Une lueur vous éblouit, vous vous réveillez en prononçant des jurons à voix basse à cause du mal de tête qui vous torture, vous avez l'impression que quelqu'un a utilisé un objet contondant pour vous assommer et vous essayez de vous souvenir de votre soirée mais malheureusement, vous avez perdu la mémoire...
Vous tentez de vous relever mais vos jambes ainsi que votre corps semblent lourds et vous souffrez à cause des courbatures, votre vue devient moins trouble et vous remarquez que vous êtes enfermé dans une sorte de chambre froide.
Vous tentez de crier pour demander de l'aide mais un mal de gorge stoppe votre geste, vous donnez des coups avec vos pieds et au bout d'une dizaine de tentatives, votre prison cède enfin, maintenant, vous êtes libre !
Vous réessayez de vous relever, la douleur vous torture à nouveau mais elle disparaît, petit à petit et en jetant un coup d'oeil, vous manquez de faire une attaque cardiaque; Vous êtes dans une morgue.
Les lumières s'éteignent, plongeant la salle dans l'obscurité et vous entendez des voix ainsi que des bruits de pas, ce sont les employés, vous tentez de les appeler mais vos cordes vocales ne sont pas en état de fonctionner pour le moment...
Vous titubez tel un alcoolique dans la morgue et vous écoutez en collant votre tête contre la porte, les employés ont finalement quitté le bâtiment mais vous attendez encore quelques minutes avant d'explorer les lieux pour trouver des vêtements puisque vous êtes nu...
Au bout de deux heures de patience, vous sortez et vous vous baladez dans les couloirs, explorant diverses salles; Une infirmerie, un bureau, une salle de repos, le placard du concierge, ect...
Rien d'intéressant lorsque vous entendez un sifflement : Le concierge. Vous tentez de vous cacher mais le concierge se rapproche de vous et en croisant votre regard, il commence à pâlir, il tente de hurler mais son hurlement est étouffé puis il s'écroule au sol, se tenant la poitrine pendant qu'il est pris de spasmes et finalement, il décède...
Vous vous sentez inquiet et effrayé mais d'un autre côté, vous avez vos vêtements, vous déshabillez le concierge, en prenant soin de lui laisser son sous-vêtement et vous le cachez dans la morgue.
Vous fouillez ses poches et vous saisissez son porte-clés, la joie vous envahit durant un court moment et vous quittez les lieux pour retrouver la civilisation ainsi que tenter de retrouver votre mémoire.
La lumière du soleil vous aveugle, vous décidez de marcher tête baissée pour éviter d'être aveuglé par ses rayons pendant que vous vous dirigez vers une ville qui est située à 500Km, la marche sera longue...
Quelques voitures s'arrêtent auprès de vous mais dés que leurs conducteurs vous regardaient droit dans les yeux, ils étaient effrayés et ils fuyaient en hurlant de peur, vous vous demandez pourquoi les personnes que vous avez rencontré semblent avoir peur de vous...
Heureusement pour vous, vous réussissez à rejoindre la ville malgré votre longue balade qui a duré sept heures de marche, certains passants se plaignent d'une mauvaise odeur quand vous êtes passé à côté d'eux, d'autres vous évitent en courant ou en faisant demi-tour en poussant des cris.
Vous ne comprenez rien et vous vous sentez perdu lorsqu'une jeune femme aux cheveux bruns attire votre attention, elle semble vous rappeler quelque chose et vous tentez de lui adresser la parole mais des espèces de murmures sortent de votre bouche, la femme vous regarde, son visage affichant de la peur ainsi que de la joie.
Des larmes coulent de ses yeux mais elle hésite de s'approcher de vous, des sirènes de voitures de policiers vous percent les tympans, vous tenez votre tête en poussant des grognements de douleur qui ressemblent à ceux d'un animal sauvage.
Un coup de feu retentit, quelque chose tombe sur vous; C'est la jeune femme, elle vous enlace et vous murmure à l'oreille :
<< Désolé... >>
Ses yeux se referment et son sang continue de se propager sur ses vêtements, des larmes coulent le long de vos joues, vous grincez des dents et vous posez délicatement le corps de celle qui a sacrifié sa vie pour vous sauver sur le trottoir, vous émettez un hurlement bestial en levant votre tête vers les cieux avant de charger les policiers.
Les balles fusèrent, vous titubez malgré vous et elles transpercent votre torse, vous ressentez quelques brûlures mais la douleur disparaît à nouveau, vous continuez de vous s'approcher de ces tueurs portant les vêtements des forces de l'ordre lorsque vous ressentez une étrange sensation...
Vous vous sentez léger et apaisé, une lueur blanche vous aveugle à nouveau durant un bref instant et vous découvrez la raison de cette sensation : L'une des balles des policiers vous a touchée en pleine tête, provoquant ainsi votre mort.
Pendant que vous rejoignez l'au-delà, vous remarquez que l'âme de votre femme n'a pas eu cette chance, elle vous observe, les larmes aux yeux en étant à côté de son propre corps...
<< Désolé... >> Furent vos dernières paroles...
Vous tentez de vous relever mais vos jambes ainsi que votre corps semblent lourds et vous souffrez à cause des courbatures, votre vue devient moins trouble et vous remarquez que vous êtes enfermé dans une sorte de chambre froide.
