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jeudi 7 janvier 2016

Les Êtres Aimés

Sujet : Les Êtres Aimés
CulturistSauron
MP
Citer Alerte
06 décembre 2015 à 23:59:49

Salut  les poulets ! Je poste ce message pour vous faire part d'un truc que  j'ai trouvé il y a quelques jours. Ma famille a un manoir assez ancien,  et depuis quelques temps on a essayé de le vendre. Du coup, on est allés  récupérer quelques affaires de famille, pas mal de breloques sans  intérêt, mais j'ai trouvé un journal qui a l'air assez vieux.

La  majeure partie est vide, et y'a qu'une dizaine de pages remplies. Il  appartenait apparemment à un ancêtre lointain, et, curieux comme je  suis, j'ai voulu en apprendre un peu plus sur lui. J'ai juste trouvé des  trucs assez étranges, mais bon, le mec n'avait pas l'air d'avoir toute  sa tête vu l'opium qu'il se farcissait.

J'ai quand même envie  d'avoir votre avis, je vous recopie donc les moments intéressants (les  passages chiants - genre toute la journée du 4 janvier - ça vire, allez  hop !).


1 Janvier 1869 :

Je commence  cette nouvelle année comme j'ai terminé la précédente : seul. Le docteur  Hanstrom m'a conseillé d'écrire un journal pour y consigner mes doutes,  mes peurs, mes sentiments. Pourquoi pas, après tout ? Je n'arrive plus à  rien écrire depuis des mois, depuis l'incident... Peut-être devrais-je  commencer par le commencement.

Je me nomme Elias Darcy, écrivain  de mon état. J'ai à mon actif quelques romans à succès qui ont parcouru  les clubs de lecture de Paris pendant un temps. Et comme tout succès,  viennent les excès. J'ai passé plus de temps l'esprit embrumé par les  vapeurs d'opium qu'une plume à la main. Pourtant, j'avais une famille,  que j'aimais plus que tout. Amanda et Charles étaient les plus beaux  cadeaux que la vie m'ait apportés, mais je ne le voyais pas. Et un beau  jour... Le Tout Puissant a repris mon bonheur. Suis-je lâche de rejeter  la faute sur Dieu quand j'ai forgé mon propre malheur avec mes vices ?

Charles  est mort. Je l'ai écrit. Hanstrom m'a dit que c'était le premier pas  vers l'acceptation. Le voir noir sur blanc laisse mes larmes couler sur  mes joues. Peu de temps après, Amanda est retournée vivre chez ses  parents. M'étais-je trop réfugié dans ces plaisirs à double tranchant  dans lesquels je me confortais ?

Je sais que c'est mal... Mais j'en ai besoin. En une bouffée, j'oublierai tout pour quelques heures.

2 Janvier 1869 :

Cette  nuit, je me suis réveillé en sursaut. L'opium avait fait ses effets  très tôt dans la soirée, et j'ai passé une nuit affreuse. Je l'ai vu.  Charles était devant mon lit, il sanglotait, voulant que je le  réconforte. Je ne supporte plus ces cauchemars... Mais il semblait si  réel. J'ai voulu le prendre dans mes bras, et il s'est enfui en courant.  Je l'ai alors suivi dans la maison, mais quelque chose y avait changé.  Les visages des tableaux pleuraient du sang et tous me regardaient d'un  air accusateur.

Une fois au sous-sol, à bout de souffle, il est  passé par une porte que je n'avais jamais vue auparavant, menant à une  multitude de couloirs sombres et froids, comme la mort. Au bout de son  parcours, je l'ai aperçu rejoindre une femme. Amanda. Ils m'ont regardé,  du sang coulant de leurs yeux, de leurs oreilles, de leurs nez. Cette  vision d'horreur m'a glacé le sang. Je me souviendrai toujours de la  voix qui s'est élevée de leur bouche cadavérique : "Pourquoi nous as-tu  abandonnés ?"


Je commence à devenir fou, j'entends leur voix  partout, je sens leur regard sur moi, constamment. À mon réveil, je  suis descendu au sous-sol. Évidemment, je n'y ai trouvé qu'un mur  massif. Ce n'était qu'un cauchemar, après tout. J'ai quand même pu  remarquer un étrange petit symbole en plein milieu des briques. Un œil à  l'intérieur d'une étoile. Sûrement un des domestiques qui s'était  amusé.

