L'insomnie. L'impossibilité de dormir. Ce moment de transition entre conscience et inconscience.
LE STRESS CAUSE LA PERTE DE SOMMEIL, QUI CAUSE LE STRESS
Une très grande partie de l'insomnie vient du stress. Notre exemple sera un adolescent avec un déficit d'attention et un problème d'anxiété. Son traitement est de très haute dose, et les médicaments contre les déficits de l'attention, comme le Vyvanse et l'Adderall sont des stimulants, ce qui veut dire qu'ils vous tiennent éveillé. Il a souffert de perte du sommeil et d'insomnie par le passé, et a appris à vivre avec. Nous allons tester sur lui un stimulant et un dépresseur, et étudierons les effets sur son psyché.
PROCÉDURE
Pour le premier test, nous l'avons tenu éveillé de six heures du matin, jusqu'à minuit. Ses signes vitaux étaient normaux, et il se concentrait à ses dessins. Le dépresseur utilisé dans cette expérience est de l'alcool à 40 % (le sujet a pour habitude de boire en petites quantités), et le stimulant, du Vyvanse en 50mg. Tout à fait normal. Le sujet les prend ensemble, à minuit trois.
00h49 : Le sujet rapporte des vertiges légers, l'alcool prend effet.
01h32 : Les dessins du sujet deviennent plus abstraits, et il commence à éprouver des difficultés à la parole.
02h14 : Le sujet ressent une légère fatigue.
04h27 : Le sujet se rend compte de l'heure, et décide d'essayer de dormir.
04h42 : Le sujet éprouve des difficultés au sommeil, se retournant constamment.
04h58 : Le sujet se plaint de maux d'estomac, montre un état de frustration causé par son manque de sommeil. Il est aussi victime de migraines.
06h22 : Lever du soleil. Le sujet rapporte des vertiges, un déclin dans ses capacités motrices. Il devient verbalement agressif.
08h00 : Ses signes vitaux sont devenus fluctuants. Il lui est donné une autre pilule de Vyvanse en 50mg.
09h22 : Le sujet rapporte se sentir « comme neuf ». Prend une douche, fait un peu d'exercice, s'habille.
10h14 : Le sujet allume l'ordinateur.
10h23 : Le sujet rapporte que l'intensité des migraines augmente. Éteint l'ordinateur, ferme les yeux, se masse le front.
10h37 : Le sujet est en état d'irritation visible, sa colère augmente.
10h44 : Le sujet commence à trembler de façon incontrôlable, fait les cents-pas dans la pièce.
11h03 : Le sujet s'arrête, s'assoit. Il apparaît de nouveau relativement calme.
11h08 : Le sujet commence à marmonner incompréhensiblement en se frottant les mains.
11h26 : Le sujet est silencieux. Il retourne sur l'ordinateur.
11h31 : Le sujet éteint l'ordinateur à nouveau, rapporte la même augmentation de l'intensité des migraines.
11h47 : Le sujet essaye de dormir à nouveau. Le sujet échoue.
11h53 : Le sujet commence à pleurer. Les pleurs deviennent des sanglots. Tout essai pour le consoler rencontre des accès de violence.
12h00 : Le sujet subit de nouveaux tests de signes vitaux, lui est donné une autre pilule. Le sujet a dû être restreint pour les tests. Signes vitaux très fluctuants.
12h14 : Le sujet refuse d'ouvrir les yeux. Il respire et est conscient, mais dit, citation : « Si je ferme mes yeux, ils partent. Je ne veux pas les ouvrir. » Plusieurs essais à lui faire ouvrir les paupières ont été rejetés, a répondu avec hostilité.
12h36 : Le sujet commence à nouveau à sangloter. Le sujet ouvre les yeux et vomit immédiatement sur le sol. Il s'arrête, ne pleure plus, tombe à genoux, essayant de manger sa propre bile, l'étalant sur ses mains. Essais de le restreindre tous contrés par des cris et de violents balancements des bras. Nous avons battu en retraite.
