L'histoire que je vais vous présenter m'a été transmise indirectement par des connaissances de bouche à oreilles, celons les dires, l'origine de la rumeur remonterais aux archives de l'entreprise qui encadre les catacombes de Paris. L'ami qui m'en avait fait part m'avait montré une photocopie d'un dossier de rapport. Voici à peu près ce dont je me souviens :
[Tous les noms de ce rapport ont étés remplacés par des faux afin de préserver l'anonymat de l'auteur et de ses mentionnés.]
RAPPORT DU 24/07/2004
Chargé des analyses :
[Nom fictif] Marc Grimaux
L'équipe et moi-même avions pour rôle d'explorer une cavité presque inaccessible de la partie ouest après la Crypte du Sacellum en secteur B6.
J'ai entouré en rouge l'endroit où devait aller l'équipe de spéléologues :

L'endroit était véritablement difficile d'accès si bien que nous avons dû utiliser des étais afin d'éviter tout risque d'éboulement. Le boyau s'enfonçait dans la roche jusqu'à s'agrandir pour former une alcôve d'une hauteur d'environ 1 mètre 60. Il n'y avait pas de squelettes contre les parois mais quelques uns demeuraient au sol qui semblait avoir été piétiné maintes et maintes fois.
Au fur et à mesure que nous avancions, une odeur de renfermé et de moisissure se faisait sentir. Le compteur n'indiquait, par chance, aucune trace de gaz ou d'amiante.
Environ 2 heures après le début de l'exploration, nous arrivâmes dans une grande rotonde dont la partie basse était engloutie sous l'eau (environ 1 mètre de profondeur) et une fois de plus des os flottaient, il y en avait de plus en plus.
La suite du parcours se divisait en deux au bout de la rotonde et, pour couvrir plus de terrain, j'ai préféré faire deux groupes de deux, chaque groupe muni d'un talkie-walkie. J'étais avec Martin Joubert et l'autre groupe était composé de Christian Chalon et de Philippe Maurice. Nous avions tous les quatre un équipement identique.
Après environ une heure à ramper dans d'étroits tunnels, le talkie-walkie se mit à grésiller, la paroi nous séparant devait sûrement contenir un minéral créant des interférences.
Le plus étrange arriva quelques minutes après, le pad indiquait un léger taux de radiations, ce qui n'est vraiment pas banal dans des catacombes du XVIIIème siècle.
Quoi qu'il en soit, nous arrivâmes bientôt à une pièce rectangulaire dotée d'encoches creusés dans les parois afin d'y accueillir les dépouilles de défunts. L'odeur était insoutenable et une sorte de gélatine transparente et visqueuse non identifiable tapissait les murs.
Au moment où Nom barré moi-même allions poursuivre notre exploration, un bruit soudain sortit du talkie-walkie suivit de parasites violents. Pensant que ce n'était qu'un problème venant de l'appareil, mon collègue et moi continuons notre route.
Arrivés à quelques mètres dans un couloir d'environ 1 mètre 70 approximativement rectangle, la température se mit à chuter et malgré nos combinaisons, l'air devenait glacial. Tout en continuant dans ce véritable frigidaire, ma marche fut stoppée par des sortes de grognements, ou plutôt le bruit d'une viande qu'on mâche... Puis, en fixant mieux l'obscurité au loin, des mouvements furent aperçus. C'était probablement l'autre équipe alors Martin derrière moi se mit à les appeler. A peine eut-il fini de demander si c'était bien nos collègues, une multitude de points blancs apparurent sans bouger. Alors, malgré la peur qui commençait à grandir, j'ai pu prendre une photo rapide et nous nous sommes mis à courir.
La fameuse photo que mon ami à pu m'envoyer il y a quelques jours par mail :

En zoomant sur la zone d'ombre, nous pouvons apercevoir les fameux points blancs.
Je ne saurais dire si ces... Choses nous ont suivis mais je n'ai pas cherché à le savoir.
Le plus terrible, c'est que j'ignore ce qu'il est advenu de la seconde équipe.
Marc Grimaux, le 26/07/2004
[Tous les noms de ce rapport ont étés remplacés par des faux afin de préserver l'anonymat de l'auteur et de ses mentionnés.]
RAPPORT DU 24/07/2004
Chargé des analyses :
[Nom fictif] Marc Grimaux
L'équipe et moi-même avions pour rôle d'explorer une cavité presque inaccessible de la partie ouest après la Crypte du Sacellum en secteur B6.
