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dimanche 1 décembre 2013

Le Gardien

       Beaucoup d'histoires et de rumeurs parlent de l'enfouissement vivant, phénomène redouté depuis la nuit des temps par l'Homme. Elles ont parfois entraîné diverses légendes, comme les fameux morts-vivants, ou parfois même les vampires. Mais le conte qui va suivre est tout autre, loin d'erreurs médicales ou de morts-vivants tout droit sortis de Science-fiction.


       Cette histoire étrange s'est déroulée en 2008, le 4 Novembre 2008 très exactement.
Monsieur Belamcourt, Fossoyeur de 47 ans, partait alors faire sa ronde de garde à 23h35 dans le cimetière de la petite ville de Châteney-Malabry. Alors qu'il ouvrait le grillage, il pensa apercevoir quelque chose bouger au loin. Il alluma en vitesse sa lampe torche, mais il n'y avait rien.
Il accourut vers le buisson qu'il avait vu trembler, et braqua sa lampe torche aux alentours. Après une rapide vérification, il continua sa ronde et se rendit près des tombes. Il passa rapidement devant chacune d'elles, et s'arrêta quelques minutes devant celle de sa mère, morte de façon encore inexpliquée il y a une dizaine d'années, quand il remarqua une tombe qui n'était pas là la veille. Il s'y rendit et se pencha vers l'inscription :

« Au profanateur de ce cimetière.
Que la paix soit rendue à ces âmes perdues
Et que cet être soit plongé aux enfers. »


   
       Elle était tout sauf normale. Il s'empressa de prendre son téléphone et d'appeler la Police, mais rien ne fonctionnait, seule une étrange fréquence parvenait à ses oreilles. Il décida de s'en occuper lui-même. Il prit la pelle qui était rangée dans le cabanon de travail et commença tant bien que mal à déterrer ce qui y était caché. Après un effort de plusieurs minutes, il toucha quelque chose en dessous. Il retira le reste de la terre à la main et força l'ouverture du cercueil. Il y avait un homme, ou du moins un cadavre, les yeux exorbités, et un air d'effroi gravé sur son visage. Le pauvre fossoyeur s'effondra quand il vit que ce corps bougeait toujours. Sa main semblait se tendre vers lui, et une faible voix sortit de la bouche de l'inhumé : « pitié... S'il vous plaît... Aidez-moi... ».


       Le fossoyeur se leva et partit à toute allure. Alors qu'il arrivait au grillage, il ne parvint plus à l'ouvrir, et la porte était trop haute pour qu'il puisse l'escalader. Il tenta tout de même de s'y accrocher avec sa veste. Arrivé à mi-hauteur, la veste céda, et il finit sur le sol. Il devait trouver une autre sortie. Il reprit sa lampe torche ainsi que son téléphone, et après avoir retrouvé ses esprits, il vit ce qu'il n'oublierait jamais.

Devant lui, se tenait entre deux arbres, un squelette. Il était debout et semblait regarder au loin. Il avait l'air vêtu de plumes de corbeau, aucune expression ni émotion n'émanait de cette chose. Il prit une photo qui ne quitterait jamais sa mémoire.




       À peine relevé, il avait disparu. Quand il tenta de rouvrir le grillage, il n'eut pas besoin de forcer.
De retour chez lui il fit des recherches sur l'entité qu'il avait vu. Il obtint quelques résultats intéressants, certains l'appelaient « Le Gardien » car il chasserait les profanateurs de cimetière et les enterrerait vivants. Malgré tout, il ne pouvait se résoudre à laisser le pauvre homme inhumé pourrir à l'air dans son tombeau, et il repartit aussitôt.


       Alors qu'il était de retour au cimetière, l'air était nauséabond. Il se boucha le nez et retourna là où il avait découvert le malheureux. Il gisait toujours au même endroit et semblait encore tendre la main dans le vide, prononçant les mêmes mots. M. Belamcourt le prit par le bras et le sortit du cercueil. Il le porta par l'épaule et tenta de le faire sortir de l'ossuaire. Plus il se rapprochait de la sortie, plus il se sentait oppressé. Quand il se retourna, le squelette le suivait...
Et il se rapprochait.
Il le prit par le cou, lui arrachant quelques lambeaux de peau. Il se sentait partir alors qu'il voyait la sortie s'éloigner peu à peu, puis il s'évanouit.


       Lorsqu'il se réveilla, il était dans l'obscurité, il était allongé et... Comprimé.
Il n'eut besoin de plus de temps pour comprendre qu'il avait subi le même sort que l'autre homme.
Il tapait de toutes ses forces sur le cercueil qui l'emprisonnait de plus en plus. Alors qu'il croyait perdre espoir, il sortit son téléphone, lança l'appel d'urgence à la Police, et après plusieurs tentatives, il entendit un homme au bout du fil, avant même de savoir à qu'il parlait, il le supplia de venir l'aider.      
      

       L'appel coupa juste ensuite. Alors que l'air commençait à manquer dans son tombeau, il entendit un très faible bruit, un bruit de sirène de police. Il était rassuré, alors qu'il entendait les agents :

     « L'appel venait d'ici, cherchez aux alentours !
-Attendez... Certains disent qu'on a affaire à un enterrement vif ! 
-Ça pourrait très bien être le cas, alors grouillez-vous et cherchez partout ! Vite ! » 
   


   
     Il perdait connaissance alors qu'un sourire s'inscrivait sur son visage.

       Lorsqu'il se réveilla, il était à l'Hôpital, le chant des oiseaux venant de sa fenêtre lui amenait un sentiment de paix, et de bien-être. Il reçut des enquêteurs dans sa chambre toute la journée, lui posant des questions sur les circonstances de l'accident, mais à chaque fois le fossoyeur ne voulut répondre quoi que ce soit, il pensait qu'il serait pris pour fou, et envoyé à l'asile.


       Alors que la nuit tombait, il se leva pour contempler le clair de lune.
Alors qu'il était reposé, il l'aperçut au loin. Le Gardien. Difficile de dire s'il le fixait ou pas, ses orbites vides ne laissaient paraître que le désespoir qui s'imprégnait dans l'âme du pauvre fossoyeur.

C'en était trop pour lui : « Non... NON... NON ! » Il courut dans les couloirs de l'hôpital en hurlant, et fut intercepté par des infirmiers qui l'avaient entendu.


       Après une enquête sur monsieur Belamcourt, il fut déclaré fou, et aucune tombe non répertoriée ou corps déterré ne fut retrouvé dans le cimetière, malgré les photos prises par le fossoyeur qui furent démenties et considérées comme truquées. L'affaire fut classée sans suite.





7 commentaires:

  1. c'est un peu trop gros pour faire peur, dommage.

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  2. Du même avis, Anonyme ! De plus, je ne comprend pas bien le sens de cette pasta.

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  3. oui se n est pas tres claire

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  4. C'est floue et la photo est trop mal faite pour qu'on y croit

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  5. ... ...Le pire... C'est que je connait ce cimetiere... Et la tombe de sa mere enfin je croi... La meme nuit j'ai etai operer du ventre... En plus, ce mec a vraiment etai pri pour fou...
    Cest une histoire vrai, pas une pasta.

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  6. C'est Ryuk ou quoi le squelette ? X) (DN)

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  7. Euh, le squellette, on voit très bien qu'il est en 3d et qu'il est incrusté .Je dit sa, je dit rien

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