Disclaimer

DISCLAIMER

Les contenus proposés sur ce site sont déconseillés aux personnes sensibles et aux mineurs de moins de 12 ans.
L'équipe de Creepypasta from the Crypt n'affirme ni n'infirme la véracité des témoignages et histoires présents sur ce blog. Pensez à consulter nos pages d'aide pour en apprendre plus, et à toujours vérifier les sources pour vous faire votre propre avis sur la question, ici comme ailleurs.

Script générateur de phrases

Dernières nouvelles

Bonne année 2024 ! Un peu de changement chez nous : notre admin Naveen redevient uniquement référente de l'équipe de traduction, les candidatures sont ouvertes sur notre serveur Discord pour trouver un nouveau binôme à Magnosa !

CFTC recrute de nouveaux Auteurs et lance une équipe Réseaux sociaux ! Si vous êtes intéressés, ça se passe aussi sur Discord pour découvrir notre fonctionnement et passer les tests d'entrée !

Vous voulez trouver toutes nos plateformes, ou vous êtes curieux de savoir quels médias parlent de CFTC ? Tout est sur notre Linktree !

Un message pour l'équipe ou l'association ? Consultez notre page Contact !

lundi 20 janvier 2014

Akelarre

Dernier écrit d’un Presque-Mort   

 
 
Valdo Brujto, tel est le nom auquel je réponds. Né en France d’un Père espagnol et d’une Mère du pays, je n’ai aucun souvenir de mon paternel. Selon ma mère, il est mort avant même qu’elle ne se rende compte qu’elle me portait en elle. J’ai toujours été un enfant joyeux et très sociable, et les maux de l’adolescence ne m’ont que très peu touché, enfant modèle disait-on, quel malheur qu’il ait le nom de son père j’entendais ensuite dans mon dos. En effet mon Père avait, semble-t-il, une mauvaise réputation d’ivrogne et de fou, parfois même, certains rapprochaient son nom de famille du mot Brujo qui signifie sorcier en espagnol. J’ai omis de préciser que j’habite dans les pays basques de France, dans un petit village encore ancré dans les plus anciennes superstitions, comme grand nombre d’autres villages dans le monde en cette année 1913. Il y a peu, ma Mère est morte, me laissant seul, même si cela ne changea pas grand-chose car je restais souvent à l’écart dans une maison voisine. Le chagrin fut bref car je ne tenais pas réellement à elle. J’ai donc hérité de leur demeure. Le lieu était séparé du village par une forêt sombre et mourante comme consumée par une maladie végétale, et la maison en elle-même me sembla étrangement inconnue, aucun souvenir ne me venait à l’esprit, je ne me souvenais même pas de la forêt qu’il fallait traverser.


Je poussai donc la porte de bois avec difficulté, comme si quelque chose bloquait de l’autre côté. Finalement je me rendis compte qu’un tas de poussière et de détritus était à l’origine de cette force inconnue.  L’intérieur me sembla presque antique, et d’étrange constitution, on aurait dit que l’architecte de cette maison avait bâclé le travail. Le plafond était bas et irrégulier, tant que parfois ma tête touchait ce plafond antique constitué de simples poutres pourrissantes écartées les unes des autres d’au moins dix centimètres, laissant visible une couche de paille malodorante qui servait sûrement d’isolation entre les deux étages de la maison. Les meubles étaient rares et en mauvais état, recouverts de plus de deux pouces de poussière, tout comme le sol. Cette poussière faisait monter en moi une question, vivait-elle réellement ici ? Quelques traces déjà recouvertes d’une fine couche de poussière montraient qu’elle passait de temps en temps par ici mais rien d’autre, certainement s’était-elle isolée dans sa sénilité à l’étage au dessus.
Je me dirigeai vers l’escalier branlant, tremblant comme une feuille, je marchais lentement, tellement les secondes me paraissait être des minutes, mais c’était une nécessité si je ne voulais pas tomber avec l’escalier et certainement toute la structure de la bâtisse.



 Je me retrouvai alors devant une porte de fer bloquée par deux cadenas, bien que les marques et les morceaux de ferraille au sol indiquent qu’il y en avait au moins trois autres auparavant.  Tout proche de la porte se trouvait un clou planté dans le mur avec accroché à celui ci un porte-clefs de cinq clefs, chacune pour un cadenas précis. Je saisis les clefs, emportant malencontreusement le clou avec, et à ma grande surprise le mur était extrêmement fin, tellement que le trou ainsi créé était directement relié à la salle de l’autre côté.


Je me risquait à observer à travers le trou, mais rien ne vint à mes yeux hormis le noir complet. Mes oreilles par contre entendirent un son irrégulier, comme des pas saccadés et effectués tantôt sur deux pieds, tantôt sur trois, et parfois sur quatre. Je n’y prêtai pas attention, cela pouvait très bien être le bruit du plancher qui se mouvait lentement sous mon poids, peut-être un animal sauvage qui s’était caché là-haut.


J’utilisai chaque clef les unes après les autres sur chaque cadenas jusqu’à obtenir la bonne. À peine les cadenas étaient tombés au sol que la porte s’ouvrit d’elle-même et laissa s’échapper une odeur nauséabonde comparable à celle qui domine dans les bergeries; un mélange d’urine et de déjections animales me vint alors à l’esprit. Mais dans quel taudis vivait-elle ? Le sol était recouvert de paille épaisse et parfois quelques faibles rayons de lumière terne passaient à travers. Je marchai alors toujours aussi lentement, redoutant de tomber dans un des trous observés en dessous.  Soudains je me figeai, un long râle s’était fait entendre, des pleurs humains, et je voyais dans les méandres des formes se mouvoir telles des créatures marines dans les abysses. J’allumai alors une lanterne que j’avais prévue au cas où la lumière me ferait défaut. 



Les formes avaient disparu, et sur les murs des millions de symboles hiéroglyphiques et asiatiques, des symboles qui allaient du plus bas jusqu’au toit apparent de la maison, et partout un mot se répétait, « Akelarre », qui signifie en basque le lieu où les rites impies étaient effectués en l’honneur de Satan. Un autre râle malheureux me fit tourner la tête vers un coin sombre de la pièce que j’éclairais alors.


 À la vue de cette chose j’ai couru, loin, à toute vitesse, faisant tomber les escaliers qui m’avaient presque emporté avec eux, j’ai quitté la maison, la forêt, le village. Et me voila aujourd’hui perdu dans je ne sais quel lieu, avec ce seul bout de papier, et un crayon… Un crayon taillé comme une lance, une fois que j’aurai terminé cette lettre, cette lance de bois sera au fond de ma gorge, mettant alors fin au blasphème que je suis.


Je me souviens encore de ma découverte, dans les ténèbres, il y avait cette chose, une silhouette humaine et recouverte de poils, un corps musclé et noir, surmonté d’une tête allongée vers l’avant et de cornes tordues et anarchiques, tel un bouc infernal, avec dans sa main une photo de ma mère… Je n’oublierai jamais les paroles qu’il a prononcées quand il m’avait aperçu, une voix gutturale et inhumaine… « Fils »

36 commentaires:

  1. J'ai eu pas mal de difficulté à lire jusqu'au bout, tant les fautes faisaient frémir.
    L'histoire n'est pas mal, et je ne la jugerai pas. Mais je vais tout de même te donner des conseils sur ton style d'écriture; non que celui ci soit mauvais, mais plutôt que tu utilises des tournures de phrases que tu ne maitrise pas encore. Au niveau de la forme, ca va, rien à redire ;) quoique...

