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mardi 12 novembre 2013

L'histoire du voleur d'enfants

Première partie ici.



Le dénommé Charles se réveilla avec une forte migraine. Qu'avait-t-il fait pour avoir une migraine pareille ? Il se souvenait juste d'être allé chez son ami qu'il connaissait depuis longtemps déjà. Sans doute avait-il trop bu, ce qui expliquerait pourquoi il avait oublié qu'il était déjà revenu chez lui.
Charles vivait dans une espèce de chalet, sans étage, pas loin des bois. Bien que le chalet eût mieux convenu à un bucheron, il travaillait en ville dans une petite boîte où on réparait des ordinateurs, où on vendait des choses dans l'informatique, etc... Il avait acheté le chalet pour le seul plaisir de sentir l'air frais et non pollué comme en ville. Il possédait aussi une petite cabane, placée un peu plus loin que le chalet. Il y allait rarement. Il y mettait ses outils de travail, et vu qu'il travaillait généralement sur son lieu de travail...
Il se leva et alla droit dans son placard où il mettait de nombreux médicaments ou remèdes. Il prit tout de suite deux cachets contre les maux de tête puis il sortit de sa chambre pour manger une tartine.
«C'est jour de congé aujourd'hui, se dit-il, je devrais aller voir un peu le bazar que j'ai mis dans ma cabane...»
Après avoir pris une autre tartine et bu un verre d'eau, il se dirigea vers la porte et l'ouvrit. En regardant le ciel, il s'aperçut qu'il n'allait pas faire un joli temps aujourd'hui...
Il sortit de son chalet et se dirigea vers la cabane. Lorsqu'il tenta de l'ouvrir avec sa clé, il fut étonné de voir que la porte était déjà ouverte. Pourtant, il la fermait toujours !
Il entra et constata le bazar qui régnait dans sa petite cabane. Elle était bourrée d'outils, aussi bien d'ordinateur que technologiques tels que des clés, des tournevis etc... Il y avait plusieurs établis, en bazar eux aussi.
«Je vais avoir du pain sur la planche !» se dit-il. Il se mit au travail et rangea une grande partie de la cabane. Il trouva ou retrouva aussi des objets qu'il cherchait (dont un processeur dont il avait besoin pour un de ses clients). Alors qu'il était sur le point de finir de ranger le dernier établi, il s'aperçut qu'il y avait une petite trappe au fond de la cabane. Il n'y était allé qu'une seule fois, et c'était lors de la visite du lieu, avec les enfants de l'ancien propriétaire (qui était mort à 47 ans dans ces lieux; on n'a jamais su quelle en était la cause...). Il se dit qu'il devrait y jeter un coup d'oeil, au cas où. Il s'approcha de la trappe au sol et tenta une fois de plus de l'ouvrir avec une clé. Il s'aperçut encore une fois que la trappe pouvait s'ouvrir sans même la clé.
«Là, c'est vraiment étrange...» se dit Charles. Il s'approcha près du pied de biche, le prit et descendit le petit escalier après avoir ouvert silencieusement la trappe. Il descendit, tout doucement, attentif au moindres bruit, que ce soit des bruits causés par des choses inconnues, ou ses propres pas.
Après être enfin arrivé en bas de l'escalier, le spectacle qu'il vit le figea sur place: il voyait des corps, des corps partout. Certains de ceux qu'il voyait étaient impossibles à identifier, les autres étaient des corps d'enfants, certains était dans un véritable bain de sang, avec une expression horrifiée sur le visage (si le visage était toujours là en tout cas), d'autres démembrés et parfois même des squelettes. Il eut l'envie soudaine de vomir. Il fonça vers le premier tonneau qu'il vit et plongea sa tête dedans, chose qu'il regretta fortement. Le tonneau grouillait d'os, dont certains avec des bouts de chairs dessus, ainsi qu'un crâne, intact, le regard vide, dénué d'expression. Seul le sourire ensanglanté de la tête en possédait une.
Lorsqu'il vit ceci, c'en était trop, il ne pouvait plus se retenir: il recula vivement après avoir vu cela et vomit au sol. Ce n'était certes pas propre mais il aurait préféré du vomi plutôt que tout ça.
Soudain, il entendit un gémissement. Quelqu'un ou quelque chose était ici. Il reprit le pied de biche qu'il avait fait tomber et se mit à la recherche du coupable, au milieu des corps déchiquetés quand il aperçut un nouveau spectacle macabre...
Il y avait un jeune garçon, en vêtement de nuit, cloué au sol en «étoile», et bâillonné. Son corps était inscrit dans un cercle, lui-même inscrit dans un triangle dont les sommets possédaient chacun une bougie à l'allure étrange. Les bougies en question possédaient des dessins sur eux. Ce n'était pas des bougies qu'on utiliserait dans une église, ça non! Il y avait des étoiles, des cercles, plein de symboles sataniques. C'était donc un jeune blondinet qui le regardait, d'un air effrayé... Non, pas effrayé, il avait plutôt l'air terrorisé !
Il s'approcha du jeune garçon dont il retira la serviette qu'il avait dans la bouche, quand l'enfant poussa des appels à l'aide tout en pleurant.

