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jeudi 19 juin 2014

Une belle semaine de vacances

1er jour :


J’écris dans ce carnet car je pense que ce sera le seul moyen de pouvoir me confier durant ma période de service dans l’armée. En effet, je viens de m’engager dans l’armée française pour aller défendre le nord-est du pays qui est assaillit par l’Allemagne. Nous sommes actuellement en 1916 et le camion dans lequel je suis affecté se dirige dans la direction de Verdun au moment même ou j’écris. Les hommes avec lesquels je suis sont tous aussi jeunes que moi et ont tous l'air un peu sombre, comme si quelque chose les avait choqués lors de leur montée dans le camion. Quant à moi, je suis aussi inquiet. Beaucoup de rumeurs circulent comme quoi les Allemands perdent de plus en plus de terrain mais jamais un soldat n’est venu pour nous dire ce qu’il se passait réellement.


Après quelques heures d’attente, je commence à entendre des explosions au loin. Ce ne sont encore que des bruits sourds et mes camarades de convoi n’ont pas l’air de s’en soucier. Quel étrange sentiment. J’ai à la fois peur de cet endroit mais j’ai pourtant plus que hâte de m’y rendre.


Et bien m’y voila. Mon camion s’est arrêté et tout s’est passé assez vite. On nous a ordonné de descendre et de vite nous installer dans ces tranchées. Les explosions se font mieux entendre et le ciel est devenu gris. Je suis maintenant sur un de ces fameux champs de bataille. J’ai jeté un coup d’œil par-dessus la tranchée pour voir ce qui s’étendait derrière. Ce n’est qu’une étendue de terre désolée et saccagée par  les obus tombés à répétition. Dans ma tranchée, certains s'agitent et commencent à parler entre eux et d’autres sont silencieux ou endormis. Je pense que c’est comme ça que l’on peut reconnaître les nouveaux des vétérans. Quant à moi j’ai commencé à me détendre et à discuter avec certains des soldats à côté de moi. Le seul bémol est sûrement la largeur relativement petite de ces tranchées.


2ème jour :


Je viens de me réveiller. Les nuits sont vraiment froides ici. Je ne peux même pas m’étirer tellement je suis serré. J’ai quelques crampes mais elles devraient vite partir. J’ai tout de même réussi à dormir de façon à peu prêt calme. Bizarrement, certains de mes camarades n’ont pas eu l’air d’avoir pu dormir normalement. Ils ont constamment cette expression un peu inquiète sur leurs visages.
En passant un peu entre les rangs, j’ai entendu quelque chose à propos de vivres qui manquaient à l’inventaire ou même à des caisses de munitions qui avaient été retrouvées entièrement vidées. Je trouve ça assez étrange qu’ils n’essayent même pas de trouver un coupable ou même une raison mais je ne m’y suis pas plus intéressé que ça. Après tout je ne suis qu’un simple soldat qui n’est la que pour obéir aux ordres de ses supérieurs.


C’est la fin de la journée. J’ai passé mon temps assis ou à transporter des caisses qui venaient d’arriver.


3ème jour :


La nuit a été bien moins agréable que hier. J’ai encore plus de crampes et des obus sont tombés toute la nuit. Heureusement ils étaient assez loin de notre position. Ça commence à s’agiter chez mes camarades. On parle d’une attaque contre les tranchées Allemande cette nuit. En apprenant ça j'ai eu un haut-le-cœur. J'allais participer à une vraie charge. Les vétérans quant à eux ont l’air légèrement plus sombre.


J’étais tellement anxieux à l'idée de cette attaque que j’ai passé une demi-heure à aiguiser ma baïonnette et à vérifier plusieurs fois si mon fusil était plein. Plus les heures passent, plus mon cœur se met à battre vite. De la sueur commence à perler sur mon front. Je vais laisser mon carnet à la tranchée durant l’assaut, je ne vais pas prendre le risque de le perdre.


4ème jour :


J'ai compris pourquoi ces soldats avaient l'air sombre. Je m’explique. Nous avons donc chargé les positions ennemies dès que le coup de sifflet de notre supérieur a retentit. Mais dès que nous sommes sortis, des fusées éclairantes ont été lancées depuis les tranchées ennemies à l’endroit ou nous étions. Les soldats en face n’ont eu qu’à nous tirer dessus sans que nous puissions faire quoi que ce soit. J’ai quand même eu l’intelligence de retourner en arrière et de me cacher derrière un rocher qui était à quelques mètres de là. Mais beaucoup de mes camarades « nouveaux », si je puis dire, ont foncés tête baissée dans l’obscurité du champ de bataille. Nous avons entendu des coups de feu et quelques cris puis plus rien. J’ai réussi à ramper jusqu’à la tranchée et je n’ai pas dormi de la nuit.