    Juste une chose, fait plus de phrase ! mets des points, vas y n'hésite pas, ton pc aime les points fait le jouir.
    Tu as écris : ""J’ai toujours été un enfant joyeux et très sociable, et les maux de l’adolescence ne m’ont que très peu touché, enfant modèle disait-on, quel malheur qu’il ait le nom de son père j’entendais ensuite dans mon dos. En effet mon Père avait, semble-t-il, une mauvaise réputation d’ivrogne et de fou, parfois même, certains rapprochaient son nom de famille du mot Brujo qui signifie sorcier en espagnol.""
    2 phrases, 7 virgules. Une virgule et une interruption dans la phrase. A utiliser avec sagesse et retenue ! Sinon ça coupe tout l’élan de la narration.

    Tout d'abord, incohérence dans la structure de ton récit. Tu dis dans le tout premier paragraphe que le personnage à eu une enfance qu'il a été joyeux et sociable.
    Dans ce cas, à la limite, il ne pleure pas lors du décès de sa mère, mais s'il est sociable, n'écrit pas qu'il reste tout le temps à l'écart des autres.

    Ensuite, tu dis que le personnage vivait dans une maison voisine, (à celle de sa mère c'est bien cela?) mais que, lorsqu'elle est morte, paf, la maison est à l'autre bout du village, et qu'il y a une forêt qui a poussé entre ?... Pas très cohérente ton histoire la.

    Au fait, tu ouvres une porte de bois ? ... Moi j'ouvre principalement des portes en bois.


    Ensuite, passons aux fautes de syntaxe. Mein got mein lieber man !
    "toute la structure de la bâtisse." Structure et bâtisse sont, d'après mon dictionnaire des synonymes... C'est comme dire, "wouah, quel belle mer, elle est très aquatique..."

    J'ai une question... Est tu belge ? Dans ce cas, je t'autorise à utiliser tout ces "tant" et "tantôt"... Sinon, évite les va ;).

    Tu écris ensuite "Je n’y prêtai pas attention, cela pouvait très bien être le bruit du plancher qui se mouvait lentement sous mon poids, peut-être un animal sauvage qui s’était caché là-haut."
    Si tu n'y prête pas attention, faut pas venir tenter le lecteur avec une phrase : '' mais, attention, peut être que il y a un dangereux prédateur tapis dans l'ombre !"..
    Non, fait plus simple et continue le fil de ton paragraphe... "Je n'y prêtais pas attention, des rongeurs avaient du y faire leur terrier.".

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Une erreur de dire des symboles hiéroglyphiques et asiatiques. Un symbole, c'est une représentation visuel d'une chose, d'un acte. Les hiéroglyphes et sinogrammes et autres sont en fait un alphabet. Symbolisé il y a des milliers d'années en représentant ce que les scribes voyaient, certes, mais ce ne sont pas a proprement parler des symboles.

      Concernant les Clefs et les clés. Le premier terme est tombé en désuétude par rapport au second. Mais venant de l'ancien français, les deux façons de l'écrire vient en raison de différencier le physique à l'imagé. La clé, celle de la maison qu'on mets dans la serrure, en bois ou en fer, du physique... La clef, clef d'une énigme, une chose abstraite tiré de l'imagé.

      Concernant l'utilisation de "étrange constitution" pour parler de la maison, ca ne va pas. Elle est étrangement constitué, de plaque de béton, de vitre multicolore et de pain épice... Oui...
      Si les matériaux qui la compose la rende étrange cette bâtisse. Par contre, pour la forme, tu ne peux pas dire que c'est la constitution.

      tu écris ensuite "Cette poussière faisait monter en moi une question"... Toi la poussière te fais monter des choses dans ton corps ou dans ta réflexion ? naaah, écris plutôt que "cette poussière me mena à me questionner de la sorte :..."

      Cette phrase aussi est concernée : "Je saisis les clefs, emportant malencontreusement le clou avec, et à ma grande surprise le mur était extrêmement fin, tellement que le trou ainsi créé était directement relié à la salle de l’autre côté."
      Premièrement, le temps de ton verbe ... ton "Etait", c'est mieux en "fut" ;)
      ensuite, "tellement" ne se place pas la ou tu l'a mis. Si je change le COI de la phrase, alors je pourrai dire "Je saisis les clefs, emportant malencontreusement le clou avec tellement que le trou ainsi créé était directement relié à la salle de l’autre côté, et à ma grande surprise le mur était extrêmement fin" ? non ca ne va pas.
      Au final écris un truc du genre : " Je saisis les clés emportant malencontreusement le clou avec, et que fut ma surprise lorsque je réalisa que le trou, ainsi créé, permettait de joindre directement la salle de l'autre côté."

      "Soudains je me figeai" ... Soudains je me figea ! Problème de temps ! Si c'est passé et que c'est une action courte. Tu reste pas pendant 1h figé.
      "A la vue de cette chose j’ai couru, loin, à toute vitesse" ... Ici, soit tu écris " A la vue de cette chose (VIRGULE), j'ai couru loin, à toute vitesse)...
      Sinon, "A la vue de cette chose j’eus couru loin..."

      Et pour finir... On ne peut être blasphème. Tu commets un blasphème, mais tu ne peux l'être. C'est comme dire, Je suis délit... Non, j'ai fais un délit, je suis délictuel. mais non je suis délit.

      Voili voilà voilou, en espérant que mes conseils puissent t'aider pour ta prochaine creepypasta.
      Je ne cherche pas du tout à calmer des hardeurs d'écrivain, et d'ailleurs je te félicite pour cette histoire. D'ailleurs, si je te la corrige, c'est parceque dans le fond, elle m'a plu.

      Bubidom

      Supprimer
    2. Oh God, je suis l'auteur et j'ai tous lu.
      J'ai déjà publié des pastas sur ce site, mais celle ci avait été écrite bien avant mon arrivé. Quand je n'avais pas encore,acquis asses d'expérience ^^
      Bref, je suis totalement d'accord avec tous ce que tu dit (Sauf peut-être le Blasphème parce qu'il est un Blasphème, son existence elle même est une injure à dieu, et l'histoire de "l'animal sauvage = danger" parce que moi un animal sauvage ça m'évoque absolument pas un danger, sauf si c'est une grosse bestiiole ^^)

      Satorax.

      Supprimer
    3. T'es bourré(e) de bonne volonté Bubidom, mais je dois te faire une remarque. Une seule, mais d'autres seraient nécessaires je pense.

      " "Soudains je me figeai" ... Soudains je me figea ! Problème de temps ! Si c'est passé et que c'est une action courte. Tu reste pas pendant 1h figé."

      Définitivement non. Où t'es allé chercher cette règle? La vraie règle de grammaire est la suivante: action longue, c'est l'imparfait, action courte, c'est le passé simple. Au passé simple pour un verbe du premier groupe, la première personne, c'est bien "JE ME FIGEAI". S'il y avait eu la faute que tu as dite, c'est-à dire verbe à l'imparfait suggérant action longue, ça aurait été "JE ME FIGEAIS", avec un s.

