Ceci est un communiqué urgent à transmettre à tous les hôpitaux de France. Il est dans votre devoir de garder le silence le plus complet pour éviter toute psychose, il en va de la réputation des hôpitaux.
Nous avons eu rapport à de nombreux assassinats dans certains établissements hospitaliers toulousains, mais aussi strasbourgeois.
Depuis début Juillet, nous avons comptabilisé près d'une dizaine de meurtres qui avaient pour cible du personnel hospitalier, mais aussi des enfants atteints de cancer, ou d'autre maladies incurables. Les meurtres ont lieu le plus souvent de nuit, mais il est arrivé que certains se produisent dans la journée.
Le premier meurtre s'est déroulé dans la nuit du **/07.
Un aide-soignant de garde est tout d'abord retrouvé assassiné aux alentours de 23h, sa blouse lui a été dérobée et il porte une énorme entaille sur le menton, celle-ci n'étant évidemment pas mortelle, contrairement à l'entaille profonde sur le cou. Les médecins-légistes en ont conclu que son agresseur était plus petit que lui et qu'ils se sont battus quelques secondes. La taille de l'agresseur devait se situer entre 1m65 et 1m70.
Aux alentours de 23h10, l'alarme de la chambre 211 se met à clignoter, c'est à ce moment que l'infirmière Marie ******* découvre le cadavre éventré du jeune garçon qui y « séjournait » pour un cancer des poumons. Sur lui, elle découvre un mot où elle peut lire : « J'ai toujours considéré l'euthanasie comme une aide et non comme un crime; dans cette optique, je me considère plus comme une personne salvatrice, et... assez incomprise... »
Certains employés racontent avoir croisé un homme en blouse blanche qu'ils n'avaient, semble-t-il, jamais croisé. Le visage serein et souriant, il aurait « remonté » la foule qui commençait à s'amasser dans la chambre 211, certains racontent avoir remarqué une tache de rouge se répandant comme du sang sur sa poche droite, les caméras de surveillance corroborent ces témoignages.
Le second crime se déroule dans la région toulousaine une fois de plus. Sa particularité est d'avoir été commis en pleine journée, devant deux témoins. Ceux-ci, présents dans l'immeuble en face de celui où le crime a eu lieu, racontent :
« Il devait être 13h30 quand un docteur et une infirmière sont entrés dans la chambre pour s'occuper du jeune garçon paralysé, comme à l'accoutumée. Bientôt, j'ai remarqué l'arrivée d'une troisième personne en blouse. Malgré la distance, j'ai pu remarquer que cette personne semblait assez surprise de voir les deux médecins dans la chambre et a reculé. Son comportement douteux m'a incité à appeler mon mari.
Finalement, l'homme est entré dans la chambre et c'est à ce moment que les choses ont commencé à mal tourner. L'homme a fermé la porte doucement et a sorti une lame de sa poche, pas un couteau, mais peut-être une sorte de rasoir. Il s'est approché du docteur, lentement, et l'a égorgé, j'ai pas pu m'empêcher de crier. L'infirmière s'est retournée, elle a crié et s'est précipitée sur l'alarme. C'est alors que l'homme lui a asséné un coup sur la main avec son rasoir, il lui a ensuite attrapé le cou, sans doute pour l'empêcher de crier, et il l'a plaquée contre le mur. À ce moment, j'ai envoyé mon mari chercher de l'aide, mais une fois qu'il fut parti, c'était trop tard.
L'homme trancha la gorge de la pauvre femme et la déposa à terre délicatement. Après ça, il s'est tourné vers la fenêtre et a regardé dans ma direction, il s'est mis à sourire, ses dents étaient pointues, comme s'il les avait limées. J'ai soudainement été frappée de vertiges, ma vision s'est troublée, et je me suis évanouie. Pendant trois jours, j'ai été victime de terreurs nocturnes... »
Les trois cadavres ont ensuite été retrouvés, le jeune garçon avait été lui aussi éventré, son foie avait été retiré comme à toutes les autres victimes. Un message ici aussi avait été laissé sur les lieux du crime, gravé sur la peau du docteur et de l'infirmière, avec une précision quasi-impossible. La lame qui avait incisé la peau avait été maniée comme un stylo. Voilà ce qui était écrit, en italique.
