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lundi 5 mai 2014

Jeu dangereux


Il s’appelait Nicolas James Dassart, il était né le jeudi 23 septembre 1976 et  décédé le mardi 10 novembre 2009 à l’âge de 33 ans.         

        
C’est tout ce que je savais sur ce type. Notre but était d’être le premier à trouver sa tombe. Je sais, c’est stupide et irrespectueux comme "jeu" et j’en assume entièrement les conséquences. Pourtant, Jeremy et moi le trouvions à la fois angoissant, ce qui est dû à la séparation dans un cimetière à une heure tardive, et existant. Tous ceux ayant vu un quelconque film d’horreur penseront à la scène qui les a fait frissonner de la tête aux pieds pendant une balade nocturne dans un cimetière. L’endroit ultra-classique des phénomènes paranormaux.        

        
Nous sortions d’un anniversaire lorsque cette idée m’avait effleuré. Je ne vous cache pas qu’à ce moment-là nous n’étions pas dans un état des plus clean. Jeremy devait passer la nuit chez moi parce que personne ne pouvait le ramener. Je lui avais donc proposé de dormir à la maison. Pour rentrer chez moi, on est obligé de longer le mur d’un cimetière et c’était là que ce fameux "jeu" m’était venu à l’esprit. C’est moi, moi seul, qui ai proposé cette sorte de course puérile. Jeremy, lui, était très impatient de commencer la partie. Je nous ai donc mis au défi de chercher un homme ayant perdu la vie à l’âge de 33 ans. Pourquoi 33 ans ? Je n’en ai aucune idée. La première personne à trouver ce qu’on devait rechercher devrait crier haut et fort "Trouvé !" et remporter la partie. Nous avons donc débuté.

        
Au départ nous courions partout, on ne voyait pas grand-chose étant donné l’obscurité et la légère brume qui recouvraient l’espace du cimetière. Nous hurlions à chaque craquement de branche pour ensuite nous rendre compte que nous étions les seuls responsables de ce bruit. J’ai alors commencé à lire les inscriptions sur toutes les tombes. Au bout d'un certain moment, nous nous sommes retrouvés tous les deux afin de chercher ensemble, mais sans succès. Nous n'avions trouvé personne mort à l’âge de 33 ans. Au final, nous sommes rentrés à la maison.        

        
Le lendemain matin, je me souviens avoir eu un horrible mal de crâne. Je me suis donc dit que c'était à cause de la soirée précédente, mais cela a duré tous les jours pendant une semaine. Heureusement, ça a fini par aller mieux assez rapidement. Pourtant, je continuais à m’imaginer le pire: je pensais avoir chopé quelque chose, une maladie, un virus. Je n’étais pas du tout serein cette semaine-là. Je m’étais juré aussi de ne plus boire un seul verre d’alcool. Sept jours après la soirée, cette foutue migraine avait enfin disparu. Quel soulagement quand je me suis réveillé ce matin-là !        

        
La nuit venait de tomber ce dimanche 17 novembre. À cette période de l’année, le soleil se couche plus tôt que d’habitude. La pluie était elle aussi au rendez-vous. Pour me fondre dans l’ambiance, j’avais décidé de regarder un film d’horreur. Il s’agissait de « The Ring ». Vous ne connaissez pas l’histoire ? Alors je vais vous la résumer vite fait. En gros, le film fait sujet d’une cassette portant en elle-même une malédiction. Une fois que la cassette aurait terminé sa bande, la personne l’ayant visionnée recevrait un appel lui révélant qu'elle mourra dans sept petit jours. Pas mal comme concept vous ne trouvez pas ? C’est digne d’une légende urbaine ! Ne trouvant pourtant pas le film très pertinent, je m'étais endormi devant. Je me suis par la suite réveillé soudainement à cause du bruit de mon portable qui vibrait, ce qui a provoqué la chute de celui-ci. Le film quant à lui était fini, il ne restait plus que le générique qui défilait. Comme c’est ironique de recevoir un message juste après que ce film soit terminé. En plus de ça, je ne connaissais pas la personne qui l'avait envoyé. Le numéro m’était inconnu. J'ai donc ouvert le message afin de le lire. La personne qui me l'a envoyé, à 00h38, avait juste écrit: "Bonne nuit."        

