu s'appelait "Princess Creator : Fais-toi belle !" Ah, sans doute un de ces jeux à bas budget du genre "incruster des images sur une photo de vous". Je me suis rendu compte que j''avais vu juste, en voyant le menu avec les options "Habillage" ou "voir les photos". J'eus envie de savoir de quoi avait l'air la gamine, alors je cliquai sur la 2ème option. Elle ne devait pas avoir plus de 5 ans, et elle était très mignonne. Elle semblait d'origine hispanique. Elle portait une robe blanche avec des bords rouges. Des petites roses dessus. Je souriais, elle semblait bien s'amuser, en mettant des couronnes sur la tête. Cependant, en allant plus loin, vers la moitié de l'album, il y avait des photos d'une salle avec seulement un lit. Peut-être qu'elle avait évité la caméra. Après ça, j'en eus assez vu, il me fallait voir les deux autres fichiers. J'allais utiliser l'invite de commandes pour fouiller un peu le disque dur.

Je tombai juste sur un ":\>_" sans lettre de lecteur. Ok, ça c'est bizarre, me dis-je. Je tapai "start C:\" voir si je pouvais quand même entrer. j'appuyai sur entrée, et DOS me répondit "'start' n'est pas reconnu en tant que commande interne ou externe, un programme exécutable ou un fichier de commandes." Après quelques secondes, le programme planta, me ramenant au bureau. Il ne me resta plus que le dossier Vidéos. En double-cliquant sur le dossier...

...l'écran devint noir. Je pensai à un plantage, mais je remarquai un "_" qui clignotait en haut à gauche.
Soudainement, apparut la commande "start :\>videos\001.wmv" brièvement, puis une vidéo apparut en plein écran. C'était la fille. Cette fois, elle souriait, sautillait d'excitation. Sa joie faisait chaud au coeur. J'imagine qu'elle se filmait en train de jouer à son jeu. D'abord elle bougeait son doigt sur le trackpad, cliquait, puis riait. Elle riait sans doute aux résultats que lui montrait le jeu. Après 2 minutes environ, l'écran retourna au noir une fraction de seconde, puis ça revint à la fille qui jouait au jeu. Mais cette fois, elle était habillée différemment, un simple t-shirt rose avec marqué "Go Go Girl!" marqué dessus avec des strass. Apparemment, le jeu enregistrait chacune de ses parties sur une vidéo, sans qu'elle le sache. Cela me mit mal à l'aise, je veux dire, pourquoi un programme de ce genre ferait-il ça ? Ça continua encore plusieurs fois, j'imaginai que toute la vidéo était comme ça, alors j'allais éteindre l'ordi. Mais...

... ça ne s'arrêtait pas. La vidéo se jouait toujours, et je vis la fille avec un haut orange sans motif. Elle riait et souriait comme d'habitude. Peut-être que je ne pourrais éteindre que lorsque la vidéo serait finie. Ça ne serait sûrement pas long. Mais ça l'était, ça continuait longtemps comme ça et j'allais m'endormir devant. Soudainement, à la coupure suivante...

La fille regardait la caméra sans afficher aucune expression. Je me demandai ce qui se passait, La vidéo reprit mon intérêt. Dans cette partie là, elle ne souriait pas. Cela me mit très mal à l'aise, la voir sans son beau sourire. Il faisait noir dans la chambre, il n'y avait qu'une lampe de bureau sur la gauche. Elle portait une sorte de pyjama. Qu'est-ce qu'elle allait faire ? Elle resta là pendant une minute sans bouger, comme si elle ne pensait à rien. L'atmosphère se tendait, comme si quelque chose d'affreux allait se produire.

