Les événements relatés ici se sont déroulés le 12 juillet 1998, dans un tribunal de la ville de San Diego, en Californie (Etas unis). Par respect pour la vie privée des intervenants, tous leurs patronymes ont été remplacés par de faux noms.
Ainsi donc, le 12 juillet 1998 a eu lieu le procès de Jonh Fargo, accusé de multiples meurtres. En effet, entre 1987 et 1997, il se serait rendu coupable de la mort de 13 personnes, dont 3 enfants. Lorsqu'il a été arrêté, il se trouvait dans une maison voisine à celle ou s'était récemment produit le meurtre de toute une famille, maison à laquelle il avait déjà commencé à mettre le feu.
Pour cette audience, une grande partie de la Police de San Diego avait été mobilisée afin de sécuriser l'endroit, car énormément de personnes, parmi les famille des victimes, auraient pu tenter d'attenter à la vie de l'accusé avant l'heure.
Ce jour là, tous les yeux étaient rivés sur ce tribunal.
Sans attendre, voici une retranscription de ce qu'il s'est dit lors de ce fameux procès.
"Monsieur Fargo, vous êtes accusé d'avoir commis au total 13 meurtre, entre le 18 février 1987 et le 22 avril 1997. Vous êtes également accusé d'être à l'origine de 9 incendies à caractère criminel. Qu'avez vous à répondre à ces accusations ?
- Maître, je plaide coupable pour les incendies. C'est en effet moi qui ai incendiés ces maisons. Par contre, je nie totalement les accusations de meurtre. Ce n'est pas moi qui les ai commis.
-Vous confessez donc avoir incendiés ces maisons. Mais, comme vous le savez, ces maisons était toutes voisines à celles où les meurtres ont eu lieu. Cela ne peux pas être une coïncidence.
- Et si ça l'était ? C'est tout à fait possible, et, sauf erreur de ma part, vous n'avez aucune preuve me reliant aux meurtres. Maître, je pense que vous avez mieux à faire que d'être ici à m'accabler de faits que je n'ai pas perpétrés.
- Monsieur Fargo, je suis ici pour faire mon travail. J'ai d'ailleurs des documents qui attestent d'un évident lien entre ces crimes et vous.
Le 18 février 1987, un couple est tué dans sa maison de Los Angeles. Or, la maison voisine avait pris feu quelques minutes avant les faits. Sur place, nous avons retrouvé vos empreintes sur la boîte aux lettres. Est-ce là une coïncidence, monsieur Fargo ?
- Et bien, je...
- Le 24 Juin 1989, toute une famille trouvée démembrée dans leur maison de Sacramento. Quelques minutes avant, la maison de leur voisin avait été incendiée. Une nouvelle fois, vos empreintes ont été retrouvées sur place. Encore une coïncidence ?
- Mais...
- Le 1er Novembre 1990, à San Francisco, une femme est trouvée morte à son domicile. Elle avait été éventrée. Devinez quelle maison a été incendiée quelques minutes plus tôt ? Et quelles empreintes ont été relevées, cette fois encore ? Voulez-vous que je continue la liste des "coïncidences", monsieur Fargo ?
- Très bien, mais cela ne constitue toujours pas la preuve formelle que je suis à l'origine de tous ces meurtres. Comme je l'ai déjà dit, je suis sûr que vous avez mieux à faire que d'être ici à m'accuser sans preuves plus tangibles. Vous pourriez être avec votre famille, par exemple.
- Ne vous moquez pas de nous, monsieur Fargo. Ces "coïncidences" suffisent amplement à vous lier aux meurtres. Je vous conseille de coopérer. Si vous nous dites la vérité sur ces meurtres, peut-être que vous ne serez pas condamné à mort, et écoperez simplement de la réclusion à perpétuité. La balle est dans votre camp, monsieur Fargo.
- Très bien, très bien, je me rends. Je vais tout vous expliquer, car quoi que je fasse, je sais que je ne serais plus jamais un homme libre. Vous avez raison, ce ne sont pas des coïncidences. Mais je continue à le clamer: je n'ai tué personne.
- Vous êtes donc complice ?
- Je ne peux le nier. Vous savez, en Californie, il y a énormément de patrouilles de Police. Et beaucoup de maison sont équipées d'alarmes, rendant les cambriolages difficiles.
- C'est un fait. Dans le rapport, il est indiqué que les alarmes des maisons où ont eu lieu les meurtres ont toutes été déclenchées les jour des crimes.
- Et tous les policiers se sont rendus sur place... Leur attention ne s'est portée que sur la maison en feu, bien évidemment.