        
J’ai trouvé ça tellement étrange que je n’ai pas osé répondre au destinataire. J’ai attendu le lendemain pour me rendre en cours afin d’essayer de voir qui aurait pu m’envoyer ce message. Dans le bus, je n’arrêtais plus d’y penser. J’en étais arrivé à la conclusion qu’il s’agissait sûrement d’un ami voulant me faire une farce, ou tout simplement quelqu’un qui aurait changé de téléphone. À chaque fois que j’allais voir un ami, j’étais forcé de demander si c’était lui l’auteur du message où s’il connaissait le numéro. Mais à chaque fois, j’avais une réponse négative. 
À la cantine, j’ai pris mon courage à deux mains et j’ai envoyé un message à mon tour à une personne qui m'était inconnue. Comme toute personne ne connaissant pas un numéro, j’avais envoyé "C’est qui?" J'ai reçu directement une notification me disant qu’il était impossible d’envoyer mon message et qu’il fallait que je réessaie. Au bout de plusieurs essais, j'ai pris la décision de l’appeler. Le numéro que j’avais composé n’était plus attribué. Lorsque cette voix m'en a informé, j'ai vraiment commencé à m’inquiéter. Au final, j’ai essayé par tous les moyens d’oublier petit à petit cet évènement.        

        
Je me sentais vraiment mieux quand je suis enfin rentré chez moi. Ma mère me posait les questions habituelles du genre: "Comment s'est passée ta journée ?" ou encore "T'as eu des notes ?". Je me sentais mieux, c’est vrai, mais j’étais fatigué, comme tous les lundi soir. Je suis allé me coucher tout de suite après avoir mangé.        

        
Durant la nuit, je me suis réveillé. Il faisait terriblement chaud dans ma chambre. Il y avait comme un bruit sourd que je ne pouvais pas situer dans la pièce. J’en suis arrivé à ouvrir ma fenêtre, quand j’ai entendu la porte se claquer alors que j'étais certain de l'avoir déjà fermée. Puis tout est redevenu normal. Cette chaleur avait disparu. 
C’est alors que j'ai reçu un message. Mais cette fois-ci, le portable n’était plus sur vibreur. Au contraire, il y avait une sonnerie que je n’avais pas sur mon portable. C’était une chanson très ancienne. Je ne pourrais malheureusement pas vous donner le nom, mais rien qu’à la qualité du son je pouvais comprendre qu’elle ne datait pas d’aujourd’hui. Le message s’est directement affiché sans que je prenne la peine de déverrouiller mon téléphone. L’auteur de ce message était le même que celui de la nuit dernière. Il avait également pris soin de l’envoyer à la même heure. J'ai alors lu le message. 
 
"C’est moi qui t’ai trouvé."
 
Pris de panique et envahi par la peur, j’ai sans plus attendre éteint mon portable et retiré la batterie. Je me suis ensuite placé sous les couvertures en essayant de me rendormir. J’ai pensé qu’il s’agissait de Jeremy, car lui seul aurait pu avoir un lien avec ce message. Celui-ci me rappelait furieusement la balade dans le cimetière où il fallait trouver un homme mort à l’âge de 33 ans. Je n'ai pas dormi de toute la nuit.        