      Donc je me disais que pour sortir des trucs aussi pointus, tu savais au moins conjuguer tes verbes, mais apparemment non... Allez, je te taquine.

      Supprimer
    4. Tripoda, il n'y a pas de "s" à soudain. Bubidom, tu dis que les fautes te font "frémir". Ok, mais il y a un "s" à "tu maîtrises" (et l'accent circonflexe?!). Ensuite: "Fais plus de phrases!" Ce n'est pas un "t", à "fais", vu que c'est de l'impératif. Ensuite, "tu as écrit", ne se finit pas par un "s". Il "a eu", pas d'accent à "a" (verbe avoir). Après: "n'écris pas" ne se termine pas par un "t". Puis "Pas très cohérente, ton histoire là." Il y a un accent au mot "là". "Es-tu Belge?", pas "Est-tu..."
      Après: "Si tu n'y prêtes pas attention". Il y a un "s" (2ème personne du singulier).
      Et tu parles des symboles, en ce qui concerne les alphabets asiatiques, on parle d'idéogrammes. En Égypte, oui, on parle de hiéroglyphes. Et il y a un accent sur le à de: "à proprement parler"
      La clé qu'on MET dans la serrure. Pas "mets".
      "Elle est étrangement constituée" il y a deux "e". Et "les matériaux qui la composent". Pas "compose" (pluriel). Et "vitres multicolores", il n'y en a pas qu'une. Et "les matériaux la rendent" Pas "rende". Ensuite "la poussière te fait", pas "fais", parce que le sujet c'est la poussière. Aussi, on ne dit pas "que fut ma surprise." mais "quelle fut ma surprise." (féminin)
      "[...] j'eus couru loin?" La lourdeur de la syntaxe. Là, franchement, ce serait horrible à lire. On ne dit pas "j'ai fait un délit", mais: "j'ai commis un délit". Et "j'ai tout lu" et pas "tous". Puis: "mon arrivée", pas "mon arrivé". "Assez d'expérience" Pas "asses". Et "tout ce que tu dis", pas "dit" Et désolée, mais "figeai" au passé simple, c'est correct (action courte). Il y a confusion avec l'imparfait: figeais, qui serait effectivement à utiliser dans le cas où il resterait figé pendant longtemps. On ne dit jamais "figea", c'est n'importe quoi. Et le mot "tapi", au singulier, ne prend pas de "s".
      Ça donne de grosses aberrations que je ne mentionne pas à chaque fois dans les commentaires, sinon j'y passerais la nuit.
      Autre chose, je ne suis pas d'accord avec toi: ce n'est pas un pléonasme que de dire "la structure de la bâtisse". Parce que la structure, c'est la forme (en gros...), et la bâtisse, c'est un synonyme du mot "maison". On a le droit de décrire la forme d'une maison, il me semble...Autre chose: on peut dire "porte de bois". C'est comme dire "la porte était faite de bois", et c'est grammaticalement correct aussi...Le mot "telle" prend deux "l", pas "tele"..."Quelles remarques voudrais-tu...", pas "voudrait"..."Pour "pointer du doigt", pas "pointé"..."Ce terme vient du Moyen-Âge." Pas "viens"..."J'en prendrai compte", pas "prendrais". Il n'y a pas de "s" au futur simple, à la 1ère personne, sinon c'est du conditionnel. Et ce serait plus correct de dire "J'en tiendrai compte."

      Alors je vais rester sympa: avant de vouloir corriger les erreurs pour embêter l'auteur, on s'assure d'avoir raison...Je dis ça, c'est pas méchant hein, humour :)
      À part ça, continuez, j'adore le site...Et Tripoda, j'adore les textes que tu postes (pardon, je sais pas si je peux tutoyer...je me permets...), respect, vraiment...

      Supprimer
    5. Je cite les messages tels quels. Si mon interlocuteur met un s à "soudain", il sera dans ma citation.

      Supprimer
  2. Wow, effectivementt je ne sais pas pourquoi j'ai écris une tele faute. Ca me pique moi même les yeux. Peut être le fait de n'avoir pas trouvé le sommeil la nuit dernière et d'avoir écrit ceci à 5h du mat.
    Autant pour moi. Je ne sais pas d'ou je sors ce figea à la première personne ^^'
    Par contre, je suis tout ouï pour savoir quelles remarques voudrait tu me faire Tripoda.

    RépondreSupprimer
  3. Satorax.. Ok, dans le cas ou c'est ta tournure de phrase et ta façon d'écrire pour pointé du doigt e mot blasphème, je comprends et n'y prête pas attention alors.

    Concernant Sauvage, le terme vient du latin Sylvatica il me semble, quelque chose venant de la forêt et de non éduqué, pour faire la distinction avec ce qui est civilisé, venant des villes (& campgnes), n'oublions pas que ce terme viens du moyen âge. Sauvage revient à dire que c'est quelque chose qui n'a pas été perturbé par l'activité humaine, et donc non contrôlable par celui ci dans la limite d'aucun acte d'apprivoisement.
    Dans un contexte plus récent, Sauvage se lie aux émotions de rude, de farouche et de violence. Ce n'est pas moi qui le dit, c'est encore une fois le dico.
    Donc oui, pour moi ce qui est sauvage, c'est bien quelque chose de dangereux.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Satorax:
      Un rongeur est pourtant sauvage (troll)
      Bref voila, merci pour les conseils, même si depuis il me semble que je me suis amélioré j'en prendrais compte ^^

      Supprimer
    2. arf, ces conseils auraient été bon pour un débutant...
      Tes écritures maintenant sont très bonnes ;)

      D'ailleurs, tu t'es senti agressé par mes propos ? Parce que je vois des pépites en réponse à mes conseils. Dans le cas ou ca t'a offensé, je m'en excuse d'avance.
      J'écrivais ça sur le moment et je ne me suis pas relu.

      Supprimer
  4. Bien que j'ai apprécié cette pasta, je ne pensais pas la commenter ou plutôt commenter un commentaire..
    En premier lieu, j'en profite pour remercier l'auteur Satorax, ce n'est pas la meilleure pasta que j'ai pu lire (je parle de l'intrigue en elle-même) mais c'est plutôt bien écrit ma foi, et ce même si le texte est en effet parsemé de quelques petites fautes, sans grande importance au final et qui ne m'ont pas fait 'frémir" ;)

    Par cela, j'en viens à mon second point et je m'adresse à toi, Bubidom.

    Comme l'a souligné Tripoda, des remarques sont nécessaires. Et je suis celui qui prendra le temps de te les faire.

    Il n'aura pas échappé aux vétérans de ce blog (et même à celui encore avant ce dernier) que depuis plusieurs mois, les pastas sont particulièrement agréables à lire, le nombre de fautes ayant considérablement diminué. Cependant, quiconque s'érige en juge de l'orthographe s'il se plante lors de sa harangue s'expose à périr sous les éclats de rire des yeux avisés..et taquins..
    Je n'en dirai pas plus et je te laisse le soin d'appliquer ce travail mesquin à ton propre texte.

    Ensuite, certaines de tes critiques sont assez pertinentes et m'avaient totalement échappées, même si la plupart sont assez «lourdingues» trop pointilleuses.. voire à mon sens incorrectes.