Elle se baissa et ramassa une scie à gauche de là où elle était. Elle la mit devant elle, la montrant à la caméra. Puis, elle plaça la lame dentelée sur une de ses joues. Je serrai les dents à ce que je voyais. Qu'est-ce qu'elle allait foutre ? Doucement, elle commença à se scier la joue. Du sang coulait sur son cou. Lentement, ses dents commençaient à apparaitre, alors que la scie continuait plus bas et révélait le reste. Le sang couvrait presque toute la partie droite de son visage. Elle alla jusqu'au menton, en en prenant un petit morceau au passage. Sa joue tomba sur le sol avec un bruit plat, elle mit la scie sur ses genoux et recommença à regarder la caméra, sans expression. J'en étais dégouté et j'enlevai la batterie du PC, mais la vidéo continuait de se jouer.

Puis, coupure suivante. La fille hurlait de douleur extrême. J'en tombai presque de mon siège tant le son était fort. Elle hurlait en mettant ses mains contre le trou de sa joue disparue. Elle continuait à hurler d'agonie pendant 10 secondes, puis on entendait des coups à la porte. C'était une femme, criant dans un langage que je ne connaissais pas. Elle toquait à la porte, mais n'ouvrait pas. La fille s'était sûrement enfermée. J'essayai de débrancher l'écran. Je ne voulais pas voir la suite ! Les hurlements continuèrent jusqu'à la coupure suivante.

Elle était revenue à son état sans émotion à fixer la caméra, mais sa joue était toujours manquante. Par contre la femme continuait à crier et à frapper à la porte. Cette femme était sûrement sa mère. La fille leva la scie sur son épaule droite, et commença à couper aussi lentement que tout à l'heure. J'en avais la nausée. Le sang se projetait dans toutes les directions. Les hurlements derrière la porte cessèrent. J'imagine qu'elle était partie chercher de l'aide, le frère, le père, etc... Quand elle toucha l'os, un horrible son de grincement se fit entendre. Je couvrais mes oreilles, mais je l'entendais toujours aussi vivement à travers mes mains. Je remarquai un morceau de muscle coincé dans une des dents en acier de la scie. L'opération fut plus rapide que précédemment, et la coupure suivante fut similaire. Sauf qu'elle commençait à perdre des couleurs, et ses hurlements devenaient un peu plus faibles. Ses fringues étaient recouvertes du rouge de son sang sur le coté droit.

Puis, nouvelle scène sans émotion. Oh mon Dieu, Qu'est-ce qu'elle va couper maintenant ? La mère était revenue avec apparemment 2 personnes, qui parlaient le même langage incompréhensible. Elle leva la scie, et commença à couper le côté droit de sa tête, maintenant. Les coups à la porte devinrent plus forts. Ils essayaient de l'enfoncer. Elle continua, toujours aussi lentement, le sang giclant partout. Les coups continuaient. Bizarrement, je me pris à me demander comment elle allait continuer une fois que le cerveau serait touché par la scie. Son oeil droit roulait en arrière spasmodiquement. Du sang en coulait. Elle arriva jusqu'en haut de la bouche et continuait, sans se soucier des dents et du reste. C'était le pire son que j'avais entendu de toute ma vie. Même des jours après, je continue de frissonner rien qu'en y pensant. Les coups à la porte étaient de plus en plus insistants, et au fond de moi, j'espérais qu'ils ne parviennent pas à faire céder cette porte, pour qu'ils n'aient pas à supporter un tel spectacle. Elle parvint finalement au bout, et la partie droite de sa tête tomba sur le coté, retenue par un simple morceau de cou. Je me souviens du son affreux que fit sa mâchoire forcée par le bas par la scie qui la coupait en deux et la cassait. Elle remit la scie sur le côté.

Après un nouveau cut, elle tomba, la tête en morceaux, sur le clavier du PC. La cervelle se répandit dessus, et son oeil sortit de l'orbite. Du sang se répandait sur le bureau. Les gens qui forçaient la porte finirent enfin par entrer, et ils furent choqués et au bord de l'évanouissement face au massacre. Leur fille était en pièces. La mère vomit et sortit de la chambre. Le père courut vers sa fille, pleurait en tentant de remettre ensemble les moitiés de tête de sa fille. L'autre homme, probablement le grand frère de la pauvre victime, regardait simplement avec horreur, sans un mouvement.



