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samedi 1 novembre 2014

Le projet "Nuits Pâles"

Ce que vous vous apprêtez à lire est un regroupement de recherches et d’analyses faites par moi-même.
  

Toutes les notes ci-dessous sont inspirées des originales, cependant je n’ai pas pu me les fournir. Je les ai donc reconstituées sans pour autant exagérer les faits. Les screens à l’intérieur de celles-ci sont par ailleurs de l’auteur lui-même selon des sources me paraissant être fiables. Le nom du véritable auteur de tout ce que vous allez lire ne sera, quant à lui, pas cité.   
     
   

Les évènements se sont passés durant les mois de septembre et octobre 2014.
    
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[Note #01] – 07/09/14     
Ça y est, j’ai trouvé. C’est dingue mais j’ai trouvé. Je ne peux pas laisser cette possibilité filer sous mes yeux et de toute manière je suis convaincu que cela va fonctionner comme je le pense depuis des nuits. Le truc auquel j’avais pensé c’est de tout simplement effrayer la population. Cela rajouterait forcément une part de crédibilité à mon histoire que je compte publier dans les plus brefs délais. La veille, j’ai discrètement placardé plusieurs messages sur quelques portes d’entrée de mon village, en voici le contenu :     

« Je poserai mes mains sur votre visage, comme pour l’embrasser. Puis je plongerai mon pouce dans votre orbite, comme pour l’écraser. Nourri de vos plaintes, je concrétiserai mes rêves : je mordrai votre langue, la déchiquetterai, arrachant votre lèvre comme pour goûter à votre rouge. Je me languirai aussi de vos petites joues, goûteuses au point de séduire mes papilles. Et votre oreille tendre ? Qui effleurera ma joue. Que je voudrai voir remonter vers mes lèvres, vers mes dents avides de chair. »     

    

Qu’ils soient effrayés ou non, les gens vont forcément parler de moi. J’en attends désormais des nouvelles.


Commentaire personnel:
Ce qui est important à savoir, ce sont les intentions de l’auteur qui a pour objectif d'apporter une part de réalité à son histoire dans le but précis de créer le doute auprès du lecteur.
L’auteur aurait en tout fixé pas moins d’une vingtaine de ces messages sur les portes d’entrée de plusieurs maisons de son village dans la seule intention d’effrayer la population. Il existe notamment une photo du morceau de papier comportant cette sorte de poème morbide. Elle peut-être trouvé sur quelques sites internet tel que Facebook.

 




    

[Note #02] – 08/09/14
J’ai enfin écrit les premières lignes de mon histoire. Je suis tout avivé. J’ai hâte de la publier une fois qu’elle sera terminée. Tant pis si cela doit prendre du temps. Bien sûr je ne la publierai pas sous mon véritable pseudo, ça serait absurde et complètement idiot. Les gens sauraient au final qui est le responsable de ce qui va suivre.

À mon réveil, j’ai reçu un message d’une amie qui semblait paniquée.


On dirait bien que la machine est en marche. Je commence sérieusement à y prendre plaisir. Maintenant pour faire avancer les choses, je vais devoir demander l’aide d’un ami qui, je l’espère, sera d’accord. Il va donc falloir que je lui parle des messages. Mais j’ai peur qu’il ne réagisse pas comme je le voudrais. Il faut que je sois convaincant. Et si cela s’avère être un succès, mon cher ami Damien va devoir répandre la rumeur d’un fou qu’il aurait croisé en se promenant dans les rues du village.


Commentaire personnel:
Visiblement, l’auteur commence à prendre un malin plaisir à créer un semblant d’angoisse afin de procurer davantage de vraisemblance à son histoire en cours d’écriture. Il est d’ailleurs prêt à confier ses intentions à un de ses amis pour que celui-ci puisse l’aider dans la progression de son projet.    
  




