Temps approximatif de lecture : 5 minutes.
Ce
que je vais essayer de vous raconter, ce sont les circonstances qui ont
fait que mon petit frère se soit retrouvé dans un lit d’hôpital, en
tétraplégie et dans un état végétatif total à l’âge de seulement 15 ans.
Je m’appelle Suzanne. J’ai actuellement 42 ans, j’en avais 19 lors des faits que je vais vous rapporter.
Mon frère Victor, mes 2 parents et notre chien Pat’ formions une famille banale, du genre de celle qui part un été sur deux à la mer et qui est appréciée de son voisinage. Nous habitions dans un quartier résidentiel de Portland dans le Maine.
C’était fin janvier 1992. Deux événements spéciaux allaient se dérouler. Premièrement, l’arrivée d’un nouveau voisin dans notre rue. J’appris de mes parents qu’il s’appelait M. Dekker. Deuxièmement, l’anniversaire de mon petit frère en début Février. C’est évidemment à ce second événement que je fis d’abord attention : j’avais touché ma première paye pour mon job à la laverie, et je comptais bien épater Victor avec un cadeau dont il ne manquerait pas de se souvenir.
Pourtant, c’est à ce M. Dekker que j’eus d’abord affaire. Ma mère m’avait annoncé qu’il nous avait invité à prendre le thé avec lui, mais qu’elle devait amener Victor chez le médecin et qu’il fallait donc que j’y aille seule car « papa n’est pas du genre à tremper des petits gâteaux au beurre, n’est-ce pas ma chérie ? ».
C’est donc pleine d’appréhension que je me rendais chez M. Dekker, tout en prenant tout le temps nécessaire pour répertorier mentalement les formules de politesse que je connaissais, c’est-à-dire 40 secondes.
Sa maison était grande, imposante même. Pourtant je ne me souvenais pas d’y avoir déjà fait attention. Bien qu’elle fît partie de mon quotidien depuis ma plus tendre enfance, c’était presque comme si je la découvrais.
Je sonnai à sa porte et attendis qu’il vienne m’ouvrir. Une minute était déjà passée quand j’entendis des bruits de pas provenant sans doute du hall d’entrée. Puis la porte s’ouvrit, très doucement et je pus constater que mon hôte avait connu la cinquantaine il y a fort longtemps. Il m’accueillit avec un
« Bonjour ! » doublé d’un large sourire.
« Bon…jour. » balbutiai-je, intimidée.
Il m’invita à entrer et m’installa dans son salon où trainaient des caisses témoignant de son récent déménagement.
« Assieds-toi donc, je vais nous faire du thé » dit-il.
Et il disparut dans ce que je supposais être la cuisine pendant que j’observais la pièce dans laquelle j’étais prisonnière.
Pendant un long moment, plus aucun son ne m'est parvenu de la cuisine et je commençais à me sentir mal à l’aise, jusqu’à ce qu’un grand bruit d’armoire qui claque vienne m’ôter de la tête l’idée d’une crise cardiaque. Car oui, M. Dekker était vraiment vieux, je lui aurais donné au moins 80 ans, un accident cardio-vasculaire était vite arrivé à cet âge-là. Le fait est qu’il n’était pas mort et qu’il revenait avec du thé vert et des Spéculoos.
Je préfère vous passer les détails, ainsi que la discussion que nous eûmes, mais laissez-moi vous dire que l’estimation que j’avais faite quant à son âge ne valait rien du tout. Après m’avoir raconté sa vie comme les personnes âgées savent si bien le faire, il me demanda si j’avais une télévision chez moi. J’eus envie de lui répondre qu’on était en 1992, et que tous les foyers du pays possédaient certainement une télévision. Je sus me contenir et je lui répondis par l'affirmative. Il me dit qu’il avait une télévision de type 16/9, qu’il ne savait pas quoi en faire et qu’il était prêt à me la donner si je l’aidais à monter quelques cartons à l’étage. Ce grand format était à l’époque ultra-moderne puisqu’il venait d’être commercialisé. Je pensai immédiatement au cadeau de Victor et à la tête qu’il ferait si je lui ramenais un téléviseur haute-définition. J’acceptai immédiatement son offre et m’empressai de porter les bricoles qui trainaient jusque dans le couloir de l’étage.
