Katherine était petite, quand sa famille a dû quitter la France pour s'installer à Barcelone, en Espagne. N'ayant pas pu apprendre le français, étant trop petite, sa langue maternelle fut l'espagnol. Elle passait une enfance paisible, à l'école et dans la rue elle parlait espagnol, chez elle avec ses parents, elle parlait français. Apprendre 2 langues pendant son enfance lui a été très utile, et ses parents étaient fiers de ce qu'elle était. Non seulement très belle, une chevelure d'un blond éclatant, elle illuminait aussi par son intelligence.
Et elle était bien récompensée ! Ses parents l'aimaient plus que tout, elle travaillait bien en classe, ses notes étaient excellentes. Elle avait toujours obéi à ses parents, elle était de toutes façons très peureuse et n'osait jamais vraiment s'aventurer dans l'inconnu. Elle tenait toujours la main de sa mère dans les grands marchés, si bien qu'elle n'osait même pas la quitter pendant quelques secondes pour voir un objet qui lui plaisait.
C'était peut-être là son plus grand défaut. Elle était extrêmement timide, ne parlant jamais aux autres enfants quand elle était en cours. Elle parlait très peu, et quand les professeurs l'interrogeaient, elle répondait d'une petite voix, n'osant jamais lever la voix. À cause de ces défauts, certains camarades de classe s'en donnaient à cœur joie. Si au départ, ce n'était que des vols d'objets ou de goûters, ce fut bien pire en grandissant. D'années en années, les garçons profitaient de plus en plus d'elle, ils la touchaient, et quand elle osait enfin hausser le ton, elle se faisait aussitôt frapper par ces derniers. Et pendant que les garçons s'amusaient avec elle, les filles avaient mauvaise image de Katherina, pensant que ça ne la dérangeait pas que les garçons lui fassent ce genre de choses. Mais c'était faux ! Elle ne supportait pas.
Mais ce n'était pas le pire. Ces garçons la maltraitaient en permanence. Les insultes fusaient, mais en plus de briser son moral, ils la brisaient aussi physiquement. Coups de poing, gifles et cigarettes sur la peau, tout y passait. Katherine essayait tant bien que mal de cacher ses blessures. Elle ne voulait pas les montrer à ses parents. Elle était si chère à leurs yeux, elle ne voulait pas les décevoir. Alors Katherine subissait. Mais ses parents voyaient bien que quelque chose n'allait pas chez la jeune fille. Elle ne disait plus un mot. Quand elle rentrait chez elle, elle s'enfermait dans sa chambre, sanglotant le plus doucement possible, assez pour que ses parents ne l'entendent pas. Elle mangeait et dormait peu, et ses notes scolaires chutèrent lentement, mais sûrement.
Mais à 19 ans, tout changea pour elle. Après une énième humiliation publique, un homme s'était interposé entre elle et ses harceleurs. Quelques instants après, ces derniers étaient tous à terre, et l'homme releva la fille, une larme coulant sur sa joue. Elle n'en croyait pas ses yeux, une personne était venue l'aider. Ce fut directement le coup de foudre. Les semaines d'après furent les plus heureuses de toute sa vie. Elle avait trouvé une personne qui l'aimait, et elle l'aimait aussi. Une lueur d'espoir pour la jeune fille... ?
Un jour, le jeune homme invita la fille à passer chez lui la semaine prochaine. Elle était anxieuse, elle ne savait pas comment s'y prendre avec les garçons, et elle avait peur de tout rater. Surtout que sa mère lui avait déconseillé d'aller dans le quartier du garçon. Il s'y passait plusieurs choses étranges parait-il, et elle était inquiète pour sa fille. Mais l'amour était plus fort que tout, et pour la première fois de sa vie, elle désobéit à sa mère. En fin d'après-midi, elle alla chez le garçon. Ce dernier habitait au-dessus d'un garage, et c'est devant cet endroit qu'il l'attendait. Un léger sourire s'afficha sur le visage de la fille, quand le garçon lui proposa d'entrer dans le garage. En confiance, elle y entra mais s'arrêta aussitôt. Plusieurs hommes étaient là dedans. L'homme referma le garage derrière lui, et se mit à doucement toucher les cheveux de la fille, avant de lui caresser le corps. Il fut aussitôt rejoint par les autres hommes. Le rêve de la fille s'était transformé en cauchemar. Insulte, coups et viol, la fille a même était torturée, son visage subissant de graves brûlures. Presque morte, les hommes la jetèrent près d'un fossé, sous une pluie torrentielle.
