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L'équipe de Creepypasta from the Crypt n'affirme ni n'infirme la véracité des témoignages et histoires présents sur ce blog. Pensez à consulter nos pages d'aide pour en apprendre plus, et à toujours vérifier les sources pour vous faire votre propre avis sur la question, ici comme ailleurs.

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mercredi 25 mars 2015

L'homme aux dents de fer

18 février 1985 - Témoignage de Julien *****, nuit du 17 au 18 février, à proximité de Paris.

Il pleuvait énormément et j’avais beaucoup de mal à voir la route. J’allais m’arrêter, avant de voir cette personne sur le bas-côté. Ce qui était bizarre chez cet homme, c’était qu’il marchait sans se soucier de la pluie et du vent. Il avait des cheveux très courts. Il portait une veste en cuir marron, un pantalon jogging noir avec deux lignes blanches sur chaque côté et des baskets noires salies par la boue. Donc rien d’inquiétant à première vue.
J’éprouvais un peu de pitié pour lui. J’ai donc ralenti et je lui ai proposé d’entrer. Il m’a regardé dans les yeux et j’ai eu la peur de ma vie. Il n’avait pas d’iris ! Tout ce qu’on voyait dans ses yeux, c’était deux points noirs au centre du blanc de ses yeux. Je n’avais d'ailleurs pas remarqué à quel point il était grand. Sa veste était ouverte, son chandail était noir. Il m’a souri et j’ai flippé. Ses dents étaient couvertes de taches qui ressemblaient à de la rouille. Il a ensuite donné un coup de poing dans la vitre opposée à la mienne. Aucun sang n’a coulé de sa main ! Pourtant, j’ai bien vu les morceaux de verre rentrer dans sa peau.
J’ai accéléré d’un coup sec. Je roulais, je roulais sans m’arrêter.
J’ai roulé pendant une minute entière avant de m’arrêter. Je suis sorti de ma voiture et j’ai regardé derrière moi. Je n’ai pas vu cette chose se diriger vers moi. J’ai appelé la police et je leur ai raconté l’histoire. Ils avaient l’air sceptique, mais je sais ce que j’ai vu. Je ne suis pas fou, je sais ce que j’ai vu.


Extrait d’un journal de Philadelphie, 14 mars 1989.

 
Jennifer *****, résidente dans l'University City, a été déclarée morte ce matin, à moitié dévorée. D'après les témoins, un homme serait entré dans son appartement accompagné d'un animal d'allure agressive. Sa famille a refusé de nous accorder une entrevue. [...]


Notes d’un enquêteur en charge du meurtre de Jennifer *****.

Aucune trace des pattes de l'animal, bien que les traces de pas de l'homme abondent dans tout l'appartement. Les marques présentes sur le corps de la victime sont des marques de dents humaines. Je n’ai aucune explication pour le moment.



Description d’une vidéo filmée avec une caméra de sécurité à Beijing, 29 mars 1989.

Un sans-abri est couché dans une boîte en carton au bord d'une voie fréquentée, de nuit. Il est 3h34 du matin. Le sans-abri se réveille et regarde autour de lui. Il se lève, s’étire et sort une bouteille d’alcool de son sac. Il commence à boire. Un homme s’approche du sans-abri. Le SDF remarque la présence de cet homme et lâche sa bouteille. Il recule. L’homme se jette sur le SDF et lui mord le cou violemment. Le mendiant hurle de douleur et se laisse tomber par terre. L’homme crache le morceau qu’il a dans la bouche et mord la pomme d’Adam du sans-abri. L’homme se relève, s’essuie la bouche, regarde la caméra et sourit. L’homme part. Le mendiant agonise pendant 4 minutes avant de rendre l’âme.


Extrait du journal intime de Lucy *****, entrée datée du 12 mai 1991, Pittsburgh.