12h42 : Le sujet a enlevé tous ses vêtements et a vomi à nouveau. Le sujet a étalé du vomi sur les murs de la cellule, son torse, ses bras, et ses organes reproducteurs.
12h44 : Le sujet a commencé à se masturber en silence, couvert de vomi. Nos collègues à l'estomac plus solide ont pu le restreindre. Nous avons essayé de le rendre inconscient, mais il lui a été donné trop de stimulants.
12h57 : Les poignets et chevilles du sujet ont été menottés à une table d'observation. Le sujet commence à hurler.
14h00 : Le sujet reçoit une autre pilule. Deux d'entre nous ont dû lui tenir la mâchoire ouverte pour lui enfoncer dans la gorge.
14h45 : Signes vitaux vérifiés. Le cœur du sujet bat trop rapidement, et il tremble. Ses cordes vocales commencent à lâcher. Le sujet est scanné à l’électroencéphalogramme.
15h00 : Lecture des scans ne montre rien d'autre que des ondes beta. Le sujet est proche de sa limite physique/mentale. Le sujet reçoit une autre pilule.
15h06 : Le sujet se débat violemment dans ses restreintes. Le sujet garde la mâchoire violemment fermée, et ses gencives commencent à saigner. Le sujet hurle à nouveau, et ses cordes vocales inférieures lâchent pour de bon.
15h15 : Le sujet ouvre les yeux. Le sujet reste parfaitement immobile, et sa mâchoire est relâchée. Aucun signe de pouls.
16h30 : Rapport officiel envoyé à la direction : « Sujet 917-95 confirmé mort. Envoyez le prochain. »
LE STRESS CAUSE LA PERTE DE SOMMEIL, QUI CAUSE LE STRESS
Une très grande partie de l'insomnie vient du stress. Notre exemple sera un adolescent avec un déficit d'attention et un problème d'anxiété. Son traitement est de très haute dose, et les médicaments contre les déficits de l'attention, comme le Vyvanse et l'Adderall sont des stimulants, ce qui veut dire qu'ils vous tiennent éveillé. Il a souffert de perte du sommeil et d'insomnie par le passé, et a appris à vivre avec. Nous allons tester sur lui un stimulant et un dépresseur, et étudierons les effets sur son psyché.
PROCÉDURE
Pour le premier test, nous l'avons tenu éveillé de six heures du matin, jusqu'à minuit. Ses signes vitaux étaient normaux, et il se concentrait à ses dessins. Le dépresseur utilisé dans cette expérience est de l'alcool à 40 % (le sujet a pour habitude de boire en petites quantités), et le stimulant, du Vyvanse en 50mg. Tout à fait normal. Le sujet les prend ensemble, à minuit trois.
00h49 : Le sujet rapporte des vertiges légers, l'alcool prend effet.
01h32 : Les dessins du sujet deviennent plus abstraits, et il commence à éprouver des difficultés à la parole.
02h14 : Le sujet ressent une légère fatigue.
04h27 : Le sujet se rend compte de l'heure, et décide d'essayer de dormir.
04h42 : Le sujet éprouve des difficultés au sommeil, se retournant constamment.
04h58 : Le sujet se plaint de maux d'estomac, montre un état de frustration causé par son manque de sommeil. Il est aussi victime de migraines.
06h22 : Lever du soleil. Le sujet rapporte des vertiges, un déclin dans ses capacités motrices. Il devient verbalement agressif.
08h00 : Ses signes vitaux sont devenus fluctuants. Il lui est donné une autre pilule de Vyvanse en 50mg.
09h22 : Le sujet rapporte se sentir « comme neuf ». Prend une douche, fait un peu d'exercice, s'habille.
10h14 : Le sujet allume l'ordinateur.
10h23 : Le sujet rapporte que l'intensité des migraines augmente. Éteint l'ordinateur, ferme les yeux, se masse le front.
10h37 : Le sujet est en état d'irritation visible, sa colère augmente.
10h44 : Le sujet commence à trembler de façon incontrôlable, fait les cents-pas dans la pièce.
11h03 : Le sujet s'arrête, s'assoit. Il apparaît de nouveau relativement calme.