- Eyh ! Du calme ! Je ne sais pas ce que tu fiche dans ma cave au milieu de... tout ça... Mais n'aie pas peur, c'est fini! répondit Charles à ses appels à l'aide.
- S'il vous plaît ! Je veux retourner chez moi ! Chez mon papa ! S'IL VOUS PLAÎT PITIÉ !

Charles le regardait d'un air étonné; on aurait dit que c'était lui la véritable cause de la peur de l'enfant.
En ignorant du mieux possible ses pleurs, il jeta un coup d'oeil à ses mains ainsi qu'à ses pieds: Ils étaient cloués sur le sol avec les plus gros clous qu'il ait jamais vu. Par chance, les blessures n'avaient pas l'air grave, si ce n'est que l'enfant en question ne pourrait sans doute plus jamais marcher et se baladerait avec un trou sur ses deux mains.
Il prit son pied de biche et retira les clous. Le garçon se calmait déjà, mais il avait toujours l'air angoissé.
Maintenant qu'il était libéré, il mit ses jambes contre son torse, sur le sol. Il ne cessait de pleurnicher et de jeter des regards apeurés vers Charles.
Le gamin rappelait quelque chose à l'homme... Ne l'avait-il pas déjà vu quelque part ?

- Comment t'appelle-tu ?
- Ma...Mathéo, répondit l'enfant, toujours apeuré.

Oui Mathéo... il connaissait un Mathéo mais qui ?...
Enfin il se souvint ! Le fils de son ami ! L'ami chez qui il avait bu hier soir !
Il prit immédiatement son portable, et composa le numéro d'une ambulance.
Après leur avoir dit de venir chercher un enfant «Retrouvé perdu avec de très graves blessures à ses mains et pieds» il dit à Mathéo:

- Sais-tu où tu habites ?
- Ou... oui.
- Très bien, Je vais te porter jusqu'en haut des escaliers. J'attendrai avec toi en haut jusqu'à ce que l'ambulance arrive.

Il prit le garçon dans ses bras, l'emmena dans les escaliers, qu'il monta.
Arrivé en haut, il posa le jeune garçon sur un des établis à présent en ordre et attendit avec impatience l'ambulance.
Afin de rassurer le garçon du mieux qu'il pouvait, il essayait de maintenir la conversation avec lui.
Mais Mathéo se sentait toujours angoissé, il ne comprenait pas pourquoi.
Enfin il lui posa la question qui le tracassait:

- Pourquoi est-ce que tu es angoissé comme cela ?... Ce sont... les cadavres qui te mettent dans cet état ?
- Non... C'est vous...

Le garçon lui avait répondu d'une voix apeurée. Charles ne comprenait pas...

- Moi ? Pourquoi moi ?
- C'est vous qui m'avez emmené ici ! Vous m'avez mit ces clous... Vous qui aviez... qui aviez...

Il avait répondu cela dans un sanglot. Charles associait ça sans doute à un trouble psychologique dû au bazar qu'il y avait en bas.
Alors qu'ils entendaient les sirènes arriver, un énorme bruit sortit de la sombre cave. On aurait dit qu'on venait de renverser toute une étagère avec des outils dedans.
Charles regarda l'enfant droit dans les yeux:

- Dis aux ambulanciers tout ce qui s'est passé. Quand ils se seront occupé de toi, dis-leur ton adresse. Ils te reconduiront auprès de ton père. D'accord ?