Cher journal,
J’ai l’impression qu’il me suit partout. J’étais dans ma classe et je m’ennuyais. J’ai regardé par la fenêtre et je l’ai vu me sourire avec ses dents toutes rouillées. Je me suis frotté les yeux et il avait disparu. Je rentrais à la maison et j’ai regardé derrière moi. Il me regardait avec son horrible sourire. J’ai accéléré et je me suis retournée une nouvelle fois. Il avait disparu ! Maintenant, je regarde par ma fenêtre et je le vois. J’ai beau fermer les yeux, regarder ailleurs, il est toujours là. J’ai appelé la police.

Le journal de Lucy ***** s’arrête là. La date du 12 mai 1991 correspond à celle du meurtre. Le meurtre a eu lieu dans sa chambre si on en juge par les marques de lutte. Du sang était présent sur son tapis. Le corps n'aurait été emmené dans la salle de bain qu'après le décès, et immergé dans la baignoire. Nombreuses traces de morsures partout sur le corps. Des traces de salive humaine ont été retrouvées sur tout son corps, mais celle-ci n’appartient à personne dans les bases de données de la police.


Témoignage de Bob *****, interviewé par Jason ***** le 14 août 1992 à Orlando.

J : Merci de m'avoir accordé cette interview, Bob.
B : De rien, ça enregistre là ?
J : Oui, on va commencer.
Premièrement, j’aimerais que vous m’expliquiez votre rencontre avec cet ‘'homme''.
B : D’accord. J’étais dans ma camionnette et je roulais jusqu’à chez moi. Il était environ 21h30 et il faisait très noir ce jour-là. Même avec les phares allumés, je ne voyais presque pas la route. Puis, j’ai cru voir une silhouette en plein milieu de la route. J’ai ralenti et je l’ai vu. Il était… si grand ! Au moins 2 mètres ! Je me suis approché, un peu inquiet tout de même, et je lui ai demandé si tout allait bien. Il m’a regardé et j’ai flippé dès que j’ai vu ses yeux. Pas d'iris, et presque pas de pupille ! Il a souri et ses dents… oh mon dieu, ses dents… elles étaient rouillées. C’était du fer rouillé. Je me suis éloigné et il s’est jeté sur moi. Je me suis battu du mieux que je pouvais, mais il était beaucoup trop fort. Il m’a mordu le bras très violemment. J’ai hurlé de toutes mes forces. Une voiture de police est arrivée juste à temps. Mon agresseur a fui dans les bois pendant qu’un policier le suivait. Je me suis évanoui. Je me suis réveillé à l’hôpital, mon bras dans le plâtre. Je suis resté dans cet état un certain temps. Quelques mois avant cette attaque, j’avais reçu un traitement contre le tétanos, je suis bien content de l’avoir eu d’ailleurs.
J : Aujourd’hui, vous savez ce qui vous a attaqué ?
B : Non.
J : Comment vous sentez-vous depuis cette attaque ?
B : Je ne veux pas en parler.
J : Avez-vous changé depuis cette attaque ?
B : Je veux arrêter ça là, s’il vous plaît…
J : *soupir* Entendu, merci pour cet interview Bob.



Cahier de notes de John *****, agriculteur dans l'Ohio, écrit le 19 février 1993

C’est étrange. Je le vois parfois, il est proche de mes terres, de mes animaux, de ma maison. Ce qui est étrange chez cet homme (si je peux appeler ça comme ça), c’est son physique. Trop grand. Puis, ses yeux, aucun iris et presque aucune pupille. Mais le plus effrayant chez lui, ce sont ses dents. Rouillées et pointues. Il me fait peur. Depuis qu'il s'en est pris à mes vaches, je sais qu'il va finir par s'attaquer à moi.

Ce connard n’est pas réapparu. Maintenant, à cause de lui, la police croit que je ne suis qu’un menteur qui leur fait perdre du temps. Il est peut-être parti. Je dois m’occuper des animaux.