  
[Note #03] – 09/09/14
Il a accepté sans grande difficulté. Il semblait d’ailleurs très enthousiaste à l’idée d’être de la partie. Je savais que je pouvais lui faire confiance. Le pire c’est qu’il a eu l’intelligence de capturer une photo sur internet représentant une rue, de nuit, dans laquelle on peut apercevoir une personne au loin. La photographie est d’autant plus crédible qu'elle n’a pas du tout été faite par un professionnel. J’ai aussi remarqué dans les commentaires quelques amis à lui mentionnant les messages que j’avais placés sur les portes d’entrée. Les gens ont fait directement le lien entre les deux et la rumeur semble désormais occuper l’esprit des habitants. Je ne pensais pas que cela aurait été aussi facile.

Mon histoire avance petit à petit et j’en suis ravi. Depuis le temps que je voulais rédiger quelque chose frôlant la réalité. J’en avais marre de reprendre de vieilles histoires pour en faire quelque chose d’effrayant. De plus, je me voyais toujours davantage m’enfoncer dans le déjà-vu.
 
Je peux maintenant passer à la troisième et dernière partie. Je ne sais pas vraiment si je suis tout à fait prêt, mais les choses avancent tellement vite, je me dois de suivre le mouvement. J’ai méticuleusement confectionné et préparé ma tenue pour la prochaine nuit. Mon père avait rapporté il y a quelques années un très fin miroir « sans tain » timidement souple qu'on peut généralement retrouver dans les salles d’interrogatoire de la police. J’en ai donc découpé une partie afin d’en faire un masque. Je n’avais pas vraiment réfléchi sur le choix de ce costume, mais au final je le trouve plutôt original. Les personnes verront ainsi leur reflet dégageant un fort sentiment d’angoisse au lieu de voir les yeux de la personne les menaçant. Tandis que moi, je verrai leur face sombrer dans la détresse. Je serai également vêtu d’un simple pull noir à fines rayures grises. Mon pantalon sera de couleur noire et pareil pour mes chaussures, exceptés les lacets qui, eux, seront gris. Concernant la troisième partie, j’ai prévu de me rendre chez les voisins de mon amie afin de les effrayer. Ce sont des personnes âgées et je suis pratiquement sûr qu’ils sont vulnérables et inoffensifs pour le peu de fois que je les ai aperçus, ce qui veut dire que j’ai toutes mes chances.


   
Commentaire personnel:
Damien, l’ami de l’auteur, a accepté la proposition et a donc dispersé la rumeur qui explique qu’une étrange personne se baladerait dans les rues du village. Leur entourage a donc directement fait référence aux messages du responsable. L’auteur quant à lui ne perd pas de temps et prévoit déjà de réaliser sa troisième étape qui consistera à s’introduire chez les voisins de son amie pour les effrayer.






[Note #04] – 10/09/14    
J’ai merdé. Putain, j’aurais dû m’assurer de tous les risques éventuels avant de m’aventurer bêtement dans leur maison. Je pense que c’est à partir du fait qu’ils ont pris connaissance de mon message qu’ils se sont mis d’accord pour se procurer un chien. Faut croire qu’ils ont véritablement pris au sérieux mes menaces. Mais cela n’empêche que j’ai fait une connerie. Comment vais-je expliquer cela maintenant ? Que j’ai froidement exécuté leur chien par accident ? Ils ne vont jamais me croire. Mais rien n’est encore perdu. Personne n’a vu mon visage.


Sur le moment, j’avais soudainement été pris d’une colère que jamais je n’avais pu ressentir avant. J’éprouvais une haine considérable sur l’échec de cette troisième partie et j’avais rejeté toute la faute sur l’animal. Je ne pouvais plus m’arrêter. En fait, c’est comme si je n’avais pas vraiment conscience de ce que j’étais en train de faire. Une fois que j’ai compris que le chien n’était plus de ce monde, j’ai regardé les occupants de la maison droit dans les yeux. Je voyais clairement qu’ils étaient sous le choc. Puis, ils ont détourné le regard. Ils ne supportaient sans doute plus de distinguer leur visage comblé de terreur. Je m’étais approché d’eux afin de leur hurler : « Regardez-vous ! ». Le vieil homme tremblait de frayeur tandis que sa femme pleurait derrière lui. Mon dieu, je le jure, oh oui je le jure que j’essayais de ne pas rigoler.    
    