La vidéo de mutilation s'arrêta avec ça, et l'écran coupa sur la chambre vide avec le lit. Un soupir de soulagement me vint, sentant que le coté glauque était fini. Je repris mon souffle, trempé de sueur. Je n'avais pas réalisé combien il faisait chaud ici jusqu'à maintenant.

J'avais tant de questions en tête. Comment était-ce possible? Je passai au moins 30 minutes assis sur la chaise, abasourdi. Finalement, j'eus le courage de me lever. Je regardai le laptop qui diffusait toujours la vidéo, fixée sur la chambre vide avec le lit. Soudainement, l'image coupa sur quelque chose d'inattendu.
C'était un plan de mon visage, dans le sous-sol, utilisant ce maudit PC.


Très longue pasta et surtout très sanglante !
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Sa protection (Her protection)

Dans chaque grande ville, il y a une maison qui n'est enregistrée nulle part, et ses fenêtres sont barrées depuis bien plus longtemps que ce que les gens s'en souviennent. Les anciens occupants, s'il y en avait, sont introuvables, et aucun individu, aucune organisation ne clame avoir cette parcelle.

Quoiqu'il en soit, quand on entre par une fenêtre du RDC ; ne touchez jamais aux portes extérieures – vous verrez par la poussière que les habitants sont partis depuis longtemps. Une boite en carton aplatie, un lit d'enfant décoré, des marques sur le tapis indiquant que le meuble a été déplacé. Invariablement il y aura un double matelas dans la chambre principale. Ce que vous ne verrez pas, en revanche, sont les rats et les cafards, ou traces de vermine. Elles connaissent de meilleurs endroits que ça.

Ce sont Ses endroits sacrés.

A votre première visite, n'amenez que ce dont vous avez besoin pour entrer. Localisez la chambre principale, restez au centre, et dessinez un cercle plein dans la poussière autour de vous. Un cercle d'un mètre de diamètre devrait être suffisant.

Faites face à la porte et dites à voix haute ; “Je souhaite faire un sacrifice. Accepteras-tu l'offrande ?”

Puis fuyez le lieu le plus vite possible. N'y retournez pas avant la nuit suivante.

Cette fois, amenez des clous, un marteau, une bouteille vide, un couteau bien aiguisé, et une lampe torche. Entrez comme la dernière fois. Vous vous souvenez du matelas dans la chambre principale ? Quelqu'un dormira dessus. Ne craignez pas de le réveiller ; Elle a tout préparé pour vous. Tournez le dormeur sur le dos et coupez sa jugulaire avec le couteau, collectez autant de sang que possible avec la bouteille.

Il vous faudra mettre un peu de sang sur le sol de chaque pièce, celle-ci incluse, mais assurez-vous d'en garder un peu après. Une fois terminé, partez par où vous êtes entré, et barricadez à nouveau la fenêtre. (d'où l'utilité des clous et du marteau.) Rentrez chez vous. Ne parlez à personne en chemin. Une fois rentré, mettez un peu du sang restant dans votr emain droite et frottez la sur la poignée de votre porte avant d'entrer. Puis allez dormir.

S'il vous reste du sang, vous devez impérativement le mettre sous un pavement de la ville, mais arrangez-vous pour que la pluie ne l'efface pas. Le couteau ne doit jamais être réutilisé, et doit être enterré. Ne vous souciez pas de recouvrir vos traces. Quand vous quitterez la maison, le sang sur la porte disparaitra, et le meurtre que vous avez commis n'aura aucune répercussion. Du moment que vous quittez Son temple, la preuve ADN ne vous impliquera pas non plus ; les forces juridiques suivront vos pas sans parvenir à la vérité. Sur les caméras, votre visage sera flouté.