11h08 : Le sujet commence à marmonner incompréhensiblement en se frottant les mains.
11h26 : Le sujet est silencieux. Il retourne sur l'ordinateur.
11h31 : Le sujet éteint l'ordinateur à nouveau, rapporte la même augmentation de l'intensité des migraines.
11h47 : Le sujet essaye de dormir à nouveau. Le sujet échoue.
11h53 : Le sujet commence à pleurer. Les pleurs deviennent des sanglots. Tout essai pour le consoler rencontre des accès de violence.
12h00 : Le sujet subit de nouveaux tests de signes vitaux, lui est donné une autre pilule. Le sujet a dû être restreint pour les tests. Signes vitaux très fluctuants.
12h14 : Le sujet refuse d'ouvrir les yeux. Il respire et est conscient, mais dit, citation : « Si je ferme mes yeux, ils partent. Je ne veux pas les ouvrir. » Plusieurs essais à lui faire ouvrir les paupières ont été rejetés, a répondu avec hostilité.
12h36 : Le sujet commence à nouveau à sangloter. Le sujet ouvre les yeux et vomit immédiatement sur le sol. Il s'arrête, ne pleure plus, tombe à genoux, essayant de manger sa propre bile, l'étalant sur ses mains. Essais de le restreindre tous contrés par des cris et de violents balancements des bras. Nous avons battu en retraite.
12h42 : Le sujet a enlevé tous ses vêtements et a vomi à nouveau. Le sujet a étalé du vomi sur les murs de la cellule, son torse, ses bras, et ses organes reproducteurs.
12h44 : Le sujet a commencé à se masturber en silence, couvert de vomi. Nos collègues à l'estomac plus solide ont pu le restreindre. Nous avons essayé de le rendre inconscient, mais il lui a été donné trop de stimulants.
12h57 : Les poignets et chevilles du sujet ont été menottés à une table d'observation. Le sujet commence à hurler.
14h00 : Le sujet reçoit une autre pilule. Deux d'entre nous ont dû lui tenir la mâchoire ouverte pour lui enfoncer dans la gorge.
14h45 : Signes vitaux vérifiés. Le cœur du sujet bat trop rapidement, et il tremble. Ses cordes vocales commencent à lâcher. Le sujet est scanné à l’électroencéphalogramme.
15h00 : Lecture des scans ne montre rien d'autre que des ondes beta. Le sujet est proche de sa limite physique/mentale. Le sujet reçoit une autre pilule.
15h06 : Le sujet se débat violemment dans ses restreintes. Le sujet garde la mâchoire violemment fermée, et ses gencives commencent à saigner. Le sujet hurle à nouveau, et ses cordes vocales inférieures lâchent pour de bon.
15h15 : Le sujet ouvre les yeux. Le sujet reste parfaitement immobile, et sa mâchoire est relâchée. Aucun signe de pouls.
16h30 : Rapport officiel envoyé à la direction : « Sujet 917-95 confirmé mort. Envoyez le prochain. »
Traduction: Neko
Creepypasta originale ici.
Malsain...
RépondreSupprimer"Le sujet reçoit une autre pilule."
RépondreSupprimerMagnifique ! Je la ressortirai celle-là !
Bien joué à l'auteur, très bonne pasta quoique un peu un peu malsaine comme comme l'a dit VDD... :)
j'ai soudainement someil.. x)
RépondreSupprimerBof...Déjà, trop de répétitions de "le sujet"...Et puis ça m'a laissée indifférente. Ni malaise, ni frissons...Je ne parle même pas du fait que c'est quasiment une pâle copie de "L'expérience Russe d'hypnologie"...Mais bon, comme tout le monde, j'ai mes goûts,,et il y a forcément des creepys que je vais apprécier plus ou moins que les autres...Ce n'est que mon avis, et à part ça, je viens sur ce site chercher ma dose tous les jours, alors continuez :)
RépondreSupprimerMalsain, très malsain... '-'
RépondreSupprimerUn peu étrange... sachant que je souffre d'insomnie, mais sinon bonne pasta.
RépondreSupprimerA bon entendeur.