« Je n'ai jamais aimé cette citation :
« seuls les artistes et les enfants voient la vie telle qu'elle est »
J'aurais préféré « seuls les artistes et les enfants voient la mort telle qu'elle est (réellement) »
Je vous cite maintenant le dernier meurtre en date, qui s'est déroulé le **/09, et qui a comme spécificité d'avoir eu un témoin direct présent lors du meurtre, un jeune garçon de 17 ans partageant la chambre avec la victime, une jeune fille de 10 ans.
« Il devait être une heure du mat' quand j'ai été réveillé par un bruit dans la chambre, j'ai ouvert un œil discrètement, et j'ai vu cet homme en blouse blanche, il était penché sur le lit de la petite fille et marmonnait quelque chose. Instinctivement, j'ai tenté d'appuyer sur l'alarme, ça aurait pu être n'importe qui, ce mec, j'ai pensé à un pédophile au départ, puis c'est là qu'il a stoppé mon geste en me disant « Je te le déconseille... »
Là, j'ai ouvert grand les yeux, l'homme avait tourné la tête vers moi, il avait les yeux d'un bleu incroyable, ils semblaient me sonder l'esprit. Je me suis redressé sur mon lit et lui ai demandé qui il était: la seule chose qu'il m'a répondu, c'est « Sûrement pas un pédophile... »
On a parlé pendant même pas trente secondes, il fut déçu de mon âge et s'est mis à rire silencieusement, je n'avais jamais été aussi mal à l'aise qu'à ce moment. J'ai eu un violent mal de tête et me suis étalé sur le lit, presque paralysé.
Puis, les derniers mots que j'ai entendu de lui, c'était « Certains aiment travailler avec la musique, moi, c'est le regard des gens », ou un truc du genre. N'empêche que mes yeux n'ont plus voulu se fermer, et que j'étais contraint de regarder le cauchemar qui allait se dérouler devant moi.
L'homme a sorti un vieux rasoir et s'est mis à siffloter un air que je ne connaissais pas. Puis, il a commencé à couper le ventre de la fille avec un calme chirurgical, en sifflotant, encore, et toujours cet air dont je n'arrive toujours pas à me débarrasser. Il a ensuite sorti un organe du ventre de la petite fille, je me souviens que mes yeux ont commencé à verser des larmes, il a regardé l'organe un instant en souriant et en rangeant son rasoir.
Finalement, mes yeux remplis de larmes et mon impossibilité de cligner des yeux m'ont rendu la vision si floue que je ne sais pas ce qui s'est passé ensuite... »
Dans cette affaire, aucun message ne sera laissé, sauf un, qui nous a poussé à transmettre ce dossier (que la police semble déjà très bien connaître). Trois jours après ce « dernier » meurtre, l'hôpital ****** de Strasbourg, où le meurtre fut commis, reçut un message sans aucun doute envoyé par le meurtrier. Le voici, et n'oubliez pas que le silence doit être le maître mot sur cette affaire.
« Homère dans l’Iliade, X, 137, disait : leur sort à tous est sur le tranchant du rasoir... »
Nous avons eu rapport à de nombreux assassinats dans certains établissements hospitaliers toulousains, mais aussi strasbourgeois.
Depuis début Juillet, nous avons comptabilisé près d'une dizaine de meurtres qui avaient pour cible du personnel hospitalier, mais aussi des enfants atteints de cancer, ou d'autre maladies incurables. Les meurtres ont lieu le plus souvent de nuit, mais il est arrivé que certains se produisent dans la journée.
Le premier meurtre s'est déroulé dans la nuit du **/07.