Il était tard quand il me ramena à la porte et me souhaita une bonne soirée en me tendant un gros carton arborant le logo de la marque Thomson. Le carton était très lourd et j’eus beaucoup de mal à le ramener chez moi. Mon frère et ma mère n’était toujours pas rentrés et mon père devait certainement se trouver à son travail ou avec ses collègues au bar du coin. Je décidai de cacher la télévision sous mon lit jusqu’au jour fatidique.
Mon frère n’était pas du genre à inviter des amis à une fête d’anniversaire. Non pas qu’il n’ait pas eu d’amis, mais c'était un garçon très calme et surtout très réservé. Quand vint le jour, je lui offris son cadeau qui ne m’avait finalement pas couté un seul dollar. Je vis dans ses yeux que ça lui faisait énormément plaisir. Il avait reçu de mes parents une paire de rollers et des livres, mais c’est avec le téléviseur qu’il passa le plus de temps. Et pour cause. Il s’enfermait dans sa chambre pendant des heures entières et ne sortait que pour assouvir ses besoins naturels.
Au bout d’un certain temps de ce mode de vie aliéné, des cernes commencèrent à se creuser sous ses yeux, il avait l’air maladif et il ne parlait presque plus. Mes parents s’inquiétaient de plus en plus mais n’osaient pas le déranger. Il allait à l’école, se couchait et se levait à des heures normales et ramenait de bonnes notes, ils n’avaient absolument rien à lui reprocher.
C’est seulement un jour où il était cloîtré depuis 5 heures dans sa chambre, que mes parents se résolurent à aller lui parler de ses tendances asociales. J’étais moi-même dans ma propre chambre, en train de faire ce que faisaient les jeunes filles de mon âge, quand j’entendis des cris d’affolement venant de la chambre de Victor. C’était ma mère. Je sortis en trombe de ma chambre pour pénétrer dans celle de mon frère et la vision que j’eus continue de me hanter.
Son visage était constellé de rides, il avait une allure squelettique et seuls quelques cheveux blancs ornaient son crâne. Il était assis par terre, dos contre son lit, il fixait le téléviseur que je lui avais offert. L’écran était blanc. Je ne parle pas de la neige que vous pouvez voir quand votre antenne ne capte pas une chaîne, l’écran était d’un blanc fixe et aveuglant. Victor était comme hypnotisé. Mon père avait déjà appelé une ambulance qui ne tarda pas à arriver. Il fut emmené vers l’hôpital le plus proche, mes parents le suivant dans leur voiture.
J’étais seule chez moi. Je me souviens avoir aperçu par la fenêtre de la cuisine, M. Dekker qui semblait porter une télévision semblable à celle que j’avais offerte à mon frère. Il la mit dans le coffre de sa voiture, chargea quelques autres bagages et démarra. Il passa devant ma maison et j’eus l’impression qu’il regardait vers moi en souriant. À cette distance, je vis quelque chose qui me frappa. Il avait l’air d’avoir rajeuni d’une dizaine d’années, voire plus.
J’ai évidemment parlé à mes parents de M. Dekker et du téléviseur. Ils ne pouvaient croire que le mystérieux mal qui frappait mon frère provenait de là.
À ce jour, Victor est encore dans une chambre d’hôpital. Il est en vie, mais les médecins disent que son système nerveux est mort, une sorte de coma dépassé. Il devrait avoir 38 ans mais en parait 70.
Si je témoigne aujourd’hui, c’est parce qu’un homme d’une quarantaine d’années vient d’emménager devant chez moi. Je ne connais pas son nom mais je vais essayer de le découvrir très vite. Parce que j’ai reçu un colis de la poste, et qu’il contient une télévision.
Je m’appelle Suzanne. J’ai actuellement 42 ans, j’en avais 19 lors des faits que je vais vous rapporter.
Mon frère Victor, mes 2 parents et notre chien Pat’ formions une famille banale, du genre de celle qui part un été sur deux à la mer et qui est appréciée de son voisinage. Nous habitions dans un quartier résidentiel de Portland dans le Maine.
