Une douce nuit d'Halloween, un jeune garçon marchait seul dans quelques allées de maisons. Habillé en fantôme, il sonnait à la porte de chaque résidence et criait joyeusement "Des bonbons ou un sort !" ! Normalement, tout le monde lui offrait quelques confiseries, pour lui faire plaisir. Mais l'enfant ne devait pas aller plus loin. Il était jeune, et ne pouvait que sonner dans les maisons qui étaient dans sa rue. Arrivé à la dernière maison, il regarda son petit sac qui représentait une citrouille : La chasse avait été bonne. Il fixa sa maison, tout au bout de la rue. Oh, après tout, une ou deux maisons de plus, ça n'allait pas lui faire de mal, et il n'aurait qu'à dire que les gens avaient été généreux avec lui sur les bonbons. Sans peur, il traversa la route pour rejoindre l'autre rue au bout.
Mais ce qui devait être l'affaire de quelques maisons se transforma en plus d'une vingtaine, les minutes devenant des heures, les mètres devenant des kilomètres... Au bout du compte, après une autre porte se refermant et quelques bonbons récoltés, le garçon eut un sursaut. Il était allé trop loin. Il regarda à droite à gauche, il ne savait pas où il était. Cette rue ne lui disait absolument rien. Plus personne n'était dehors. Plus aucun bruit. L'enfant était d'un seul coup tétanisé. Mais il prit son courage à deux mains et longea doucement les bâtiments et maisons, essayant de retrouver son chemin en se basant sur les souvenirs qu'il avait. Mais seulement, il arriva un moment où il ne se souvenait plus par où il était passé. Le gamin s'était bel et bien perdu. Des larmes coulaient sur ses joues, et tombaient. On pouvait même les entendre tant la nuit était calme ce soir-là. Il criait, mais personne ne l'entendait.
Après quelques minutes, l'enfant sécha ses larmes. Il y avait une personne devant lui, à une vingtaine de mètres. Il ressemblait vaguement à un homme, très blanc. Il était chauve, et ses yeux n'avaient aucune couleur, enfin, ils étaient noirs. L'homme était vêtu d'une longue robe, blanche elle aussi, avec de longues manches, cachant ses bras et ses mains. Il leva le bras en direction de l'enfant. Il tenait une bougie allumée qui brillait dans la nuit noire. Il s'avança lentement vers l'enfant, ce dernier reculant petit à petit. Toujours la bougie au bout de sa main, l'homme mystérieux, fixant le gamin apeuré dans les yeux, s'avançait de plus en plus vite. Le garçon, une décharge d'adrénaline montant dans son corps, s'enfuit tout à coup, courant de toutes ses forces loin de l'étrange personnage, qui continuait à marcher lentement. Chaque fois qu'il tournait la tête pour regarder si l'homme le suivait, il était bien derrière, et semblait pourtant toujours marcher lentement.
La course-poursuite dura bien quelques minutes, au bout desquelles l'enfant s'arrêta net. Un cul-de-sac lui barrait la route. En se retournant, il le vit. L'homme était devant lui, tendant toujours sa bougie, et s'avançait doucement. En reculant, le garçon percuta le mur. C'en était terminé, l'homme s'abaissa pour le voir droit dans les yeux, leva sa bougie et souffla la flamme, qui s'éteignit. Ce fut la dernière fois qu'on vit l'enfant.
Prenez garde, le soir d'Halloween, à ne pas vous perdre dans les rues. Sinon, le souffleur de bougies vous en fera payer le prix fort.
Mais ce qui devait être l'affaire de quelques maisons se transforma en plus d'une vingtaine, les minutes devenant des heures, les mètres devenant des kilomètres... Au bout du compte, après une autre porte se refermant et quelques bonbons récoltés, le garçon eut un sursaut. Il était allé trop loin. Il regarda à droite à gauche, il ne savait pas où il était. Cette rue ne lui disait absolument rien. Plus personne n'était dehors. Plus aucun bruit. L'enfant était d'un seul coup tétanisé. Mais il prit son courage à deux mains et longea doucement les bâtiments et maisons, essayant de retrouver son chemin en se basant sur les souvenirs qu'il avait. Mais seulement, il arriva un moment où il ne se souvenait plus par où il était passé. Le gamin s'était bel et bien perdu. Des larmes coulaient sur ses joues, et tombaient. On pouvait même les entendre tant la nuit était calme ce soir-là. Il criait, mais personne ne l'entendait.
Après quelques minutes, l'enfant sécha ses larmes. Il y avait une personne devant lui, à une vingtaine de mètres. Il ressemblait vaguement à un homme, très blanc. Il était chauve, et ses yeux n'avaient aucune couleur, enfin, ils étaient noirs. L'homme était vêtu d'une longue robe, blanche elle aussi, avec de longues manches, cachant ses bras et ses mains. Il leva le bras en direction de l'enfant. Il tenait une bougie allumée qui brillait dans la nuit noire. Il s'avança lentement vers l'enfant, ce dernier reculant petit à petit. Toujours la bougie au bout de sa main, l'homme mystérieux, fixant le gamin apeuré dans les yeux, s'avançait de plus en plus vite. Le garçon, une décharge d'adrénaline montant dans son corps, s'enfuit tout à coup, courant de toutes ses forces loin de l'étrange personnage, qui continuait à marcher lentement. Chaque fois qu'il tournait la tête pour regarder si l'homme le suivait, il était bien derrière, et semblait pourtant toujours marcher lentement.
La course-poursuite dura bien quelques minutes, au bout desquelles l'enfant s'arrêta net. Un cul-de-sac lui barrait la route. En se retournant, il le vit. L'homme était devant lui, tendant toujours sa bougie, et s'avançait doucement. En reculant, le garçon percuta le mur. C'en était terminé, l'homme s'abaissa pour le voir droit dans les yeux, leva sa bougie et souffla la flamme, qui s'éteignit. Ce fut la dernière fois qu'on vit l'enfant.
Prenez garde, le soir d'Halloween, à ne pas vous perdre dans les rues. Sinon, le souffleur de bougies vous en fera payer le prix fort.
le titre m'a immédiatement fait penser à l'histoire de la mort pour marraine.
RépondreSupprimerAh je connais super histoire !
SupprimerCandlejack a encore frap
RépondreSupprimercool
RépondreSupprimerSérieusement personne prononce son véritable nom candlejack est une bonne cree
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