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dimanche 15 mars 2015

Mon frère (11/11)



Extrait du cahier #4 : «La guérison par la foi, part. III ».

Je crois que je me bats contre la dépression depuis longtemps maintenant.

Vous avez déjà fait un long trajet en bus sans avoir de destination précise ? N’importe quelle ville avec des bus est parfaite pour ça. Les sièges de bus vides la nuit sont les choses les plus tristes qui soient. C’était devenu une sorte de hobby pour moi de m’asseoir là et de regarder
passer le décor de la ville.

Il est devenu facile pour moi de me déconnecter complètement du monde et de ses problèmes. J’ai une compréhension parfaite de mes responsabilités, des choses que j’ai à faire, des attentes de ma famille et tout. Mais je les repousse au fin fond de mon esprit. C’est comme si j’étais dans le brouillard. Cet hiver là je me suis assise tôt le matin dans l’herbe mouillée devant chez moi juste en regardant le décor fixe.

Je suis allée chez F. dans cet état d’esprit.

La maison est belle dans le genre délabré. C’est hors des sentiers battus, dans une rue abandonnée, qui donne sur le 5ème district. Le portail en fer noir à l’entrée la fait ressembler à un manoir hanté comme on en trouve en Europe. Le garde a remarqué ma présence et m'a ouvert le portail.

Je ratais encore les cours. Plus tôt dans la semaine j’avais déjà prévenu mon chef que je démissionnerais à la fin du mois. J’étais juste une interne de toute façon. Je pourrais trouver du travail autre part si je le voulais. Il m’avait regardée d'un air sévère en me disant qu’il était déçu. Je ne pense pas que j’étais très bonne au travail pourtant.

Je marchais dans le parc sur le chemin qui mène à la porte d’entrée de F. quand j’ai senti un tremblement dans mes jambes et un goût sucré bizarre dans ma bouche. C’était une sorte d’anxiété.

Il a ouvert la porte au moment où j’allais frapper. Il avait l’air de ne pas avoir dormi.

On a parlé de tout et de rien pendant un petit moment et il jouait avec ses cheveux. Mais quand on s’est assis dans le salon, avec le lecteur de musique poussiéreux et les bibliothèques pleines de toiles d’araignées, il s’est lâché. Il a sangloté. Je ne l’avais jamais vu dans cette état là. Je ne savais pas du tout comment réagir pendant les premières minutes. Je me suis juste assise en sirotant le café qu’il m’avait apporté. J’ai regardé nerveusement autour de nous pour voir si son père arrivait, ou peut-être X., mais
à part nous la maison semblait vide. Je lui ai finalement demandé de se calmer mais il était abattu.

Il a enfin arrêté de pleurer et m’a expliqué ce qui s’était passé plus tôt ce matin. Il s’était réveillé et X. avait disparu avec la plupart de ses affaires, sauf quelques-uns de ses vêtements. Le lit où il avait dormi était renversé et faisait face au mur, comme si il avait été renversé par un vent puissant. F. dit qu’il avait entendu des bruits bizarres la nuit d’avant.

Il m’a ensuite amenée au patio. J’ai reculé de quelques pas, en essayant de réfléchir à tout ça. Quand il a ouvert la porte de la cuisine, une odeur puissante m’a frappée. C’était l'odeur de la décomposition.

Drogo, le chien de F., gisait au milieu du patio. Un pigeon essayait d’arracher son œil gauche.

J’ai instinctivement reculé et effrayé l’oiseau. Je m’étais
rapidement habituée à l’odeur. Drogo n’était pas mort depuis longtemps. J’ai observé son corps gris. Il n’y avait aucune marque visible. Je me suis tournée vers F. qui avait l’air mortifié.

Il a dit qu’il avait découvert le corps ce matin. Il n’avait pas eu le cœur de le bouger. Je lui ai demandé si quelque chose d’autre manquait. Il m’a dit que l’œuf avait disparu.

Je ne voulais pas croire à ce qu’il pensait.

Après le choc initial on est allés se promener dans la propriété et on a observé le portail, les murs, la porte de derrière. Aucun verrou n’avait été cassé et il n’y avait aucun signe d’effraction. Le père de F. avait un garde qui surveillait l’entrée jour et nuit. Ça semblait impossible que quelqu’un soit rentré sans que personne ne le remarque.

On a erré pendant une heure, cherchant une explication. Il m’a dit qu’il ne l’avait dit à personne à part moi. Il savait qu’il devrait le dire au reste du groupe, mais il voulait de l’aide sur quelque chose d’autre en attendant. Il voulait que je l’aide à incinérer le corps de Drogo.

La proposition semblait un peu morbide, et j’étais dégoutée à l’idée de toucher le corps. Mais F. avait l’air tellement abattu que je n’aurais pas pu dire non. Je savais que je n’irais pas en cours après ça ; j’étais déjà en train de rater mon année de toute façon. J’ai dit oui.