Notre effectif a été réduit de moitié. De plus, les vols de munitions et de vivres continuent. Quelques hommes avec moi ont étés accusés à tort. Ils ont été emmenés en-dehors de la tranchée et ils ne sont toujours pas revenus. Il y a des blessés partout. Certains ont juste des éraflures dûes à des chutes mais d’autres ont carrément des blessures par balles et attendent toujours d’être soignés. Tout ce qu’on leur a donné c’est des bouts de tissu pour arrêter l’hémorragie. On nous laisse pourrir dans ces trous avec des blessés sur le point de mourir. En plus, des rats ont commencés à venir se joindre à nous et à dévorer les corps pourrissants.
Le plus mystérieux dans cette histoire de vols de munitions et de nourriture, c’est que malgré les soldats chargés de surveiller les stocks, les vols persistent sans même que les gardes aient l’ombre d’un soupçon.


Quelques éclaireurs que l'on avait envoyés pour savoir s’il ne restait pas des survivants sont revenus avec des griffures, souvent au niveau du visage et du ventre. Comme si un animal assez fort était venu les lacérer pendant leur mission de reconnaissance. Le seul problème c’est qu’ils ne savent pas du tout d’où viennent ces marques. Ils ne s’en sont rendus compte que lorsqu’on leur a fait remarquer. Ces griffures ne sont pas bien profondes. Les soldats victimes de ces marques ne se plaignent même pas d’une quelconque douleur. Je vais essayer de dormir maintenant. Je suis vraiment fatigué.


5ème jour :


Quand je me suis réveillé, le vétéran à côté de moi qui avait reçu ces marques était mort. Les endroits où il y avait eu ces griffures avaient été comme consumés, creusant ainsi des trous dans le corps de la victime. Quand j’y repense, des frissons me parcourent. J’ai remarqué que ses poches étaient retournées, comme si on l’avait volé. Les voleurs n’avait pas pris le temps d’être délicats, les saccoches étaient arrachées et les poches à l’intérieur des vestes déchirées. Ce qui explique pourquoi seuls les morts avaient subis cet étrange larcin. Car oui, tous ceux qui avaient eu ces marques sont morts de la même façon que l’homme à côté de moi, et tous les morts avaient étés dépouillés. Mon moral commence à décroître.  Je pensais rentrer dans un ou deux mois maximum mais je pense que je vais y rester toute une année.


On m’a demandé de faire quelque chose de complètement suicidaire. Je n’arrive toujours pas à croire que ce soit moi qui aie été choisi. Je dois faire l’éclaireur pour une mission de contournement des premières lignes ennemies. Je dois partir demain tôt le matin avec deux autres hommes et trouver une faille dans leurs défenses. Je ne sais pas quoi en penser. A la moindre erreur je risque d’alerter les veilleurs allemands. Je pense que je vais prendre une longue nuit de sommeil pour être frais le matin.


6ème jour :


Il me reste quelques minutes avant de partir alors je vais en profiter pour écrire un peu. Cette nuit j’ai entendu des cris résonner en direction de la réserve. Ce matin, on a découvert les deux gardes morts avec les mêmes marques de lacération que les autres. Elles avaient creusé de profonds sillons dans leurs crânes. On voyait comme des traces de corrosion autour des plaies, c’était assez bizarre à voir. Un énorme brouillard s’est posé sur le champ de bataille. Ah, on m’appelle.


Après avoir marchés quelques minutes dans ce brouillard assez épais, nous nous sommes posés dans un trou d’obus pour établir la direction dans laquelle nous devrons partir. Je regarde les deux soldats avec moi. Deux nouveaux. Ils n’ont pas l’air de se douter du danger auquel ils s’exposent en sortant de leur tranchée.


Nous nous sommes perdus dans le brouillard. Je n’ai pas compris comment nous avons pu faire ça. Pourtant d’après les plans nous étions sensés tomber sur les lignes ennemies il y a quelques temps déjà. Mais seul le brouillard nous enveloppe. Et la chose qui m’inquiète le plus c’est qu’un des soldats qui m’accompagne nous a rejoint avec du retard et avait des griffures sur la peau. Il ne s’est évidemment rendu compte de rien avant qu’on lui dise. Je l’entends actuellement parler avec son ami, mais je sais au fond de moi qu’il mourra bientôt. J’ai vraiment peur de ce qui va m’arriver à l’avenir. Nous sommes perdus au milieu d’un champ de bataille en plein brouillard avec le risque de tomber à n’importe quel moment sur une troupe ennemie. Mon cœur bat de plus en plus. Il faut se remettre en route.


