C’était un après-midi d’automne, aux environs de
16 heures. Il faisait froid et sombre, malgré les quelques rayons de
soleil qui arrivaient à toucher le sol en se faufilant à travers d’épais
nuages. Les pancakes qu’avait préparés sa mère sortaient du four, tous
réchauffés et délicieux. Agate prit du sirop d’érable et en fit couler
sur une petite pile de ceux-ci. Elle prit son assiette dans sa chambre
et fit un dernier au revoir à sa mère, avant qu’elle ne parte.
Agate se dirigea vers sa chambre et alluma, dans un geste presque automatique, inconscient même, son ordinateur ainsi que son enceinte stéréo. Les gouttes de sirop coulèrent et s’étalèrent dans son assiette, comme du sang venant de sortir d’une blessure. Tranche après tranche, et mâchée après mâchée, Agate se régala de ce somptueux quatre-heures.
Son ordinateur allumé, elle ouvrit une fenêtre web avec ses sites préférés. Elle en profita également pour lancer son logiciel audio et laissa sa petite chambre se faire envahir par les musiques de ses artistes préférés. Les pancakes terminés, elle posa son assiette dans un coin, se disant qu’elle l’amènerait plus tard au lave-vaisselle. Un léger courant d’air froid, glacial, se fit ressentir. Surprise de voir que la fenêtre de sa chambre était ouverte, Agate la referma. Elle préféra se concentrer sur son ordinateur plutôt que sur une petite bêtise de ce genre.
19 heures tapantes. Le village commençait à s’endormir, les lampadaires se réveillaient. Ses parents ne revenant pas avant quelques heures encore, Agate se surprit à penser qu’elle était présente dans une mauvaise histoire d’horreur. Elle est seule, il fait sombre, ses parents ne sont pas là et elle n’a pas fermé la maison vu que seuls ses parents ont les clés. Moment parfait pour se faire une frayeur en lisant un bouquin. Agate se dirigea vers la bibliothèque se situant dans le couloir du salon et prit le premier Stephen King qui lui passa sous la main. « Désolation », pouvait-elle voir écrit sur le devant du livre. Elle ne réfléchit pas un instant sur la qualité de celui-ci et s’installa confortablement dans son lit.
Au fil des pages, l’ambiance devenait pesante, lourde. Le bruit que faisaient les pages devenait non plus monotone, mais alertant. Chaque page tournée, chaque mot lu devenait inquiétant et palpitant à la fois. À la vue du prochain chapitre, Agate se sentit fatiguée, mais inquiète. Elle referma gentiment le livre et le plaça dans sa table de nuit. Au même moment, un bruit dérangeant se fit entendre de l’armoire. De légers grattements, comme provenant d’une main dont les ongles arrachaient le bois du meuble, se mirent à venir. Agate sursauta et se couvrit le visage avec sa couverture tout en gardant un œil ouvert afin de voir ce qui se passait.
Ces grattements devinrent un poil plus forts, mais s’arrêtèrent aussitôt qu’Agate eut fermé l’œil. L’atmosphère se faisait lourde, et les questions d’Agate envers ces bruits affluèrent à vitesse grand V. Il y aurait-il quelqu’un dans mon armoire ? Qui ? Pourquoi ? Comment ?
Agate, en stress intense, releva sa tête de son lit. Elle regarda aux alentours dans sa chambre. Et le regard en particulier porté vers son armoire. Elle se devait d’appeler un ami, un proche, ses parents. Mais son téléphone se trouvait en bas, dans le salon. Impossible pour elle de faire un pas. De faire un pas devant cette armoire sans savoir ce qu’il s’y cachait. En voulant se lever, Agate sentit une présence se poser gentiment sur son épaule. Elle était trop effrayée pour jeter un œil dessus. Trop effrayée de jeter un coup d’œil là où il ne le faut pas. Trop effrayée de se demander ce qui était posé sur son épaule.
Elle ferma les yeux et sentit cette présence la pousser de nouveau dans son lit, l’empêchant de se lever. Elle tourna sa tête en direction du mur, à l’opposé de l’armoire. Et essaya désespérément de se rassurer, malgré l'envie de vomir et de crier qui la suivait.