Dans l’article, le journaliste mentionne les messages postés sur plusieurs portes d’entrée et parle aussi de la photo que Damien avait récupérée sur internet. Il est écrit qu’une menace plane dorénavant sur le village et ne serait en aucun cas un canular. Cependant, j’apprends qu’une enquête a été ouverte par la même occasion. Je comprends tout à fait que mon acte est impardonnable, mais je ne voulais pas que cela se passe ainsi. Personne ne voudra le comprendre c’est certain. Mais… J’ai peur de n’éprouver aucun regret sur ce qui s’est passé… J’ai peur de n’avoir aucun remords… Je ne sais pas si cela peut paraître normal ou bien si je suis censé m’inquiéter… Le problème c’est que je ne peux en parler à personne.
Damien ne me voit même plus comme son ami. Il sait très bien que c’est moi l’auteur. Je n’aurais jamais dû lui en parler. Je crains le pire. Et s’il allait tout raconter aux autorités ? J’ai tout de même tenté de lui faire comprendre de ne plus se mêler de cette histoire mais il craint que je l’accuse d’avoir en quelque sorte été complice de ce coup monté. Je viens de penser que la police irait sans doute l’interroger d’ici peu puisque c’est lui qui a posté la soi-disant photo de moi. Ils vont lui demander de décrire la personne et avec la pression d’être au poste de police, il va sans doute tout balancer. Merde… Il va falloir que je fasse quelque chose avant que tout cela ne remonte jusqu'à moi.



Commentaire personnel:
La troisième étape a échoué. L’auteur, sous l’emprise de la colère, a clairement rejeté la faute de cet échec sur l’animal au point de mettre fin à ses jours. J’ai rapidement constaté que l’individu est très impulsif. L’auteur s’inquiète tout de même sur ce qui pourrait se passer par la suite. Il ne veut en aucun cas se faire appréhender par les autorités locales pour cet acte. Il pense également que la police va sans doute interroger son ami Damien qui est celui qui a posté la photo du soi-disant coupable.






[Note #05] – 12/09/14
Mon histoire touche presque à sa fin. Je suis pressé de lire le résultat final.

Mon personnage me rend quelque peu mal à l’aise. D’un autre côté, il me procure la sensation d'être à l’abri de tout danger. Comme si derrière ce déguisement ma vie n’était plus menacée. Or, à chaque fois que je souhaite me regarder dans le miroir, je ne vois que le reflet de ce masque se refléter encore et encore. Lorsque je constate cela, j’ai l’impression d’avoir disparu et ça me donne la pensée que ma véritable identité s’est volatilisée avec moi. Ce que je veux dire par là, c’est que j’ai le pressentiment que mon personnage a pris une grande ampleur sur ma conscience. Damien lui-même me l’a dit la veille. Il trouve que mon obsession pour l’écriture me monte considérablement à la tête et cela ne fera qu’empirer si je ne m’abstiens pas. Mais je ne veux pas non plus bâcler mon histoire. Je suis si proche de la fin.

« C'était peut-être ça, devenir adulte : oublier son identité, et s'en inventer une autre. Comme un serpent quitte sa vieille peau et renaît à la vie. » - M. Aznar

    
Suis-je donc en train de changer ? Peut-être que je découvre simplement ma véritable personnalité. Je ne sais plus quoi penser. Je vais simplement terminer mon histoire et oublier tout ce qui s’est passé.     
     