L'enfant avait acquiescé d'un simple mouvement de tête nerveux.
Ensuite, Charles fonça droit dans la cave où il avait entendu le bruit.
Arrivé en bas, il vit plein d'outils de torture ainsi que des morceaux de chair et des têtes de jeunes personnes. Il y avait même, dans le tas, un chaton. Il détourna rapidement le regard de l'autre côté de la pièce; il ne pouvait plus supporter la vision de cette chose.
Il vit, près d'un bureau, quelque chose qui ressemblait de près à un grimoire. Il le prit et le regarda de plus près:


JOURNAL DE SIVIRIUS 
Voleur d'Enfants 
 
Rien que ce titre lui fit poser des questions... Il regarda ensuite l'intérieur: «Jour I
Me voilà enfin arrivé dans la cabane que je cherchais depuis si longtemps. Il m'en a fallu du temps pour le trouver !
En commençant ce journal, je trace ma vie de Démon afin de me souvenir de tous les amusements que j'ai pu avoir... Il faut dire qu'on oublie facilement quand on est un démon.
Déjà je commence en racontant ma minable vie de vivant:
Je suis mort à 10 ans exactement. Tué par un psychopathe qui m'a enlevé. Je me suis fais prendre alors que je passais devant cette cabane... Je ne vais pas raconter tout ce qu'il m'a fait. C'est atroce. Mais, je ne repose pas en paix, ooooooh non ! J'ai refusé l'entrée au Paradis, refusé l'entrée en Enfer. Juste rester dans ce monde pour me venger... Je jure que tous les habitants de cette cabane seront maudits et que je ferai ressentir la souffrance que j'ai sentie aux autres enfants.

Signé: S I V I R I U S



Jour X
Le vieux fou est enfin mort. Je l'aurai poussé jusqu'au bout. Ce que je me suis bien amusé avec lui... J'en ai profité pour refaire la décoration de la petite cave dans la petite cabane...
C'est tout.

Signé: S I V I R I U S »


Il entendait d'étranges bruits... On aurait dit des bruits de pas précipités, ou quelqu'un qui tape à répétition sur les murs... Il continua à lire:


«Jour XXV
Un nouveau propriétaire est arrivé. Je ne vais pas le tuer cette fois... Quelque chose me dit qu'il pourrait me servir... Je vais pouvoir enfin tester mes capacités de possession !

Signé: S I V I R I U S »


Soudain il comprit: le nouveau propriétaire, c'était lui !
En continuant le journal, il vit beaucoup de choses, beaucoup de détails, que le démon avait fait dans son corps... et sur d'autres...
Il vit, à la fin du grimoire, un étrange dessin:


Tout s'éclaircit enfin: l'enfant qu'il venait de libérer était destiné à un rituel satanique !
Alors qu'il s'apprêtait à fuir le lieu, il se stoppa devant les escaliers.
On aurait dit qu'un vent très glacial venait de le parcourir. Il comprit enfin... Sivirius était revenu.

- Laisse-moi ! Laisse-les ! Infâme démon !

Le démon lui répondait, dans sa tête, de sa voix désincarnée:

- Tu n'as aucun pouvoir contre moi, mortel. Tu es ma marionnette et je suis ton maître. Tu devras t'y habituer. Je n'aurais jamais dû te laisser tranquille pour cette nuit... J'aurais dû rester bien au chaud dans ton corps. Qu'importe, je vais être obligé de te punir !

Charles poussa un hurlement, il ressentait une douleur immense dans tout son corps, comme si on était en train de lui envoyer une décharge foudroyante, sans pouvoir mourir...

Sivirius s'en réjouissait.

- C'est ça qui est pratique dans la possession... Tant que la personne est possédée, elle ne peut pas mourir. Amusant non ?

Charles ne sentit plus ses membres, ne vit plus rien. Il ne pouvait qu'entendre. Il sentait sa bouche remuer; le démon parlait à travers lui.