On a fait notre possible pour faire les choses respectueusement. Le corps était très lourd, alors on a dû utiliser le diable rouillé trouvé dans un coin du jardin. On a enfin mis le corps dans le fourneau, et F. a fermé la porte et allumé le feu.

Si F. avait vécu plus près de la ville, on aurait sûrement eu une douzaine de plaintes des voisins pour l’odeur et la fumée. C’était épais et noir, impénétrable. J’ai protégé mes yeux et couvert mon nez mais je ne pouvais détacher mes yeux du ciel, sur la colonne de fumée. F. restait silencieux à côté de moi. Ça a brûlé pendant une heure. On a pas dit grand chose.

Quand ça s'est terminé, F. m’a remerciée et m’a demandé si je voulais rester. Je me sentais bizarre à propos de tout ça. J’ai dit que je devais aller en cours et je suis partie. Il est resté sur le patio, là où il avait trouvé le corps de Drogo. J’ai fermé le portail derrière moi.

Mes habits sentaient la fumée. Puis ça m’a soudain frappé : X. avait disparu, quelqu’un était entré dans la maison de F. la nuit dernière et il était peut-être en danger. J’ai pensé à appeler F. et lui dire d’aller dormir à l'hôtel pendant quelque temps. Mais quand je suis rentrée chez moi, je me suis sentie mal et je suis tombée dans mon lit.

Je ne me souviens pas de mes rêves.

Je me suis réveillée à minuit, j’avais dormi 12 heures. La seule lumière dans ma chambre venait de mon téléphone. J’avais reçu une bonne vingtaine de messages de B., F., E., A. et N.
Ils disaient tous la même chose bien sûr. Le corps de X. avait été trouvé sur le rivage.


[FIN]




Court échange avec A. au port.

Le garçon appelé A. dans les cahiers a maintenant 31 ans. Je n’ai pas pu apprendre grand-chose de lui. Il était dans le même collège et lycée que mon frère, mais il a été viré en 1997 et a eu son diplôme en 1999 dans une école différente. Il a passé l’examen d’entrée d’une université et a étudié l’ingénierie industrielle. Apparemment il aurait remporté trois championnats de Valetudo à la suite, en 1998, 1999 et 2000. Il bosse maintenant en tant que superviseur dans une compagnie de transport maritime qui appartient à son père. Il ne s’est pas marié.

Ça n’a pas été très dur de le trouver, au port un matin d’été. Il ressemble beaucoup à l’adolescent qu’il a été, mais il a des cheveux plus courts et cet air fatigué qui vient avec le temps. J'ai remarqué une marque noire qui est une partie d’un tatouage plus grand en dessous de sa chemise.

Je me suis présenté à lui en temps que petit frère de B. et il m’a presque immédiatement reconnu. Il m’a pris dans ses bras et m’a demandé comment allaient ma famille et mes études. Puis A. s’est souvenu de mon frère et a regardé la mer pendant un instant, d’où un épais brouillard venait. J’ai dit que je voulais lui poser quelques questions sur un projet de famille que je faisais pour le cours d’arts plastiques. C’était une excuse bidon mais il m’a cru.

On s’est assis sur la terrasse d’un des nombreux cafés du port. A. a déserré sa cravate et a croisé les bras, s’adossant à sa chaise. Un groupe de mouettes festoyaient des poissons déchiquetés à quelques mètres de nous. Je me suis souvenu qu’il était un homme de parole pendant son adolescence, mais les années avaient l’air de l’avoir ramolli.


Tu as connu mon frère pendant presque toute sa vie, non ?
Oui... On est devenus amis en maternelle, et on est resté amis jusqu’à l’université. À partir de là on n'a plus pu se voir autant mais on y arrivait parfois.


 

Je sais que ça peut paraître bizarre, mais qu’est ce qui fait que vous vous entendiez si bien ?
On... on avait le même sens de l’humour... je pense. Nous étions dans un plus grand groupe, ce qui était mieux.
 

Quel plus grand groupe ?
Ben, tu te souviens probablement de nous quand on allait voir ton frère quand tu étais plus jeune. On était toujours avec T., F., E...
 

Je me souviens de tous ces gens.
T. et F. étaient aussi à l’université avec nous. Tous les quatre, on a continué de se voir après avoir eu nos diplômes. On a tous étudié quelque chose de différent bien sûr, alors on ne les a pas eus en même temps.
 

