Avant que je commence, laissez-moi vous expliquer
ce qui m'arrive. Le terme technique pour ce que je suis est appelé un
eidétique. Vous avez déjà sûrement entendu parler de personnes avec des
mémoires photographiques, eh bien c'est ça, excepté que les eidétiques,
de ce qu'ils se rappellent, ne sont pas limités à leur seule vision.
Chaque cas varie dans ses capacités spéciales, le sens de l'ouïe, du
goût, de l'odeur et du toucher peuvent être utilisés n'importe quand.
Quelques eidétiques sont aussi connus pour avoir la possibilité de voir
ce qu'ils pensent. C'est la catégorie dont je fais partie.
Je dois admettre, cette capacité a ses avantages, les cours sont faciles parce que je peux voir toutes les notes après les exams que je passe. Je suis capable de faire remémorer des souvenirs heureux que j'ai eu avec des amis ou avec ma famille pour aider à éclaircir leur journée. Dès que je m'ennuie, je peux lire des livres que j'ai déjà lu ou regarder des séries que j'ai déjà regardées dans ma tête.
Ça paraît cool non ? Au moins c'est ce que les gens me disent. J'aimerais qu'ils aient raison.
Ce qu'ils ne savent pas c'est que je ferais n'importe quoi pour pouvoir me débarrasser de ce truc.
La façon dont ma vision marche est qu'en addition avec ce que mes yeux voient vraiment, mon cerveau rajoute à cette vision ce que je pense en ce moment, et le résultat est une combinaison des deux. Donc ma vision mentale est limitée durant la journée car ma vision actuelle interfère avec. Mais quand je vais au lit, et que la pièce est totalement sombre, ma vision mentale a le champ libre sur ce que je vois.
Maintenant vous allez demander, pourquoi c'est si mal ? Tant qu'on pense à des choses plaisantes ça doit être une façon très relaxante d'aller au lit, non ? Ça voudrait dire que tu es en contrôle total de toutes les pensées qui te passent par la tête tout le temps. Ceci, cependant, n'est jamais le cas. Le cerveau est constamment bombardé par ce qui est appelé des « pensées intrusives ».
Je suis sûr que vous avez déjà entendu les craquements ou les gémissements que fait votre maison la nuit et que vous pensez que quelqu'un rôde dans le noir. La peur reste pendant quelques secondes, mais après une minute ou moins où rien ne se passe, vous l'oubliez et vous vous rendormez. C'est une pensée intrusive. Le sentiment qu'il n'y a rien ici, votre cerveau vous force à penser qu'il y a quelque-chose. Sauf qu'avec moi, ces pensées intrusives ajoute une image qui accompagne le son. Les sons dans la nuit sont toujours accompagnés par quelque sorte de personne ou de créature marchant autour de ma chambre ou restant là à me regarder.
Évidemment, ça a été dur de grandir avec cela. Je ne pouvais rien comprendre de tout ça quand j'étais jeune et je devais accepter qu'il y avait des monstres dans ma chambre quand j'allais dormir. Plus d'une nuit mes parents devaient courir dans ma chambre après avoir entendu mes pleurs et essayer de me consoler, même si leur présence n'avait jamais fait disparaître l'image dans ma tête. Éventuellement je pouvais comprendre que les images n'étaient pas réelles, parce que ce n'était que des choses que j'avais déjà vues avant, et être capable de savoir d'où ces images venaient me calmait. J'ai appris à vivre avec, même avec les entités qui apparaissaient chaque nuit.
Jusqu'à il y a quelques mois.
Je venais juste de rentrer à mon appartement après une longue nuit de travail à l’hôpital et j'ai remarqué que mon colocataire n'était pas à la maison. J'ai pensé qu'il était dehors à un bar, je n'y ai pas trop pensé, puis je suis entré . Pendant que j'ouvrais la porte de mon appartement, l'obscurité habituelle m’accueillit et ma vision mentale prit le dessus pendant que je marchais vers le bouton de la lumière. Juste quand j'allais allumer, j'ai vu un homme au bout du couloir me regardant. Je me disais que ce n'était qu'une image, mais pour la première fois, c'était quelque chose dont je ne me rappelais plus. Il était extrêmement gros, et n'avait pas d'habit à part un petit chapeau melon noir sur sa tête chauve. Sa peau était luisante, d'un violet écœurant, et paraissait être pelée sur son corps insalubre. Sa bouche pendait, révélant une suite de dents gangréneuses et un moignon chargé de pus en guise de langue. Mais le truc qui a coincé le plus était le fait qu'il n'avait ni yeux ni orbites. Ils étaient remplacés par des grumeaux de chair qui semblaient venir des bords de son chapeau.