- Voyons, tu as gâché mon rituel ! Pour la peine, je vais chercher d'autres amuse-gueule. Après tout, j'ai un nouvel instrument de torture... Car oui... Voilà ta punition... Je te forcerai à tuer toutes les personnes que je prendrai au dehors. Ce n'est plus moi qui les tuerai, ce sera toi. Tu vas bien tuer des filles, des garçons, des vieux, des vieilles, des chiens, des chats, des lapins... Et peut-être aussi te forcer à les manger ?... Oui oui... Ça peut être amusant...

Le corps de Charles remonta les escaliers, contrôlé par le puissant démon.











Vous sentez-vous en sécurité ? Vous savez, Sivirius en a assez des enfants. Il veut tester autre chose... Il aime bien les marionnettes. N'importe qui peut l'être !... Qui sait ?... Peut-être que vous aussi vous vivez près d'une forêt ?... Oui ?... Faites attention si vous voyez une petite cabane près d'une forêt... Oui... Méfiez-vous...

Méfiez-vous de Sivirius...




  



22 commentaires:

  1. Mon dieu, l'auteur a déjà lu une creepypasta de sa vie? Un pur concentré de cliché dans une sauce américaine, et encore, je mâche mes mots! Une honte!

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  2. Je trouve que c'était génial,ça fait du bien de voir enfin une bonne pasta. J'attends avec impatience la suite.

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  3. A l'auteur de la creepypasta, lit mon commentaire jusqu'au bout.
    La creepypasta en elle même est bien trouvée, mais par contre que c'est mal écrit !
    Je comprend pas que les fautes de syntaxe n'ont étonné personne !
    Je ne pense pas du tout être en mesure de corriger ton travail, je pense que tu dois être jeune et à ton âge je me souviens d'avoir fait des erreurs de la sorte. Je suis un peu plus âgé maintenant et je pense avoir une vision plus reculée, et surtout différente pour te partager mon point de vue.

    Tout d'abord, ce n'est pas un reproche, mais la structure d'un GROS pâté en premier puis plein de petit paragraphe, ça ne donne pas vraiment envie de lire.

    Dans le premier ou second paragraphe, tu écris ceci :
    "Il y avait une petite cabane. Il y allait rarement. Il y mettait ses outils de travail, et vu qu'il travaillait généralement sur son lieu de travail..."
    Cette phrase est mal tournée. Tu donnes au lecteur une information en 4 phrases ! C'est énorme. J'ai du lire 3 fois ta phrase pour la comprendre. Une phrase du type suivant aurait été mieux : "Il y avait une petite cabane où il mettait ses outils de travail, mais il n'y allait pas souvent car il utilisé ses outils sur son lieu professionnel".

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    1. Phrase d'après : "Il se leva et alla droit dans son placard où il mettait de nombreux médicaments ou remèdes".... !? il y range quoi alors, des médicaments ou des remèdes ? Non, fait plus simple. Il se leva et alla droit dans son placard où il y rangeait ses médicaments.

      Les phrases du genre (et il y en a plein) " Il prit tout de suite deux cachets contre les maux de tête puis il sortit de sa chambre pour manger une tartine." Quelle belle répétition. On utilise les pronoms personnels de temps à autre pour ne pas faire de répétition des nomes propres, mais la, les deux "ils" sont lourds. Tout simplement : "Il prit tout de suite deux cachets contre les maux de tête puis sortit de sa chambre pour manger une tartine".
      Pareil pour cette phrase : "tenta une fois de plus de l'ouvrir avec une clé. Il s'aperçut encore une fois" ... Le second "fois", peut être remplacé par "à nouveau que la porte été ouverte..."