        
Au matin, j’ai supplié ma mère de me laisser rester à la maison. J’ai vraiment eu du mal à la convaincre, mais par chance, elle me l'a accordé. Je me suis remis dans mon lit et j’ai rallumé mon portable afin d’appeler Jeremy. Il a juré sur sa propre vie qu’il n’était pas l’auteur de ces deux messages. Ce qui ne m'a pas rassuré pour autant. Je n’ai pas parlé de la nuit dernière à ma mère car j’avais peur qu’elle me prenne pour un fou, ou qu’elle me dise: "C’est sûrement un de tes amis qui te fait une blague !". Mais plus j'y pensais, plus je me disais qu’il s’agissait de quelque chose de bien plus inquiétant. Peut-être était-ce l’œuvre d’un hackeur ? Mais comment ça pourrait expliquer ce claquement de porte alors que je n’avais même pas eu le temps d’ouvrir la fenêtre, d'autant plus que je l’avais déjà fermée avant d’aller me coucher ? Et cette chaleur, ce bruit ? Tellement de choses que je ne pourrais pas expliquer. Dans l’après-midi, je me suis baladé sur divers forums pour trouver une explication. Mais je tombais sans arrêt sur des forums parlant de spiritisme, de paranormal, de démons maléfiques. Bref, des forums sur lesquels je ne trouvais rien de crédible. J’ai même composé le numéro de la personne dans la barre de recherche pour tenter de la trouver. Sans résultat bien sûr. Par la suite, j’ai recherché toutes les personnes décédées à l’âge de 33 ans dans la région. Je suis tombé sur un site proposant une liste immensément grande des personnes disparues à cet âge-là. Il y en avait une qui avait été enterrée dans le petit cimetière à côté de chez moi. Pourtant, cette nuit-là, nous n’avions trouvé aucune tombe d’un homme s’appelant Nicolas James Dassart. Il avait eu un accident de voiture un mardi et était mort sur le coup.        

        
Cette histoire me rendait fou. J’ai relu les forums concernant des témoignages sur  le paranormal. J’ai également découvert qu’il y avait trois stades dans l’activité démoniaque. Infestation, oppression puis possession. L’infestation se résume à des chuchotements, des bruits sourds ou la sensation d’une autre présence, ce qui nous amène à l’oppression. C’est-à-dire que la victime, généralement sensible psychologiquement et vulnérable, est ciblée par une force externe qui va tenter de l’envahir pour la détruire moralement. C’est une fois que la victime est au plus faible que nous arrivons au troisième stade: la possession.         

        
Je regardais même des documentaires sur les forces invisibles. Cela me faisait trembler mais pourtant je continuais. Au bout d’un moment, j’ai fixé mon téléphone en chuchotant qu'on me laisse tranquille. Même si je ne savais pas vraiment à qui m'adresser. Je suis resté tellement longtemps à le regarder que ma mère m'a surpris en train de parler tout seul. Je n’avais même pas remarqué qu’elle était rentrée du boulot. Je me souviens m’être énervé contre elle car elle m’avait demandé en rigolant si tout allait bien. Je l’avais violemment mal pris.        

        
Je me suis tranquillement couché sur mon lit en écoutant de la musique avec mes écouteurs pour me détendre. Je somnolais, quand ma musique s'est coupée pour laisser entendre un bruit strident. Je les ai vite retirés et j'ai couru vers la porte, mais celle-ci était bloquée de l'extérieur. Je hurlais pour que ma mère vienne me voir, jusqu’à ce que j’entende à nouveau cette sonnerie. Je ne voulais même pas lire le message, alors j’ai retiré la batterie sans même prendre la peine de l’éteindre. Le portable sonnait encore. L’écran clignotait sans arrêt. La sonnerie avait un son légèrement modifié, ce qui la rendait de plus en plus angoissante. Lorsque j’ai posé les yeux sur le téléphone afin de lire le message, la sonnerie s'est stoppée et j'ai de nouveau senti cette chaleur.
 
"Regarde dans ton miroir."
 
Dans ma chambre se situait un assez grand miroir qui était implanté sur l’armoire en face de mon lit. J'ai perçu à nouveau un bruit sourd qui s'est transformé petit à petit en chuchotement. Je me retournais partout où je pouvais pour tenter de comprendre d’où provenaient ces chuchotements incompréhensibles, quand j’ai remarqué au coin de l’œil mon miroir. Je me suis arrêté aussitôt pour me retourner délicatement en face du miroir. Je suis resté bloqué un moment, et j'ai pu voir un sourire se dessiner sur mon reflet. 
 