Ma main hésita sur l'interrupteur et ma peur fut temporairement remplacée par de la curiosité. Je voulais voir ce que cet homme ferait si je m'asseyais un moment ; il était, après tout, une image que mon cerveau avait créée. Alors je m'assis sur mon canapé et je l’observai calmement. Après quelques minutes il a commencé à bouger. Comme toutes mes autres hallucinations, ces actions ne faisaient aucun bruit dans le monde réel, et il se balada silencieusement dans mon appartement. Il n'avait pas du tout l'air d'aller vers moi, et n'avait pas l'air non plus d'avoir une destination claire en tête. Je commençai à perdre de l'intérêt et me levai pour allumer la lumière et me préparer pour aller au lit.
Puis il parla.
Une peur que j'aimerais n'avoir jamais pu connaître, résonna dans toute mon échine. Aucune de mes hallucinations n'avait jamais fait ses propres bruits, laisser des mots formés tout seuls. J'essayai de rationaliser que peut-être que j'avais entendu des personnes parler par la fenêtre, ou alors derrière la porte. Mais avant que j'aie une chance de valider mes propos, il parla encore.
« Elle voulait juste te voir encore »
Sa voix était profonde et déformée, et il parla très silencieusement, mais j'entendis chaque mot. La panique s'empara de moi et j'appuyai sur l'interrupteur. Comme toujours, la lumière a fait disparaître l'homme instantanément et je fus laissé seul dans mon appartement. Un soulagement m'envahit, et j'ai essayé de trouver une solution plausible à ce qui m'est arrivé. Je savais que la voix venait de l'homme, mais je n'arrivais pas à savoir comment ça pouvait être possible. Je ne le reconnaissais pas de n'importe quel film d'horreur que j'ai vu ou d'une image sur Internet, aucun souvenir ne venait non plus au sujet de la voix. Qu'importe la conclusion à laquelle je suis arrivé, je savais que je le reverrais quand je serai au lit.
Il ne m'a pas déçu. Pas plus tôt que quand j'ai sauté sous mes couvertures. Il arriva dans ma chambre, j'essayai de me distraire en pensant à autre chose. Je ressortais ma tactique habituelle qui consiste à penser à ma sœur pour qu'elle apparaisse pour me calmer. Elle était tout le temps tellement compréhensive, même quand on était enfant, de ce qui m'arrivait. Sa présence m'aidait à être en paix et je me suis reposé sur elle quand je devais passer à travers des épisodes sérieux.
Cependant, son image paraissait avoir un effet sur lui. Il a immédiatement arrêté de marcher et se tourna vers où elle était. C'est difficile pour moi de décrire ce qu'il a fait ensuite car ça me fait réfléchir sur l'état de ma santé mentale, mais il l'a en quelque sorte forcé de disparaître de ma vision. Ce n'était pas possible. J'aurais dû être capable de la garder dans ma vision quand je pensais à elle, mais pour la première fois... je ne pouvais pas. Dès qu'elle disparut, il parla encore.
« Tu aurais dû être là. Elle a pensé à toi à la fin. »
Un souvenir a été lancé dans mon cerveau. C'était à propos de ma grand-mère, elle a été à l’hôpital pendant les derniers mois de sa vie et mon père avait l'habitude de m'y emmener ma sœur et moi pour lui rendre visite. Ma grand-mère nous adorait et savourait chaque instant quand on allait la voir. Une fois, quand mon père allait la voir, je lui ai dit que je voulais sortir avec des amis à la place et il laissa passer. C'était la dernière fois que mon père put la voir et elle mourut quelques jours plus tard. Je me suis senti très mal et regrettai longtemps cette décision.