      "Elle était bourrée d'outils, aussi bien d'ordinateur que technologiques tels que des clés, des tournevis etc... Il y avait plusieurs établis, en bazar eux aussi. "
      Je pense que tu as confondu technologiques avec techniques ? Sinon, tu as peut être voulu parler de Clé USB et de Tournevis Sonique (dixit le docteur)

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    2. "Il trouva ou retrouva aussi des objets qu'il cherchait (dont un processeur dont il avait besoin pour un de ses clients). " Ici il y a deux erreurs. Tout d'abord, comme dit précédemment, soit plus concis. Il les trouva ou les retrouva ses fichus objets non d'une pipe ! ^^
      Et puis, déjà que des parenthèses pour expliquer quelque chose dans une creepypasta, c'est pas la plus convenue des manières pour expliquer quelque chose, c'est totalement inutile ce qui s'y trouve, comme lorsque tu dis "(si le visage était toujours là en tout cas)". Non non non et re non !
      Tu dis avant que cette cabane, c'est un endroit où il va peu, car il préfère travailler depuis son office en ville. Mais que fichtre viens faire ce processeur dans cette cabane, pour une commande d'un client d'ailleurs ? naaahhh, un professionnel qui est organisé comme ça, surtout un commercial en informatique, mettrait la clé sous la porte en moins de deux. J'vais pas laisser trainé mes HDD dans la cabane toute humide du fond du jardin. Un peu plus de logique dans ce passage !

      Un peu après, pareil : "Il n'y était allé qu'une seule fois, et c'était lors de la visite du lieu, avec les enfants de l'ancien propriétaire (qui était mort à 47 ans dans ces lieux; on n'a jamais su quelle en était la cause...)." Tu m'enlèves ces parenthèses, un paragraphe, un alinéa et tu me fais une belle phrase du type : "Il n'y était allé qu'une seule fois, lors de la première visite avec les enfants du précédent propriétaire. Il ne l'avait jamais rencontré car celui-ci était mort à l'âge de 47 ans dans ce même lieu. Lorsqu'il demanda aux enfants de l'ex-propriétaire, de façon incongrue, la cause de celle-ci, on ne lui avait jamais répondu que par des signes de têtes, avouant une ignorance de leurs part".

      Le lecteur, quoique les gens en disent, veut de l'émotion ! Dans un roman à l'eau de rose, la ménagère veut avoir les larmes aux yeux. Dans les polar d'agatha cristie, le lecteur veut du suspens ! Les lecteurs de creepypasta veulent de la peur, mais il y a d'autre sentiment pour aussi pour qu'il se sente encore plus envahie dans l'histoire.

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    3. "«C'est jour de congé aujourd'hui, se dit-il, je devrais aller voir un peu le bazar que j'ai mis dans ma cabane...»«Je vais avoir du pain sur la planche !» se dit-il.«Là, c'est vraiment étrange...» se dit Charles"
      Il n'y a pas toujours de dialogue dans les creepypasta, et ils sont assez difficile à placer car il faut les mots justes pour les situer dans le déroulement de l'histoire.
      Mais la Charles se "dit" beaucoup de chose !
      C'est un jour de congé? Génial s'émerveilla Charles
      J'ai du pain sur la planche ! dit charles avec si peu d'envie qu'il en ferai frissonner un mort (ouais la j'ai merdé, je savais pas trop quoi dire... comme quoi c'est difficile !)
      La, c'est vraiment étrange, songea-t-il.

      Après, des erreurs plus générales et logiques, comme lorsque tu dis : "le regard vide, dénué d'expression. Seul le sourire ensanglanté de la tête en possédait une." Lorsque tu écris, essai de te représenté ce que veux décrire. Moi, une tête qui a un regard vide, dénué d'expression, elle n'a pas d'expression. Si maintenant il y a le sourire ensanglanté qui s'invite dans la partie, la je ne regarde pas seulement les yeux, mais l'ensemble du visage.

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    4. Ce que je veux dire par là, ce n'est pas une faute ou une erreur de ta part, c'est juste que tu essais d'attaquer point par point. Dans une cave où il y a un véritable carnage, je ne me dirait pas : "Ah tiens, une tâche sur le mur, je devrais refaire la tapisserie un de ces 4..." SAUF si c'est un évènement perturbateur !
      C'est à dire. Dans ton cas, le gars arrive, voit le carnage, et veux vomir dans un tonneau. La il voit ce qu'il y trouve... et commence à le décrire... ET LA? holala une méchante tête !
      Dans un cas normal, tout les petits détails de cette scène doivent passer vite ! Ne pas durer en longueur, mais tu commence à décrire ce que vers quoi le lecteur doit s'attendre !
      Tu aurais du parler plus en profondeur du journal, en décrivant bien la scène où celui ci se trouvait, avec des têtes tout autour entouré de chair etc... Car c'est vers le journal que l'histoire continue lorsqu'il le lit...
      Le tonneau dans l'histoire, c'est pas important.