Vous êtes à présent sous Sa protection.

Assurez-vous juste d'avoir trouvé la bonne maison.


J'aime beaucoup le commentaire final !
Bon bien évidemment, recette à ne jamais reproduire... C'est une pasta, pas un mode d'emploi du "tueur en série pour les nuls" :p
Creepypasta originale ici

Le Pokéwalker perdu (The Lost Pokéwalker)

La peur que j'ai eu… elle est… Horrible… sérieusement
Je rentrai chez moi après l'école pour une semaine de vacances… Quand je marchai sur quelque chose, je remarquai que c'était un pokewalker légèrement amoché, J'ai dit : “Hmm… Un pokewalker, Voyons voir ce qu'il y a dedans.”
Puis je rentrai chez moi, alluma ma DSi (J'ai une GBA SP et une DSi :/).

Je lançai ma cartouche Pokémon HeartGold et alluma le pokewalker…
Le pokewalker… n'avait qu'un pokémon… Un Branette.

J'ai dit : “Un Branette, un de mes préférés… C'est une chance.”
Je transférai le Branette sur mon HeartGold, et ça a dit “Mishugi est là !”

Peut-être vous vous demandez quand est-ce que je vais dire que le Branette va bugger ou paraitre bizarre, croyez-le ou pas… c'était un branette normal.

“Mishugi? Bizarre comme nom, enfin bon j'ai mon branette”
Je plaçai le Branette dans mon équipe à la place d'un autre pokémon (je crois à la place de mon Ronflex), Puis je déplaçai Mishugi dans le 1er slot de mon équipe puis j'allai au centre Pokémon
Je parlai à Mishugi, Il y eut 3 points de suspension au dessus de lui, et un message…

“Mishugi veut repartir.”

Repartir ? Où ?…

Je lui reparlai, les mêmes points de suspension… Message différent
“Mishugi veut que vous le suiviez. Suivre Mishugi? OUI/NON”
Fou de curiosité, je choisis oui, soudainement mon perso fit l'animation de corde de sortie et se téléporta
On se retrouva au manoir Pokémon… Comme le manoir de Rouge Feu /Vert Feuille, mais avec de meilleurs graphismes bien sur.
J'étais confus, le manoir Pokémon n'existait pas dans la 2ème génération…. Quoique ?

Mishugi eut 3 points encore et un message apparut
“Mishugi: … Voici la Tour Pokémon….”

Mishugi me parlait ?! Je n'en revenais pas !.

Je criai “What the fuck ?! La tour Pokémon n'existe pas dans la 2ème génération, elle a été remplacée par une tour radio ! Où on est ?!”
Mishugi répondit bizarrement…
“Mishugi: …Au 1er étage de la tour Radio de Lavanville”

Une minute, là… Mishugi m'a répondu ?! What…The…Fuck…

Bien que je n'en étais pas sur… Je retentai…
“Le 1er étage ? Je me demande de quoi ça avait l'air avant…”

“Mishugi: Personne ne pouvait entrer… à cause de moi…”

“Qu'est-ce que…?”

“Mishugi: Merci de m'avoir libéré de ma Prison, Rolf… Le Pokewalker”
Je commençais à flipper à ce moment, Mon perso s'appelle Darkuz dans le jeu… Mishugi a dit mon vrai nom ou je rêve ?!

“Comment connais-tu mon nom ?!”

