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dimanche 31 juillet 2016

J'ai toujours su qu'il y avait un truc bizarre avec mon sous-sol.

Mais je n'avais aucune idée d'à quel point la vérité pouvait être terrifiante.


Je me souviens quand j'ai vu la maison pour la première fois. J'avais sept ans et mes jeunes parents venaient d'acheter leur première maison. Je détestais vivre dans le petit appartement miteux où nous habitions auparavant, et nous avons fait de grands yeux en ouvrant la porte. J'étais émerveillé en découvrant à quel point c'était spacieux. Je suis monté pour voir ma future chambre. J'étais tellement excité d’avoir ma propre chambre et de ne pas avoir à la partager avec mon frère en bas âge.

Pendant mon exploration, je suis finalement descendu dans la cave. Le sous-sol n'était en rien comme le reste de la maison : en surface, l'intérieur était élégant et chic ; la cave, elle, était froide, vide et malodorante. Le plafond était parcouru de vieux tuyaux sinueux, et le sol, simplement couvert d'une dalle de ciment. Je me souviens avoir jeté un coup d’œil à l'escalier et j'ai été immédiatement surpris de voir à quel point il était étrange.

L'escalier était encadré par deux cloisons de plâtre qui tranchaient avec le reste du sous-sol. En particulier
, une section de la paroi avait une couleur différente du reste. Elle faisait tache dans le décor. Je me suis rapproché, et je l'ai tâtée. La texture du matériau était très étrange. J'ai alors toqué dessus, et un écho a brisé le silence. 
Quelque chose dans ce son inattendu m'a tout de suite mis mal à l'aise. J'ai monté l'escalier et je pouvais toujours entendre le même écho dans le sous-sol vide.

Alors que nous nous installions, j'ai commencé à me mettre à l'aise vis à vis de mon nouvel environnement. La maison devenait familière. Toute la maison, excepté le sous-sol. Il venait toujours me rebuter, et j'évitais cet endroit du mieux que je pouvais. 

Notre famille n'aurait pas pu être plus heureuse. Moi et mon frère recevions tout l'amour possible de nos parents. Ma vie était parfaite.

Puis ça a commencé.

J'ai commencé à entendre des bruits étranges. Quand je l'ai signalé à mes parents, ils m'ont fait le grand classique, comme quoi c'était le bois qui travaillait. Une nuit en  particulier a pourtant bien démontré que quelque chose n'allait pas. J'étais descendu à la cuisine pour prendre quelque chose à grignoter, et au moment de fermer la porte du réfrigérateur, j'ai entendu comme des tapotements dans le silence de la nuit. J'ai tendu l'oreille pour voir si je pouvais déterminer d'où le bruit venait. J'ai alors réalisé que ce son venait du sous-sol. Je me suis donc dirigé vers la porte de la cave et je l'ai ouverte, accueilli par l'obscurité.

Mes oreilles se sont dressées. Il était là à nouveau. Ce bruit creux de tapotement. Le même son que j'avais entendu à ma première visite au sous-sol quand j’avais frappé les cloisons de plâtre. J'ai allumé les lumières pour descendre les escaliers afin d'y jeter un oeil. Les coups ont continué tandis que je descendais la première marche, et la peur m'a envahi. N'y tenant plus, je suis retourné en courant dans ma chambre et je me suis caché sous mes couvertures jusqu'à ce que la lumière du matin laisse sa place à une nouvelle journée.

Je me souviens le lendemain quand j'ai descendu les escaliers. Premier debout, je me suis dirigé vers le salon pour jouer à la Nintendo. Sur mon chemin, je suis passé devant la porte du sous-sol. Elle était fermée. Même si j'étais en panique quand je suis retourné dans ma chambre la veille, je me souvenais très bien avoir laissé la porte ouverte et les lumières allumées. Sur le moment, je me suis dit que ma mère ou mon père avaient dû le faire, et je me suis plongé dans Super Mario Bros 3.

Plus tard, j'ai mentionné l'incident à mes parents, et ils m'ont assuré que ce que j’avais entendu était uniquement le son de la chaudière. J'étais sceptique, mais ouvert à toute explication logique.