    Je pense à ta remarque sur structure et bâtisse par exemple; j’avoue que pour le coup, j'ai la flemme de sortir le dico mais je pense pouvoir me fier à mon flair sans paraître trop ridicule et dire que ça ne me choque absolument pas, la structure c'est à mon sens l'agencement, on dira même je pense «ce qui fait le» le squelette en quelque sorte, alors que la bâtisse c'est le bâtiment en lui-même..

    Pareil avec clef/clé tu chipotes un peu.. de même avec«étrange constitution», et «Cette poussière faisait monter en moi une question», c'est maladroit on est d'accord, mais c'est une image assez intéressante à se figurer je trouve, il inspire cette poussière qui se faufile jusqu'à son esprit..je m'égare sans doute un peu..mais il n'empêche que trouve qu'il ne convient pas de reprendre un auteur sur les images qu'il utilise et qui dépoussièrent, pardon du peu, les expressions qu'on nous sert à toutes les sauces en dépit du fait, dirait Desnos «qu'elles sont cuites !»

    Ma remarque suivante fera écho à ma première, «monsieur le donneur de leçons fausses» !
    Je te cite :
    [«et à ma grande surprise le mur était extrêmement fin,(...)relié à la salle de l'autre côté»
    Premièrement, le temps de ton verbe … ton «Etait», c'est mieux en «fut»;) ]

    Non, son «était» est fondamentalement correct, il ne convenait pas de mettre du passé simple ici comme l'a expliqué Tripoda, et laisse moi te dispenser d'un conseil supplémentaire, les verbes du 1er groupe au passé simple et ce à la première personne du singulier ne se terminent JAMAIS en a mais en AI.

    De même, j'avais promis de te laisser le soin de faire ton auto-critique mais puisque tu reprends le texte de l'auteur pour dire des bêtises, je vais moi même te reprendre pour la deuxième et dernière fois, je cite :
    «Au final écris un truc du genre : « Je saisis les clés emportant malencontreusement le clou avec, et que fut ma surprise lorsque je réalisa que le trou(...) de l'autre côté»

    En passant, «réalisa» mais bon tu connais la règle maintenant.. donc passons.
    Que fut ma surprise, ça n'existe pas, tu as le choix entre [quelle fut], [quelle a été] ou [quelle ne fut pas] ou [quelle n'a pas été].
    Tu noteras que j'ai la délicatesse de ne pas te renvoyer en pleine figure tes mots adressés à l'auteur, «mais plutôt que tu utilises des tournures de phrases que tu ne maitriseS pas encore»

    ps: puisque les grands esprit se rencontrent, et que je poste presqu'au même moment que toi, j'en profite pour faire mon chieur une dernière fois et te dire que l'on dit "au temps pour moi" ^^'

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Maîtrises, accent circonflexe...Ah, et on écrit surtout "autant pour moi", en fait, même si les deux orthographes sont acceptées :)
      Peace, et pardon d'avoir fait ma chieuse, plus haut, mais j'ai du mal quand il y en a qui veulent corriger alors qu'eux-mêmes font des fautes. Ça nous arrive à tous. Enfin, certains beaucoup moins que d'autres lol (Et oui, on peut avoir eu 20 de moyenne en dictée pendant toute sa scolarité...) Alors, Bubidom, le prends pas mal, varient, mais tu vois l'effet que ça fait, quand tu essaies d'enlever la paille chez ton voisin alors que tu ne vois pas la poutre chez toi :)
      Peace tout le monde...

      Supprimer
    2. J'avais écrit "vraiment", pas "varient", le correcteur de mon iPad, je le déteste lol

      Supprimer
  5. Un rongeur peut t'attaquer ;)
    Il y a de ça quelques années, j'étais parti en Guyane pour x raisons ,et j'y ai vu des rongeurs que je n'avais jamais vu au par avant, des Paca.
    Un gros rongeur de 60 cm voir plus, et qui tape bien les 6 ou 7 kg.
    Un ami m'avait conseillé de ne pas s'approcher des femelles qui s'occupe de leurs enfants.
    Elles sautent à la gorge et ne relâche plus leurs emprises. J'ai vu les cicatrices d'un homme, je peux te dire que je ne vois plus la famille des rongeurs de la même façon ^^'

    Il est vrai. J'ai déjà lu d'autres de tes creepypasta me semble t-il. Et je n'y ai rien trouvé à redire. Tu t'es vraiment amélioré et je t'en félicite ;)

    Encore une fois, je n'ai jugé l’œuvre de ton travail qu'avec respect et objectivité.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Qui "s'occupent", vu que tu emploies le pluriel..."Elles ne relâchent", idem...Aussi, creepypastas, si c'est au pluriel...

      Supprimer
  6. Je trouve ta critique assez étroite. Je ne me juge pas comme le haut saint connaissant tout à la grammaire française, mais je donne des conseils. A bon les suivre où non.

    Il est vrai que j'ai merdé au niveau des réalisai et réalisa... 5 heures du mat, sachant que je passe actuellement des partiels. Mais bon, aucune excuse n'est valable en ce sens où la conjugaison est une base.

    Par contre, je vais me défendre sur certains points.
    Comme l'auteur l'a clairement exprimé, lors de son écriture, il y a deçà quelques temps, il manquait d'expérience mais ce qui s'est arrangé vis à vis de ces autres écritures.
    Donc si j'ai l'avis même de l'auteur pour ceci, je me permets de dire que j'ai quelque part raison.
    Mes remarques sur son style d'écriture et les erreurs qui semaient son texte étaient justifiées.

    Au niveau du forum, comme tu dis. ll y a une chose qui m'agace assez.
    Lorsqu'une creepypasta se veut d'être écrite comme un roman, elle se doit d'être parfaite. Ecrite, lue et rectifiée par autrui avant d'être postée. Hors, parfois, ce n'est pas le cas.
    Ensuite, lorsqu'il y a des creepypasta du genre "les echanges sur un forum entre participants" publié par Tripoda, tout le monde est venu le blâmé pour les fautes. Hors, c'est le style de texte qui le veut.

    Si mes critiques sont assez lourdingues et trop pointilleuse, alors je t'en prie. Ne te lance jamais dans l'écriture d'un vrai texte, d'un essai ou d'un livre. Je cotoie ce milieu, et moi je trouve déjà lourdingue ce monde où les vieux sont remplis d'affections sur certaines structures et tournures de phrases que d'autres...

    Revenons à structure et bâtisse... Comme je l'ai dis, j'ai fais un parallèle avec mer et aqua.
    La mer est de composition aquatique...
    "En architecture-construction, l'ossature est l'autre nom donné à la structure porteuse d'un vaisseau ou d'un édifice (la bâtisse)."
    La bâtisse est donc composé de la structure porteuse. La structure porteuse compose donc la bâtisse.

    S'en suit donc de : clef et de clé. Je ne l'ai pas lynché pour l'utilisation de clef au lieu de clé. Et de plus, c'est pour lui que je lui fais la remarque.
    Maintenant petit exercice pour la route.
    Dans un monde qui se connecte, ou toutes les informations parcours des milliers de kilomètres en quelques secondes, allons voir ce que donne mon exemple de Clé et de Clef à l'étranger.
    En anglais :
    Clé-adjectif
    _ key : clé, essentiel
    Clé-nom
    _ key : clé, clef, légende
    _ wrench : clé, déchirement, mouvement violent de torsion, clef en croix, torsion

    Le premier sens qui ressort pour un anglo-phone (ma femme est américaine, c'est elle même qui fonde mon propos) un sens d'objet. Comme une clé de mécanos.