 
Commentaire personnel:
L’auteur se rend compte du changement brutal de sa personnalité. Il pense se découvrir lui-même par le biais de son histoire et de ses actions. Cependant, il est prêt à tout oublier et à passer à autre chose une fois son histoire horrifique terminée.
   


    
[Note #06] – 13/09/14
J’ai ressenti quelque chose d’exceptionnel tout à l’heure. Je n’avais jamais vécu une telle chose auparavant. Je n’arriverais même pas à décrire ce que je ressens encore maintenant. Mais j’ai peur de n’avoir éprouvé une nouvelle fois aucun regret. C’est comme si dans ma tête, tout ce que j’ai pu faire depuis le début de mon histoire ne me paraissait pas être des actes monstrueux. Comme si au final je voyais les choses comme nul autre. En fait, j’ai l’impression que mon personnage n’en est plus vraiment un. J’ai commencé à penser à tout cela au moment où je me trouvais devant chez Damien. Et lorsque je l’ai aperçu, mes pensées n’étaient plus les mêmes. D'un seul coup, tout ce que je pouvais ressentir en moi n’était plus que de la haine. Je me répétais sans arrêt que Damien aurait été prêt à tout raconter à la police afin d’éviter d’être reconnu coupable pour complicité. Sans cesse cette phrase défilait dans ma tête. Je me souviens aussi que mes mains tremblaient encore plus que la nuit dernière. Lorsque Damien m’a aperçu à son tour depuis sa fenêtre, il semblait à la fois surpris et angoissé. C’est alors que son regard m’a fait comprendre qu’il me trahirait quoi qu’il puisse arriver. Il ne voulait plus me voir. Il pensait que j’avais été trop loin dans mes projets d’écriture.
    
Il est tout de même sorti me rejoindre peu de temps après. Je sentais mes doigts se serrer violemment à l’intérieur de mes mains. Damien, lui, osait à peine s’approcher de moi. Il est clair que je le rendais mal à l’aise. Il a subitement brisé le silence en m’insultant de taré et de malade mental. Il a ajouté  qu’il valait mieux pour moi d’aller me faire soigner. Comment aurais-je pu laisser de telles paroles me traverser tranquillement l’esprit ? C’était pratiquement impossible. Comment une personne qui pour moi était, jadis, mon meilleur ami avait-elle pu me voir comme un psychopathe ? Il ne me comprenait jamais de toute manière. Avant de m’en aller, je lui avais chuchoté que cela resterait notre secret comme quand nous nous partagions nos arcanes étant petits. Damien s’était regardé une dernière fois sur mon masque avant de trouver lentement le sommeil. Et c’est à ce moment précis que j’ai ressenti ce sentiment à la fois étrange et agréable. Je me suis senti libre, car j’étais désormais certain qu’il ne raconterait rien à la police.    
 
Je suis donc satisfait de me dire que cela me laisse une marge de temps pour terminer mon histoire.     

    
Commentaire personnel:      
L’auteur étant assez clair sur ses actes, je ne divulguerai pas d’analyse pour cette fois mais, je profite de cette sixième note pour partager la page officielle Facebook rendant hommage à la victime.
     

[Note #07] – 15/09/14
Mon histoire est terminée. Je l’ai enfin bouclée. Il ne me reste plus qu’à la publier. Elle portera le titre de « Nuits Pâles ». J’ai choisi cet intitulé par rapport aux victimes contemplant une dernière fois leur visage devenu livide à cause de la peur et de la douleur que je leur avais infligées, du moins, que mon personnage leur avait fait subir. Je suis persuadé que beaucoup l’apprécieront, et surtout que certains lecteurs auront peut-être déjà lu les nouvelles de la presse auxquelles j’ai également fait référence dans mon histoire.
En attendant, je vais sans doute me balader quelque temps. L’enquête doit avancer et ce n’est qu’une question de temps avant que la police ne débarque chez moi. D’ici un mois, je publierai comme il se doit mon histoire aux lecteurs. Peut-être que j’apporterai quelques modifications entre temps, je verrai bien ce qu’il se passera durant mon absence.