Environ un mois après avoir emménagé, ma mère m'a demandé de remonter du linge propre du sous-sol, là où se trouvait notre machine à laver. J'ai accepté à contrecœur. On était au milieu de la journée et suffisamment de temps s'était écoulé pour atténuer la peur que j'avais ressentie une semaine plus tôt.

J'ai allumé les lumières. J'ai descendu les marches quatre à quatre. Je pouvais entendre l'écho de mes pas, et je sentais couler des sueurs froides sur mon front. Arrivé à la dernière marche, j'ai brusquement senti une odeur nauséabonde - mes parents m'avaient dit qu'il devait y avoir une souris morte quelque part dans la cave, et m'ont assuré qu'ils allaient la retrouver. Je me suis dirigé vers la machine à laver. J'ai saisi les chaussettes à la hâte et je les ai enfouies dans le panier à linge. 

Après avoir fermé la porte de la machine, j'ai examiné les alentours. Le silence de la cave était si étrange. Puis je l'ai entendu. Un murmure presque inaudible.

Au début, je pensais que c'était quelqu'un à l'étage, comme si sa voix se propageait dans le sous-sol. Cependant, ce n'était pas le cas. Ce bruit venait vraiment du sous-sol, de sous les escaliers. Alors que je restais figé par la peur, le murmure est devenu plus fort, bien que toujours à la limite de la perception humaine ; ce qu'il disait était incompréhensible pour mes jeunes oreilles.

Puis il s'est arrêté, aussi vite qu'il a commencé.

Je me suis déplacé vers les escaliers en gardant un œil sur la partie bizarrement colorée de la cloison de plâtre. Alors que j'entreprenais de m'éloigner pour échapper à ce qui s'annonçait comme un cauchemar, le moment le plus terrifiant de ma vie s’est produit : un gros bruit sourd a secoué les escaliers. Presque au point de me faire tomber à la renverse. J'ai monté les escaliers aussi vite que mes jambes me le permettaient .

Les larmes aux yeux, j'ai raconté à mes parents ce qui s'était passé. Ils ont fait de leur mieux pour me rassurer, mais rien de ce qu'ils disaient ne pouvait apaiser mon esprit. Je leur ai dit que je n'aurais jamais dû descendre au sous-sol. Ils ont pris ma terreur au sérieux, car ils ont honoré ma demande : ils ne m'ont plus jamais envoyé à la cave.

Après trois mois dans la maison, les choses étaient revenues à la normale pour moi, et honnêtement, il y a eu une période de deux semaines où j'ai été parfaitement serein. En fait, c'est probablement la dernière période de ma vie où j'ai connu une telle sérénité. 

Un moment en particulier me vient à l'esprit. Je me souviens avoir soulevé affectueusement Jonathon au-dessus de ma tête quand sa tétine était tombée de sa bouche. Je me souviens lui avoir fait un gros câlin, et je me souviens de son odeur. Cette merveilleuse odeur que les bébés émettent. C'est la dernière fois que j'ai senti ce parfum.

Tout s'est anéanti pour moi et mes parents la nuit du 2 juillet 1991.

C'est le jour où Jonathon a disparu.

Une demande de rançon avait été griffonnée dans un anglais à peine lisible et laissée dans son lit, exigeant 20 000 dollars en espèces. La note informait mes parents que s'ils contactaient la police, Jonathon serait exécuté. Mes parents se sont isolés dans leur chambre, et je pouvais les entendre se disputer sur la décision à prendre. Ma mère a finalement convaincu mon père, et a appelé la police. 


Le lieu et l'heure pour l'échange avaient été indiqués sur la note, aussi la police avait mis en place une écoute au cas où le ravisseur se décidait à appeler. J'ai demandé à mes parents et aux policiers s'ils avaient soigneusement fouillé la maison, au cas où le ravisseur était encore là. Ils m'ont assuré qu'ils avaient tout fouillé et que Jonathon serait vite récupéré, mais une idée avait déjà germé dans mon esprit, une idée qui allait grandir et s'enraciner en moi tout au long de ma vie.

Mes parents ont suivi les instructions. Ils ont déposé l'argent et ont attendu à l'emplacement indiqué pour retrouver Jonathon.
Le ravisseur n'est jamais venu.