    Clef-nom :
    key clé, clef, solution, légende
    clef clef, clé

    Clef-adjectif :
    pivotal pivot, central, essentiel, crucial, clef, vital

    Celle ci est, me semble t-il, plus porté sur quelque chose de non physique.

    Je plussoie que constitution, de son latin Cum statuer, signifie fixer quelque chose, l'établir.
    Cela ne se présente pas sous une forme particulière. La constitution de quelque chose n'est pas ce qui rend visuellement quelque chose d'étrange.
    D'étrange constitution marcherai dans le cas ou, des scientifiques trouvent qu'un arbre est étrangement constitué...

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. "Tout le monde est venu le blâmer", pas "blâmé". Il y a un "s" à pointilleuses, dans ta phrase..."La bâtisse est composée" pas "composé". "Les informations parcourent" pas "parcourt"..."Anglophone", pas "Anglo-phone". Aussi, tu oublies systématiquement les traits d'union. Elle-même, par exemple, ou celle-ci."Une clé de mécano" sans "s"
      Puis, "celle-ci est [...] portée": c'est féminin...
      Enfin, "d'étrange constitution", marcherait (conditionnel...)
      Pour finir : "dans le cas où" il y a un accent...
      J'ai laissé un commentaire plus haut :)
      Peace...

      Supprimer
  7. Dans son récit, à ce moment précis, et excusé moi si je me trompe, il est bien entrain de décrire la pièce où il se trouve. La constitution de quelques choses ne rends par la chose étrange visuellement.
    Mais bon, je ne suis qu'un homme, et qui en plus fais des fautes de conjugaison comme le font si bien remarqué nos confrères de creepypasta from the crypt.
    Demandons à notre ami google ! Hop, je tape "d'une Constitution étrange", et magie ! Que vois-je ? Aucun résultat pour cette expression...
    On me corrige, Etrange composition... Ah mais bon, soit... peut être je suis trop exigeant ?
    Bref, je n'ai pas tort en tout cas.

    Comme tu le dis, le coup de la poussière est maladroit. Point. Pas la peine de trouver de faux semblants disant que oui peut être que dans ce sens blabla..
    Non c'est mal tourné, et je lui ai fais remarqué.

    Je persiste sur le "fut". L'utilisation de "fut" à
    Je pense que la différence est que 'fut utilisée' (passé simple + adjectif) est utilisé à l'écrit soutenu ou littéraire, et 'était utilisée' (imparfait + adjectif) est utilisé quand on parle ou à l'écrit familier/ moderne.
    Mais souvenons nous, l'histoire se passe quand ? 1920 ... donc l'utilisation du passé simple + adjectif est à utiliser dans le déroulement de l'histoire...

    Effectivement, pour le verbe, j'assume... j'ai fais une bourde... Je n'avais pas l'esprit clair en écrivant ma remarque. Mais pour le reste, j'ai juste envie de dire voila!


    PUIS, le meilleur pour la fin... J'apprecie au plus haut point ta remarque sur "Autant pour moi"...
    ah que je l'aime celle ci !
    Au temps pour moi ou, autant pour moi sont deux expressions valables en français. Autant pour moi, la plus ancienne des deux en est d'ailleurs la préféré de l'académie française car celle ci coïncide avec leurs premiers écrit dans le milieu du 17ème siecle...
    Autant pour moi revenait à dire de ne pas blâmer quelqu'un de sa bêtise, car il en ferait de même si les autres feront la même. Je ne sais plus dans quel roman vénitien ais-je lu une phrase du genre : "Que la politesse de ce gente sieur fut l'un des plus cocu, et d'autant pour moi, je n'ai pu résister à sa belle".

    Aux temps pour moi à été utilisé, d'après les légendes, par le premier empereur français, Napoléon Bonaparte. Il se dit qu'après une erreur tactique dans une bataille qu'il a finalement remporté, dit auprès de certains de ses conseillés militaires, "Aux temps pour moi, je ne referai plus cette sot idée". On entend donc par la, S'il était possible de revenir dans le passé, ou plutôt, si l'on m'avait accorder plus de temps, je n'aurai pas fais cette erreur.

    Voila. D'autre chose à dire ?

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. "Excusez-moi", pas "Excusé moi". "Il est en train" pas "entrain". "La constitution de quelque chose...", pas "quelques". "Ne rend pas", pas "rends"..."Comme le font remarquer...", pas "remarqué". Idem pour "je lui ai fait remarquer" (-er...).
      J'ai fait la même remarque, pour l'expression "autant pour moi", car les deux orthographes sont admises. Et tout ça, je n'ai pas besoin d'aller sur Google pour le savoir...
      "La préférée de l'Académie Française" (pas préféré...). Leurs premiers écrits. Avec un "s". "Il en ferait de même si les autres feront la même" La concordance des temps? On dit "Il en ferait de même si les autres FAISAIENT la même." "Ais-je lu?" Non..."Ai-je lu." "L'un des plus cocus..." Avec un "s".
      "Ses conseillers militaires", pas "conseillés" lol
      "Cette sotte idée", pas "sot"...
      "Si l'on m'avait ACCORDÉ", pas "accorder". Et "je n'aurais pas fait cette erreur", pas "aurai" (c'est du conditionnel, pas du futur...)
      "D'autres choses à dire?" Sinon, si c'est singulier il ne faut pas mettre le "d apostrophe" mais "Autre chose à dire?"
      La morale: quand on corrige les autres, c'est qu'on ne fait pas de fautes soi-même...
      (Bah oui, désolée, mais c'est un fait: je ne fais pas de fautes et ça a toujours été ainsi...Je jure que ce n'est pas pour me la raconter...)
      Mais au moins, je n'essaie pas de casser les auteurs de creepypastas en remettant en question leur style ou la syntaxe de telle ou telle phrase...L'auteur devrait pouvoir formuler et rédiger comme il le souhaite. Je trouve que c'est le minimum en matière de respect...
      Peace, sincèrement...

      Supprimer
  8. J'ai beaucoup de choses à dire en effet..

    Commençons par le meilleur comme tu dis..J'ai regretté ma remarque, je la trouvais déplacée..inutile de préciser que j'ai changé d'avis.
    Soit, qu'il soit fait selon ta volonté; qu'on en appelle aux gardiens de la langue, aux académiciens, aux Immortels !

    "Il est impossible de savoir précisément quand et comment est apparue l’expression familière au temps pour moi, issue du langage militaire, dans laquelle au temps ! se dit pour commander la reprise d’un mouvement depuis le début (au temps pour les crosses, etc.). De ce sens de C’est à reprendre, on a pu glisser à l’emploi figuré. On dit Au temps pour moi pour admettre son erreur – et concéder que l’on va reprendre ou reconsidérer les choses depuis leur début.

    L’origine de cette expression n’étant plus comprise, la graphie Autant pour moi est courante aujourd’hui, mais rien ne la justifie."

    A présent que la vérité a été assise par les sages, reprenons notre débat infertile et ayant commencé par ta fin et je continuerai par ton début.