À un moment donné, la douce petite lumière de sa lampe, posée sur la table de chevet, s’éteignit. Gentiment. Un souffle inconnu s’approcha, s’approcha, et se posa vers son oreille. Il murmura, avec une voix froide, glaçante et tranquille :
« L’as-tu vu ? »
Agate se dirigea vers sa chambre et alluma, dans un geste presque automatique, inconscient même, son ordinateur ainsi que son enceinte stéréo. Les gouttes de sirop coulèrent et s’étalèrent dans son assiette, comme du sang venant de sortir d’une blessure. Tranche après tranche, et mâchée après mâchée, Agate se régala de ce somptueux quatre-heures.
Son ordinateur allumé, elle ouvrit une fenêtre web avec ses sites préférés. Elle en profita également pour lancer son logiciel audio et laissa sa petite chambre se faire envahir par les musiques de ses artistes préférés. Les pancakes terminés, elle posa son assiette dans un coin, se disant qu’elle l’amènerait plus tard au lave-vaisselle. Un léger courant d’air froid, glacial, se fit ressentir. Surprise de voir que la fenêtre de sa chambre était ouverte, Agate la referma. Elle préféra se concentrer sur son ordinateur plutôt que sur une petite bêtise de ce genre.
19 heures tapantes. Le village commençait à s’endormir, les lampadaires se réveillaient. Ses parents ne revenant pas avant quelques heures encore, Agate se surprit à penser qu’elle était présente dans une mauvaise histoire d’horreur. Elle est seule, il fait sombre, ses parents ne sont pas là et elle n’a pas fermé la maison vu que seuls ses parents ont les clés. Moment parfait pour se faire une frayeur en lisant un bouquin. Agate se dirigea vers la bibliothèque se situant dans le couloir du salon et prit le premier Stephen King qui lui passa sous la main. « Désolation », pouvait-elle voir écrit sur le devant du livre. Elle ne réfléchit pas un instant sur la qualité de celui-ci et s’installa confortablement dans son lit.
Au fil des pages, l’ambiance devenait pesante, lourde. Le bruit que faisaient les pages devenait non plus monotone, mais alertant. Chaque page tournée, chaque mot lu devenait inquiétant et palpitant à la fois. À la vue du prochain chapitre, Agate se sentit fatiguée, mais inquiète. Elle referma gentiment le livre et le plaça dans sa table de nuit. Au même moment, un bruit dérangeant se fit entendre de l’armoire. De légers grattements, comme provenant d’une main dont les ongles arrachaient le bois du meuble, se mirent à venir. Agate sursauta et se couvrit le visage avec sa couverture tout en gardant un œil ouvert afin de voir ce qui se passait.
Ces grattements devinrent un poil plus forts, mais s’arrêtèrent aussitôt qu’Agate eut fermé l’œil. L’atmosphère se faisait lourde, et les questions d’Agate envers ces bruits affluèrent à vitesse grand V. Il y aurait-il quelqu’un dans mon armoire ? Qui ? Pourquoi ? Comment ?
Agate, en stress intense, releva sa tête de son lit. Elle regarda aux alentours dans sa chambre. Et le regard en particulier porté vers son armoire. Elle se devait d’appeler un ami, un proche, ses parents. Mais son téléphone se trouvait en bas, dans le salon. Impossible pour elle de faire un pas. De faire un pas devant cette armoire sans savoir ce qu’il s’y cachait. En voulant se lever, Agate sentit une présence se poser gentiment sur son épaule. Elle était trop effrayée pour jeter un œil dessus. Trop effrayée de jeter un coup d’œil là où il ne le faut pas. Trop effrayée de se demander ce qui était posé sur son épaule.
Elle ferma les yeux et sentit cette présence la pousser de nouveau dans son lit, l’empêchant de se lever. Elle tourna sa tête en direction du mur, à l’opposé de l’armoire. Et essaya désespérément de se rassurer, malgré l'envie de vomir et de crier qui la suivait.