Inutile de dire que ça a déchiré ma famille. Les semaines ont passé et il n'y avait pas de nouvelles de Jonathon. Mes jeunes parents dynamiques n'étaient plus que l'ombre d'eux-mêmes, ma mère en particulier. Elle s'en voulait pour avoir prévenu la police et pensait que c'était la raison pour laquelle Jonathon n'avait pas été retrouvé. 


Une nuit, alors qu'elle sanglotait seule en buvant une bouteille de vin, j'ai finalement décidé de lui parler de la théorie que j'avais en tête. Je lui ai dit que je pensais que c'était celui qui était sous l'escalier qui avait pris Jonathon, et qu'il était peut-être encore vivant. 
Elle a giflé mon visage si fort que j'ai vu des étoiles. Elle a crié sur moi. Sa culpabilité s'exprimait comme de la rage. Elle m'a dit d'arrêter mes conneries de gamin et de simplement accepter que Jonathon avait été emmené par un putain de malade, et qu'il était mort. 
Mon enfance a été détruite ce jour-là. Je me souviens de l'envie que j'avais de prendre un marteau et d'exploser tout ce qui se trouvait sous l'escalier, mais la peur était trop forte en moi pour le faire.

Ma famille a déménagé peu de temps après cet incident. Je me souviens avoir eu un peu l'espoir de jours meilleurs à ce moment, mais il s'est rapidement évaporé. Mes parents ont divorcé, ne supportant plus de partager leur douleur. Moins d'un an après, ma mère s'est suicidée. La culpabilité l'avait submergée sans doute. Mon père a fait de son mieux pour m’élever, mais l'ombre de Jonathon était toujours suspendue au-dessus de nos vies.

Vingt ans plus tard, j'ai commencé à repenser à la disparition de mon petit frère, et à la colère que j'avais ressentie. Ma famille avait eu une chance de jouir d'une vie normale et satisfaisante, mais elle avait été brisée par celui qui nous l'avait pris. On ne m'avait pas juste volé un petit frère : on m'avait volé une chance d'être heureux. 

En grandissant, j'avais fini par accepter la version officielle des événements. Mais ces derniers temps, la curiosité avait recommencé à m'occuper l'esprit. Je suis retourné devant la vieille maison, pour constater qu'elle était actuellement vacante. Des idées ont commencé à tourbillonner dans ma tête.
 

Un soir où j'avais bu, l’ébriété me donnant du courage, je me suis introduit dans la maison. J’avais décidé de le faire. Je me doutais que je n'allais rien trouver sous l'escalier du sous-sol, mais j’espérerais que ça allait achever un trop long chapitre de ma vie et me permettrait de tourner la page.
À mon grand désarroi, les escaliers sonnaient exactement comme dans mon souvenir, et un bruit creux a envahi le vide du sous-sol. 

Arrivé en bas, j'ai examiné la cloison. Toujours cette petite zone à la couleur étrange, aussi sinistre que quand j'étais enfant. Cependant, la peur n'allait pas m'arrêter. En fait, je ressentais l'inverse. Je sentais un courage que je n'avais pas ressenti depuis longtemps. 
Le moment de vérité était venu. Avec toute la force accumulée en moi par des années de colère refoulée, j'ai foncé épaule en avant vers la cloison, et les plaques de plâtre ont cédé au premier coup. 

J’ai ouvert les yeux, j'ai regardé autour de moi, et mon courage s'est envolé dans l'instant.




Seigneur.

Des os.

Des os partout.

Un sentiment d'horreur inimaginable m'a pris en voyant les nombreux squelettes éparpillés. La lumière rasante donnait un air menaçant à ​​leurs minuscules ossements. Des
lambeaux de papier portant des inscriptions incompréhensibles parsemaient l'étroit espace. Il devait y avoir les restes de 20 ou 30 enfants. Ma peur a continué de grandir tandis que je réalisais que les crânes étaient manquants.

Un squelette en particulier avait attiré mon attention. Je suis tombé à la renverse quand j'ai vu ce qui ressemblait fortement à des traces de morsures sur le petit avant-bras.

Je m'attendais à entendre un bruit sourd en tombant sur le béton. Au lieu de cela, j'ai entendu un son creux. J'ai regardé pour voir sur quoi j'avais atterri : c'était une trappe. J'ai essayé de trouver à nouveau du courage, et j'ai tenté de surmonter la peur. Je l'ai ouverte.