      En continuant de lire, j'ai eu l'impression d'être sur une nationnale en France, où tu as un panneau signalétique tout les 30 mètres.
      "Il y avait un jeune garçon, en vêtement de nuit, cloué au sol en «étoile», et bâillonné. "
      Monsieur Virgule ! Vous êtes trop présent !
      "il y avait un jeune garçon en vêtement de nuit, qui était bâillonné et cloué au sol en formant une étoile"... Une virgule, ça va, trop de virgule et je t’apostrophe !

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    5. Le vocabulaire que tu utilises dans cette phrase est trop proche "le regardait, d'un air effrayé... Non, pas effrayé, il avait plutôt l'air terrorisé !"
      La différence entre effrayé et terrorisé ? C'est des synonymes. Si tu veux marquer en faisant une accolade des termes comme ca, doublé par une négation, tu dois utiliser un vocabulaire qui diffère, genre : " Le petit garçon le regardait d'un air épuisé (jovial, amusé, machiavélique)..., Non. En réalité, plus charles s'approchait de lui, plus il pouvait percevoir que l'enfant été terrorisé !"

      Je dois avouer que ce passage précisément m'a fortement divertit :
      "Ils étaient cloués sur le sol avec les plus gros clous qu'il ait jamais vu. Par chance, les blessures n'avaient pas l'air grave, si ce n'est que l'enfant en question ne pourrait sans doute plus jamais marcher et se baladerait avec un trou sur ses deux mains.
      Il prit son pied de biche et retira les clous. Le garçon se calmait déjà, mais il avait toujours l'air angoissé."
      Alors le gosse a des clous gros comme ma... non j'allais m'égarer, bref il a des gros clous qui le clou au sol (xD) et ce n'est que des blessures superficiels? Pas trop grave?... La c'est un peu un contre sens. Donc non, il n'a pas de chance ! Surtout si l'enfant ne pourra plus jamais marcher de sa vie !

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    6. Après, je ne veux pas dire, mais déjà que des personnes s'évanouissent à la vue du sang, je crois pas que le jeune gamin, malgré l'adrénaline qui doit couler dans ses veines à ce moment la, puisse se calmer après que l'autre timbré ai retiré au pied de biche (toujours plus) des clous de ses membres...
      C'est un peu trop "Viens chérie, je te sors le bébé de ton ventre avec ma nouvelle pelleteuse !"

      Ensuite, le "Charles poussa un hurlement, il ressentait une douleur immense dans tout son corps, comme si on était en train de lui envoyer une décharge foudroyante, sans pouvoir mourir..."
      C'est un peu tiré par les cheveux. Comme si on été en train de ... Moi perso je n'envoie pas de décharge foudroyante à quiconque...
      J'aurai tourné de cette façon la phrase : "charles poussa un hurlement abominable, il ressentait une douleur si intense en lui, qui parcourrait tout son corps. Une sorte de décharge tout en restant éveillé, sans perdre connaissance ni même, l'aurait il peut être souhaiter, mourir"

      Et un autre pour la route : "Tu vas bien tuer des filles, des garçons, des vieux, des vieilles, des chiens, des chats, des lapins..." Dans ce cas, faut aller du plus petit au plus grand. Parce que si Charles doit tué une fille, et que peut être ensuite il va tuer un lapin... Je pense qu'il sera tellement choqué du précédent acte que le lapin voilà, c'est comme s'il lui avait roulé dessus en bagnole...

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    7. Je suis d'accord de laisser le lecteur s'imaginer tout un tas de chose dans les romans ou autres histoires fantastiques, mais dans le genre d'une creepypasta, je crois que le plus concis au niveau de la description est un must ! Par exemple dans ta phrase :
      "où on vendait des choses dans l'informatique, etc... "
      perso, moi les ETC..., j'ai l'impression que l'écrivain m'a balancé une phrase et ne sait pas comment la finir, aller hop prend cela et démerde toi...
      Finit plutôt ta phrase du genre :
      "où l'on y vendait toute sorte de chose qui touche à l'informatique." ou "où l'on y vendait des produits informatiques et tout autre choses de la sorte".