Quelques années plus tard, un garçon réparait sa voiture. Il referma le capot, et quand il se retourna, il ressentit une horrible douleur au niveau de sa tête. Affalé sur sa voiture, le sang coulant lentement de sa tête, il vit une personne avec un masque tenant une clé à molette. C'était avec ça qu'il avait été frappé. La personne s'avança vers lui, et enleva son masque. Un horrible visage déformé et brûlé. "Te rappelles-tu de moi ?" dit la personne, avant de remettre son masque et de lui asséner un dernier coup.
Depuis, Katherine se fait appeler La Castigadora. Elle ne vit que pour une chose, tuer toutes les personnes lui ayant fait du mal, et surtout tuer les enfants désobéissants. Elle ne veut pas qu'ils reproduisent la même erreur qu'elle. Une mort rapide vaut peut-être bien mieux que des années de souffrances.
Et elle était bien récompensée ! Ses parents l'aimaient plus que tout, elle travaillait bien en classe, ses notes étaient excellentes. Elle avait toujours obéi à ses parents, elle était de toutes façons très peureuse et n'osait jamais vraiment s'aventurer dans l'inconnu. Elle tenait toujours la main de sa mère dans les grands marchés, si bien qu'elle n'osait même pas la quitter pendant quelques secondes pour voir un objet qui lui plaisait.
C'était peut-être là son plus grand défaut. Elle était extrêmement timide, ne parlant jamais aux autres enfants quand elle était en cours. Elle parlait très peu, et quand les professeurs l'interrogeaient, elle répondait d'une petite voix, n'osant jamais lever la voix. À cause de ces défauts, certains camarades de classe s'en donnaient à cœur joie. Si au départ, ce n'était que des vols d'objets ou de goûters, ce fut bien pire en grandissant. D'années en années, les garçons profitaient de plus en plus d'elle, ils la touchaient, et quand elle osait enfin hausser le ton, elle se faisait aussitôt frapper par ces derniers. Et pendant que les garçons s'amusaient avec elle, les filles avaient mauvaise image de Katherina, pensant que ça ne la dérangeait pas que les garçons lui fassent ce genre de choses. Mais c'était faux ! Elle ne supportait pas.
Mais ce n'était pas le pire. Ces garçons la maltraitaient en permanence. Les insultes fusaient, mais en plus de briser son moral, ils la brisaient aussi physiquement. Coups de poing, gifles et cigarettes sur la peau, tout y passait. Katherine essayait tant bien que mal de cacher ses blessures. Elle ne voulait pas les montrer à ses parents. Elle était si chère à leurs yeux, elle ne voulait pas les décevoir. Alors Katherine subissait. Mais ses parents voyaient bien que quelque chose n'allait pas chez la jeune fille. Elle ne disait plus un mot. Quand elle rentrait chez elle, elle s'enfermait dans sa chambre, sanglotant le plus doucement possible, assez pour que ses parents ne l'entendent pas. Elle mangeait et dormait peu, et ses notes scolaires chutèrent lentement, mais sûrement.
Mais à 19 ans, tout changea pour elle. Après une énième humiliation publique, un homme s'était interposé entre elle et ses harceleurs. Quelques instants après, ces derniers étaient tous à terre, et l'homme releva la fille, une larme coulant sur sa joue. Elle n'en croyait pas ses yeux, une personne était venue l'aider. Ce fut directement le coup de foudre. Les semaines d'après furent les plus heureuses de toute sa vie. Elle avait trouvé une personne qui l'aimait, et elle l'aimait aussi. Une lueur d'espoir pour la jeune fille... ?