C’est alors que j'ai aperçu ma mère derrière moi. J’avais l’impression d’avoir raté quelque chose. Elle m’a demandé pourquoi je hurlais comme ça. Je n’avais même pas eu la force de lui répondre tellement je n’étais pas sûr de ce que j’avais vu.        

        
J’étais épuisé par ce qui s’était passé depuis le premier message. Aurais-je dû en parler ? Je ne pense pas. On m’aurait sans doute pris pour un fou bon à finir à l’asile. Raconter une histoire pareille à des personnes inconnues, je n’y pensais même plus. J’avais complètement perdu espoir de ce côté-là. Je sentais cette chaleur me suivre partout dans la maison, mais ma mère m'a fait comprendre que j’étais le seul à la sentir vu la réponse qu’elle m’a donnée lorsque j'ai mentionné le sujet. J'avais perdu l'appétit. J’avais le sentiment que quelque chose me suivait où que j’aille. Je n'ai toujours pas trouvé les mots pour vous décrire à quel point j'étais persuadé que cette chose était tout le temps à mes côtés. Je n’osais même plus me regarder dans un miroir. J’étais persuadé que c’était la fameuse personne que nous recherchions dans le cimetière. 
Peut-être que tout est dans ma tête. Peut-être que cette histoire m’est trop montée à la tête. Peut-être que j’ai été naïf de croire en ce que disait de nombreux témoignages sur internet. Peut-être qu’à force d’y penser je ne fais que voir des choses qui n’ont pas eu lieu. J’aimerai être sûr que tout cela ne soit qu’une petite partie de ma vie et que plus tard j’en rigolerai, mais j’ai le sentiment que ce n’est pas près d’arriver.        

        
00h38. Je n’ai pas reçu de message, même si je m’attendais à en recevoir un. Le lendemain, je suis retourné en cours et je peux vous dire que je me sentais beaucoup mieux que chez moi. Je ne voulais même plus que la journée se termine. Dans le bus, je redoutais le retour à la maison. Je ne voulais plus être confronté à de tels évènements. Le pire dans tout ça, c’est que je me sentais affreusement seul. Il n’y avait que moi pour me sortir de ce cauchemar. Quand j’ai ouvert la porte d’entrée, j'ai pu distinguer une odeur dérangeante partout dans la maison. Sur le comptoir de la cuisine, il y avait un mot de ma mère qui disait : "Laurent, Nicolas m’a appelé, il va venir te voir pour les devoirs vers 18h. Ne fais pas de bêtises." J'ai tenté plusieurs fois d’appeler ma mère mais je tombais sur son répondeur. Aussitôt après, j'ai reçu un message de ce fameux Nicolas.        

        
Je ne voyais plus son numéro. Il avait été remplacé par "Ton nouvel ami". Nicolas avait rédigé sur son message: "Je suis devant ta porte d’entrée. Ouvre-moi." Je suis resté figé un long moment devant la porte quand celle-ci a commencé à trembler dans tous les sens comme si quelqu’un voulait absolument entrer. J'ai couru sans plus attendre dans ma chambre afin d’appeler la police, mais mon portable ne réagissait plus. J’ai entendu la porte d’en bas s’ouvrir au point de claquer contre le mur, puis elle s'est fermée à nouveau. La chaleur était de nouveau présente. L’odeur empestait de partout. Au bout d’un moment, j'ai pu remarquer des empreintes humides se déplacer dans le couloir en se dirigeant vers ma chambre. Je me suis précipité vers la porte pour la fermer. Je l’ai ensuite bloquée grâce à la chaise de mon bureau. Puis tout s'est calmé d’un seul coup. La température était de nouveau normale et l’odeur avait disparu. 
 
J’ai entendu ma mère derrière la porte me dire de lui ouvrir. Encore sous le choc, je lui ai demandé de me prouver qu’il s’agissait bien d’elle. Elle n'a pas répondu tout de suite. Puis, elle m’a à nouveau ordonné d’ouvrir la porte en haussant le ton. Afin de pas l’énerver, j’ai ouvert la porte. Il n’y avait personne.        