      J'espère que mon commentaire te sera constructif, je ne souhaite absolument pas te démoraliser ou quoi d'autre, juste t'aider à faire quelque chose de mieux pour la prochaine creepypasta que tu feras.
      C'est plutôt rare de voir des écrivains de Creepypasta, par rapport aux sites Anglophones où cela pullule. Donc bonne continuation, je vais continuer à suivre tes prochaines pasta. Et c'est un plaisir d'avoir fait mon premier travail de correction sur ton oeuvre.

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    8. Juste un mot:

      c'est des correcteurs comme toi qu'il nous faut!

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    9. T'as dit plus d'un mot!

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    10. ah j'espère bien, j attend donc ta réponse...
      Oui t'es encore un jeunot, les fautes que tu fais viennent pour la plupart de ca, mais il n'empêche que pour ton age, la creepypasta est plutot réussi..
      J'ai 20, mais lire une creepypasta de temps en temps je trouve ca sympa

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    11. Salut,

      j'ai compris dès la première lecture ce que tu voulais dire en disant "remèdes ou médicaments", mais ca alourdie la phrase, tu peux demander aux autres lecteurs. Comme je te disais, fais le plus concis possible, "médicaments."... Si tu veux vraiment mettre les deux termes, pas d'ambiguïté à avoir, tu mets un "ET".
      Idem pour "Trouva et retrouva". C'est des informations inutiles qui nuisent à la bonne lecture de la phrase. Ta phrase se retrouve haché alors qu'elle devrait couler de source...

      Je connais aussi la nuance entre effrayé et terrorisé, mais je te disais ca pour que tu accentue l'effet que tu veux donner.
      Les deux mots sont bien des synonymes de premier degré, je veux dire par là que le sens même du terme, reste assez proche pour qu on les confondent.
      Si tu avais dit "apeuré", là il y aurai eu une nuance.
      Mais effroi et la terreur ca reste trop proche. Tu ne verra jamais ce type de phrase dans un livre ou autre.

      Après sur ce qui est des synonymes, ça peut être un style d'écriture à part et je peux le comprendre, mais concernant tes "ou" à la place des "et" sous entendus, je te certifie que c'est beaucoup plus important, même peut être l'une des fautes la plus grave que je t'avais signaler. La raison? J'ai un exercice sympa pour voir si une phrase est claire, j'essaie de la traduire dans une autre langue dans ma tête. si elle sonne juste, ca va...si j'ai un doute, c'est qu'il y a un problème dans la langue source.
      J'imagine tu apprends au moins l'anglais à l'école? essai ce petit exercice pour voir l'aisance de lire tes phrases.

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    12. Je ne fais qu'analyser la forme de ta creepypasta, et nullement le contenu. Comme je l'ai dis dans mon tout premier poste, je ne me permet pas de juger ton idée aussi bonne soit elle. Comme dit l'adage, l'enfer est pavé de bonne intention. Les intentions sont tes idées, mais si tu les mets mal en forme voilà sur quoi résulte ta creepypasta, tous tes lecteurs n'adhère pas à ton point de vue.

      La prochaine fois que tu fais une creepypasta, si tu veux, envoi la moi et je te conseillerai avant que tu ne l'as poste.