J'ai entouré en rouge l'endroit où devait aller l'équipe de spéléologues :
L'endroit était véritablement difficile d'accès si bien que nous avons dû utiliser des étais afin d'éviter tout risque d'éboulement. Le boyau s'enfonçait dans la roche jusqu'à s'agrandir pour former une alcôve d'une hauteur d'environ 1 mètre 60. Il n'y avait pas de squelettes contre les parois mais quelques uns demeuraient au sol qui semblait avoir été piétiné maintes et maintes fois.
Au fur et à mesure que nous avancions, une odeur de renfermé et de moisissure se faisait sentir. Le compteur n'indiquait, par chance, aucune trace de gaz ou d'amiante.
Environ 2 heures après le début de l'exploration, nous arrivâmes dans une grande rotonde dont la partie basse était engloutie sous l'eau (environ 1 mètre de profondeur) et une fois de plus des os flottaient, il y en avait de plus en plus.
La suite du parcours se divisait en deux au bout de la rotonde et, pour couvrir plus de terrain, j'ai préféré faire deux groupes de deux, chaque groupe muni d'un talkie-walkie. J'étais avec Martin Joubert et l'autre groupe était composé de Christian Chalon et de Philippe Maurice. Nous avions tous les quatre un équipement identique.
Après environ une heure à ramper dans d'étroits tunnels, le talkie-walkie se mit à grésiller, la paroi nous séparant devait sûrement contenir un minéral créant des interférences.
Le plus étrange arriva quelques minutes après, le pad indiquait un léger taux de radiations, ce qui n'est vraiment pas banal dans des catacombes du XVIIIème siècle.
Quoi qu'il en soit, nous arrivâmes bientôt à une pièce rectangulaire dotée d'encoches creusés dans les parois afin d'y accueillir les dépouilles de défunts. L'odeur était insoutenable et une sorte de gélatine transparente et visqueuse non identifiable tapissait les murs.
Au moment où Nom barré moi-même allions poursuivre notre exploration, un bruit soudain sortit du talkie-walkie suivit de parasites violents. Pensant que ce n'était qu'un problème venant de l'appareil, mon collègue et moi continuons notre route.
Arrivés à quelques mètres dans un couloir d'environ 1 mètre 70 approximativement rectangle, la température se mit à chuter et malgré nos combinaisons, l'air devenait glacial. Tout en continuant dans ce véritable frigidaire, ma marche fut stoppée par des sortes de grognements, ou plutôt le bruit d'une viande qu'on mâche... Puis, en fixant mieux l'obscurité au loin, des mouvements furent aperçus. C'était probablement l'autre équipe alors Martin derrière moi se mit à les appeler. A peine eut-il fini de demander si c'était bien nos collègues, une multitude de points blancs apparurent sans bouger. Alors, malgré la peur qui commençait à grandir, j'ai pu prendre une photo rapide et nous nous sommes mis à courir.
La fameuse photo que mon ami à pu m'envoyer il y a quelques jours par mail :
En zoomant sur la zone d'ombre, nous pouvons apercevoir les fameux points blancs.
Je ne saurais dire si ces... Choses nous ont suivis mais je n'ai pas cherché à le savoir.
Le plus terrible, c'est que j'ignore ce qu'il est advenu de la seconde équipe.
Marc Grimaux, le 26/07/2004
ils ont trouver le repaire du Rake et de sa famille?
RépondreSupprimerJe ne fais que commencer à regarder les commentaires et je sens que je vais le répéter : cette histoire est étroitement liée avec celle du Rake.
SupprimerIls se sont fait dévoré ?
RépondreSupprimerOn dirai les yeux des petites bestioles dans princesse mononoké
RépondreSupprimerPeut être c'est les tortues ninja, on dirait Splinter sur le sol !
RépondreSupprimerSérieux XD rapporter moi de la pizza les gars ^^
Supprimerhttp://www.liveleak.com/view?i=433_1301659042
RépondreSupprimerEt trois heures de sommeil en moins...
Supprimeril existe encore une autre vidéo datant de 1999 ou on peut revoir la multitudes d'yeux mais ce qui est étrange c'est que cette créature que l'on voit presque entièrement n'en passède que 2 donc cela veut dire qu'il y en a plusieurs . Il faudrait retourner chercher des os dans les catacombes afin de dater leur mort , je précise que dans la vidéos que j'ai vue , le caméraman semble avoir été attrapper et son cadavre jamais retrouvé
SupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerhttp://sphotos-d.ak.fbcdn.net/hphotos-ak-ash3/225617_156035021238398_1429898965_n.jpg
RépondreSupprimerJe ne vois rien du tout sur la photo, donc bon :/
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