À un moment donné, la douce petite lumière de sa lampe, posée sur la table de chevet, s’éteignit. Gentiment. Un souffle inconnu s’approcha, s’approcha, et se posa vers son oreille. Il murmura, avec une voix froide, glaçante et tranquille :
« L’as-tu vu ? »
Je ne veux pas voir en réponse ce commentaire.
J'ai osée regarder et... quelle belle quenouille, waow ! :3
RépondreSupprimerJ'avais dit de pas le faire!
SupprimerMais en fait, il y a de nombreux fans de WTC sur CFTC !
SupprimerAs-tu vu les quenouilles ?! Ces belles quenouilles importées d'Italie qui font face à l' Afrique du Sud ! Ces quenouilles viennent d'un monde extérieur: planète G, planète C; je ne le sais pas, mais en tout cas, je sais que CES QUENOUILLES SONT LAAAA !
PATATES VERSUS QUENOUILLES
SupprimerC'est des Granouilles d'une autre planète !?
SupprimerAh oui j'avais totalement zappé, moi, je pensais plutôt à "mon cul". Donc, on sait maintenant qui s'est. Je suis sûr qu'il lui a enfoncer un belingo de lait !
SupprimerL'as-tu la quenouuuuuuuuuille, l'as-tu vu la belle quenouuuuille ?
RépondreSupprimerCes belles quenouilles importées d'Italie qui fait face à l'Afrique du sud.
RépondreSupprimerFaudrait limite changer la phrase finale et mettre "AS-TU VU LES BELLES QUENOUILLES ?"
RépondreSupprimerça deviendrais alors une Troll ou une Joke pasta xD
Supprimer*facepalm
RépondreSupprimerSinon, pas de commentaires concernant la pasta ?
RépondreSupprimerPasta cliché faite une centaine de fois, elle ne se démarque pas des autres.
RépondreSupprimerJ'ai pensé à une paralysie de sommeil en lisant : "L'empêchant de se lever..."
RépondreSupprimerj'ai pensé a exactement la même chose
SupprimerPour changer des quenouilles:
RépondreSupprimer-L'as-tu vu?
-De quoi?
-La raie de mon c...!!!
(désolé é_è)
Les poiles de mon C..., j'en ai fais des brosses !
SupprimerJe trouve pas cette pasta bonne :/, surtout car je trouve qu'elle s'allllllllllllllllllonge inutilement. Par exemple le premier et le deuxième paragraphes ne servent presque a rien non O_o ? On aurait pu les remplacer par exemple par : "C’était un après-midi d’automne, aux environs de 16 heures. Il faisait froid et sombre, malgré les quelques rayons de soleil qui arrivaient à toucher le sol en se faufilant à travers d’épais nuages. Agate se dirigea vers sa chambre et alluma, dans un geste presque automatique, inconscient même, son ordinateur et commença a ouvrir onglet et musique. 19 heures tapantes ..."(etc) je comprend pas le ce que son gouter fait la car il sert a rien dans l'histoire...(si au moins il aurait pu y avoir un lien avec la chose de l’armoire mais non...), d'ailleurs je me demande si je suis le seul qui est l'impression que l'auteur a tous fait pour rallonger au possible son histoire ? Certain passage, phrase ou mot ne servent vraiment qu'au détail inutile (voir cliché comme le portable inaccessible). En généralité cette creepypasta aurait pu être une bonne petite pasta mais dans ce cas elle se rallonge au possible et cela devient limite ennuyant...
RépondreSupprimerVoila c'était pour donner mon avis :D et désolé par avance pour les fautes d’orthographes...
Je suis d'accord, le monstre de son armoire aurait pu manger son goûter, il avait l'air délicieux..
SupprimerComment redescendre en flèche en un éclair après quelques pastas réussies... Franchement, on dirait vivre le même cas niveau politique :
RépondreSupprimerOn espère que le changement sera bénéfique jusqu'au bout mais ça ne fait que s'effondre quand on y croit trop après des débuts d'améliorations...