Un aide-soignant de garde est tout d'abord retrouvé assassiné aux alentours de 23h, sa blouse lui a été dérobée et il porte une énorme entaille sur le menton, celle-ci n'étant évidemment pas mortelle, contrairement à l'entaille profonde sur le cou. Les médecins-légistes en ont conclu que son agresseur était plus petit que lui et qu'ils se sont battus quelques secondes. La taille de l'agresseur devait se situer entre 1m65 et 1m70.
Aux alentours de 23h10, l'alarme de la chambre 211 se met à clignoter, c'est à ce moment que l'infirmière Marie ******* découvre le cadavre éventré du jeune garçon qui y « séjournait » pour un cancer des poumons. Sur lui, elle découvre un mot où elle peut lire : « J'ai toujours considéré l'euthanasie comme une aide et non comme un crime; dans cette optique, je me considère plus comme une personne salvatrice, et... assez incomprise... »
Certains employés racontent avoir croisé un homme en blouse blanche qu'ils n'avaient, semble-t-il, jamais croisé. Le visage serein et souriant, il aurait « remonté » la foule qui commençait à s'amasser dans la chambre 211, certains racontent avoir remarqué une tache de rouge se répandant comme du sang sur sa poche droite, les caméras de surveillance corroborent ces témoignages.
Le second crime se déroule dans la région toulousaine une fois de plus. Sa particularité est d'avoir été commis en pleine journée, devant deux témoins. Ceux-ci, présents dans l'immeuble en face de celui où le crime a eu lieu, racontent :
« Il devait être 13h30 quand un docteur et une infirmière sont entrés dans la chambre pour s'occuper du jeune garçon paralysé, comme à l'accoutumée. Bientôt, j'ai remarqué l'arrivée d'une troisième personne en blouse. Malgré la distance, j'ai pu remarquer que cette personne semblait assez surprise de voir les deux médecins dans la chambre et a reculé. Son comportement douteux m'a incité à appeler mon mari.
Finalement, l'homme est entré dans la chambre et c'est à ce moment que les choses ont commencé à mal tourner. L'homme a fermé la porte doucement et a sorti une lame de sa poche, pas un couteau, mais peut-être une sorte de rasoir. Il s'est approché du docteur, lentement, et l'a égorgé, j'ai pas pu m'empêcher de crier. L'infirmière s'est retournée, elle a crié et s'est précipitée sur l'alarme. C'est alors que l'homme lui a asséné un coup sur la main avec son rasoir, il lui a ensuite attrapé le cou, sans doute pour l'empêcher de crier, et il l'a plaquée contre le mur. À ce moment, j'ai envoyé mon mari chercher de l'aide, mais une fois qu'il fut parti, c'était trop tard.
L'homme trancha la gorge de la pauvre femme et la déposa à terre délicatement. Après ça, il s'est tourné vers la fenêtre et a regardé dans ma direction, il s'est mis à sourire, ses dents étaient pointues, comme s'il les avait limées. J'ai soudainement été frappée de vertiges, ma vision s'est troublée, et je me suis évanouie. Pendant trois jours, j'ai été victime de terreurs nocturnes... »
Les trois cadavres ont ensuite été retrouvés, le jeune garçon avait été lui aussi éventré, son foie avait été retiré comme à toutes les autres victimes. Un message ici aussi avait été laissé sur les lieux du crime, gravé sur la peau du docteur et de l'infirmière, avec une précision quasi-impossible. La lame qui avait incisé la peau avait été maniée comme un stylo. Voilà ce qui était écrit, en italique.
« Je n'ai jamais aimé cette citation :
« seuls les artistes et les enfants voient la vie telle qu'elle est »
J'aurais préféré « seuls les artistes et les enfants voient la mort telle qu'elle est (réellement) »
Je vous cite maintenant le dernier meurtre en date, qui s'est déroulé le **/09, et qui a comme spécificité d'avoir eu un témoin direct présent lors du meurtre, un jeune garçon de 17 ans partageant la chambre avec la victime, une jeune fille de 10 ans.