Tout comme Lucy, le journal de John s’arrête là. Il a été retrouvé mort, sous son lit. Le combat s’est déroulé dans le salon de John. Sa table
ainsi que sa télé ont été fracassés. Le corps porte des mutilations sévères à la jambe droite ; le fragment de muscle retrouvé dans le salon semble en provenir. Les traces de sang montrent que le meurtrier l’aurait emmené dans sa chambre puis sous son lit. Il se serait vidé de son sang à cet endroit. Le meurtrier est introuvable, mais vous savez, tout comme moi, qui était le tueur.


Interrogatoire de la jeune Susan *****, le 14 juillet 1995 à New-York.

N-B : I= Interrogatrice S= Susan

I: Susan, j’ai besoin que tu sois très coopérative avec moi. Tu dois m’aider pour que je retrouve le méchant qui a fait du mal à tes parents.
S : D’accord.
I : Premièrement, j’ai besoin que tu me parles de toi. Tu as quel âge ?
S : 6 ans.
I : Et comment était ta relation avec tes parents ?
S : Je m’amusais beaucoup… je les aimais.
I : On va maintenant passer à la partie difficile. J’aimerais que tu me racontes la nuit où le méchant monsieur est entré chez toi et a tué tes parents.
S : D’accord… Je rêvais du voyage qu’on allait faire à Disneyland. Papa et maman m’avaient promis de m’emmener là-bas… Ils avaient acheté les billets. On devait partir le 18 juillet, dans 4 jours. J’ai entendu… la fenêtre d’en bas se casser. J’ai entendu papa et maman parler très rapidement. Papa a dit qu’il prenait le fusil. Maman est venue me chercher pendant que papa descendait avec le fusil. Maman m’a cachée sous mon lit. Elle m’a dit qu’elle reviendrait vite. Et puis j'ai entendu un coup de fusil en bas. Maman… a lâché un cri avant de descendre en courant. Je voulais savoir ce qui se passait, je suis donc descendue à mon tour. Je suis descendue tout en bas et j’ai vu… papa, par terre, il se tenait le cou en regardant le plancher. Du sang coulait de sa bouche et de son cou. J’ai pleuré quand je l’ai vu comme ça. J’ai entendu maman me parler. Je l’ai regardée et... Maman était assise par terre et un homme lui mangeait le cou. Elle m’a dit de partir, mais j’avais …trop peur. L’homme a lâché Maman et a marché vers moi. Il était géant. Il était chauve et je pouvais voir des coupures sur son crâne. Il avait une veste déchirée. Ses baskets étaient noires et elles n’avaient pas de semelles. Ce qui faisait peur chez lui, c’était ses yeux et ses dents. Ses yeux étaient juste blancs. Ses dents étaient toutes rouillées et pointues. [Elle pleure.] Il m’a souri, m’a caressé la tête et est parti par la fenêtre. Après les policiers sont arrivés.
I : Tu es sûre de ton histoire ?
S : Oui.
I : Très bien, nous allons enquêter. As-tu des questions ?
S : Oui, une.
I : Laquelle ?
S : Quand est-ce que papa et maman vont revenir ?
I : …




Description d’une vidéo filmée par la caméra d’un chasseur, datée du 12 septembre 1999.

Le chasseur lance la vidéo ; on peut supposer qu'il est équipé de sangles fixant l'appareil sur sa poitrine étant donné qu'il a les mains libres. Il se promène dans la forêt et parle de ses méthodes de chasse à voix basse. Vers la cinquième minute, il pose un piège par terre et recommence à marcher. Aux alentours de la dixième minute, il annonce en chuchotant qu'il vient d'entendre un bruit. Il s’accroupit et s’approche de la source du bruit. 1 minute plus tard, il voit quelqu’un marcher. Il s’approche et le salue. L’homme se retourne et le chasseur pousse un cri en lâchant plusieurs jurons. Le grand homme s’approche lentement du chasseur. Le chasseur commence à courir en jurant encore. Des bruits de pas très rapides se font entendre derrière lui. Le chasseur se retourne et tire sur l’homme, lequel poursuit sa course comme s'il n'avait rien senti. Le chasseur recommence à courir. Il est presque arrivé à son camp, mais son pied se fait prendre par le piège qu’il avait posé plus tôt. Le chasseur jure en pleurant. Il lance la caméra loin, juste assez pour voir le spectacle. Le grand homme se penche près du chasseur. Le blessé supplie l’homme de l’épargner. Le monstre mord très violemment le cou du pauvre chasseur. Ce carnage dure 5 minutes avant que le chasseur meure et que l’homme se lève. Il s’approche de la caméra, montre son visage recouvert de sang et sourit en montrant toutes ses dents rouillées et pointues. Il éteint la caméra.