J’aimerais tellement ressentir de nouveau cette sensation, ce frisson. Je souhaiterais réellement que cette émotion m’accompagne tout le temps sans qu’à aucun moment elle ne disparaisse. C’est devenu pire qu’un manque, c’est carrément un désir. Très peu de personnes ne pourraient le comprendre malheureusement. Mais je suis certain de ne pas être le seul à avoir déjà ressenti un tel plaisir. Je constate finalement que mon personnage m’aide à faire ressortir ce que je suis vraiment.

    
Commentaire personnel:
L’histoire horrifique de l’auteur est terminée. Il a donc définitivement fini son projet et s’apprête d’ici peu à le publier. « Nuits Pâle » sera sans doute similaire à tout ce que l’auteur a pu décrire durant ses notes.
Dans cette avant-dernière note personnelle, l’assassin révèle vouloir revivre la même expérience et ressentir à nouveau cet étrange plaisir qu’il avait perçu lors de la dernière rencontre avec Damien.







    
[Note #08] – 18/10/14
Aujourd’hui, je m’aperçois que mon personnage n’a jamais été créé. Je suis moi et moi seul. L’autre n’est que l’autre visage de moi-même. Sans lui, que vaut mon existence ? C’est cela qui me fait dire que ma personnalité n’est rien que celle de l’autre, puisque c’est moi-même que je continue de découvrir lorsque je vais, au travers des rêves et des cauchemars, à la découverte de l’autre. Je suis donc celui qui a donné l'inspiration. Et cette inspiration m'a permis de donner naissance au personnage de mon histoire qui n'est en réalité qu'une retranscription écrite de moi-même. Alors dois-je opter pour la sueur ou bien la facilité ? Dois-je haïr ou aimer ? Suis-je de ceux qui hurlent ou bien qu’on entend pleurer ? Je ne peux pas passer mon temps à blâmer la fatalité. Il n’y a plus qu’à faire un choix, jeter les dés et assumer.




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Lorsque j’écris ces derniers mots, nous sommes le 26/10/14 et il n’y a toujours aucune nouvelle d’une éventuelle arrestation de l’individu. « Nuits Pâles » n’a à ce jour toujours pas été publié, mais ça ne saurait tarder.
    

Quelques témoignages de personnes habitant aux alentours du village affirment avoir aperçu l’auteur du meurtre de Damien. Cependant, il n’est pas confirmé que ce que ces gens ont raconté soit totalement vrai. Les événements ayant marqué la population du village, il se peut que certaines personnes accentuent l’inquiétude en déclarant que l’assassin est de nouveau en train de rôder dans les parages, mais cela reste à prouver.
       

Dernière chose, je suis tombé sur un dessin réalisé par un certain Nicolas. Le dessin qui est une représentation de l’assassin vêtu de son déguisement a été posté sur la page rendant hommage à Damien. J’ai eu la chance de screener sa publication avant qu’elle ne soit supprimée.


    
   


22 commentaires:

  1. Génial. J'apprécie beaucoup l'atmosphère, le dessin a la fin nécessite du temps pour le comprendre.. Bravo a l'auteur !

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  2. Réponses
    1. En fait, c'est un mec qui je crois est passioné d'écriture d'histoire d’horreur, il veut donc en faire une qui se rapproche beaucoup de la réalité en mettant des messages bizarre sur les portes des gens et en inventant une rumeur sur un fou se baladant dans la rue pour que les lecteurs doute sur ce qui est vrai ou pas mais, plus il écrit son histoire, plus il se découvre lui-même. En gros il découvre sa vraie nature. Je pense finalement qu'il prend conscience à la fin qu'il raconte sa propre histoire et que son personnage n’est autre que lui-même. (oui j’explique mal…)

      Bref, très bonne creepypasta en tout cas, j'adore. Elle laisse présager une suite je suppose ?