Tu as des nouvelles de T. et de F. ?
Je sais que T. est à New York. Après qu’elle ait laissé tombé le droit, ses parents l’ont envoyée dans une école de design, et je crois qu’elle s’est faite embaucher rapidement.
Je ne sais pas grand chose de F... En 2006 il est parti au Honduras pour y vivre et bosser dans le social un moment. Il me donnait des nouvelles tous les mois, de vraies lettres, par la poste. Puis il est allé en Afrique pour prendre des photos pour un magazine, du coup j'ai entendu parler de son père. J’ai eu une réunion de business avec lui il y a une semaine, d’ailleurs. Il possède la moitié de cet endroit après tout.
 

Et E. ?
E. est partie en Europe la dernière année de lycée... Personne n’a de nouvelles d’elle depuis. Je crois que T. a quelques mails mais c’est tout.
 

E. était la fille que F. aimait, non ?
[rires] Oui... Je ne peux pas croire que tu te souviennes de ça.
 

J’essaye de me souvenir d’une autre personne qui trainait avec vous.. Son nom commençait par un N ?
Oh... oui, c’était N. Il était à peu près pote avec nous les deux dernières années de lycée, mais je ne l’ai pas vu beaucoup puisque j’ai été viré.
 

Euuh, pourquoi tu as été viré déjà ?
[rires] Je me suis battu.
 

Et... Que fait N. maintenant ? Tu le sais ?
[raclement de gorge] Il est mort, en 2006, dans l'incendie du supermarché.
 

Je vois... il y avait d’autres gens avec vous ?
C’est à peu près tout... D. était avec nous parfois, tu te souviens probablement d’elle, une rouquine. Je ne pense pas que tu aies rencontré K.



Je crois que si...
Vraiment ? K. était très bizarre.. elle ne sortait pas beaucoup. Je crois que c’est vraiment tout.
 

Attends, K. c’est celle qui a failli faire exploser la chaufferie de l'école ? Ils parlaient  encore de ça quand j’étais au lycée.
[rires] Oui c’était elle. Je suis sûr qu’elle ne l’avait pas fait exprès.
 

Qu’est ce qu’ils font maintenant ?
Pas grand chose... D. est retournée vivre en Angleterre avec ses parents après ses études, et K. a en quelque sorte disparu... Même si je pense qu’elle vit encore ici.
 

Je me souviens aussi d’un autre mec... Il avait un look... spécial. Je ne me souviens plus très bien de son prénom...
Qui ? [Longue pause] Dis-moi la vérité, qu'est-ce que tu cherches à savoir ?
 

Je voulais juste confirmer les souvenirs que j’ai de mon frère et de ses amis... J’ai rêvé de ça dernièrement, comme des souvenirs d’enfant enfouis très loin.
[Pause] Je crois que ton frère était ami avec un mec de l’école qui a eu pas mal de soucis... Je crois qu’il est mort.
 

Tu te souviens de son nom ?
Pas vraiment.
 

Et ... que faisiez vous dans le groupe ?
Bah, des trucs d’ado...
 

Des magasins de musique ?
[Pause] Pas de magasins de musique, je pense pas, pourquoi ?
 

Juste comme ça, je pense que c’est tout. [CLIC]
 
[fin de l'interview]



 

Je n’ai pas grand chose à dire. A. était sur la défensive à la fin de l’interview. Je me demande s’il savait que j’avais trouvé les cahiers.

Peut-être que tout ça était de la fiction, et que A. était juste embarrassé que j’aie trouvé leur travail collectif...

Ou bien il ne voulait pas me dire qui était X. tout simplement.

À part K., il semblerait que A. soit le seul membre du groupe encore vivant en ville. Contacter quelqu’un d’autre serait difficile.





Et c'est la fin. Elle se termine un peu en queue de poisson... On va supposer que LB aura fait une mauvaise rencontre avant d'arriver au bout de ses recherches.

21 commentaires:

  1. Hmmm, cette fin me laisse sur ma... faim !
    J'aurai préféré que ça continue :(

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  2. Svp vous pouvez inventer une fin? Juste parce que là, sa s'arrête trop brusquement ;(

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  3. Y a-il quelqu'un qui pourrai me résumer les grands points de l'histoire? (car j'ai pas tout compris ^^)

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  4. Cool, enfin finie, je vais pouvoir la commencer :p

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  5. La fin n'est pas terrible... :l

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  6. Creepypasta qui aurait pu être très bonne sans la fin... Finalement, elle ne vaut pas Ted the carver.

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    1. Personnellement je trouve que si on la prend comme une série, elle développe quelque chose de beaucoup plus riche que Ted the Caver. Tout plein de mentions obscures qui ne mènent nulle part, juste pour donner de l'épaisseur et du réalisme. Le truc à quoi on peut s'intéresser après la lecture. On ne ferme pas toutes les portes à la fin du récit. C'est pas conçu comme une fiction à la con, avec une conclusion artificielle. C'est comme dans la vraie vie. Et cette fin abrupte c'est juste parce que LB n'a rien pu savoir de plus. Je crois qu'on ne peut pas imaginer plus creepypastique.

