Êtes-vous déjà allé en Italie? Non? Alors si un
jour vous y allez, je vous conseille de ne pas aller sur l'île de
Poveglia. Pourquoi? Pour la simple et bonne raison que cette île est
hantée...
Je vous vois venir, "C'est encore une vieille légende stupide.", mais cette île est vraiment effrayante, j'en ai même payé les frais.
Au fait, je ne me suis pas présenté. Je m'appelle Teodoro, et je suis justement italien. J'ai toujours aimé tout ce qui ce rapportait à la mythologie, la magie, et tout autre activités occultes, bien que je ne croie pas au monstres. A une époque, j'entendais beaucoup de rumeurs sur cette île, à quelques kilomètres de Venise. J'étais très jeune, je devais avoir onze ans quand ces nouvelles ont été propagées. Certains disaient qu'elle était réputée pour abriter un hôpital psychiatrique, et que la plupart de ses patients se plaignaient de voir des "fantômes". Donc forcément, ça m'a appâté vers ce lieu étrange.
Et donc à mes douze ans, j'ai embarqué sur le premier bateau, direction Poveglia. Le voyage a été vraiment très long, malgré le peu de distance qui séparait les deux ports. Mais à mi-chemin, un brouillard assez épais a commencé d'apparaître. Ce premier point ne m'avait pas vraiment choqué, il y a souvent un peu de brume sur les côtes vénitiennes. Seulement, plus le bateau s'enfonçait, plus le brouillard semblait s'épaissir. C'était louche, très louche. Mais une bonne demie-heure plus tard, j'ai pu accoster sur l'île. Île qui ressemblait plus à une jungle qu'autre chose, d'ailleurs. Bon, je vous épargne les détails, je me suis un peu paumé dans la forêt de l'île.
Oui, il y avait une forêt. C'était d'ailleurs assez glauque... Je pouvais apercevoir, sous les feuilles mortes, quelques choses qui semblaient être... des cadavres. J'avais poussé un hurlement à en réveiller les morts. C'était vraiment dégoûtant, et vraiment inquiétant. Je me suis mis à courir, même perdu, je ne pouvais pas rester une minute de plus dans cette forêt. Mais je me suis vite arrêté devant ce qui semblait être le fameux hôpital. J'ai fait à peu près le tour de ce bâtiment, jusqu'à trouver une porte. Porte à moitié dévissée, quand on y pense.
J'ai alors pénétré dans ce bâtiment en état de dégradation, pas très sûr de moi. Ma première impression : ça pue. Bon oui, vu que c'est inhabité depuis plus de soixante-dix ans, forcément ça sent pas la rose. J'ai fais un pas. Puis un autre. Puis un autre. J'hésitais à monter les escaliers, vu les marches presque déboitées et la rampe manquante. Mais je ne sais pas par quel miracle, je m'y suis risqué. Une marche. Puis l'autre. Elles étaient extrêmement grinçantes. Je me demandais encore comment j'avais réussi à monter jusqu'à l'étage. J'ai alors continué de marcher dans le couloir, quand je vis quelque chose. Une sorte d'ombre bizarre, qui m'épiais. J'avais la gorge nouée.
Je voulais fuir, mais impossible, les escaliers avaient disparus! Et cette chose qui se tenait devant moi, ce sourire qui me faisait gerber. Et c'est qu'en plus elle s'approchait! Je reculais, m'éloignant de cette créature étrange, mais j'ai heurté le mur. Je n'avais plus d'échappatoire. La chose s'avançait. Je haletais, j'avais peur. Je n'avais jamais eu autant peur de ma vie. J'étais pétrifié sur place. Je ne savais pas ce qu'allait me faire ce monstre! Allait-il me tuer? Me laisser la vie sauve? Me torturer jusqu'à ce que mort s'en suive?
Cette question me tiraillait. La créature s'arrêta devant moi, me fixant de ses yeux vides, et me dit avec une voix quasi-enfantine :
"Joue avec moi."
Et c'est là que tout bascula. Je sentis cette chose entrer en moi, je ne pouvais plus rien faire, si ce n'est me sentir partir...
Je vous vois venir, "C'est encore une vieille légende stupide.", mais cette île est vraiment effrayante, j'en ai même payé les frais.