Cette caméra a été retrouvée par un groupe de randonneurs. Le corps du chasseur n’a pas été retrouvé.


Interrogatoire de Shane *****, 14 octobre 2000, Vancouver.

N-B : I = Interrogateur S= Shane

I: Bonjour monsieur *****
S: Euh…bonjour…
I: Vous allez bien?
S : Oui, oui. Je suis juste un peu choqué par… ça!
I : D’accord. Je vais d’abord vous poser quelques questions à propos de vous et vos amis.

[...]

I : Maintenant, racontez-moi ce que vous avez vu.
S : Avec tous les détails?
I : Je vous prie.
S : J'étais à la chasse avec 3 amis. On a entendu du mouvement à notre gauche, ou notre droite, je crois que c’était la gauche. On a pensé à un cerf. On s’est avancés et on a vu un homme marcher. Il mesurait au moins 2 mètres. Comme on était un peu saouls, on a… tiré à quelques mètres de lui.
I : Pardon?
S : On était saouls! Je suis désolé…
I : Nous n’avons pas le temps de régler ce problème, continuez votre histoire.
S : Donc, on a tiré. Il n’a absolument pas réagi. Il s’est juste arrêté, mais il n’a pas sursauté ou quelque chose comme ça. Il s’est retourné vers nous et on a tous crié. Ses yeux étaient blancs. Aucune pupille, ni iris. On a pas juste crié à cause ça. Il s’est retourné en souriant. Ses dents étaient bizarres. J’ai paniqué. Austin criait comme une petite fille pendant que les deux autres se pissaient dessus. Il est resté immobile 5 secondes avant de nous sauter dessus. Il a mordu le cou d’Austin très violemment. Moi et les autres étions paniqués. J’ai pris ma machette, au lieu de mon fusil, et je lui ai donné un coup vertical vers le crâne. Je ne regardais pas, je ne lui ai coupé que la joue droite, je crois. Il a commencé à hurler en se tenant la joue. Il est tombé à genoux en criant de plus en plus fort. On a attrapé Austin et on s’est cassés. On a parcouru une centaine de mètres avant de ne plus entendre ses cris. Vous savez ce qui m’a fait très peur quand je l’ai coupé?
I : Non…
S : Le sang n’a pas coulé de sa joue. Même pas une goutte.


Communication téléphonique entre Steve ***** et James *****, 14 août 2002, Sydney.

S : *appel*
J : Allô ?
S : Salut mon pote !
J : Ah, salut.
S : Ça va mec, t’as l’air stressé. Ta copine te prend encore la tête ou quoi ?
J : Nan, un mec bizarre me suit.
S : Bah là mec, calme-le. T’es une tapette ou quoi ?
J : Tu le vois pas. Il fait vraiment flipper.
S : Qu’est-ce qu’il a de bizarre ?
J : Il est juste… super grand.
S : T’es sérieux ? T’as peur de ça ? Tu fais pitié mec, haha.
J : Non, mais écoute… mec qu’est-ce que tu fais ?
S : James ?
J : *cri* Casse-toi ! Putain casse-toi ! *cri*
S : James ?!
J : *respiration rapide* Mec ! Appelle :inaudible:, pitié ! Je suis dans la rue :inaudible:!
S : Quoi ?!
J : Il va m’avoir avec ses putains de dents rouillées ! NON ! Laisse-moi ! *cri*
S : James ?! Putain, qu’est-ce qu'il se passe ?!
J : *rire inconnu*
S : Putain… *raccroche*

La police a retrouvé le corps de James sur le trottoir, couvert de morsures. Aucun suspect n’a été trouvé. 