Ces sentiments de regret et de douleur m'ont accablé et j'ai soudainement compris le sens derrière les mots de l'homme. Il était capable de projeter un souvenir dont je ne voulais pas me souvenir et faire revivre les émotions que j'ai ressenties durant ce moment.
Il est venu toutes les nuits depuis. Chaque fois qu'un horrible moment de ma vie est « arraché » de mon subconscient j'endure encore une fois la douleur de chaque événement. Chaque nuit je suis incapable de faire face à l'écrasante charge d'émotions et les petits moments de sommeil que j'ai sont remplis de cauchemars issus de ce souvenir. Je ne vois pas de fin à ce cauchemar.
Je pense souvent à la nature d'un éventuel enfer ou paradis ou encore s'il y a un dieu ou pas. Au début je pensais qu'il ne pouvait pas exister un dieu qui accepterait ce genre de tourment sur quelqu'un qui visiblement, n'a rien fait pour mériter ça. Cependant, je ne pouvais pas penser à une version plus terrifiante de l'Enfer que ça. De devoir revivre et reconsidérer chaque mauvaise décision dans une vie est l'ultime et la meilleure méthode pour pousser une âme à son point de crise.
Je ne peux voir qu'une façon de me débarrasser de ça. Si ma famille lit ça, sachez juste que je vous aime et que je suis désolé pour les douleurs que j'ai causé. J'espère que vous comprendrez.
Je dois admettre, cette capacité a ses avantages, les cours sont faciles parce que je peux voir toutes les notes après les exams que je passe. Je suis capable de faire remémorer des souvenirs heureux que j'ai eu avec des amis ou avec ma famille pour aider à éclaircir leur journée. Dès que je m'ennuie, je peux lire des livres que j'ai déjà lu ou regarder des séries que j'ai déjà regardées dans ma tête.
Ça paraît cool non ? Au moins c'est ce que les gens me disent. J'aimerais qu'ils aient raison.
Ce qu'ils ne savent pas c'est que je ferais n'importe quoi pour pouvoir me débarrasser de ce truc.
La façon dont ma vision marche est qu'en addition avec ce que mes yeux voient vraiment, mon cerveau rajoute à cette vision ce que je pense en ce moment, et le résultat est une combinaison des deux. Donc ma vision mentale est limitée durant la journée car ma vision actuelle interfère avec. Mais quand je vais au lit, et que la pièce est totalement sombre, ma vision mentale a le champ libre sur ce que je vois.
Maintenant vous allez demander, pourquoi c'est si mal ? Tant qu'on pense à des choses plaisantes ça doit être une façon très relaxante d'aller au lit, non ? Ça voudrait dire que tu es en contrôle total de toutes les pensées qui te passent par la tête tout le temps. Ceci, cependant, n'est jamais le cas. Le cerveau est constamment bombardé par ce qui est appelé des « pensées intrusives ».
Je suis sûr que vous avez déjà entendu les craquements ou les gémissements que fait votre maison la nuit et que vous pensez que quelqu'un rôde dans le noir. La peur reste pendant quelques secondes, mais après une minute ou moins où rien ne se passe, vous l'oubliez et vous vous rendormez. C'est une pensée intrusive. Le sentiment qu'il n'y a rien ici, votre cerveau vous force à penser qu'il y a quelque-chose. Sauf qu'avec moi, ces pensées intrusives ajoute une image qui accompagne le son. Les sons dans la nuit sont toujours accompagnés par quelque sorte de personne ou de créature marchant autour de ma chambre ou restant là à me regarder.
Évidemment, ça a été dur de grandir avec cela. Je ne pouvais rien comprendre de tout ça quand j'étais jeune et je devais accepter qu'il y avait des monstres dans ma chambre quand j'allais dormir. Plus d'une nuit mes parents devaient courir dans ma chambre après avoir entendu mes pleurs et essayer de me consoler, même si leur présence n'avait jamais fait disparaître l'image dans ma tête. Éventuellement je pouvais comprendre que les images n'étaient pas réelles, parce que ce n'était que des choses que j'avais déjà vues avant, et être capable de savoir d'où ces images venaient me calmait. J'ai appris à vivre avec, même avec les entités qui apparaissaient chaque nuit.
Jusqu'à il y a quelques mois.