Je vais devoir me préparer, mon ami Leone vient me rendre  visite. Je ne sors plus vraiment de chez moi, à part pour lui rendre  visite, ou pour parler au docteur Hanstrom. Comment le monde extérieur  pourrait-il comprendre ce que je vis ?


Quelque chose  d'étrange s'est passé avec Leone. Il m'a demandé si j'avais modifié les  tableaux de mon bureau. Je lui ai répondu que j'avais autre chose à  faire que de penser peinture, mais il m'a fait remarquer le changement  dans le regard de notre famille. Sur cette grande toile était  représentés Charles, Amanda et moi. Autrefois joyeuses, nos expressions  semblaient tristes, et on pouvait déceler quelques larmes dans nos yeux,  tandis que notre fils fermait les yeux.

J'ai fait comme si de  rien n'était, mais un frisson glacé m'a parcouru l'échine. Leone a dévié  la conversation devant mon malaise en m'invitant à une soirée mondaine  organisée par un de ses clients, Saalim Rahman, riche homme d'affaire  venu d’Égypte. Malgré mes réticences, il est parvenu à me convaincre, en  disant que cet homme désirait me rencontrer, étant amateur de mes  ouvrages. J'avais, de toute façon, besoin de sortir au plus vite de  cette maison de malheur. Je noterai demain un compte-rendu de la soirée.  Hanstrom appréciera que je sorte de chez moi, pour une fois.

3 Janvier 1969 :

Quelle  soirée éprouvante. Je viens tout juste de me réveiller et me voilà à en  noter ces événements, pour ne rien oublier. Peut-être pour me prouver  que tout cela s'est vraiment passé.

À peine arrivé dans l'immense  "maison secondaire" de monsieur Rahman, Leone et moi étions ébahis  devant le luxe dont il s'entourait. Un majordome est venu nous  accueillir, et nous avons retrouvé l'égyptien dans son salon, entouré du  gratin parisien, riant à ses traits d'humour.

Il avait une  apparence soignée, de longs cheveux d'un noir de jais plaqués en  arrière, de nombreux bijoux et apparats. Malgré son air amical, à  l'instant où nous sommes entrés dans la pièce, j'ai senti son regard se  fixer sur moi. D'un geste de la main, la foule amassée autour de lui  s'est dissipée, et il s'est approché de nous, nous serrant la main  longuement. Il m'a parlé de banalités à propos de mes ouvrages, des  questions auxquelles j'avais l'habitude de répondre, puis il a demandé à  Leone de nous apporter quelques rafraîchissements.

Et à cet  instant, l'atmosphère a changé. En tête à tête, j'ai pu remarquer son  sourire presque malsain, son regard beaucoup trop aimable pour être  honnête. Paranoïa ? Soupçons fondés ? Je n'en sais rien. Il a passé son  bras autour de mon cou et m'a parlé des êtres aimés. Ceux que l'on perd,  ceux qui nous fuient. Pourquoi aborder ce sujet, et comment savait-il  qu'il m'était si cher ? Aurait-il eu un rapport avec le départ de ma  femme ? Ou pire, la mort de mon fils ? Et le plus étrange était le  médaillon qu'il portait. Un œil à l'intérieur d'une étoile.

En  rentrant, j'ai fait le même rêve. J'ai revu Charles, et ma femme. Enfin,  puis-je encore l'appeler ainsi ? J'ai pu avancer plus loin dans le  labyrinthe, porté par leurs appels à l'aide, mais jamais je ne les  rattrapais. Jusqu'à ce que je rencontre un homme d'apparence, vêtu  d'ombres, un sourire carnassier luisant dans les ténèbres, sans visage. À  son cou pendant un médaillon dont le symbole m'était dorénavant connu.  Paralysé par la peur, je ne pouvais pas fuir devant lui et me réveillais  en sursaut alors qu'il approchait ses innombrables rangées de dents de  moi.

Tout ceci ne devait être qu'une coïncidence, un bête  incident de ma vie sur mes rêves... Mais pourquoi avaient-ils l'air si  réels ? Et son rire me glace encore le sang, même éveillé.