 

Description d'une vidéo filmée par une caméra de sécurité à Toronto, datée du 14 novembre 2005.

Une femme se dirige vers sa voiture stationnée dans un parking. Elle semble inquiète et plutôt pressée de rentrer dans son véhicule. La femme insère ses clés dans la serrure et ouvre la portière. Elle regarde derrière elle et se dépêche d'entrer. Elle tente de démarrer son véhicule, mais elle n'y arrive pas. Un homme blanc, chauve et très grand s'approche de la voiture. Il casse la vitre et tire les cheveux de la femme. Sa bouche est grande ouverte, ce qui laisse supposer qu'elle hurle. L'homme mord l'épaule de la femme. Elle se laisse tomber par terre. L'agresseur se place sur sa victime et mord son cou avant de recracher un morceau de chair. Il recule, regardant le sang gicler de la plaie béante, avant de fixer la caméra en souriant. Ses yeux sont complètement blancs. Une tache sombre est présente sur sa joue droite. Il écrase la poitrine de la femme avec son pied avant de partir. La pauvre victime agonise pendant 7 minutes avant de mourir. Tout ceci s'est passé à 22h21, dans un parking désert.


Topic trouvé sur un forum, publié le 12 février 2009 à Nancy

Mon histoire peut paraître incroyable, mais je peux vous jurer que ça m'est arrivé. C'est arrivé il y a 4 mois. Je suis rentré chez moi après une journée
de cours épuisante. Dès mon arrivée, je me suis jeté sur mon lit pour dormir. J'allais rester seul toute la soirée. Je me suis endormi très profondément. 
J'ai été réveillé par un bruit bizarre. Je me suis levé et j'ai regardé dans mon couloir. Je l'ai vu, se tenant devant ma porte, avec son horrible sourire montrant ses putain de dents rouillées. Sa joue aussi avait l’air rouillée! J'ai sursauté et j'ai tenté de refermer la porte. Il était beaucoup trop fort. Il est entré dans ma chambre en riant. Il savait que je ne pouvais pas m'échapper. J'ai décidé de faire un truc fou. Je ne pensais pas aux conséquences que ça pourrait avoir, je voulais juste vivre. J'ai décidé de sauter par ma fenêtre. Je me suis juste lancé par l'ouverture et j'ai espéré que les buissons en bas amortissent ma chute. J'avais vu trop de films américains. 
En atterrissant, j'ai hurlé de douleur. Les branchages m'avaient ouvert une grande partie de la jambe. Le sang coulait de partout. J'avais l'impression que mes chevilles avaient explosé. Je saignais de partout. J'ai un peu rampé et j'ai continué de crier à l'aide. Les voisins sont sortis de chez eux et me sont venus en aide. Mon agresseur avait disparu. Je boite depuis ce jour et j'ai une horrible cicatrice sur la jambe gauche. Je ne l'ai pas revu depuis, mais j'ai le mauvais pressentiment qu'il reviendra. Si vous avez une idée de ce qui m'a attaqué, je suis tout ouïe.

Toutes les réponses le traitaient de menteur, d'idiot et de fou. 

 

Interrogatoire d'Amish *****, témoin du meurtre d'Aventika ***** le 24 octobre 2013 à New Delhi.