- Vous étiez donc un leurre ? Vous faisiez en sorte de diriger les forces de l'ordre vers la maison en feu et non vers celle ou se déroulait le meurtre ? Mais pour quelle raison ? Pourquoi diable voudriez-vous aider quelqu'un à tuer toutes ces personnes ?
- Par... amour. Vous savez, quand on aime quelqu'un, on le prend entier, avec tous ses défauts... J'étais, et je serais toujours, prêt à tout pour lui. Il était adorable, mais il avait quelques petites pulsions, qu'il ne pouvait pas cacher. Je l'ai donc aidé à les satisfaire, quand je sentais qu'il était sur le point d'exploser.
- Vous avez donc allumé ces feux pour distraire les forces de l'ordre pendant que votre amant massacrait de pauvres innocents dans la maison d'à côté... Vous êtes complètement fou.
- Fou d'amour, oui.
- De plus, vous irez - au mieux - en prison pour le reste de vos jours, alors que votre amant se promène toujours librement, dehors. Savez-vous où il pourrait se trouver ?
- J'ai ma petite idée, oui.
- Et bien ?
- Disons que mon ultime acte d'amour s'achève maintenant. Vous savez que la plus grande partie de la police de San Diego se trouve ici aujourd'hui, n'est-ce pas ?
- Et alors ?
- Je vous l'avais dit, Maître. Vous avez mieux à faire que d'être ici aujourd'hui. Je vous l'ai répété."
L'avocat était alors devenu livide, et s'était précipité hors de la salle pour téléphoner à sa famille. Peine perdue, car on su plus tard qu'elle avait été tuée pendant le procès.
Jonh Fargo a été condamné à perpétuité pour sa complicité lors des meurtres commis par son amant, qui n'a jamais été retrouvé.
Il a finalement été assassiné en prison par le frère d'une des victimes, quelques années plus tard.
Ainsi donc, le 12 juillet 1998 a eu lieu le procès de Jonh Fargo, accusé de multiples meurtres. En effet, entre 1987 et 1997, il se serait rendu coupable de la mort de 13 personnes, dont 3 enfants. Lorsqu'il a été arrêté, il se trouvait dans une maison voisine à celle ou s'était récemment produit le meurtre de toute une famille, maison à laquelle il avait déjà commencé à mettre le feu.
Pour cette audience, une grande partie de la Police de San Diego avait été mobilisée afin de sécuriser l'endroit, car énormément de personnes, parmi les famille des victimes, auraient pu tenter d'attenter à la vie de l'accusé avant l'heure.
Ce jour là, tous les yeux étaient rivés sur ce tribunal.
Sans attendre, voici une retranscription de ce qu'il s'est dit lors de ce fameux procès.
"Monsieur Fargo, vous êtes accusé d'avoir commis au total 13 meurtre, entre le 18 février 1987 et le 22 avril 1997. Vous êtes également accusé d'être à l'origine de 9 incendies à caractère criminel. Qu'avez vous à répondre à ces accusations ?
- Maître, je plaide coupable pour les incendies. C'est en effet moi qui ai incendiés ces maisons. Par contre, je nie totalement les accusations de meurtre. Ce n'est pas moi qui les ai commis.
-Vous confessez donc avoir incendiés ces maisons. Mais, comme vous le savez, ces maisons était toutes voisines à celles où les meurtres ont eu lieu. Cela ne peux pas être une coïncidence.
- Et si ça l'était ? C'est tout à fait possible, et, sauf erreur de ma part, vous n'avez aucune preuve me reliant aux meurtres. Maître, je pense que vous avez mieux à faire que d'être ici à m'accabler de faits que je n'ai pas perpétrés.
- Monsieur Fargo, je suis ici pour faire mon travail. J'ai d'ailleurs des documents qui attestent d'un évident lien entre ces crimes et vous.
Le 18 février 1987, un couple est tué dans sa maison de Los Angeles. Or, la maison voisine avait pris feu quelques minutes avant les faits. Sur place, nous avons retrouvé vos empreintes sur la boîte aux lettres. Est-ce là une coïncidence, monsieur Fargo ?
- Et bien, je...
- Le 24 Juin 1989, toute une famille trouvée démembrée dans leur maison de Sacramento. Quelques minutes avant, la maison de leur voisin avait été incendiée. Une nouvelle fois, vos empreintes ont été retrouvées sur place. Encore une coïncidence ?
- Mais...