Je venais juste de rentrer à mon appartement après une longue nuit de travail à l’hôpital et j'ai remarqué que mon colocataire n'était pas à la maison. J'ai pensé qu'il était dehors à un bar, je n'y ai pas trop pensé, puis je suis entré . Pendant que j'ouvrais la porte de mon appartement, l'obscurité habituelle m’accueillit et ma vision mentale prit le dessus pendant que je marchais vers le bouton de la lumière. Juste quand j'allais allumer, j'ai vu un homme au bout du couloir me regardant. Je me disais que ce n'était qu'une image, mais pour la première fois, c'était quelque chose dont je ne me rappelais plus. Il était extrêmement gros, et n'avait pas d'habit à part un petit chapeau melon noir sur sa tête chauve. Sa peau était luisante, d'un violet écœurant, et paraissait être pelée sur son corps insalubre. Sa bouche pendait, révélant une suite de dents gangréneuses et un moignon chargé de pus en guise de langue. Mais le truc qui a coincé le plus était le fait qu'il n'avait ni yeux ni orbites. Ils étaient remplacés par des grumeaux de chair qui semblaient venir des bords de son chapeau.
Ma main hésita sur l'interrupteur et ma peur fut temporairement remplacée par de la curiosité. Je voulais voir ce que cet homme ferait si je m'asseyais un moment ; il était, après tout, une image que mon cerveau avait créée. Alors je m'assis sur mon canapé et je l’observai calmement. Après quelques minutes il a commencé à bouger. Comme toutes mes autres hallucinations, ces actions ne faisaient aucun bruit dans le monde réel, et il se balada silencieusement dans mon appartement. Il n'avait pas du tout l'air d'aller vers moi, et n'avait pas l'air non plus d'avoir une destination claire en tête. Je commençai à perdre de l'intérêt et me levai pour allumer la lumière et me préparer pour aller au lit.
Puis il parla.
Une peur que j'aimerais n'avoir jamais pu connaître, résonna dans toute mon échine. Aucune de mes hallucinations n'avait jamais fait ses propres bruits, laisser des mots formés tout seuls. J'essayai de rationaliser que peut-être que j'avais entendu des personnes parler par la fenêtre, ou alors derrière la porte. Mais avant que j'aie une chance de valider mes propos, il parla encore.
« Elle voulait juste te voir encore »
Sa voix était profonde et déformée, et il parla très silencieusement, mais j'entendis chaque mot. La panique s'empara de moi et j'appuyai sur l'interrupteur. Comme toujours, la lumière a fait disparaître l'homme instantanément et je fus laissé seul dans mon appartement. Un soulagement m'envahit, et j'ai essayé de trouver une solution plausible à ce qui m'est arrivé. Je savais que la voix venait de l'homme, mais je n'arrivais pas à savoir comment ça pouvait être possible. Je ne le reconnaissais pas de n'importe quel film d'horreur que j'ai vu ou d'une image sur Internet, aucun souvenir ne venait non plus au sujet de la voix. Qu'importe la conclusion à laquelle je suis arrivé, je savais que je le reverrais quand je serai au lit.
Il ne m'a pas déçu. Pas plus tôt que quand j'ai sauté sous mes couvertures. Il arriva dans ma chambre, j'essayai de me distraire en pensant à autre chose. Je ressortais ma tactique habituelle qui consiste à penser à ma sœur pour qu'elle apparaisse pour me calmer. Elle était tout le temps tellement compréhensive, même quand on était enfant, de ce qui m'arrivait. Sa présence m'aidait à être en paix et je me suis reposé sur elle quand je devais passer à travers des épisodes sérieux.
Cependant, son image paraissait avoir un effet sur lui. Il a immédiatement arrêté de marcher et se tourna vers où elle était. C'est difficile pour moi de décrire ce qu'il a fait ensuite car ça me fait réfléchir sur l'état de ma santé mentale, mais il l'a en quelque sorte forcé de disparaître de ma vision. Ce n'était pas possible. J'aurais dû être capable de la garder dans ma vision quand je pensais à elle, mais pour la première fois... je ne pouvais pas. Dès qu'elle disparut, il parla encore.