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    2. Merci ! Mais l'histoire est vraie ? C'est le facebook qui me fait douter...

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    3. on ne sait pas, personnellement ce que je trouve bizarre c'est que personne ne commente la page facebook.

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    4. comment c'est possible d'être aussi naif, putain

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  3. J'ai bien fais de voté pour, cette pasta est une de mes préféré ! Bravo.

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  4. Réponses
    1. Pardon ? Bof ? Écris en une avant de critiquer par un simple mot . Qui plus est exprime tes idées .

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    2. Faut pas se sentir gêné à l'idée de laisser un avis, même si c'est laconique. Ces gens sont dispensés de justifier leur vote, laisse-les en profiter!

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  5. J ai pas compris la fin et le dessin help svp :-/

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    1. le dessin représente l'assassin avant qu'il ne tue ses victimes :) pour la fin, Pierrick l'explique bien :)

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    2. C'est une vraie histoire ?

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    3. si ca été une vais histoire , comme ca c'est passer en France , je pense que les medias BFMTV ou Tf1 ou autre en aurait parler , mais le facebook me donne un trés trés gros doute sur la réaliter de cette crepy.

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  6. Wow sacré pasta mais bon, pas assez horrifique car j'aurais bien aimé qu'il décrive comment il a tué ses victimes, ça aurait été plus vraisemblable et on aurait vraiment été avec un personnage froid et cruel dû a une double personnalité.

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    1. Je ne vois pas du tout l'utilité de faire ça. Une creepypasta, et de manière générale le genre horrifique, ne se base pas sur les horreurs qu'on inflige à ses victimes. Par ailleurs, nul besoin d'un dédoublement de personnalité pour devenir un tueur, c'est le fantasme assez répandu du "je suis gentil mais j'ai une personnalité sombre en moi" qui veut ça. Là, au contraire, on a un cas psychologique extrêmement intéressant puisqu'il s'agit non pas d'un dédoublement ou de schizophrénie (quoiqu'une définition large du terme pourrait s'appliquer au fait qu'il voit les évènements comme le théâtre de son histoire) mais d'une personne parfaitement saine d'esprit qui subit une sorte de glissement de personnalité qui est verrouillé par les actes irréversibles qu'il commet.

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  7. J'aime bien mais les commentaires n'apporte rien, il ne font que résumer les notes

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  8. Les phrases:. Alors dois-je opter pour la sueur ou bien la facilité ? Dois-je haïr ou aimer ? Suis-je de ceux qui hurlent ou bien qu’on entend pleurer ? Je ne peux pas passer mon temps à blâmer la fatalité. Il n’y a plus qu’à faire un choix, jeter les dés et assumer.

    Viennent d'une musique du groupe de rap IAM dont le titre est 4.2.1

    Sinon sympas comme creepy mais je n'y est pas cru 1 s :-/

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  9. J'attendais pas mal de cette pasta, mais au final l'auteur n'utilise que des topos : le miroir révélateur de soi, la mort libératrice de pulsions. L'auteur aurait pu faire beaucoup mieux en y apportant plus d'éléments "réels" ou en écrivant un texte plus barré ou le miroir et l'assassin représentent un suicide.

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  10. ça semble tiré d'un film et quelques passages semblent tirés d'un livre, ce qui n'a vraiment rien d'original... J'ai plus été saoulé que terrifié ou même surpris...

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  11. Mon peu de connaissances en matière de Creepypasta ne me fait dire qu'une seule chose : Bravo à l'auteur, pour l'histoire et le style...

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  12. Bon concept, bien que la fin soit prévisible, mais les "Commentaires personnel" n'apportent rien car il ne font que résumé le paragraphe du dessus sans rien apporter d'autre.
    Ivy

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