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  4. Salut, c'est re-moi l'anonyme qui avait posté un gros pavé sur la première partie (#R)
    J'ai vu ta réponse ;)
    Du coup je re-commente celle-là.
    Bon, alors Bubidom t'as donné de nombreux conseils sur ton écriture. J'en rajouterai pas, t'as déjà de la matière ^^
    Mais je te fais quand même des remarques
    -Désolé mec, je re-balance ça mais y'a des clichés encore... C'est pas vraiment ta faute : les creepypastas y'en a beaucoup, beaucoup d'idées ont été exposés. Du coup faut aller dans l'originalité, c'est comme ça. Ce que je veux dire c'est qu'elle ne sort pas du lot, celle-là, voilà. Un classique quoi : psychopathe, possession. ça marque pas le lecteur (moi en tous cas ça ne me marque pas)
    -Un mot : INCOHERENCE !!!! Franchement, autant faire une deuxième pasta indépendante. Celle-là et la première n'ont rien à voir :o
    ---> Charles appelle l'ambulance. Donc le garçon est retrouvé. Donc il parle. Donc Charles est rodé. Donc il est arrêté. Donc on retrouve son bordel sataniste. Or, je cite ta première partie "La gendarmerie de l'époque n'avait découvert aucun indice. Ces enfants étaient des garçons, des filles. Ils ont subitement disparu durant leur sommeil, la fenêtre ouverte, sans aucune empreinte."
    ---> Comme commenté dans la première pasta, il était impossible que personne soupçonne Charles, ça tombe sous le sens. Et c'est d'autant plus explicite dans cette deuxième partie. La police aurait pu retrouver Charles dans la nuit, donc l'arrêter au matin.
    --->Le père est mort dans la première partie, et il est dit explicitement qu'il a jamais pu revoir son fils. Or, je cite "- Dis aux ambulanciers tout ce qui s'est passé. Quand ils se seront occupé de toi, dis-leur ton adresse. Ils te reconduiront auprès de ton père." ça passe pas...
    ---> Y'en a d'autre mais c'est + par rapport à ta manière d'écrire, donc cf Bubidom, et sûrement encore d'autre que j'ai pas sous la main

    En conclusion, ta pasta, même si elle sort pas vraiment du lot, peut être sympathique de part son ambiance, mais elle est pas super bien écrite et ne correspond pas du tout à la 1ère partie.

    Encore une fois, tu peux répondre à mon commentaire, je repasserai :)
    #R

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    1. Ok pour tes points :)
      Du coup rien d'autre à ajouter je te souhaite une bonne continuation ! Tu as pas mal de conseils dans la commentaires alors tu vas t'améliorer, et je lirais tes prochaines pastas publiées sur le site! (je regarde pas le forum)
      a+
      #R

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  5. Salut c'est le gars qui t'as posé la question a propos de charles (qu'il aurait du s' en rendre compte, etc...) je trouve celle-là bien flippante, et ça m'apporte des réponse, alors merci pour cette pasta et bonne continuation (pour la partie trois fait la voir des yeux de l'enfant qui se fait enlever par Charles, se sera flippant!)

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    1. Je suis d'accord avec toi, et cela permettra sans doutes approfondir le personnage de Sivirus! J'ai bien aimer l'histoire même si les clichés sont évidents.

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  6. La seule chose que j'ai à redire à cette creepypasta que j'aime beaucoup:
    Charles est intrigué par une trappe, y'a pas de soucis mais.... Vu la quantité de cadavres, ça m'étonne qu'il est été intrigué par la trappe et non l'odeur.. Il aurait du l'être, que ce soit avant ou après l'avoir ouverte ... C'est tout, sinon j'aime beaucoup *-*

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  7. J'ai vraiment adoré cette creepypasta. :D

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  8. Salut, super pasta franchement et digne d'être lu :) l'histoire m'a vraiment captivée et j'attends avec impatience la suite. Cependant, il y a une incohérence par rapport au passage ou Charles amene le petit garçon chez lui : pourquoi lorsqu'il a appelé l'ambulance, il n'a pas informé en même temps les autorités locales ? Craignait-il de se faire arrêter ? Ca semble probable mais beaucoup de mystère plane sur comment il va s'échapper. De plus, tu devrais décrire les endroits comme si tu y etait (c'est fait mais il faut juste que tu l'accentue pour que le lecteur se sente dans la pièce) par rapport à la grandeur de la pièce, quelle sont les matériaux des murs, le décor ect... Sinon sur l'attitude de Charles c'était parfait, sur le fait qu'il se sente mal à l'aise en voyant ces cadavres, il est complètement déboussolé et se demande comment c'est arrivé.
    Voilà, j'espère que ça t'aura aidé.
    Moi même j'écris des histoires que j'ai prévu de poster très bientôt car je veux choisir une bien terrifiante :) n'hésite pas a me poser des questions sur certaines choses pour améliorer tes pastas, en s'échangeant des idées on ne peut que s'améliorer ��

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