Enfin, pour en venir à une touche neutre, serait-ce en rapport au cas des propositions qu'il a été décidé de poster celle-ci afin de combler les attentes des autres lecteurs et, récemment, celui de l'affaire du Wisconsin qui a fait ralentir la production ? (Car j'ai lu certains commentaires qui semblaient confirmer les doutes de certaines personnes concernant le cas de jeunes auteurs étant punis, etc... en plus d'une vague idée de lancer une pétition pour interdire les pastas ainsi que les sites dédiés...)
Sondage ajouté trop tôt, et vieux de la vieille qui reviennent de nulle part en n'étant pas au courant des nouvelles exigences. J'étais contre ce texte, personnellement.
SupprimerSi on veut bien considérer ceci comme un énième accident (isolé, si la chute comme tu le dis s'est faite "en un éclair")... Des choses arrivent. On se bouge.
Puis si vous avez des idées, on les attend...
J'ai écrit cette première pasta en une seule nuit, donc je ne pense pas que je peux dire que je suis fier de ce que j'ai fais non plus... Je n'attendais de toute façon rien de cette pasta, je voulais voir jusqu'où elle pouvait aller, et elle se retrouve sur le site.
SupprimerMais je prends bien en compte votre désir de voir du neuf et du bon dans ce site, donc merci d'avance des critiques, j'avance grâce à cela :)
Ouais mieux vaut lire (ou relire) "Désolation" de Stephen King plutôt que cette pasta!
RépondreSupprimerTak!
On ne peut pas garder un niveau stable, selon mon avis.
RépondreSupprimerOn est un forum varié, on a des littéraires et des néophytes. On ne peut pas refuser un texte sous prétexte que d'autre font mieux, sinon c'est la course à l'Elite et suivant cette logique, seulement une personne peut poster ses textes.
Y'a pas de "niveau" général, c'est idiot comme principe. On a des auteurs différents, c'est tout.
Oh tiens, j'ai une chanson sur " L'as - tu vu ? "
RépondreSupprimerL'as - tu vu ?
L'as - tu vu ?
Le grand monsieur,
Le grand monsieur,
L'as - tu vu ?
L'as - tu vu ?
Le grand monsieur avec un visage blanc !
Il s'appelle Slenderman,
Dans la forêt,
Dans la forêt,
Il s'appelle Slenderman,
Dans la forête il t'emmènera !
Alors ?
Sinon, cette pasta était pas mal. J'ai bien aimé la fin, mais le début n'était pas super. ( les détails sont un peu longs..)
C'est nul!
SupprimerT'aurais pu mettre "le cul de Slenderman" !
Supprimer* Dans la forêt ( faute )
RépondreSupprimerL’as-tu vu ? quelle belle quenouille !!!
RépondreSupprimerAs-tu vu les quenouilles ?!
RépondreSupprimerJe n'ai pas pu me concentrer sur la pasta tellement le titre me faisait penser à ça xD
AS-TU VU LES BELLES QUENOUILLES ?!
RépondreSupprimerCreepy gachée g pensé tout le temps à :
RépondreSupprimerL'a tu vu X 2
Ce petit bonhomme ce petit bonhomme
L"a tu vu X 2
Ce petit bonhomme au chapeau pointu !
Il s'appelle le père Noël...
Et je peux vous dire que quand on lit une creepy avec ça dans la tête on a pas vraiment peur...
pourquoi on parle de quenouille ?-?
RépondreSupprimersi tu connais pas what the cut tu peux pas comprendre laisse tomber (dsl)
SupprimerAS TU VU LES QUENOUILLES ?? :D
RépondreSupprimerCeux qui connaissent pas WTC pourront jamais comprendre xD
AS-TU VU LES BELLES QUENOUILLES?
RépondreSupprimerça gache tout le contexte de la creepy, mais j'y ai aussi pensé XD
SupprimerSoit j'ai pas compris, soit cette pasta est merdique. En fait c'est juste un monstre chelou qui lui dit "l'as-tu vu?" dans l'oreille.
RépondreSupprimer