Elle menait à un tunnel sombre, un vide sanitaire qui pouvait à peine faire tenir une personne couchée sur le ventre. L'odeur d'humidité qui s'en échappait me répugnait, mais je savais ce que je devais faire. Avant même d'être conscient de ce que mes muscles faisaient, je m'étais retrouvé à ramper dans l'obscurité, me dirigeant vers Dieu sait ce qui se trouvait à l'autre bout.

J'ai levé les yeux, apercevant un rai de lumière dans les ténèbres.
J'étais arrivé au bout du tunnel. Avec appréhension, j'ai poussé la trappe vers le haut.

J'ai sorti ma tête prudemment. À ma grande surprise, le tunnel conduisait de l'autre côté de l'escalier. Je me suis extirpé hors du tunnel pour me trouver dans le coin du sous-sol, faisant face à un sèche-linge couvert par des années de poussière. Tout cela me plongeait dans la confusion, mais avant que je puisse former une pensée cohérente, les lumières s'étaient éteintes dans le sous-sol.

Mon cœur s'est serré quand j'ai commencé à entendre quelqu'un descendre les escaliers, marchant lentement mais sûrement, me signifiant que je n'étais plus seul. À chaque pas, mon cœur s’arrêtait de battre. 

C'est là que j'ai commencé à entendre ces chuchotements incompréhensibles qui m'étaient familiers. Les souvenirs d'une enfance perdue me sont soudainement revenus en masse. 
Craignant que la pénombre ne me cache pas convenablement à ce qui approchait, je me suis recroquevillé derrière le sèche-linge, ne voulant pas prendre le risque de voir quelque chose qui pourrait terroriser toutes les fibres de mon être.

La panique grandissait en moi. Qu'est-ce que j'allais faire s'il découvrait que son repaire avait été révélé? Alors que je réfléchissais à mes options, des cris ont éclaté.
 

Je parle de cris, mais rien ne pourrait réellement décrire ces sons gutturaux. Le bruit qui venait de briser le silence de la cave était si glaçant, si surréaliste, il défiait toute description. Il était clair qu'il savait que quelqu'un avait découvert son sanctuaire. En un rien de temps, j'étais déjà dans les escaliers, fuyant pour ma vie.

J'ai couru à ma voiture. Trop effrayé pour me retourner. Tous mes muscles travaillant de concert, j'ai ouvert la portière et j'ai tourné la clé dans un mouvement rapide. Alors que ma voiture démarrait sous la lumière des lampadaires, l'ombre est tombée sur ma voiture. Je n'ai pas regardé en arrière, j'ai roulé pied au plancher jusqu'au commissariat le plus proche. Hors d'haleine, j'ai tenté d'expliquer à l'officier à l'accueil ce qui venait de se passer.

Un mois a passé depuis. Le lendemain de ma découverte, la police a lancé une enquête et a rapidement fait la même découverte macabre. J'ai été remercié par la police et la communauté pour ce que j'avais trouvé ; ils allaient être en mesure de mettre fin aux avis de recherche pour plusieurs cas de disparitions. Cependant, ils n'ont pas été en mesure de trouver l'auteur de ces crimes odieux. 

Ils ont commencé à analyser l'ADN des ossements. Un profond sentiment de soulagement m'a envahi lorsque j'ai reçu l'appel m'informant que l'un des petits squelettes appartenait à Jonathon.

J'ai partagé les nouvelles avec mon père. Son regard s'est illuminé, le fardeau qu'il avait porté pendant tant d'années avait été levé. Nous nous sommes embrassés, des larmes plein les yeux.





Toutefois, le soulagement a été pour moi de courte durée.

La pensée qui me tient éveillé la nuit, c'est de savoir que cette chose est encore en liberté. La question qui empoisonne mon esprit est de savoir si ce monstre est propre ou figuré.

J'espère ne jamais le savoir.






Traduction : Ocene

Texte original ici

46 commentaires:

  1. J ai beaucoup aimé cette pasta , elle donne des petits frissons , j adore !

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  2. J'ai été déçue... Je n'ai rien ressentit en la lisant :-/

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  3. Excellente creepypasta!
    Franchement j'en avais pas lu une aussi bonne depuis très longtemps.