Vous tentez de crier pour demander de l'aide mais un mal de gorge stoppe votre geste, vous donnez des coups avec vos pieds et au bout d'une dizaine de tentatives, votre prison cède enfin, maintenant, vous êtes libre !
Vous réessayez de vous relever, la douleur vous torture à nouveau mais elle disparaît, petit à petit et en jetant un coup d'oeil, vous manquez de faire une attaque cardiaque; Vous êtes dans une morgue.
Les lumières s'éteignent, plongeant la salle dans l'obscurité et vous entendez des voix ainsi que des bruits de pas, ce sont les employés, vous tentez de les appeler mais vos cordes vocales ne sont pas en état de fonctionner pour le moment...
Vous titubez tel un alcoolique dans la morgue et vous écoutez en collant votre tête contre la porte, les employés ont finalement quitté le bâtiment mais vous attendez encore quelques minutes avant d'explorer les lieux pour trouver des vêtements puisque vous êtes nu...
Au bout de deux heures de patience, vous sortez et vous vous baladez dans les couloirs, explorant diverses salles; Une infirmerie, un bureau, une salle de repos, le placard du concierge, ect...
Rien d'intéressant lorsque vous entendez un sifflement : Le concierge. Vous tentez de vous cacher mais le concierge se rapproche de vous et en croisant votre regard, il commence à pâlir, il tente de hurler mais son hurlement est étouffé puis il s'écroule au sol, se tenant la poitrine pendant qu'il est pris de spasmes et finalement, il décède...
Vous vous sentez inquiet et effrayé mais d'un autre côté, vous avez vos vêtements, vous déshabillez le concierge, en prenant soin de lui laisser son sous-vêtement et vous le cachez dans la morgue.
Vous fouillez ses poches et vous saisissez son porte-clés, la joie vous envahit durant un court moment et vous quittez les lieux pour retrouver la civilisation ainsi que tenter de retrouver votre mémoire.
La lumière du soleil vous aveugle, vous décidez de marcher tête baissée pour éviter d'être aveuglé par ses rayons pendant que vous vous dirigez vers une ville qui est située à 500Km, la marche sera longue...
Quelques voitures s'arrêtent auprès de vous mais dés que leurs conducteurs vous regardaient droit dans les yeux, ils étaient effrayés et ils fuyaient en hurlant de peur, vous vous demandez pourquoi les personnes que vous avez rencontré semblent avoir peur de vous...
Heureusement pour vous, vous réussissez à rejoindre la ville malgré votre longue balade qui a duré sept heures de marche, certains passants se plaignent d'une mauvaise odeur quand vous êtes passé à côté d'eux, d'autres vous évitent en courant ou en faisant demi-tour en poussant des cris.
Vous ne comprenez rien et vous vous sentez perdu lorsqu'une jeune femme aux cheveux bruns attire votre attention, elle semble vous rappeler quelque chose et vous tentez de lui adresser la parole mais des espèces de murmures sortent de votre bouche, la femme vous regarde, son visage affichant de la peur ainsi que de la joie.
Des larmes coulent de ses yeux mais elle hésite de s'approcher de vous, des sirènes de voitures de policiers vous percent les tympans, vous tenez votre tête en poussant des grognements de douleur qui ressemblent à ceux d'un animal sauvage.
Un coup de feu retentit, quelque chose tombe sur vous; C'est la jeune femme, elle vous enlace et vous murmure à l'oreille :
<< Désolé... >>
Ses yeux se referment et son sang continue de se propager sur ses vêtements, des larmes coulent le long de vos joues, vous grincez des dents et vous posez délicatement le corps de celle qui a sacrifié sa vie pour vous sauver sur le trottoir, vous émettez un hurlement bestial en levant votre tête vers les cieux avant de charger les policiers.
Les balles fusèrent, vous titubez malgré vous et elles transpercent votre torse, vous ressentez quelques brûlures mais la douleur disparaît à nouveau, vous continuez de vous s'approcher de ces tueurs portant les vêtements des forces de l'ordre lorsque vous ressentez une étrange sensation...
Vous vous sentez léger et apaisé, une lueur blanche vous aveugle à nouveau durant un bref instant et vous découvrez la raison de cette sensation : L'une des balles des policiers vous a touchée en pleine tête, provoquant ainsi votre mort.
Pendant que vous rejoignez l'au-delà, vous remarquez que l'âme de votre femme n'a pas eu cette chance, elle vous observe, les larmes aux yeux en étant à côté de son propre corps...
<< Désolé... >> Furent vos dernières paroles...
Auteur : Rob Nukem
J'ai pas compris.
RépondreSupprimerDésolé de up le topic mais en fait je crois que le gars est décompsé et est devenu une sorte de zombie
RépondreSupprimerc'est la plus belle pasta que j'ai jamais lu...;')
RépondreSupprimerBonjour, un petit brin d'explication sur cette pasta ne me serait pas superflu...
RépondreSupprimerEn faite le mec c'est un zombie à la "I Zombie"
SupprimerJe crois que c'est un gars qui est mort en fait et qui n'est pas "entièrement mort"
RépondreSupprimerGenre le gars qui est semi-zombie semi-vivant
RépondreSupprimer500 Km en 7 heures, c'est un rapide!
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerSa femme
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