Au fait, je ne me suis pas présenté. Je m'appelle Teodoro, et je suis justement italien. J'ai toujours aimé tout ce qui ce rapportait à la mythologie, la magie, et tout autre activités occultes, bien que je ne croie pas au monstres. A une époque, j'entendais beaucoup de rumeurs sur cette île, à quelques kilomètres de Venise. J'étais très jeune, je devais avoir onze ans quand ces nouvelles ont été propagées. Certains disaient qu'elle était réputée pour abriter un hôpital psychiatrique, et que la plupart de ses patients se plaignaient de voir des "fantômes". Donc forcément, ça m'a appâté vers ce lieu étrange.
Et donc à mes douze ans, j'ai embarqué sur le premier bateau, direction Poveglia. Le voyage a été vraiment très long, malgré le peu de distance qui séparait les deux ports. Mais à mi-chemin, un brouillard assez épais a commencé d'apparaître. Ce premier point ne m'avait pas vraiment choqué, il y a souvent un peu de brume sur les côtes vénitiennes. Seulement, plus le bateau s'enfonçait, plus le brouillard semblait s'épaissir. C'était louche, très louche. Mais une bonne demie-heure plus tard, j'ai pu accoster sur l'île. Île qui ressemblait plus à une jungle qu'autre chose, d'ailleurs. Bon, je vous épargne les détails, je me suis un peu paumé dans la forêt de l'île.
Oui, il y avait une forêt. C'était d'ailleurs assez glauque... Je pouvais apercevoir, sous les feuilles mortes, quelques choses qui semblaient être... des cadavres. J'avais poussé un hurlement à en réveiller les morts. C'était vraiment dégoûtant, et vraiment inquiétant. Je me suis mis à courir, même perdu, je ne pouvais pas rester une minute de plus dans cette forêt. Mais je me suis vite arrêté devant ce qui semblait être le fameux hôpital. J'ai fait à peu près le tour de ce bâtiment, jusqu'à trouver une porte. Porte à moitié dévissée, quand on y pense.
J'ai alors pénétré dans ce bâtiment en état de dégradation, pas très sûr de moi. Ma première impression : ça pue. Bon oui, vu que c'est inhabité depuis plus de soixante-dix ans, forcément ça sent pas la rose. J'ai fais un pas. Puis un autre. Puis un autre. J'hésitais à monter les escaliers, vu les marches presque déboitées et la rampe manquante. Mais je ne sais pas par quel miracle, je m'y suis risqué. Une marche. Puis l'autre. Elles étaient extrêmement grinçantes. Je me demandais encore comment j'avais réussi à monter jusqu'à l'étage. J'ai alors continué de marcher dans le couloir, quand je vis quelque chose. Une sorte d'ombre bizarre, qui m'épiais. J'avais la gorge nouée.
Je voulais fuir, mais impossible, les escaliers avaient disparus! Et cette chose qui se tenait devant moi, ce sourire qui me faisait gerber. Et c'est qu'en plus elle s'approchait! Je reculais, m'éloignant de cette créature étrange, mais j'ai heurté le mur. Je n'avais plus d'échappatoire. La chose s'avançait. Je haletais, j'avais peur. Je n'avais jamais eu autant peur de ma vie. J'étais pétrifié sur place. Je ne savais pas ce qu'allait me faire ce monstre! Allait-il me tuer? Me laisser la vie sauve? Me torturer jusqu'à ce que mort s'en suive?
Cette question me tiraillait. La créature s'arrêta devant moi, me fixant de ses yeux vides, et me dit avec une voix quasi-enfantine :
"Joue avec moi."
Et c'est là que tout bascula. Je sentis cette chose entrer en moi, je ne pouvais plus rien faire, si ce n'est me sentir partir...
Outlast ?
RépondreSupprimerL'ombre=le Walkrider ?
j'aime bien cette creepy mais je n'ai pas compris la fin
RépondreSupprimerLegrandJD a fait une vidéo ou il allait SEUL sur cette île pour y dormir et vérifier les phénomènes paranormaux ... Rien d'alarmant :3
RépondreSupprimerRébecca on peut dire que tu connais les bails x)
RépondreSupprimerLa fin me fait penser a Sally...
RépondreSupprimerBruh... Disons que ces pâtes ne sont pas à mon goût xD (pasta=pâtes)
RépondreSupprimerJe comprends, elles sont trop fades.
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