“Mishugi: Je sais tout”

Mon perso tourna sur lui-même… et il changea de fringues, cheveux blonds, yeux verts, un t-shirt gris et un jean… C'est comme ça que je suis fringué…

“WHAT THE FUCK”

“Mishugi: Je sais tout”

“Mishugi: Je sais tout”

“Mishugi: Je SaIs ToUt”

“Mishugi: JE SAIS TOUT”

Okay, répétition de message, je prenais peur de plus en plus…

“Mishugi: Mais tu ne sais toujours pas qui je suis… Alors tu vas souffrir… Pour toujours et jusqu'à maintenant…”

L'écran vira au noir…

“Mishugi utilise CAUCHEMAR !”
Puis un cri aigu de Branette sortit des haut-parleurs, me faisant mal aux oreilles
J'ai immédiatement éteint la DSi, puis je jetai le pokéwalker au loin…

Quand j'allumai une nouvelle fois, tout était redevenu normal… et le Branette était parti
Quelques heures plus tard, un ami s'est suicidé… Je n'aime pas trop cette notification…

Quand j'ai regardé sa partie de Pokémon SoulSilver… Ma DSi glissa de mes mains… et je commençai à pleurer et à crier : “Pourquoi ?!”

Son dresseur s'appelait Mishugi…



Posté et traduit juste parce que je me suis pris SoulSilver récemment avec son Pokéwalker... Je voulais une version d'occase pour tenter de tomber sur un bootleg mais bon, pas grave :p

Celui qui ne doit JAMAIS être nommé (He Who Should REALLY Not Be Named)

Dans ce monde existe une entité asexuée. Cet esprit est couvert d'un drap noir avec une capuche blanche qui couvre sa tête. Il est dit qu'il porte un énorme sac de toile brune où il garde ses victimes. Il est dit qu'à la seconde où l'on écrit ou dit son nom, directement ou pas, la personne qui l'a fait est collectée et devient propriété de l'esprit. On dit que ceux qui ont vu son apparence sont devenus fous au point de s'arracher les yeux. Cette entité est très, très réelle et le fait de dire son nom poussera Candlejack à venir vous cherc

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Attention

Attention :

Lisez cette sentence à voix haute : Bonjour, Molly.

Si vous la lisez à voix haute comme indiqué, vous êtes sauvé.

Si vous l'avez lu dans votre tête… Molly est sauvée, aussi.

Mais dans votre tête.


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lundi 17 janvier 2011

Pokémon Bleu Larme (Blue Tears)


Dessin par Draikinator auteur de Pokémon Tarnished Gold
“Pardon, monsieur. Combien pour ceci ?”

“Gratuit, prends-le.”

“Quoi ? Vous êtes sur ? Je peux vous l'ach-“

“J'ai dit que tu pouvais le prendre ! Maintenant fous le camp !”

Ceci est le bref échange que j'ai eu avec un jeune homme dans les 28 ans dans un marché aux puces où j'étais allé. J'ai toujours trouvé des trucs intéressants dans les vide-greniers et les marchés aux puces. J'y vais d'habitude pour des bouquins, mais il m'arrive de trouver d'autres choses qui valent le coup.

Je n'avais pas trouvé de livres cette fois là ; les ventes se limitaient aux jouets, fringues pour jeunes enfants et bébés, et quelques trucs qui serviraient à une jeune mariée. Tenues de soirées, des livres Harlequin (Je ne peux pas lire des trucs trop romantiques, je préfère les romans policiers), bijouterie et quelques boites à maquillage, la grande majorité déjà utilisées.

Je trouve ça de mauvais gout d'utiliser des boites à maquillage déjà usées. Si on en a plus besoin, autant la jeter. Faut pas jouer avec des trucs qui ont touché quelqu'un d'autre…c'est anti-hygiénique. Je gardai ces pensées pour moi-même, cependant, en continuant mon périple.

Alors que j'allais repartir, une chose bleue cachée sous une peluche de lapin usée attira mon attention. Les couleurs m'ont toujours piégé ainsi, surtout le bleu, alors j'ai soulevé la peluche pour regarder. A ma surprise, c'était une cartouche de Pokemon Bleu. Je n'en cherchais pas une spécialement, mais j'ai ressenti de la nostalgie…même si la 1ère génération n'était pas ma préférée, ça reflétait une époque simple de ma vie.