Je deviens fou. Nous avons traversé ce foutu brouillard pendant une heure et nous n’avons absolument rien trouvé. Pas un homme, pas une tranchée, même abandonnée, pas même un foutu arbre ou même un rocher ! Je n’arrive plus à penser clairement. Je suis assis par terre en face de mes deux camarades qui ont arrêté de parler depuis bien longtemps. J’ai décidé de mettre quelques balles de fusil en cercle par terre, pour nous en servir de repère et tenter nous retrouver dans ce brouillard.


Ce n’est pas possible ! Nous avons marché tout droit durant quelques minutes et nous sommes retombés à l’endroit exact ou j’avais posé les cartouches ! Le soldat qui avait été griffé commence à se plaindre de douleurs croissantes au niveau de ses légères blessures. Le pire c’est que je ne peux que le regarder se tordre de douleur car, comment combattre une plaie qui n’est même pas ouverte ? Je pense qu’on va dormir ici. Il faut absolument qu’on trouve comment se sortir d’ici.


7ème jour :




Ils sont morts tout les deux. Je me suis levé dès que j’ai entendu des cris. Quand j’ai regardé les deux autres, l’un était allongé et mort, des plaies profondes aux endroits où il avait été griffé auparavant, et l’autre étaient en train de se tenir le crâne en criant. Une fumée blanchâtre sortait de la où il avait ses mains. Puis ses yeux se sont révulsés et il est tombé, raide mort. Il avait dû être griffé durant son sommeil, et à son réveil, cette espèce de poison était en train de faire son effet. Le corps de l’homme qui était déjà mort avait été dépouillé. Je dépouillais l’autre à mon tour avant que quelqu’un ou quelque chose d'autre ne le fasse. J’avais vraiment envie de vomir à la vue de ces carcasses mais il fallait que je reste fort pour retrouver mon chemin dans ce véritable enfer.


Rien à faire, ça fait trois heures que je marche dans toutes les directions et je n’ai rien trouvé. Je n’en peux plus. J’en ai vraiment marre de tout ça. En plus j’entends des grognements autour de moi. Ils s’intensifient de secondes en secondes. Je ne vais pas tenir. J’ai vraiment envie de m’endormir et de me réveiller quand tout ce bordel ce sera arrêté.


Après avoir marché quelques minutes de plus, j’ai finis par être griffé par ces trucs. J’ai du m’en rendre compte des heures après mais ce n’est pas grave. Maintenant, je sais que tout est fini. Je vais mourir au milieu de nulle part et personne ne sera là pour me retrouver ni même pleurer sur ma tombe. J’ai cru voir deux petits ronds jaunes brillants, ou plutôt des yeux, me scruter. Serait-ce ces choses ? Ces choses qui s’amusent à voler et à tuer les soldats ? Je ne sais plus quoi penser, et de toutes manières ça n’a plus d’importance.


Ce seront sûrement les dernières lignes que j’écrirais. Le brouillard est en train de se dissiper. Il le fait lentement mais je suis plus que sûr qu’il se dissipe. Au moment où j’écris, je distingue des silhouettes  d’arbres morts et de rochers. Maintenant j’aperçois des formes humaines. Je vais me diriger vers elles.


Ces notes ont été prélevées dans un carnet trouvé sous terre au mythique champ de bataille de Verdun. Il était enterré au même endroit que quelques milliers de cartouches de fusil pleines et de boîtes de conserve de la première guerre mondiale ainsi qu’un crâne humain creusé de griffures et d’une balle de fusil allemand. Nous ne savons pas comment ont pu atterrir toutes ces choses ici et nous continuons toujours les recherches.

25 commentaires:

  1. Que veux dire le titre ?

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    1. N'as-tu pas remarqué que le personnage principal décrit ses journées passées sur le champ de bataille, plus précisément, sept jours? M'enfin, selon moi, l'histoire s'intitule ainsi à cause qu'il y a sept jours décrits dans l'histoire. "Semaine" car, évidement, une semaine est composée de sept jours, et "vacances", j'imagine que c'est du pur sarcasme.

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    2. Bonjour
      Comme le précise l'anonyme ci-dessous, pour certains hommes qui voyaient l'appel au combat contre l'Allemagne, la guerre n'allait ''durer que quelques jours, et bien se terminer''. Contrairement à d'autres [...]
      Voilà pourquoi le titre, "Une belle semaine de vacances". Autant préciser le fait que ce soldat pensait que la guerre ne durerait environ qu'une semaine, ou alors, si le titre a été RAJOUTE et donc qu'il ne figurait pas sur le journal, cela pourrait signifier que le combattant est mort au bout d'une semaine.