N-B: I= Interrogateur A= Amish

I: Monsieur *****, j'aimerais que vous me racontiez, en détail, ce que vous avez vu.
A: Oh mon dieu... comment un être humain peut faire ça à un autre être humain... c'est juste... inhumain !!
I: Monsieur, calmez-vous.
A: Vous n'avez pas vu cette pauvre femme se faire dévorer par un monstre !
I: Dans mon métier, j'en vois des horreurs. Mais j'ai besoin que vous me racontiez ce qu'il s'est passé pour qu'on attrape ce fumier.
A: Ok, ok
. *souffle* Je sortais du travail et je marchais jusqu'à chez moi. Comme j'habite loin du centre et que je sors très tard, je ne croise pas beaucoup de monde. J'étais presque arrivé. Puis, j'ai entendu des bruits de mastication dans une ruelle. J'ai regardé dans la ruelle et j'ai vu un grand homme couché sur une femme. J'ai d'abord pensé à un violeur. Je n'allais pas laisser cette pauvre femme se faire violer. J'ai pris une barre de métal sur le sol et j'ai couru vers l'homme. Il m'a regardé et je lui ai frappé le visage avec. Pendant qu'il était sonné, je me suis tourné vers la femme pour lui venir en aide. Mais elle ne se faisait pas violer, elle se faisait manger ! C'est à ce moment que j'ai compris les bruits de mastication. Cet homme, ou plutôt ce monstre, la mangeait ! J'ai failli vomir... Le meurtrier s'est levé et m'a souri. Ses dents... ses putain de dents rouillées..., ses yeux blancs et sa joue rouillée aussi. Je comprends pas pourquoi les dieux ont créé ça. Je...
I: Monsieur ?
A: Je ne me sens pas très bien. Je crois que... [Le témoin s'évanouit.]
I: Monsieur ?! Merde... Abba ! Aide-moi à le transporter à l'infirmerie.

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Ceci était la dernière attaque répertoriée de l'homme aux dents de fer. Beaucoup de questions restent en suspens.

Je ne peux donner aucune réponse, car je suis aussi ignorant que vous. Je ne peux vous donner qu'un conseil : faites très attention. Si vous voyez quelqu'un correspondant à la description, partez. Immédiatement.


22 commentaires:

  1. Pas mal ! J'aime beaucoup seulement dommage qu'il y ait un aussi grand nombre de témoignages qui ne différent pas (a part le lieu et la victime) peut quelques éléments originaux dans les derniers récits pour plus de dynamisme... Bisous :*

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  2. J'aime bien, mais comme l'anonyme du dessus je trouve ça dommage qu'il y ait beaucoup de commentaires pour au final pas grand chose, et la fin est un peu brusque. :c
    Je veux dire, les témoignages/vidéos/etc me tenaient en haleine, et au final c'est juste "C'est tout ce qu'on sait du coup si vous le voyez bah fuyez". Mais j'aime quand même hein >w<

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  3. Je ne l'ai pas encore lut mais le titre me fait penser a razor Jim!

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    1. moi à requin dans james bond

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    2. Absolument la même de chez même!!
      give me five!!

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  4. Creepypasta très pauvre
    "Olala il y a un gran mechan"
    "Olala il a pa diris"
    "Olala il ma tué"
    "Olala il y a un interogatoir"

    Et rebelotte

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    1. Je suis bien obligé de l'admettre, je me suis cassé les dents et arraché les cheveux à essayer de remettre ce truc à niveau.

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    2. T'aurais pû corriger la partie avec l'interview niaise et revu 30 000 fois ainsi que irréaliste de la gamine aussi, je serrai les poings pour pas me téléporter à la Slenderman devant l'auteur pour le ******

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    3. C'était pas assez de travail comme ça, bien sûr

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  5. GNEU C'EST NUL J'AI PAS COMPRIS

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  6. Réponses
    1. moi je vois pas comment personne y a pensé le mec c'est un vieux Terminator car il saigne pas il pète des vitre sans ressentir la douleur il a pas d'émotion mais il a pas de gun

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  7. Personnellement j'ai adoré. Il y a du gore et tout et même si les témoignage se répetent c'est sa qui crée la creepy donc très bonne histoire!!;)

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  8. Génial je lis ça pendant que je rentre chez et la je me retourne avec le numero des flics tellement je flippe

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  9. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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  10. En fait c'était Joey Starr

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