LA cartouche avait le mot ‘Larmes’ écrit en noir sur l'image de Tortank. J'imagine que c'était un pseudo ou même genre, peut-être que l'ancien propriétaire pleurait beaucoup. C'est le genre des enfants, ces trucs, peut-être qu'ils étaient assez jeunes pour être des ‘pleurnichards’ et que ‘Larmes’ était un meilleur nom…Je ne sais pas. Quoi qu'il en soit, j'ai eu le jeu pour rien, mais j'ai laissé 1$ sur la table quand même, pour me sentir moins coupable.

En rentrant chez moi, J'insérai le jeu dans ma GBA SP et l'alluma. Le son à l'écran titre était distordu…C'était la musique habituelle mais le ton était descendu énormément dans les graves, donnant un espèce de grognement…c'était…indescriptible. Naturellement, j'imaginais que c'était à cause de l'age, mais je tentai de jouer jusqu'à ce que ça plante.

L'ancien proprio, ce ‘Larmes’, avait laissé son fichier (comme je m'y attendais venant d'un jeu d'occase) mais pas d'infos sur le temps de jeu, pas de nom, rien de ce genre qui s'affichait lorsque la partie était sélectionnée. Curieux, Je choisis de lancer le fichier, juste pour voir. Un enfant peut avoir une intéressante partie avec des noms imaginatifs pour ses créatures…Une imagination innocente qui se raréfiait avec le temps et l'age…

Après avoir choisi la partie, j'arrivai sur un écran noir et du silence. Je me sentis déçu ; on dirait que le jeu avait déjà planté. J'allais éteindre quand un message apparut à l'écran.

Je commençai à lire, mais le texte s'affichait très lentement, anormalement lentement :

……….

On m'a tout volé…

Mon titre de champion…

Le respect de mon grand père…

…Même mes Pokemon sont morts par ta faute…

…Tu me le paieras…

Je viendrai te retrouver.

J'étais confus…Qui parlait ? Et à qui ? Mon coeur commença à battre par ce qui semblait être de la peur…J'avais déjà eu ça, mais je savais que ce n'était pas normal… mais la curiosité me maintenait dans le jeu.

L'écran noir fondit, La musique de la Tour Pokémon se joua normalement…Le son n'était pas cassé comme au début.

La scène se révéla et je reconnus l'endroit où j'étais, la Tour Pokemon. Le sprite du rival, Blue, était face à une des tombes de la tour. Il restait là quelques minutes, la musique morbide continuant à jouer durant ce silence, avant qu'il ne finisse par dire, “…Aujourd'hui c'en sera fini…pour nous deux.”

Avec ça, il quitta la tour, l'écran le suivant. Une fois à l'extérieur de la tour, la musique ne changea pas pour le thème déprimant de Lavanville…non, la musique de la tour continuait en boucle…Bien que je voulais baisser le volume, je n'y parvenais pas.

Je ne pouvais pas bouger le perso après ça. Je ne savais pas si ça venait d'un bug venant d'un jeu hacké, ou si c'était le perso qui hésitait. Après une autre minute, il finit par dire, “…Vol…” Même s'il n'y avait pas de voix audible avec le jeu, avec la vitesse du texte qui s'affichait, il yavait presque un sentiment de dépression en lui.

J'ouvris le menu et regarda le statut de Blue, Il n'avait qu'un Roucool qui n'avait pas de niveau…Je regardai ses stats, La seule attaque qu'il avait était ce que lui demandait Blue ‘Vol’, et toutes ses stats (sauf les HP) étaient à zéro. Trouvant ça étrange, je passai à côté et choisis Vol.

Quand la carte s'ouvrit, tout était noir et il y avait un seul point de destination ‘Mt. Argenté’…Je sais que c'était impossible. Le Mt. Argenté était à Johto qui n'existait pas encore durant cette génération de jeux pokémon…Mais c'était ma seule destination, alors je la choisis. L'animation typique du dresseur qui laisse place à un sprite d'oiseau apparut et j’atterris, j'en suis sur, devant l'entrée du Mt. Argenté.