4 Janvier 1869 : 

Je  me force à rester éveillé dans l'espoir d'échapper à ce rêve effrayant.  Je ne peux supporter la vision d'un Charles ensanglanté. Et cette  créature, qu'était-elle ? Je me suis précipité à la demeure de Rahman  pour en apprendre plus sur ce symbole étrange qui me hantait jusque dans  mes cauchemars. Il m'a accueilli avec grand plaisir, mais ne cessait  d'esquiver mes questions, préférant me parler de mon prochain ouvrage.  Comme si écrire un stupide livre m'intéressait en des temps aussi  troubles !

Alors que son majordome, dont le regard sans vie me  mettait mal à l'aise, me raccompagnait à la porte, Rahman m'a annoncé  qu'il n'était là que pour apporter sa pierre à l'édifice. Et me voilà,  essayant de comprendre ses phrases énigmatiques, luttant contre le  sommeil. Le rire de cet homme me réveille à chaque fois que ma  conscience s'effondre quelques instants. Puis-je réellement appeler  cette abomination un homme ?

5 Janvier 1869 :

Je  perds pied. Je devrais arrêter les narcotiques ingérés, mais j'ai  l'impression que ce sont les seules choses qui me font tenir debout. Les  deux amours de ma vie sont partis, et je ne distingue plus réalité et  délires. J'ai entendu des bruits de pas dans la salle de jeu de Charles,  mais elle était vide. Son petit cheval tanguait comme si quelqu'un  venait de s'y poser. Mais j'étais seul. Alors, j'ai regardé par la  fenêtre, et je l'ai vu.

Rahman. L'égyptien se tenait devant chez  moi, caressant son médaillon, me souriant de toutes ses dents. Il venait  me narguer, observer son "édifice". Je me suis précipité dehors, mais  il n'y avait plus personne. La folie s'est emparée de moi, et j'ai pensé  à la phrase de Rahman. Une pierre ? Serait-ce un indice dans son jeu  dément, visant à briser mon esprit ? Je devais savoir coûte que coûte ce  qui se cachait derrière ce symbole, derrière cette porte.

J'ai  couru vers mon sous-sol, ai attrapé la première chose sous la main et ai  commencé à attaquer les briques. Je suis loin d'avoir terminé, mais  c'est ma seule solution. Et à chaque fois que je frappe ce mur,  j'entends ce rire inhumain de nouveau. Quelque chose m'épie, mais quoi ?  Je vais me coucher, et peut-être que demain, tout ira mieux. Ah, si  seulement.


J'ai froid. Papa essaye de casser le mur. Il  s'arrête parfois pour pleurer. Je lui dis que ça va aller, mais il ne  m'entend pas. Le monsieur me dit qu'il arrêtera bientôt de s'amuser avec  mon papa, une fois qu'il aura eu son repas. J'ai hâte que ça soit mon  tour !


6 Janvier 1869 :

Mes mains  tremblent alors que je lis la page précédente. Je n'ai aucun souvenir  d'avoir écrit cela. Mais mon fils ne peut pas être toujours là ! Il est  mort ! Je l'ai enterré ! Mon esprit me jouerait-il un sombre tour ? Je  suis bon pour l'asile. Mais pas avant d'avoir percé ce fichu secret !  Qui est ce monsieur ? Un repas ? Je n'y comprends rien, bon sang !

Charles, si tu lis ce journal... Tu me manques.

J'ai  repris quelque peu mes esprits après ma séance quotidienne d'opium.  Leone est venu, et je lui ai tout raconté, je lui ai montré le mur, le  symbole. Il m'a d'abord pris pour un fou, évidemment, qui ne le ferait  pas ? J'ai réussi à le convaincre de m'aider, et il m'a dit connaître un  professeur en sciences occultes. Peut-être avait-il déjà vu ce symbole  quelque part. La moindre piste m'aidera.

Il m'a fait promettre de  ne pas détruire d'avantage ma maison avant d'en savoir plus. Mais le  temps presse, et le rire se fait de plus en plus présent à chaque fois  que je ferme les yeux. Le "monsieur" se rapproche.


Maman est partie vivre ailleurs. Elle m'a abandonné. Seul mon papa est resté, parce qu'il m'aime.