C’était fin janvier 1992. Deux événements spéciaux allaient se dérouler. Premièrement, l’arrivée d’un nouveau voisin dans notre rue. J’appris de mes parents qu’il s’appelait M. Dekker. Deuxièmement, l’anniversaire de mon petit frère en début Février. C’est évidemment à ce second événement que je fis d’abord attention : j’avais touché ma première paye pour mon job à la laverie, et je comptais bien épater Victor avec un cadeau dont il ne manquerait pas de se souvenir.
Pourtant, c’est à ce M. Dekker que j’eus d’abord affaire. Ma mère m’avait annoncé qu’il nous avait invité à prendre le thé avec lui, mais qu’elle devait amener Victor chez le médecin et qu’il fallait donc que j’y aille seule car « papa n’est pas du genre à tremper des petits gâteaux au beurre, n’est-ce pas ma chérie ? ».
C’est donc pleine d’appréhension que je me rendais chez M. Dekker, tout en prenant tout le temps nécessaire pour répertorier mentalement les formules de politesse que je connaissais, c’est-à-dire 40 secondes.
Sa maison était grande, imposante même. Pourtant je ne me souvenais pas d’y avoir déjà fait attention. Bien qu’elle fît partie de mon quotidien depuis ma plus tendre enfance, c’était presque comme si je la découvrais.
Je sonnai à sa porte et attendis qu’il vienne m’ouvrir. Une minute était déjà passée quand j’entendis des bruits de pas provenant sans doute du hall d’entrée. Puis la porte s’ouvrit, très doucement et je pus constater que mon hôte avait connu la cinquantaine il y a fort longtemps. Il m’accueillit avec un
« Bonjour ! » doublé d’un large sourire.
« Bon…jour. » balbutiai-je, intimidée.
Il m’invita à entrer et m’installa dans son salon où trainaient des caisses témoignant de son récent déménagement.
« Assieds-toi donc, je vais nous faire du thé » dit-il.
Et il disparut dans ce que je supposais être la cuisine pendant que j’observais la pièce dans laquelle j’étais prisonnière.
Pendant un long moment, plus aucun son ne m'est parvenu de la cuisine et je commençais à me sentir mal à l’aise, jusqu’à ce qu’un grand bruit d’armoire qui claque vienne m’ôter de la tête l’idée d’une crise cardiaque. Car oui, M. Dekker était vraiment vieux, je lui aurais donné au moins 80 ans, un accident cardio-vasculaire était vite arrivé à cet âge-là. Le fait est qu’il n’était pas mort et qu’il revenait avec du thé vert et des Spéculoos.
Je préfère vous passer les détails, ainsi que la discussion que nous eûmes, mais laissez-moi vous dire que l’estimation que j’avais faite quant à son âge ne valait rien du tout. Après m’avoir raconté sa vie comme les personnes âgées savent si bien le faire, il me demanda si j’avais une télévision chez moi. J’eus envie de lui répondre qu’on était en 1992, et que tous les foyers du pays possédaient certainement une télévision. Je sus me contenir et je lui répondis par l'affirmative. Il me dit qu’il avait une télévision de type 16/9, qu’il ne savait pas quoi en faire et qu’il était prêt à me la donner si je l’aidais à monter quelques cartons à l’étage. Ce grand format était à l’époque ultra-moderne puisqu’il venait d’être commercialisé. Je pensai immédiatement au cadeau de Victor et à la tête qu’il ferait si je lui ramenais un téléviseur haute-définition. J’acceptai immédiatement son offre et m’empressai de porter les bricoles qui trainaient jusque dans le couloir de l’étage.
Il était tard quand il me ramena à la porte et me souhaita une bonne soirée en me tendant un gros carton arborant le logo de la marque Thomson. Le carton était très lourd et j’eus beaucoup de mal à le ramener chez moi. Mon frère et ma mère n’était toujours pas rentrés et mon père devait certainement se trouver à son travail ou avec ses collègues au bar du coin. Je décidai de cacher la télévision sous mon lit jusqu’au jour fatidique.