Au lieu que l'image de l'oiseau laisse place à celle de Blue à l'atterrissage, son image bougea à sa gauche. L'oiseau et le dresseur se firent face pendant une minute avant que le son qu'on entend quand on entre ou sort d'une porte se fit entendre, mais à un ton plus aigu. Comme si quelque chose se brisait.

Quand Blue parla, “Envole-toi, tu es libre…” je supposai que le son était finalement celui de la pokéball qui se brise. Le Roucool fit son cri une dernière fois avant d'obéir à son dresseur et s'envoler. Après l'envol de son dernier pokémon, la musique de la tour joua encore, il fit face à l'entrée, “…Je viens pour toi…”

J'avais l'impression que c'était une mission de vengeance…et vu la manière dont c'était dit, une vengeance de la manière la plus sombre possible. Cela me poussa à regarder ses objets, je sais pas pourquoi ça m'a traversé l'esprit…mais dans les circonstances actuelles, je sentis que j'y trouverai quelque chose. Et ça n'a pas raté.

Il n'y avait qu'un seul objet dans la liste, POIGNARD, un objet vraisemblablement pas programmé dans le jeu à la base. A chaque fois que je le sélectionnai pour voir, Blue disait “Pas encore…” Après ça, je ne pouvais plus contrôler le perso. C'est comme s'il voulait que je voie ce qu'il avait juste pour deviner son dessein, mais c'était tout…le reste, c'était son affaire.

Blue marcha dans la caverne, trouvant son chemin dans ce labyrinthe pierreux, sans rencontrer un seul pokemon, mais j'entendais des faibles cris de pokémon derrière la musique…Je n'en suis pas sur, mais je crois qu'ils ressentaient les émotions sombres de Blue…et ils pleuraient l'avenir.

Finalement, il atteignit l'endroit où se trouve Red dans Pokémon Or et Argent. Blue ralentit un peu en approchant son rival, et la musique, comme si elle n'était pas assez morbide déjà, avait son ton qui baissait de plus en plus dans les graves, lui donnant une atmosphère bien pire…

Les deux rivaux se firent face et Red salua Blue avec le silence qu'on voit dans Pokémon Or et Argent. Cependant, Blue ne l'a pas bien pris car il se mit à hurler, “ Ne m'ignore pas comme si tu avais tout et tous les autres !

Une bataille commença mais la musique ne changea pas, la musique modifiée de la tour Pokémon continua. A ce moment, des invités sont entrés et étaient ennuyés par la musique, alors je dus mettre des écouteurs car j'étais toujours incapable de baisser le volume…aussi dérangeant que ça soit, la musique semblait m'hypnotiser.

Je regardai l'écran alors que la bataille commençait. Evidemment, comme Blue n'avait plus de pokémon, il n'appela rien. Red non plus. dans les options, il n'y avait pas ‘Atk, PKMN, Obj, et Fuir’ ; il n'y avait que ‘Obj’ alors, évidemment, il le sélectionna.

Le seul objet était celui mentionné plus haut, POIGNARD. Il fut sélectionné rapidement et ça revint à l'écran de bataille ; Maintenant, il n'y avait plus que l'option ‘Atk’. Dans le menu d'attaque, Blue n'avait qu'une attaque à sa disposition…MEURTRE…Je ne pouvais toujours pas reprendre la main sur le jeu, il n'y avait pas d'option Fuir, je ne pouvais pas non plus me pousser à éteindre face à cette dérangeante expérience…le seul choix était de rester là et laisser Blue tuer Red.

Après la sélection de l'attaque, Blue cria, “ça c'est pour tout !” et l'animation de l'attaque Charge se joua sur le sprite des deux dresseurs, mais Blue avait l'animation qui se répétait plusieurs fois de suite. La musique sombre commençait à reprendre son ton normal mais partit carrément dans les aigus…c'était douloureux à entendre dans les écouteurs, mais je ne les ai pas enlevés.