7 Janvier 1869 :

Oui mon fils, je t'aime. Ta mère n'est qu'une sotte pour avoir quitté sa famille.

Leone  est revenu me voir, tôt dans la matinée, avec des nouvelles.  Apparemment, ce symbole représenterait Rahj'Mah, un être mystérieux,  tout puissant, qui se nourrirait des vices des hommes, de leur  désespoir, dans une croyance très ancienne. Il vivrait aux côtés des  esprits pour les utiliser sur les mortels. Mais les esprits, ça n'a  jamais existé, pas plus que les dieux ou quoi que ce soit ! Ce Rahman  doit me jouer un tour, je ne sais pas comment il fait, mais il veut me  pousser à la folie ! Il se joue de moi ! Je vais briser ce mur.

Que  se passe-t-il... Je l'avais enterré moi-même. Et pourtant, derrière le  mur... J'ai du mal à écrire, mes mains tremblent encore. Une puanteur  infecte s'en dégageait, et j'y ai trouvé un corps. Petit, habillé des  vêtements préférés de Charles. Son petit nez retroussé n'était pas  encore trop abîmé par la putréfaction, et il gardait son beau sourire.  Je l'ai pris dans mes bras, et j'ai pleuré toutes les larmes de mon  corps. Je l'ai allongé dans son lit et j'écris ces quelques lignes.

Il  ne me reste plus qu'une chose à faire, je sais que ce n'est pas bon  pour mon corps et mon cerveau, mais mes joues sont déjà creusées et mon  esprit est en morceaux. J'en ai besoin. Juste quelques bouffées, et tout  redeviendra normal...


Mon  papa est enfin venu me chercher après m'avoir caché dans le sous-sol.  Il faisait froid, mais je sais qu'il m'aime et qu'il voulait simplement  me garder près de lui. Maman a toujours tout fait pour nous séparer,  mais au moins nous serons ensemble grâce à lui. Il est allongé dans sa  banquette. Il tient sa pipe fétiche qui lui fait faire des rêves  rigolos. Le monsieur avec un médaillon est entré dans son bureau et  s'est penché vers lui avec sa grande bouche pleine de dents. Il m'a dit  qu'il avait fini son repas, et que mon papa pourra jouer avec moi pour  toujours, maintenant."




Voilà. Je ne sais pas  trop quoi en penser. Comme je l'ai dit plus haut, Elias est connu dans  ma famille pour avoir perdu la raison à la mort de son fils, dans des  circonstances assez mystérieuses. Je me demande quand même si un homme  aussi fou aurait pu monter ce récit de toutes pièces. Il semblait  clairement ressentir un malaise dans sa maison, et je dois avouer que  les quelques fois où nous sommes venus récupérer des affaires de  famille, j'ai eu l'impression qu'une ambiance malsaine y régnait.

J'ai  fait quelques recherches, impossible de trouver quoi que ce soit sur ce  "Rahj'Mah", ou même Saalim Rahman. Je veux dire, s'il était un  businessman important, il devrait bien en rester quelques traces, non ?  Pareil, rien n'indique comment le fils d'Elias est mort, ni même où il a  été enterré, et quand j'ai demandé à mes parents, ils se sont contentés  de se taire, et de me dire de ne plus m'intéresser à ce sujet.

Bref,  si quelqu'un a entendu parler de ça, on pourrait en discuter. Cette  histoire commence à me prendre de plus en plus la tête, et j'aimerais  bien y mettre un terme. Évidemment, le mur du sous-sol a été  reconstruit. L'agent immobilier doit passer dans la journée, je lui  demanderai s'il en sait plus sur l'histoire de cette demeure, mes  parents n'ayant rien voulu me dire. J'éditerai mon post si j'apprends  quelque chose d'intéressant.


Edit : J'ai discuté avec  l'agent, un certain monsieur King, un anglais sûrement. Il avait un air  très amical et a répondu à mes questions avec plaisir. Il m'a invité à  boire un coup pendant que nous discutions, j'ai d'abord hésité parce que  ça faisait quelques temps que j'avais arrêté, mais bon, il semblait  sympathique, et un petit verre de temps en temps ne peut pas faire de  mal !