    L'heure n'est pas une excuse recevable à mes yeux, bien au contraire. Tu as entrepris de lancer une critique sur la place publique. La sagesse aurait voulu que tu sois pleinement en forme lorsque tu t'attaques à un travail aussi sensible que l'écriture .

    Cependant ton raisonnement est vraisemblablement, et même à tête reposée, tout aussi inepte à mes yeux..l'auteur, intimidé par le ton, l'arrogance de ta critique, a eu la faiblesse de te faire cette concession. Cependant, il a trouvé juste de devoir te reprendre sur certains points avec une sagesse et une sensibilité qui lui font honneur et qui laissent mon estime sauve pour lui malgré son aisance à abandonner un style d’écriture qui a été le sien et l'est toujours sous une autre forme.

    En ce qui concerne le forum, pour avoir été l'un des tout premiers membres, et à ce jour encore quand bien même mes visites se font plus que rares ces temps ci..
    La volonté première de ce forum était de soumettre les pastas à un vote avant de pouvoir être publiées sur le site..si ça a changé je ne suis pas au courant..néanmoins pour te reprendre, les auteurs n'ont jamais eu la prétention ni le temps surtout je crois d'avoir la qualité et la longueur du roman..Ils visent sauf erreur de ma part à revisiter la nouvelle sous de traits de légende urbaine.

    Eh bien, ne souhaite pas pour moi de ne pas écrire ! Souhaite pour toi même chambouler ces normes, toi qui côtoies ce milieu, sois notre Raymond Queneau notre Charles Perrault et ainsi je pourrai écrire librement tout en pouvant me décider un jour à me faire publier et ainsi recevoir les critiques d'hommes sages et amoureux de la nouveauté !

    En ce qui concerne bâtisse et structure, je vois que ma mémoire ne m'a pas trompé, pour reprendre cette définition ne peut-on pas, selon toi, parler de l'Ossature du Vaisseau? La structure est dans la Bâtisse, la structure la compose et pour toi donc on peut ne pas parler de «Structure de la Bâtisse»?

    En ce qui concerne clef/clé et étrange constitution, je ne t'ai pas donné tort mon cher, j'ai simplement dit que tu chipotais et surtout pour le coup de clé/clef..de même que moi avec «Au temps pour moi» mais j’espérais que tu comprendrais que cela faisait écho à ton coup de clé/clef

    Cependant, étrange constitution, je reconnais que l'on peut y voir(lorsqu'on chipote VACHEMENT ^^') une anomalie dérangeante à laquelle tu as été plus sensible que moi et bien ma foi c'est ce qui fait mon bonheur des lectures partagées.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Concernant la poussière cependant je reste sur mes positions, c'est maladroit certes mais l'on parvient et sans extrapoler je suis désolé à se, figurer, je disais je crois, la chose.. au point que j'ai toussé lorsque j'ai lu(simple coïncidence ?je ne crois pas..) C'est nouveau, c'est frais et j'aime même si c'est mal dit. L'importante et je ne pense que tu ne reprendras c'est que l'on perçoit parfaitement bien les sensations de personnage.

      Enfin et pour finir, il y a un malentendu au sujet de fut/était. Je m'explique.
      Je pensais que lorsque tu citais:
      «Je saisis les clefs, emportant malencontreusement le clou avec, et à ma grande surprise le mur était extrêmement fin, tellement que le trou ainsi créé était directement relié à la salle de l’autre côté."

      Tu parlais de transformer le premier «était» et non pas le second qui lui en effet pouvait exiger qu'on le transforme par un passé simple ! Je suis désolé, c'est ma grande faute mais j'insiste sur le «pouvait» les deux restent possibles malgré l'époque où se déroule l'action même si encore une fois ça n'est pas ce que je visais en premier lieu alors je me la ferme et te demande pardon pour cette bourde ^^'

      Supprimer
  9. Certes, tu peux penser de moi ce que tu souhaites, il n'empêche que je vois en toi une redondance absolu concernant ton second commentaire.

    Bref, Concernant Aux temps pour moi, je vois que tu apprécies Wikipédia :)
    C'est bien de se faire une idée de la sorte, mais bon, ouvre un petit peu des livres et tu pourra voir que ce qu'il y a sur internet n'est pas forcement ce que tu peux trouver dans les livres.

    Ensuite... attend, je cherche la force de répondre à ce que tu écris...

    Attend...

    Ayé, je me suis concentré chez onizuka sensei ! Enfin, aussi connu sous le nom de"monsieur qui est la depuis le début du forum ce qui le rend inévitablement intouchable et doué d'une inspiration à toute épreuve, dont la sagesse équivaut à milles savant d'aujourd'hui."

    Concernant l'heure de mes travaux, le jour ou, tu pourra cumuler 3 activités à plein temps en même temps, on en reparlera. Je sais pas, comme par exemple un travail de 35h, des cours de doctorat en fac, et ma foi, avoir une entreprise à côté. Ô loin le fait que je m'en vante. Je m'en fou pas mal d'ailleurs je n'ai rien à prouver à quiconque, mais l'on ne peut critiquer l'état d'esprit et physique d'une personne sans la connaitre vraiment. (D'ailleurs en parlant de ca, je coquette actuellement sur un petit récit d'une centaine de page, :p).
    D'ailleurs, si tu avais un tant soit peu fais attention à mes propos, j'ai annoncé directement que l'heure et mon état n'était pas une excuse valable. Mais non, Monsieur semble bien trop occupé à préparer ses répliques pour une querelles sans queue ni tête.

    L'auteur m'a effectivement dit qu'il prenait note de mes conseils. Ce qui semble être l'utilité d'avoir un point de vue critique. Mais comme il l'a souligné, cette creepy date d'il y a longtemps. Ayant lu ses autres récits, je lui ai dis que je trouvais qu'il s'était améliorer. Et que mes conseils n'aurait concerné qu'un débutant en la matière
    Chose que tu n'as pas du voir, dans ta rage millénaire.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. "Redondance absolue": féminin
      "Tu pourras", pas "pourra"
      "Attends", pas "attend"
      Mille ne prend pas de "s", savant, si, par contre..."je m'en fous" , à moins que tu ne soies "fou" lol..."une centaine de pages", avec un "s", sinon ton œuvre sera courte..."si tu avais fait attention", pas "fais". "L'heure et mon état n'étaient..." pas "était"
      "Une querelle", sans "s"
      "Je lui ai dit", pas "dis". "Qu'il s'était amélioré", pas "améliorer". "Mes conseils n'auraient", pas "aurait". Pardon mais j'ai la phobie des fautes d'orthographe. Par contre, je ne corrige que ceux qui se permettent de corriger les autres alors qu'ils ne font pas mieux. Non, je n'ai eu besoin ni de google, ni de wiki...Et oui, on peut passer sa scolarité entière à avoir une moyenne de 20 en orthographe...
      Encore une fois, peace and love :)

      Supprimer
  10. Concernant le fonctionnement du site, je crois que tu m'as, encore une fois, mal compris.
    Je ne sais pas si il y a un vote pour publier une pasta... et je demande encore moins que les auteurs des pasta soient parfait en écrivant un roman de 200 pages...
    J'ai juste précisé que les creepy, en publiant, attendes un retour des lecteurs. Sinon à quoi bon l'écrire si elle n'est pas lue ? Un auteur se doit d'apprendre auprès des remarques des autres. C'est ce qu'on appelle se confronter à la critique pour s'améliorer... Chose que tu me semble, peu connaître.
    Et que, de plus, comme toi même tu l'as dit, les auteurs publient sur ce site pour s'exhiber sur la place publique... Qu'ils recoivent de bon ou mauvais commentaires, ils s'en sont préparer.Et également, tu ne réponds à cette creepy que parceque je l'ai commenté.
    Donc ce n'est pas réellement participer activement à un blog... Oh, mais où sommes nous ? sur un blog....
    Mais bon, si tu veux qu'on ai tous ta vision de pensé et qu'on ne critique pas les auteurs... Alors je leurs souhaites bonne chance pour trouver de la motivation.