        
Le couloir était anormalement plus grand et plus large que d’habitude. Il était vide et sombre. J'ai fait quelques pas, puis je me suis retourné. Il n’y avait plus de porte, seulement un mur. Je n’avais plus le choix que de m’aventurer dans ce long couloir. Plus je marchais, plus je me voyais comme si j’étais hors de mon propre corps, comme si j'étais spectateur de moi-même. Le silence me faisait mal à la tête. Je ne pouvais pas dire un mot. Seules mes jambes pouvaient encore bouger. À partir d’un moment, je ne me suis plus senti marcher, et mon corps s’éloignait de plus en plus de moi, comme si il m’abandonnait. 
 
Le silence avait cessé. Je distinguais des cris atroces. Je voyais les murs trembler comme si quelque chose d’immense se trouvait juste derrière. Puis, d’un seul coup, je me suis retrouvé face à moi. Et j'ai vu que ce n’était pas vraiment moi, mais une autre personne. J'ai vu de nouveau ce sourire encore plus malsain que la dernière fois, puis il s’est approché d’un coup de mon oreille pour me chuchoter: 
"Trouvé !"
 
C’est alors que je me suis réveillé par terre, dans ma chambre, avec une sale migraine.         

        
Aussitôt après, Jeremy est venu me voir en me demandant si j’avais bien dormi. Étonné, je lui ai demandé ce qu’il faisait là. Et il m’a répondu :         

        
"Je te rappelle au cas où qu'hier soir j’ai été en soirée avec toi et que nous avons même fait un jeu dans le cimetière!  L’alcool ne t'a pas réussi, mon pauvre…"
        

        
À peine quelques jours plus tard, en allumant mon ordinateur, j'ai constaté qu'une page internet était déjà ouverte. C’était exactement le même site que dans mon rêve. Il y avait tous les noms des personnes mortes à l’âge de 33 ans. Dans la liste, il y avait celui de Nicolas James Dassart. 




16 commentaires:

  1. Super, cette pasta me rappelle une émission que je regardais sur Planète No Limite, c'était "Hanté" qui racontait des histoires comme celle-ci avec des esprits malsains et des démons basé sur "des faits réels". A la lecture on ressent la même sensation qu'en regardant ce genre d'émission, franchement j'ai aimé

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  2. J'ai beaucoup apprécié également, cependant je regrette le début et la fin un peu posés genre "BAM il s'est passé ça et ça et pis ça a fait ça qui a...", j'étais vachement frustré, je m'attendais à un plot twist un poil mieux préparé. Mais j'ai bien frissonné !

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  3. Je trouve le début brouillon .

    Sinon , c'est quand même une bonne pasta , même si elle n'est pas dans mon style habituelle .

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  4. c'est assez original, la fin ne pas trop surprit.

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  5. Quelqu'un pourrait-il m'expliquer la fin siouplaît ? Pas sûre d'avoir tout compris ^_^

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    1. D'après ce que j'ai compris, ce n'était en fait qu'un rêve qui avait une part de réalité en soit vu qu'à la fin on comprend que nicolas à bien exister !

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  6. Le coup du rêve gâche tout ! - -' Mais principalement, l'ambiance était vachement bonne , on se mettait bien dedans

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  7. l'histoire était super!!! rien a dire!! et by the way ton blog est canon ;) jle suis depuis quelques jours et jle trouve trop bien fait!!! continue :) "Une admiratrice"

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  8. Au moment où je lis: " J'ai alors lu le message:
    "C'est moi qui t'ai trouvé"

    Pris de panique je regarde... C'était une notification Clash of Clans pour me dire que mon extracteur d'elixir avait fini d'être améliorer au niveau 7... --'

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  9. Cest moi ou il a un nom un peu galère le gars?

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  10. j'ai flipper tout le long de la pasta

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  11. Super pasta, les pastas de ce genre me manquent

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  12. chute assez original qui rend l'histoire encore meilleure

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  13. Si je m'appelais Nicolas James je ferait de toute façon en sorte de mourir le plus tôt possible .

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