Mon frère n’était pas du genre à inviter des amis à une fête d’anniversaire. Non pas qu’il n’ait pas eu d’amis, mais c'était un garçon très calme et surtout très réservé. Quand vint le jour, je lui offris son cadeau qui ne m’avait finalement pas couté un seul dollar. Je vis dans ses yeux que ça lui faisait énormément plaisir. Il avait reçu de mes parents une paire de rollers et des livres, mais c’est avec le téléviseur qu’il passa le plus de temps. Et pour cause. Il s’enfermait dans sa chambre pendant des heures entières et ne sortait que pour assouvir ses besoins naturels.
Au bout d’un certain temps de ce mode de vie aliéné, des cernes commencèrent à se creuser sous ses yeux, il avait l’air maladif et il ne parlait presque plus. Mes parents s’inquiétaient de plus en plus mais n’osaient pas le déranger. Il allait à l’école, se couchait et se levait à des heures normales et ramenait de bonnes notes, ils n’avaient absolument rien à lui reprocher.
C’est seulement un jour où il était cloîtré depuis 5 heures dans sa chambre, que mes parents se résolurent à aller lui parler de ses tendances asociales. J’étais moi-même dans ma propre chambre, en train de faire ce que faisaient les jeunes filles de mon âge, quand j’entendis des cris d’affolement venant de la chambre de Victor. C’était ma mère. Je sortis en trombe de ma chambre pour pénétrer dans celle de mon frère et la vision que j’eus continue de me hanter.
Son visage était constellé de rides, il avait une allure squelettique et seuls quelques cheveux blancs ornaient son crâne. Il était assis par terre, dos contre son lit, il fixait le téléviseur que je lui avais offert. L’écran était blanc. Je ne parle pas de la neige que vous pouvez voir quand votre antenne ne capte pas une chaîne, l’écran était d’un blanc fixe et aveuglant. Victor était comme hypnotisé. Mon père avait déjà appelé une ambulance qui ne tarda pas à arriver. Il fut emmené vers l’hôpital le plus proche, mes parents le suivant dans leur voiture.
J’étais seule chez moi. Je me souviens avoir aperçu par la fenêtre de la cuisine, M. Dekker qui semblait porter une télévision semblable à celle que j’avais offerte à mon frère. Il la mit dans le coffre de sa voiture, chargea quelques autres bagages et démarra. Il passa devant ma maison et j’eus l’impression qu’il regardait vers moi en souriant. À cette distance, je vis quelque chose qui me frappa. Il avait l’air d’avoir rajeuni d’une dizaine d’années, voire plus.
J’ai évidemment parlé à mes parents de M. Dekker et du téléviseur. Ils ne pouvaient croire que le mystérieux mal qui frappait mon frère provenait de là.
À ce jour, Victor est encore dans une chambre d’hôpital. Il est en vie, mais les médecins disent que son système nerveux est mort, une sorte de coma dépassé. Il devrait avoir 38 ans mais en parait 70.
Si je témoigne aujourd’hui, c’est parce qu’un homme d’une quarantaine d’années vient d’emménager devant chez moi. Je ne connais pas son nom mais je vais essayer de le découvrir très vite. Parce que j’ai reçu un colis de la poste, et qu’il contient une télévision.
Auteur : Ruthveun
Et voici le gagnant du concours de septembre dernier avec une pasta d'un style un peu maniéré mais qui force le respect. Bravo à lui !
Les autres creepypastas en lice restent disponibles à cette adresse, ou sur ce topic pour ceux qui ont un compte sur le forum officiel.
Une creepypasta courte, simple et avec une fin ouverte : j'adore :bave:
RépondreSupprimerperso j'aime pas les cliffhangers, mais bonne pasta quand même !
SupprimerJ'aime bien!
RépondreSupprimerO_o
RépondreSupprimeralors il absorbe la vie des personnes qui regardes la tele et il rajeunit?
RépondreSupprimerAbsolument !