« Tu aurais dû être là. Elle a pensé à toi à la fin. »
Un souvenir a été lancé dans mon cerveau. C'était à propos de ma grand-mère, elle a été à l’hôpital pendant les derniers mois de sa vie et mon père avait l'habitude de m'y emmener ma sœur et moi pour lui rendre visite. Ma grand-mère nous adorait et savourait chaque instant quand on allait la voir. Une fois, quand mon père allait la voir, je lui ai dit que je voulais sortir avec des amis à la place et il laissa passer. C'était la dernière fois que mon père put la voir et elle mourut quelques jours plus tard. Je me suis senti très mal et regrettai longtemps cette décision.
Ces sentiments de regret et de douleur m'ont accablé et j'ai soudainement compris le sens derrière les mots de l'homme. Il était capable de projeter un souvenir dont je ne voulais pas me souvenir et faire revivre les émotions que j'ai ressenties durant ce moment.
Il est venu toutes les nuits depuis. Chaque fois qu'un horrible moment de ma vie est « arraché » de mon subconscient j'endure encore une fois la douleur de chaque événement. Chaque nuit je suis incapable de faire face à l'écrasante charge d'émotions et les petits moments de sommeil que j'ai sont remplis de cauchemars issus de ce souvenir. Je ne vois pas de fin à ce cauchemar.
Je pense souvent à la nature d'un éventuel enfer ou paradis ou encore s'il y a un dieu ou pas. Au début je pensais qu'il ne pouvait pas exister un dieu qui accepterait ce genre de tourment sur quelqu'un qui visiblement, n'a rien fait pour mériter ça. Cependant, je ne pouvais pas penser à une version plus terrifiante de l'Enfer que ça. De devoir revivre et reconsidérer chaque mauvaise décision dans une vie est l'ultime et la meilleure méthode pour pousser une âme à son point de crise.
Je ne peux voir qu'une façon de me débarrasser de ça. Si ma famille lit ça, sachez juste que je vous aime et que je suis désolé pour les douleurs que j'ai causé. J'espère que vous comprendrez.
Traduction: Epinedesapin
Creepypasta originale ici.
Vraiment, vraiment énorme
RépondreSupprimerTrès originale, du jamais vu. J'ai adoré, merci au traducteur. :)
#R
Waw, j'adore !
RépondreSupprimerTrrop genialllll!!!!!
RépondreSupprimerCreepypasta vraiment excellente!
RépondreSupprimerVraiment très intéressante ! Comme ce fut dit, du jamais vu !
RépondreSupprimerC'est un thème qui donne à réfléchir (que ferions-nous si nous avions un tel pouvoir) et avant que l'homme au chapeau n'intervienne, je commençais à me dire "ah mais s'il a des sombres pensées" et la suite ne m'a pas déçue !
Bonne idée, bonne prose, bonnes images ! Bonne pasta, en bref.
RépondreSupprimerMerci de la traduction !
je ne sais plus quoi dire... cette pasta est vraiment...vraiment... je ne trouve même pas les mots tellement elle est bien
RépondreSupprimerelle est juste génial
RépondreSupprimerQuand le narrateur explique le terme d' "édeitique", ça m'a vaguement rappelé une histoire que mon prof de maths m'avait raconté sur John von Neuman. Eh bien ça a pas loupé : lui aussi est concerné et de ce que mon prof a raconté sa mémoire était tout simplement stupéfiante. En mémorisant plusieurs bouquins très détaillés d'histoire il aurait ainsi prédit la première guerre mondiale et ses enjeux.
RépondreSupprimerBest pasta ever made. Voilà je suis sans voix. Bravo.
RépondreSupprimerTrès belle pasta (non ce n'est pas étrange)
RépondreSupprimerLe seul petit bémol c'est "parler silencieusement" qui m'a fait planter quelques secondes... Jusqu'à ce que je m'imagine le truc
Et je pense qu'on peut tous plus ou moins faire ça, avec une bonne mémoire ou une excellente imagination :3 (pas au point de lire un livre ou de regarder une série, mais suffisamment pour se remémorer un moment sympathique)
gg.
RépondreSupprimerEt ça part au suicide ! ( ͡° ͜ʖ ͡°)
RépondreSupprimerPar contre, au début, le narrateur dit qu'il est fils unique mais ensuite parle de sa sœur.. C'est pas très cohérent
RépondreSupprimer