      TFA

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    3. Rappel: l'action est située en 1916. Il n'était plus tellement question de croire que ça se termine vite alors, puisque ça durait déjà depuis deux ans!

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  2. Pour la pluparts des soldats,le services serait court et joyeux. Sois, des vacances !

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  3. Je me demande ce que peut être cette chose au yeux jaunes

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  4. Ce ne serait pas une référence au jeu indépendant 1916 ? Si c'est bien le cas les créatures sont des raptors controllé par les Français.

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    1. Aucune référence. Et dans le cas ou ce serait des raptors, ne crois tu pas que la pasta aurait perdu de sa crédibilité ?

      Tout ça est bien mystérieux c:

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    2. C'est bizarre car sa concorde avec les raptors : trace de griffure, furtivité, yeux jaunes ...

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    3. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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    4. C'est bizarre mais je pense le savoir mieux que vous :D

      Non plus sérieusement, je ne pense pas que des raptors puissent injecter un poison corrosif dans les plaies de leurs victimes. De plus cette menace est censée être invisible, impossible à contrer, désespérante. On ne peut rien y faire.

      En plus, des raptors dans une creepy quoi. Depuis l'arrivée de ce meme stupide qu'est raptor Jesus, on ne peut pas être crédible deux seconde avec ce sujet.

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    5. Je t'avais déjà dit que je disait sa car il'y a un jeu creepy gratuit qui s'appel 1916 et qui raconte l'histoire d'un soldat allemand coincé dans des tranchées a Verdun et qui essaie de trouver une echelle et toute sa division a été tuée par des raptors qui le poursuivent, sa n'a rien a voir avec raptor jesus...

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    6. De plus les formes humaines montre bien qu'il sagit de Français qui l'on certainement tué des qu'il l'ont vu et je te rappel que ce n'est pas réel c'est une Creepypasta hein :)

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    7. Je parlais de Raptor Jesus en disant que ça n'étais de toutes façons pas crédible de voir des raptors dans une creepy depuis l'arrivée de ce meme.

      De plus je me pose des questions quand à ta capacité à lire un texte car il est certifié à la fin que c'est bien une balle de fusil allemand que s'est pris l'homme, qui a malheureusement rampé du mauvais côté.

      Pour le jeu 1916 je suis au courant. Et cela m'attriste réellement que ce soit les seules sources que vous pouvez me sortir car la plupart des paragraphes parlent de la vie d'un soldat normal au sein de la première guerre mondiale.

      Et merci pour le rappel, je pensais que les personnages de pasta étaient bien réels et que jeff ze killeur allait venir me tuer et danser sur ma tombe pour célébrer son 100ème kill online dans La vie, le jeu :)

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    8. Et puis sa m'étonnerait que les raptors volerais les soldat non? Parce que si vous avez bien lue les cadavres et les réserves se fesais voler

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    9. Oui en effet, je pense que vu qu'il en est l'auteur, il a bien lu oui...

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  5. Ouais.... bon....c'est décent.....

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  6. Peut être que cette creepy est lies avec une autre

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    1. Ah ça c'est une très bonne question, et je tiens à dire qu'un quelconque lien avec une autre pasta serait due au hasard et serait par conséquent absolument fortuite.

      Je tenais à faire la lumière la dessus :)

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  7. Ah, ça fait du bien de la voir ici celle là !

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  8. des bestiols qui volent et qui tue avec du poison sachant que les soldats ne s'en rendent pas compte, ne chercher plus se sont des teletobies invisible venu de la secte des mormons afin d'honnorer le nouveau pactes avec la sainte patate


    Adeosus le fou

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  9. C'est original, j'aime bien. Tout ce qui concerne les guerres (mondiales ou pas) me fascine, donc j'ai bien aimé cette pasta, mais le seul hic, c'est qu'il n'y a pas assez d'action à mon goût, pas assez d'informations sur cette bête mystérieuse, ce qui me frustre, car je suis ce genre de personnes qui cherche à tout savoir. Bon, en bref, j'ai bien aimé!

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  10. A l'attention de l'auteur: pour cette creepypasta as tu créé un monstre de façon totalement aléatoire ou t'est tu inspiré de certaines autres légendes urbaines, creepypastas, monstres mythiques, etc...

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  11. Moi j habite pre de Verdun

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