Supprimeravec la tele qui diffuse de la neige j'ai pensé a candle cove
Supprimeravec la tele qui diffuse de la neige j'ai pensé a candle cove
SupprimerÇa fait penser aux totally spies... Franchement
SupprimerC'est vrai j'y ai pensé aussi
Supprimer"Pendant un long moment, plus aucun son ne m'est parvenu de la cuisine et je commençais à me sentir mal à l’aise, jusqu’à ce qu’un grand bruit d’armoire qui claque vienne m’ôter de la tête l’idée d’une crise cardiaque. Car oui, M. Dekker était vraiment vieux, je lui aurais donné au moins 80 ans, un accident cardio-vasculaire était vite arrivé à cet âge-là. Le fait est qu’il n’était pas mort et qu’il revenait avec du thé vert et des Spéculoos."
RépondreSupprimerLà j'ai rigolé. xD
j'adoooooore ! bravo, peut de details mais on comprend bien ! ♪♪♪♪
RépondreSupprimerLaisse moi te dire que ça reste pour moi psychologiquement trop long à lire. Maintenant répète cette phrase 100 fois jusqu'à oublié le compte...
RépondreSupprimerLa construction de ton commentaire est semblable à tous tes autres... Infondé et totalement inutile...
SupprimerTu a tout compris toi.
Supprimercomme ma bite
SupprimerQuand j'ai lus "Portland,dans le Maine", j'ai tout de suite pensé à du Stephen King ^^
RépondreSupprimerSinon tres bonne pasta :)
Tu n'es pas le seul, c'était fait pour :)
SupprimerJe suis donc pas le seul
SupprimerStephen King <3
Moi aussi ; enfin surtout au Nostalgia Critic ^^
SupprimerComment j'ai trop aimé ** C'est super de rajeunir comme ça x)
RépondreSupprimerJ'ai une télé en trop, c'est une télé assez grande 2cm d'épaisseur, HD et tou, qui veux ?
RépondreSupprimerMoi, mais seulement si t'as des Spéculoos et du thé...
SupprimerLa même è-é
Supprimer"En train de faire ce que faisaient les jeunes filles de mon âge" D+V ? :hap:
RépondreSupprimerok je sors
J'ai déjà lu un histoire du genre mise a part qu'à la place de la télé c'était un MP3
RépondreSupprimerSauf que ta pasta, là, c'est du plagiat. Le livre d'où elle provient c'est "NOUVELLES HISTOIRES SANGLANTES" de Anthony Horowitz.
RépondreSupprimerC'est la même histoire que la tienne mais avec un mp3 à la place du téléviseur. :)
Magnifique copier-coller d'une histoire déjà ecrite... Anthony Horowitz - Nouvelles histoires sanglantes. Vous remplacer la télé par un lecteur MP3 et c'est texto la même chose... Et dire que ce plagiat à gagner un concours --'
RépondreSupprimerBonjour,
RépondreSupprimerje ne peux pas dire à quel point la pasta est semblable aux "NOUVELLES HISTOIRES SANGLANTES" de Anthony Horowitz puisque je n'ai pas encore lu ce livre. Je crois cependant que le principe d'un artefact qui vole la jeunesse des personnes qui l'emploient est présent dans beaucoup d'oeuvres. Je pense notamment au faux Saint Graal dans Indiana Jones et la Dernière Croisade et bien d'autres. J'ai écrit cette pasta de toute pièce et je pense qu'elle a sa place sur le site même si elle ressemble à un livre d'Anthony Horowitz. Je rappelle d'ailleurs que l'auteur a écrit « L'île du Crâne » qui est un énorme plagiat de la saga des Harry Potter. En attendant que je me procure un exemplaire du livre, merci de croire en ma sincérité :) .
Je réponds à ce très vieux com uniquement pour rétablir une vérité : vu les dates de parution (91 pour « L'Île au crâne » et 97-2007 pour HP), c'est plutôt l'œuvre de Rowling le plagiat, n'en déplaise aux 2000 kikoos qui s'excitent sur cette saga infiniment surcotée...
SupprimerMonsieur, je vous serais gré d'arrêter de voler la jeunesse des gens. ù_ù
RépondreSupprimerBeau plagiat, gg
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