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    2. Et puis, "sans la fin"... est-ce que tu veux dire qu'elle aurait dû ne jamais se terminer? :)

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    3. Non tu as mal lu, j'ai dit "sans la fin" vu que la fin n'apporte rien et que je déteste ce genre de fin voulant que l'on imagine la fin alors que c'est juste pour camoufler un manque d'imagination dans ce cas présent.

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    4. Oui justement, il aurait fallu couper où d'après toi?

      Perso, je suis prêt à accepter des non-fins comme celles-ci, d'autant que ça ne semblait même pas conçu comme une fin. Le mec n'a plus rien à dire et passe à autre chose, c'est merveilleusement naturel en fait. Tout le monde ne veut pas passer sa vie à tenir un blog. Il n'y a pas de climax à attendre, dès le départ il ne faisait que retranscrire des fragments en désordre sans s'impliquer plus que ça. LB a évité la théâtralisation et je trouve ça génial.

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    5. J'aime bien la théâtralisation perso, ce sont juste mes préférences, une pasta aussi bonne soit elle ne peut pas plaire à 100% des gens. Et le débat n'a pas lieu d'être.

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    6. Pourquoi on peut pas parler de nos goûts ?

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  7. Je trouves en effet que la fin est un tout petit peu légère!
    Même si j' ai adoré la tournure qu'elle à pris!!
    Cette pasta n'en reste pas moins excellente!!!!
    Elle m'a pas mal fait penser ( à tort ou à raison a vous de me le dire) a "It" de Stephen King!!
    Donc forcément un bon moment!!
    Un grand merci aux ou au traducteur(s) pour leur colossal travail!!!!

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  8. Je sais que c'est hors sujet mais dans quelques jours il y aura une éclipse solaire (le 20 mars 2015)
    Et je me suis dis que ce serai peut être une bonne idée de faire une creepypasta bien paranormal pour que l'on redoute ce jour comme l'apocalypse dessus...mais j'imagine que faire une assez bonne creepypasta demande un peu de travail alors vous n'êtes pas obligés mais c'était simplement une petite suggestion...

    Si vous voulez répondre à ce commentaire sans mettre anonyme de machin vous pouvez répondre au pseudonyme de: Oni Linka
    Bonne journée et je vous souhaite bonne inspiration !

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  9. J'vais m'exprimer sincérement j'ai adoré cette pasta mais je souhaite que l'auteur aille se faire enc... nous pondre une pasta de dingue et nous laisser sur notre faim ? qu'il crève en enfer

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  10. J'ai mis un moment à me décider à lire cette pasta, en raison première de sa longueur. Je n'avais pas forcément le temps et je n'apprécie pas, lorsque j'ai le choix, de remettre les choses à plus tard. J'ai donc tout lu d'une traite quand j'ai eu quelques heures devant moi, et je dois dire que je l'ai trouvé vraiment vraiment très bonne.
    Je ne me suis pas ennuyé à un seul moment, j'ai adoré l'ambiance, les personnages, l'écriture, et même la fin. Je ne suis pas forcément pour des explications systématiques, car comme dit dans certains commentaires, je trouve que cela pousse encore plus au réalisme,, et là en l’occurrence, je ne me suis pas du tout senti sur ma faim. Juste peut-être un peu dégoûté de l'avoir terminé (même sentiment qu'après un bouquin au final).
    Dans un des commentaires, la personne compare cette pasta à "It" de Stephen King. Je suis entièrement d'accord, et je trouve que dans l'ensemble, ça s'accordait parfaitement avec l'univers général de King ce qui ne m'a fait qu'apprécier davantage le texte.
    Un grand bravo pour la traduction, c'est vraiment du très bon travail.

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  11. tres bonne pasta qui cache un mystere, j'aurais voulu en savoir plus sur le clan de l'adoration car selon moi c'est la clé de l'histoire, bref je trouve que ca ferait une excellente série télé

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  12. Je trouve cette passa génial et la fin permet de ne pas mettre fin à toute les idée qu'on peut se faire.

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  13. Cette histoire nous laisse un sentiment d'inachevé. C'est volontaire bien sûr, mais c'est l'appel à une suite... Ceci dit, les suites en général sont beaucoup moins bonnes que les premiers volets. Et pour cause, la première partie d'une histoire a pour but de composer l'ambiance, nous présenter les perso et une description spatio-temporelle qui donnera le contexte pour le dénouement de l'histoire. Le tout est mené avec brio! C'est une chouette nouvelle qui mériterait une publication!
    Comme dans "ça", voulez-vous vraiment connaitre la suite de l'histoire?

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  14. Dommage que la fin soit si volatile... M'enfin, pas grave, GG tout de même pour le monstrueux travail que vous avez abattu ! :-)

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