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  4. Putain je chie dans mon froc sérieux

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  5. Cette creepy est bien (dans les idées et l'originalité), mais il y aurait pu avoir une meilleure chute :/

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  6. C'est juste génial ! J'adore cette creepypasta. :D

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  7. Cette creepypasta est vraiment sympa !

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  8. Elle est woaw ! Des frissons quand on la lit, en ce moment il y a de bonne pasta mais la ! Merci au traducteur

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  9. J'ai pas très bien compris

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  10. ça me fait penser au croque mitaine

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  11. J'adore mais je suis déçue de la fin. En temps normal, ne pas savoir si c'est un monstre ou autre ne me dérange pas tellement mais là j'aurais aimé le savoir. Elle reste bien et elle est donne envie de savoir ce qui se passe dans cette cave.

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    1. C'est justement le mystère qui plane à la fin qui fait tout le charme de cette pasta.
      Parfois il ne faut pas trop en savoir.

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  12. Putain génial XD jviens de lire la Creepy et je flippe car je viens d'emménager dans une maison il y a un an et la nuit il y a des bruits bizarres..je vais pas dormir moi XD

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  13. Mais qui appelle son enfant Jonathon ?

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    1. Au pire c'est pas grave: il est mort.

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    2. Ouais mais qui va payer le cercueil et les frais d'l'enterrement?

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  14. Une pasta vraiment très bonne, sans vouloir offenser certains auteurs c'est pour moi une des meilleures sorties en ce moment ni trop courte ni trop longue, aucun moment où s'ennuier tout simplement j'adore, une fin qui nous permet de s'imaginer ou pas à quoi peu ressembler le "monstre". Merci pour la traduction ^^

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  15. Excellente creepypasta, et très plaisante à lire ! Bravo au traducteur :)

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  16. Très bonne pasta, mais mon sous-sol correspond a la description de celui-ci... Comment dois-je réagir ?

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    1. Si t'entends des bruits, call the 119 right now !

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    2. Si tu vois un monster horrible sortir de la tu passe tout de suite en mode : RUN BITCH, RUN!!!

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  17. oh punaise il a laissé le RAKE sortir !

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  18. J'ai pas compris la phrase " La question qui empoisonne mon esprit est de savoir si ce monstre est propre ou figuré. " qui m'aide ? :s

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    1. il veut dire si c'est un monstre au sens propre ou figuré

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    2. en gros sa veut dire si c'est une personne reelle ou surnaturel

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  19. Parfait, ça fait beaucoups de bien de pouvoir lire une bonne petite pasta effrayante et pas trop mal écrite, comme on les aimes.
    Continue comme ça !

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  20. juste wow,cette creepy est excellente est la dernière phrase est juste magnifiquement bien tourné.

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  21. Sauter des lignes avant de mettre des phrases de quelques caractères c'est pas une super idée parce que ça attiré vite le regard.
    Sinon elle est sympa même si j'ai eu du mal à visualiser mentalement le chemin et le fameux tunnel de la cave

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  22. Punaise j'ai eu de ces frissons... ah, désolé, j'ai oublier d'éteindre le ventilo ^^"

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    1. Mdr mec t'es trop marrant (ce qui est vrai) !

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  23. La créature de cette histoire et l'ambiance me fait un peu penser à Tooms dans X-Files
    Sinon j'ai beaucoup apprécié cette pasta

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  24. Jonathon.. Jonathon quoi.. Mais c'est quoi ce nom ? :aura retenu un nom pourri:

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  25. Elle est belle putain....

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  26. c'est marrant ça me rappelle mon enfance, j'habitais aussi dans une belle maison avec un sous sol super glauque et je détéstais y descendre et en plus je m'appelle jonathan, c'est drole ça

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  27. Super pasta :D
    J'ai juste pas compris le "propre ou figuré" de la fin :/

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    1. si c'est réellement un monstre , ou un etre humain agissant comme un monstre voila voila ^^

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  28. Ouais... pas mal...
    Elle est très bien écrite et l'histoire est super mais maintenant il me faut des chefs-d'oeuvres pour me faire peur :(

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  29. j'ai beaucoup apprécie ma longue lecture de cette pasta ! bien écrite !

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