    Pour ce qui est de la poussière, comme tu dis... C'est ton ressenti, un point de vue.
    Tu ne partages pas le miens ? alors critique l'auteur (en positif, si si c'est possible) en disant que non, toi tu trouves que la poussière c'était vachement bien fait..
    Moi perso, je tousse pas en lisant le mot poussière. Et cela n'a pas été le fruit de ma réflexion.
    Mais, la poussière te monte dans le nez... Imagé ceci dans l'esprit comme quelque chose qui vient titiller le questionnement du personnage, est un bon raisonnement, pourquoi pas...
    Mais c'est les mots utilisés et la forme de la phrase que je trouvais dérangeant.
    Il aurait pu avec les mêmes termes tourner la phrase d'une autre façon, à laquelle j'aurai peut être adhérer.

    Et ouep, concernant le fut, c'était effectivement le premier a cause des virgules. Cette interuption dans le milieu de la phrase, je pensais mettre en corelation deux temps, plutôt que rester tout aux même temps, histoire de donner de la nuance et du punch a la phrase ;)

    Au plaisir de te lire

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. "Parfaits", vu que tu emploies le pluriel
      "Attendent", pas "attende"..."tu me sembles", pas "semble"
      "Ils s'y sont préparés", pas "Ils s'en sont préparer"
      "Je l'ai commentée (la creepy)", terminaison au féminin
      "Si tu veux qu'on ai tous ta vision de pensé" Sérieux? Ça pique les yeux, là...on dit "ta façon de penser", ou "ta vision des choses". "Qu'on ait" prend un "t", et dans ce contexte, s'il était correct, pensée prend deux "e"..."je leur souhaite bonne chance", pas de "s" à leur.
      "Le mien" par contre, ne prend pas de "s"
      "Imager", je ne pense pas que ça existe. Mais j'ai un doute lol
      "dérangeants", vu que tu l'emploies au pluriel ("les mots et la forme de phrase")
      "j'aurais adhéré", pas "adhérer"
      Et "corrélation" prend deux "r"
      Je pense que Onisuka-san voulait juste dire que quand on veut corriger les autres, il faut éviter de faire des erreurs grossières soi-même, c'est tout. Surtout en doctorat...
      Et non, ce n'est pas pour te soûler, promis :)

      Supprimer
  11. Ah ba si ça concerne seulement le second commentaire, ça va alors ^^'

    En ce qui concerne Wikipédia et d'ailleurs Wikimédia plus globalement, je suis moi aussi un grand amoureux des livres, trop sans doute..au point d'avoir méprisé son contenu avec un dédain scandaleux dont j'ai honte aujourd’hui. Dont j'ai honte parce que à dire vrai j'ai trouvé des énormités bien plus souvent dans des livres que sur Wikipédia..enfin je défends Wikipédia et non ma personne à travers lui puisque ma source vient du site officiel des académiciens..Sauf erreur de ma part et dans le cas malheureux où des pirates fanatiques de l'orthographie «Autant pour moi» n'auraient sévi, je pense que l'on peut se fier à ce site et qu'il me paraît particulièrement prétentieux de me reprocher cela.

    C'est d'ailleurs de prétention que tu m'accuses..s'il te plaît de faire évoluer mon «blaze» en sensei, je ne suis personnellement pas contre mais j'en tirerai sans doute un orgueil qui ferait me détester, aussi je resterai quant à moi sur le -san ^^'
    J'ai le sentiment tout comme toi d'avoir moi aussi été mal compris..Tu parlais du fonctionnement actuel et global du forum, je t'ai simplement répondu selon la connaissance que j'en ai ou d'ailleurs plutôt que j'en avais. Je suis désolé s'il t'a semblé dans mes mots que je tirais une place d'intouchable..parce que ce n'est absolument pas le cas, et si cela était vrai, je serais d'une connerie stupéfiante.

    Je suis véritablement admiratif de tes activités, mais n'en suis pas surpris. J'ai de suite compris que tu étais une personne d'analyse, qui aime les choses concrètes. Je suis en parallèle un brouillon, je crois. Une insulte au labeur(et aux mots que suscitent son étymologie!) Le mot glandeur me paraît un peu fort alors je suis le Vishnou contemporain, qui endormi sur l'océan..rêve..

    Seulement, tu conviendras de dire qu'il n'est pas juste de s’élancer dans la critique si les conditions physiques et mentales ne sont pas réunies, quand bien même cette critique encense l'auteur(tu es gentil mais je connais la définition de la critique ^^') parce que l'écriture est un travail sensible dans lequel l'auteur offre sa sensibilité, il convient alors de lui rendre la pareille, et je suis sûr que c'est ton avis puisque toi même tu écris ou ton esprit d'analyse l'aura t-il emporté sur toute forme de sensibilité en toi !?
    J'ai été particulièrement attentif à tes deux réponses concernant l'heure à laquelle tu as écris et les deux fois tu donnes des semblants d'excuses, encore une fois ici tu te justifies d'avoir une montagne d'activités. Voilà comme j'ai ressenti le truc, puisque tu apprécies les images.

    [Michel a triché à son examen. Il s'explique devant le principal :

    -Monsieur ! Je reconnais parfaitement que tricher c'est mal..mais, n'est ce pas que je n'ai pas beaucoup dormi cette semaine et n'ai pas eu le temps de réviser, mais oui je suis fautif Monsieur..Fautif de quoi !? Mon chien est décédé cette semaine, Monsieur..Mais tricher c'est mal et ça n'est pas une excuse recevable..
    Il sort un singe en peluche
    Regardez le petit singe, regardez le petit singe!
    Michel sanglote ]
    Ca, ça va t'énerver, ça ! Mais, vulgairement je t'assure que je l'ai ressenti comme ça et pour finir sur ça, aussi débordé que tu sois tu me feras pas croire que t'as pas un moment dans la journée(semaine/mois pourquoi pas, soyons fous) où tu décompresses parce que je te le dis tout net, je ne te connais pas, mais dans le cas contraire et pardonne donc doublement cette familiarité, tu vas finir par péter un plomb coco.