Malheureusement, il n'a pas pu m'apprendre grand chose à  part les banalités habituelles. Il m'a juste assuré que c'était un lieu  convivial pour garder les êtres que l'on aime près de soi. Par contre,  alors qu'on se quittait, j'ai pu observer un truc assez étrange : il a  regardé l'heure sur une sorte de montre à gousset que j'ai entraperçue,  sur laquelle était gravé un œil au milieu d'une étoile.




27 commentaires:

  1. Genial, j'adore!
    Je la trouve très simpatique

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  2. La pasta est vraiment bien écrite, et l'histoire est originale et très prenante. De plus les chute (c'est rare qu'il y en ai deux :D) sont bien tournées et quelques peu subtiles. Le seul bémol est q'un cadavre ne parle pas, on ne peut donc pas qualifier une voix de cadavérique ;p une voix d'outre tombe à la limite ...

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    1. Jean Michel l'anonyme du dessus7 janv. 2016, 23:01:00

      Autant pour moi, on me dit dans l'oreillete que c'est la bouche qui est cadavérique ^^' C'est donc un sans fautes, WP :D

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  3. J'attendais les commentaires pour la relire car j'ai décroché, allez hop, on s'y remet jusqu'à la fin

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  4. J'arrive pas à accrocher, dommage :(

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  5. Bien écrite, sympathique à lire, l'histoire est prenante, mais j'ai pas aimé la dernière phrase. Autant la fin est bonne, autant je trouve que cette phrase casse un peu tout, c'est dommage :/
    Et il faudrait corriger la date du 3 Janvier, un bond d'un siècle dans le futur ça serait cool, mais faut pas déconner non plus ^^

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    1. Et puis "les passages chiants - genre toute la journée du 4 janvier - ça vire, allez hop !" j'ai pas trop compris non plus, elle y est la journée du 4 Janvier... ( désolé du double post)

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    2. Je crois qu'il voulait dire que certaines partties (du genre 12h-14h) sont ennuyeuses, du coup il n'a laisser que les bouts importants (16h-20h) ^^'

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    3. Je pense pas, il dit "toute la journée du 4 janvier"... Juste une erreur de la part de l'auteur, enfin c'est pas grave

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  6. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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  7. Une excellente pasta !! Une histoire énorme on accroche tout de suite ! Intéressante du début jusqu'à la fin

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  8. Assez bonne pasta, je trouve juste le langage pas assez soutenu par rapport à la date d'écriture :) Ex: "avec mes vices" serait mieux avec "par mes vices" ;)

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  9. très belle pasta, on ressent bien les sentiments du protagoniste, bravo à l' auteur

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  10. Il me semble l'avoir déjà vue quelque part ? Vous l'avez re-uploadée ?

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  11. Très bonne Creepy, j'aboie de frayeur bravo !

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  12. Waw, excellent ! J'ai adoré la double chute, très bien ficelé, bien écrit, bon suspense, bravo à l'auteur !

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  13. Excellente pasta ! J'ai accroché direct, la façon d'écrire m'a rappelé quand je les histoires des livres Chair de Poule... C'est pour ça que j'ai autant accroché à cette pasta :)
    Allez bisou ;)

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  14. J'adore cette creepypasta.

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  15. Enorme!Flippant à souhait, les creepypastas en ce moment sont cools!

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  16. Sympathique et bien écrite bravo ;)

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  17. Cette pasta me fait étrangement penser à un certain triangle de Gravity Falls... :')

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  18. Un bon rythme dans cet pasta, et cette fin ouverte laisse toute place à l'imagination. Quel délice.

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  19. pas mal j'aimerai bien savoir c'est quoi ce symbole

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  20. Une pasta à propos de l'Égypte... Ça ce serait génial !!! Genre Champollion aurait découvert des histoires morbides à travers les hiéroglyphes... Attend une minute...c'est déjà le cas non?

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  21. J'comprends pas si le gars a eu seulement 1 fils qui est mort comment le narrateur a pu naître ?

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  22. J'ai adoré et accroché très rapidement. J'ai aussi aimer la deuxième chute de la montre qui est plutôt bien penser et qui rajoute des éléments qui permettrait a imaginer la suite de cette fabuleuse pasta. Un grand bravo a l'auteur =D.

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