- Le 1er Novembre 1990, à San Francisco, une femme est trouvée morte à son domicile. Elle avait été éventrée. Devinez quelle maison a été incendiée quelques minutes plus tôt ? Et quelles empreintes ont été relevées, cette fois encore ? Voulez-vous que je continue la liste des "coïncidences", monsieur Fargo ?
- Très bien, mais cela ne constitue toujours pas la preuve formelle que je suis à l'origine de tous ces meurtres. Comme je l'ai déjà dit, je suis sûr que vous avez mieux à faire que d'être ici à m'accuser sans preuves plus tangibles. Vous pourriez être avec votre famille, par exemple.
- Ne vous moquez pas de nous, monsieur Fargo. Ces "coïncidences" suffisent amplement à vous lier aux meurtres. Je vous conseille de coopérer. Si vous nous dites la vérité sur ces meurtres, peut-être que vous ne serez pas condamné à mort, et écoperez simplement de la réclusion à perpétuité. La balle est dans votre camp, monsieur Fargo.
- Très bien, très bien, je me rends. Je vais tout vous expliquer, car quoi que je fasse, je sais que je ne serais plus jamais un homme libre. Vous avez raison, ce ne sont pas des coïncidences. Mais je continue à le clamer: je n'ai tué personne.
- Vous êtes donc complice ?
- Je ne peux le nier. Vous savez, en Californie, il y a énormément de patrouilles de Police. Et beaucoup de maison sont équipées d'alarmes, rendant les cambriolages difficiles.
- C'est un fait. Dans le rapport, il est indiqué que les alarmes des maisons où ont eu lieu les meurtres ont toutes été déclenchées les jour des crimes.
- Et tous les policiers se sont rendus sur place... Leur attention ne s'est portée que sur la maison en feu, bien évidemment.
- Vous étiez donc un leurre ? Vous faisiez en sorte de diriger les forces de l'ordre vers la maison en feu et non vers celle ou se déroulait le meurtre ? Mais pour quelle raison ? Pourquoi diable voudriez-vous aider quelqu'un à tuer toutes ces personnes ?
- Par... amour. Vous savez, quand on aime quelqu'un, on le prend entier, avec tous ses défauts... J'étais, et je serais toujours, prêt à tout pour lui. Il était adorable, mais il avait quelques petites pulsions, qu'il ne pouvait pas cacher. Je l'ai donc aidé à les satisfaire, quand je sentais qu'il était sur le point d'exploser.
- Vous avez donc allumé ces feux pour distraire les forces de l'ordre pendant que votre amant massacrait de pauvres innocents dans la maison d'à côté... Vous êtes complètement fou.
- Fou d'amour, oui.
- De plus, vous irez - au mieux - en prison pour le reste de vos jours, alors que votre amant se promène toujours librement, dehors. Savez-vous où il pourrait se trouver ?
- J'ai ma petite idée, oui.
- Et bien ?
- Disons que mon ultime acte d'amour s'achève maintenant. Vous savez que la plus grande partie de la police de San Diego se trouve ici aujourd'hui, n'est-ce pas ?
- Et alors ?
- Je vous l'avais dit, Maître. Vous avez mieux à faire que d'être ici aujourd'hui. Je vous l'ai répété."
L'avocat était alors devenu livide, et s'était précipité hors de la salle pour téléphoner à sa famille. Peine perdue, car on su plus tard qu'elle avait été tuée pendant le procès.
Jonh Fargo a été condamné à perpétuité pour sa complicité lors des meurtres commis par son amant, qui n'a jamais été retrouvé.
Il a finalement été assassiné en prison par le frère d'une des victimes, quelques années plus tard.
Wow, pour une fois je l'avais pas vu venir.
RépondreSupprimerPrevisible cette pasta mais tres sympa à lire !
RépondreSupprimeraaaaaaaah c'est trop bien
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerVraiment machiavélique
RépondreSupprimer"Etas unis" "les famille" (faute répétée) etc... Sérieusement ?
RépondreSupprimerNon mais sérieux, mais quel enfer à lire! C'est bien d'essayer d'écrire mais ça devrait pas se retrouver publié avant d'avoir atteint un certain niveau. Et je parle pas seulement des fautes mais aussi de la syntaxe : on ne tente d'attenter!!! On attente, c'est tout! On ne change pas un patronyme par un faux-nom, on remplace un nom! C'est pas en allongeant inutilement des phrases qu'on se donne du style. Surtout si ça introduit des erreurs, rendant le tout indigeste! Et encore c'est que le début...
RépondreSupprimer"indigeste" C'est exagéré quand même. Puis franchement la qualité de la pasta est assez bonne pour oublier ces petites fautes
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