    Donc, voilà, ne t'en déplaise, j'ai fait attention à chaque mot que tu as utilisés, en tout cas avant d'être pris par ce que tu sembles croire être une rage millénaire ^^'

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Pour reprendre la question sur le fonctionnement du forum et pour t'expliquer le truc brièvement.
      Avant la création du forum, les lecteurs, n'avaient pas leur mot à dire sur les publications des pastas. Fatigué des remarques de certains lecteurs sur la qualité des pastas publiées sur ce blog, Rob Nukem a décidé d'ouvrir un forum il y a à peu près deux ans je crois, pour soumettre toutes les pastas à un vote, les lecteurs assidus en ont été ravis.
      Et je faisais parti de ces lecteurs, donc non il n'est pas juste de me dire que je ne connais pas ce qui semblait à mes yeux évident et qui l'est encore aujourd’hui, qu'il faut que le travail des auteurs soit confronté à la critique.
      Alors, oui, je suis d'accord pour dire que je suis devenu un très mauvais lecteur puisque je ne critique plus que rarement les pastas que je lis pourtant, et ca n'est pas d'une honnêteté flamboyante je te le concède cependant si j'ai jugé bon de devoir intervenir ici c'est parce que tu reprochais(et puisque tu y es sensible pardonne moi d'y faire encore allusion, j'ai bien compris l'heure à laquelle tu as écris, et que tu te le reprochais(mais non pas sans oublier de te justifier!) s'il faut que je le précise à chaque fois, je le ferais) plusieurs fautes à l'auteur alors que ton texte n'en était pas exempt et que certaines de tes remarques me paraissaient incorrectes comme je l'ai déjà expliqué et que malgré cela, l'auteur a presque trop faibli devant toi et n'a senti qu'un faible mordant pour défendre une part de ce qui est inhérent à lui et ce, qu'il le veuille ou non.
      Un bon auteur, c'est celui qui accepte la critique parce qu'il s'y expose inéluctablement et reconnait ses erreurs mais jamais il ne doit baisser la tête selon moi, une critique doit donner lieu à un débat et ça n'a pas été le cas ici parce que tu as selon moi écrasé l'auteur. Il a faibli devant la dureté de tes mots, et c'est la raison pour laquelle je suis intervenu. Appelle moi Zoro(je blague)

      Encore une fois, ton esprit d'analyse! Je serais particulièrement étonné d'apprendre que tu aies été un Littéraire toi, je sens en toi le Scientifique acharné, 1er degré..amoureux des lettres mais à sa manière, appliquant des théories pour écrire bien! Si tu pouvais me contredire cela me comblerait de bonheur peut-être pas, mais m'allégerait d'un soulagement certain!
      Mais puisqu'il est un besoin de préciser que je blaguais lorsque je disais avoir tousser..soit, c'était une petite blague!
      d'ailleurs je te reprends, je n'ai pas dit qu'en lisant le mot même j'ai toussé, mais je parlais de l'ensemble du texte, l'atmosphère, la blague en est bien moins drôle si tu fixes seulement le mot.. c'est pour cette raison que tu n'as pas senti le ton décalé sûrement..

      Supprimer
    2. Enfin pour finir avec le fut/était, alors qu'on soit bien d'accord, je ne m'étais pas trompé finalement ? Si tel est le cas mon cher ami, je reprends mon raisonnement, le fut ne convient pas, on est dans de la description, mais je viens de comprendre ce qui a pu faire naître en toi cette envie de punch que je commence a partager à demi part je te l'avoues, c'est le «à ma grande surprise» qui pose le doute et au final je pense que le passé simple n'est pas une si mauvaise idée, quoique je lui préfère l'imparfait parce qu'on reste tout de même dans de la description, ça n'est pas simple puisque le narrateur est personnage qui accomplit l'action et qui la décrit..mais on doit rester dans la description je crois même s'il est tentant de s'aventurer à mettre du passé simple un peu partout puisque c'est le pdv du personnage et que partout où il pose son regard tout est nouveau pour lui, cet «environnement» lui étant inconnu, mais après encore une fois je dis pourquoi pas

      Mais, cela ne devrait pas te surprendre, j'ai dit lors de ma toute première intervention que j'avais été capable de relever dans tes remarques plusieurs points pertinents, mais tu n'y as sans doute pas fait attention, et toc;)

      Enfin, je propose de mettre un terme à ce débat, après m'avoir répondu bien sûr(donc n'en profite pas pour me tacler hein ^^') qui comme je l'avais annoncé serait infertile quoi qu’amusant peut-être, et en cela tu m'as rejoins ou plutôt pour dire que mes remarques étaient sans queue ni tête ! M'enfin c'est déjà ½ et c'est bien suffisant.
      Je te souhaite beaucoup de succès pour ton récit, au plaisir de te lire qui sait ^^', et peut-être à bientôt sur une autre pasta.

      Supprimer
  12. Satoraw, Auteur:
    Oula, y à de l'activité ici. ^^

    "arf, ces conseils auraient été bon pour un débutant...
    Tes écritures maintenant sont très bonnes ;)

    D'ailleurs, tu t'es senti agressé par mes propos ? Parce que je vois des pépites en réponse à mes conseils. Dans le cas ou ca t'a offensé, je m'en excuse d'avance.
    J'écrivais ça sur le moment et je ne me suis pas relu. "

    Non, non je ne suis absolument pas offensé, je suis habitué à la critique et en général je les prends bien ^^
    Bye,

    RépondreSupprimer
  13. Je suis d'humeur cruelle; j'aurais presque envie de supprimer tout votre roman en pensant au temps que ça a dû vous prendre.

    RépondreSupprimer
  14. Arf, mais nous sommes entrain de clore nos romans onizuka-san et moi donc l'heure n'est plus à la cruauté Tripoda ;).
    En tout cas, ça aura permis de donner un peu de vie à ce blog pour quelques jours !

    Après Onizuka, il est vrai.. La tournure de ma critique a peut être été un peu trop vif et aurait pu agresser l'auteur. Ne m'en déplaise que ce ne soit pas le cas. Et dorénavant je ferais plus attention à mes propos et me relirais.

    D'ailleurs tu as raison sur un point, je ne suis effectivement pas un littéraire. Mais pas non plus scientifique. J'ai fais des études en commerce, suivi d'une spécialisation dans les langues étrangères.
    Et effectivement, j'ai ma propre appréciation du domaine littéraire, en réalité créé vis à vis de la rigueur qui m'a été demandé pour exceller dans les langues étrangères. (D'ailleurs, sur le fait que je ne pète pas les plombs.. Je suis juste un fana du travail. J'aime travailler ce qui me permet d'exprimer mes idées).

    Bon à bientôt sur une autre creepy qui ne m'aura pas convaincu :)

    RépondreSupprimer
  15. Bonne creepy mais il manque un peu de frayeur

    RépondreSupprimer
  16. Je suis ton pèreeeeeuh.... Ok je sors !

    RépondreSupprimer
  17. Ce que j'ai trouver génial, c'est qu'en arrivant en bas de la page, le débat en entre Bubidom et Onizuka-san était devenu plus captivant que la pasta. J'avais complètement oublier qu'il y avait une histoire avant tout ces méandres de phrases! Sinon, je veux pas faire mon chieur, mais j'avou avoir eu une angine pendant 2 semaines tellement l'expression sur la poussière a marchée sur moi. Je déconne bien sur,il n'empèche que j'ai aussi compris l'intention que voulais faire passer l'auteur, sans etre géner par l'expression en elle même.

    RépondreSupprimer
  18. C'est la foire aux commentaires de 30 lignes et aux grammares nazis sinon trés bonne pasta dans la forme comme dans le fond.

    RépondreSupprimer