« Il devait être une heure du mat' quand j'ai été réveillé par un bruit dans la chambre, j'ai ouvert un œil discrètement, et j'ai vu cet homme en blouse blanche, il était penché sur le lit de la petite fille et marmonnait quelque chose. Instinctivement, j'ai tenté d'appuyer sur l'alarme, ça aurait pu être n'importe qui, ce mec, j'ai pensé à un pédophile au départ, puis c'est là qu'il a stoppé mon geste en me disant « Je te le déconseille... »
Là, j'ai ouvert grand les yeux, l'homme avait tourné la tête vers moi, il avait les yeux d'un bleu incroyable, ils semblaient me sonder l'esprit. Je me suis redressé sur mon lit et lui ai demandé qui il était: la seule chose qu'il m'a répondu, c'est « Sûrement pas un pédophile... »
On a parlé pendant même pas trente secondes, il fut déçu de mon âge et s'est mis à rire silencieusement, je n'avais jamais été aussi mal à l'aise qu'à ce moment. J'ai eu un violent mal de tête et me suis étalé sur le lit, presque paralysé.
Puis, les derniers mots que j'ai entendu de lui, c'était « Certains aiment travailler avec la musique, moi, c'est le regard des gens », ou un truc du genre. N'empêche que mes yeux n'ont plus voulu se fermer, et que j'étais contraint de regarder le cauchemar qui allait se dérouler devant moi.
L'homme a sorti un vieux rasoir et s'est mis à siffloter un air que je ne connaissais pas. Puis, il a commencé à couper le ventre de la fille avec un calme chirurgical, en sifflotant, encore, et toujours cet air dont je n'arrive toujours pas à me débarrasser. Il a ensuite sorti un organe du ventre de la petite fille, je me souviens que mes yeux ont commencé à verser des larmes, il a regardé l'organe un instant en souriant et en rangeant son rasoir.
Finalement, mes yeux remplis de larmes et mon impossibilité de cligner des yeux m'ont rendu la vision si floue que je ne sais pas ce qui s'est passé ensuite... »
Dans cette affaire, aucun message ne sera laissé, sauf un, qui nous a poussé à transmettre ce dossier (que la police semble déjà très bien connaître). Trois jours après ce « dernier » meurtre, l'hôpital ****** de Strasbourg, où le meurtre fut commis, reçut un message sans aucun doute envoyé par le meurtrier. Le voici, et n'oubliez pas que le silence doit être le maître mot sur cette affaire.
« Homère dans l’Iliade, X, 137, disait : leur sort à tous est sur le tranchant du rasoir... »
Comme dirait l'autre, on achève bien les cheveux...
C'est Razor Jim ou quelqu'un d'autre ?
RépondreSupprimerJimmy en personne ;)
SupprimerYeux bleu, vieux rasoir, foie
RépondreSupprimer... Pas de doute c'est razor jim
Yeux bleu oppressants+rasoir+foie= Razor Jim a ressuscité ! Tous a couvert!!!
RépondreSupprimerHello Razor!
RépondreSupprimerAh là là c'est fou le succès de Jim... En même temps il est génial ! :-D
RépondreSupprimerC'est mon tueur préféré, très dérangé, mais avec un coté ''artistique'' (je veux bien sûr parler des citations et des poèmes morbides qu'il fait, pas de ses meurtres). Et ce gars là à bon goût, le foie, c'est la meilleure partie d'un animal. Après je n'encourage pas à faire comme lui, je n'ai pas envie d'avoir des morts sur la conscience et des bracelets sur les poignets.
RépondreSupprimerJ'ai pas lu beaucoup de pastas sur Razor Jim, mais je l'aime bien, parce qu'il est d'un sadisme incroyable, mais commet ses atrocités dans le plus grand des calmes, en te parlant comme si vous parliez météo autour d'une tasse dd café. Il est aussi d'une intelligence rare chez un criminel de creepy, narguant ceux qui le recherchent avec des citations de divers domaines, prouvant sa culture. Un bon perso :)
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