Un jour, le jeune homme invita la fille à passer chez lui la semaine prochaine. Elle était anxieuse, elle ne savait pas comment s'y prendre avec les garçons, et elle avait peur de tout rater. Surtout que sa mère lui avait déconseillé d'aller dans le quartier du garçon. Il s'y passait plusieurs choses étranges parait-il, et elle était inquiète pour sa fille. Mais l'amour était plus fort que tout, et pour la première fois de sa vie, elle désobéit à sa mère. En fin d'après-midi, elle alla chez le garçon. Ce dernier habitait au-dessus d'un garage, et c'est devant cet endroit qu'il l'attendait. Un léger sourire s'afficha sur le visage de la fille, quand le garçon lui proposa d'entrer dans le garage. En confiance, elle y entra mais s'arrêta aussitôt. Plusieurs hommes étaient là dedans. L'homme referma le garage derrière lui, et se mit à doucement toucher les cheveux de la fille, avant de lui caresser le corps. Il fut aussitôt rejoint par les autres hommes. Le rêve de la fille s'était transformé en cauchemar. Insulte, coups et viol, la fille a même était torturée, son visage subissant de graves brûlures. Presque morte, les hommes la jetèrent près d'un fossé, sous une pluie torrentielle.
Quelques années plus tard, un garçon réparait sa voiture. Il referma le capot, et quand il se retourna, il ressentit une horrible douleur au niveau de sa tête. Affalé sur sa voiture, le sang coulant lentement de sa tête, il vit une personne avec un masque tenant une clé à molette. C'était avec ça qu'il avait été frappé. La personne s'avança vers lui, et enleva son masque. Un horrible visage déformé et brûlé. "Te rappelles-tu de moi ?" dit la personne, avant de remettre son masque et de lui asséner un dernier coup.
Depuis, Katherine se fait appeler La Castigadora. Elle ne vit que pour une chose, tuer toutes les personnes lui ayant fait du mal, et surtout tuer les enfants désobéissants. Elle ne veut pas qu'ils reproduisent la même erreur qu'elle. Une mort rapide vaut peut-être bien mieux que des années de souffrances.
Vraiment sympa ! Honnêtement j'adore !
RépondreSupprimerJe suis du même avis ! Excellente !
SupprimerPas moi, l'histoire est un peu un mélange de plusieurs creepypasta/films d'horreurs, il y a des fautes (surtout le "Les insultent" qui m'a bien fait rire) et l'image ressemble à un montage photoshop raté.
RépondreSupprimerEt donc notre amie la castigadora fait des photos devant sa webcam? :'3
RépondreSupprimerL'image ne colle pas avec la creepy. ^-^
Anonyme du 5 Décembre : Boarf, tu sais, personne se demande qui a photographié Jeff par exemple. o3o
RépondreSupprimerPas faut anonyme de 11:51. Je me pose la question aussi depuis mes 6 ans putain... Et ca fait un bout de temp ( jen ai 19)... ARG, JE VIEILLIT lol
SupprimerJe repon pas je termine ma remarque: Jai mal ecrit mon truc je pense etre la seul a me poser cette foutu question... POURQUOI JEFF ET SES POTES POSTE LEUR PHOTOS SUR INTERNET??? QUE QHELQUN DONNE UN AUTRE SENS A MA VI QUE CETTE PHRASE (lol 2)
SupprimerA non tes pas anomyme. Scuse
Supprimerlucas
Tellement inspiré par le film : I Spit on Your Grave que forcément j'ai du mal à trouver cette histoire originale.
RépondreSupprimerCela dit elle n'est pas trop mal écrite juste un petit plus MERCI DE NE PAS AVOIR PRIS UN GAMIN MINEUR. Cette tradition creepy m'a fait passé plus d'une fois mon chemin selon moi un personnage trop jeune rend l'histoire encore moins crédible.
Ici au contraire il prend son sens avec le passage à la majorité le "liberté" face aux règles des parents que les jeunes peuvent avoir mais une part de réalité extrêmes et brutale qui nous dit " ne vous fiez pas trop aux apparences! "
Je vais raconter ça à mes petits cousins pour qu'ils soient plus sages. 8D
RépondreSupprimerCool ca fait flipper
RépondreSupprimerJe ne suis pas convaincue du tout, un peu trop classique le coup de la vengeance je trouve, et l'image ne colle pas non plus avec la pasta, ce qui est dommage.
RépondreSupprimerEuh... Je ferait mieux de... D'obeir a ma mere moi...
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