Le sprite de Red bougeait à chaque coup, perdant ses HP qui arrivèrent à zéro ; un grincement étranglé se fit entendre par dessus la musique, la remplaçant brièvement alors que le sprite de Red fondit dans ce qui semblait êtr ele sprite d'un cadavre décomposé avant de disparaitre complétement de l'écran.

Mon coeur battait, je commençais à développer une migraine, et mes yeux restaient collés à l'écran alors que le reste de la scène se jouait. Quand la musique remplaça l'écran encore une fois, un autre message apparut. Blue parlait.

“……………………………………

…………………………….

…………………….

On se reverra en enfer…”

Les options de combat apparurent à nouveau, ‘Atk’ était toujours la seule option. Blue la sélectionna, mais au lieu de ‘MEURTRE’ l'attaque était ‘SUICIDE’. Il y eut un moment d'hésitation, mais Blue finit par s'attaquer à lui-même avec un peu moins de fureur qu'avec Red. Alors que ses HP descendirent à zéro, un grincement étranglé comme celui de Red recouvra la musique, son sprite disparut comme celui de Red. Mais…quand le corps ‘décomposé’ fondit, il ne faisait pas face au champ de bataille…

Il me faisait face.

Les grincements continuèrent, le son augmentait de volume tout seul, rendant le son douloureux et accélérant ma migraine…et j'avais toujours mes écouteurs. Mes yeux restaient fixés sur les trous vides où se trouvaient les yeux de Blue alors qu'il hurlait, alors que l'écran commença à clignoter. doucement d'abord, puis de plus en plus vite, jusqu'à l'effet stroboscopique. Le ‘hurlement’ grandit en volume encore un coup avant de cesser, l'écran virant au noir.

Je retenais mon souffle, mon coeur battant tellement fort qu'il en faisait mal…j'espérais profondément que ce soit fini…Vu que je ne pouvais rien faire…ou même entendre aucun bruit dans les écouteurs, je craignais que ce ne soit pas le cas…et j'avais vu juste.

Un texte écrit en blanc apparut sur ce fond noir, lentement, et je lus, alors que chaque mot se formait :

J'ai finalement eu ma revanche.

La vie que TU as ruiné a disparu.

Mais ne crois pas que ce soit fini.

Ma souffrance a pris fin, mais la tienne vient de commencer.

Je la regarderai avec un sourire aux lèvres.

Et quand tout sera fini…



Je te reverrai en enfer…

Et bien que ma batterie était pleine avant de lancer le jeu, la lumière de la batterie vira au rouge et tout le système s'éteignit…et mon nez commença à saigner quelques secondes plus tard…Je…Je ne peux pas vous décrire la terreur que j'ai senti après ça…Je ne pourrai jamais vous décrire la terreur de ce que je ressens encore…

Vous savez, le jour suivant aux infos, ils ont annoncé que l'homme qui m'avait donné le jeu, je tairai son nom, avait appelé la police, disant qu'il avait tué sa femme 3 jours avant et l'avait enterrée dans son jardin…Quand ils avaient atteint sa maison, ils l'ont trouvé au téléphone, mort…il s'était suicidé en se tranchant la gorge. Il a été aussi mentionné que, quelques semaines avant, son enfant de 8 ans avait tué son frère de 6 ans et s'est suicidé…

Je suis sur que le jeu y est pour quelque chose…et je suis le prochain…Je ne sais pas combien de temps il me reste…ni qui mourra de ma main…mais il fallait que vous le sachiez…

Ne jouez jamais à Bleu Larme.

Pas mal celle-ci. Encore du Pokémon pour changer :p Cette pasta possède apparemment une suite qui sera prochainement traduite ici ;)
Oh, j'oubliais... Hack, please ? :p