L'histoire qui suit est assez courante, elle peut arriver à n'importe qui, peut-être même vous qui lisez ces lignes l'avez vécue.
Un jeune collégien comme les autres, un peu « je-m’en-foutiste » sur les bords, il ne s'intéressait qu'à l'informatique, il n'était pas vraiment intégré aux autres, un peu le souffre-douleur de certains, il ne voulait pas se défendre. Pour lui, c'était inutile, enfin il le pensait, tout humain craque quand on le pousse à bout, c'est ainsi fait, et notre protagoniste n'y fait pas exception.
C'était la fin du week-end, le Lundi, la journée qu'il détestait le plus : il haïssait l'Histoire-Géographie, et manque de chance, c'était la matière qui entamait sa semaine.
Notre jeune ami s'appelle Thomas, âgé de 14 ans, il était en 3e et ne rêvait que d'une chose : Quitter son collège qu'il trouvait horrible. Enfin, ce qu'il trouvait horrible, ce n'était pas le collège, mais ses élèves, surtout certains d'entre-eux, il était le mouton noir, alors il se prenait des remarques, insultes, et autres « petits rien » que tout le monde a subit au moins une fois, à longueur de journée. Au début il s'en fichait, il n'écoutait pas, ne leur montrait aucun intérêt. Mais au bout de plusieurs années, il faiblissait, petit à petit, au début c'était un soupir, puis un froncement de sourcil, puis la mâchoire qui se serrait...
Malgré tout, il gardait le contrôle, il pensait qu'une fois la 3e achevée, il quitterait enfin son collège et serait en paix pour un long moment, mais il pensait pouvoir tenir..
À 17h, les cours étaient finis, il rangeait ses affaires, se leva, mais quelqu'un le heurta avant qu'il n'ait le temps de franchir la porte. C'était Rémi, l'emmerdeur de service; il l'avait bousculé exprès avant de lui lancer un « Oups, désolé la gueule de con, je t'avais pas vu. » d'un air plus qu'ironique et uniquement provocateur. Thomas ne lui prêta guère attention, se releva et repartit sans y penser plus que ça, c'était devenu son quotidien, il y passait tous les jours..
Sur le chemin du retour, Rémi était encore là, cette fois-ci il lui percuta l'épaule de derrière en le dépassant. Thomas voulait tenter de riposter : « T'as vraiment que ça à foutre, guignol ? »
Rémi commença à rire d'un air moqueur : « Non mais vous avez vu ça ? « Guignol »... Tu vis dans les années 70, mec ? ». Thomas ne répondit qu'avec un soupir émoussé, avant de reprendre la route.
Quand il était rentré, il frappa le mur avec violence, la colère l'avait envahi : «Hm...... Si je revois ce connard, je lui fais bouffer la terre.....». Après quelques minutes de calme, il partit dîner, le peu de temps qu'il lui restait lui servait à faire ses devoirs, avant de se coucher et de recommencer la même journée, encore et encore..
Le lendemain, il était de mauvaise humeur: toutes ces années de moqueries et de mépris l'avaient achevé, il ne pouvait plus en supporter davantage. Il était en cours de maths, assis, essayant d'écouter. Rémi, positionné derrière lui ne pouvait s'empêcher de le faire chier, en lui claquant le crâne, en tapant sa chaise, en lui chuchotant : « Hey ! Gueule de con ! Regarde derrière... »
Thomas se retourna, et se pris une règle en plein dans l’œil. Il était à bout, il saisit son compas qui était posé sur la table, attrapa le cou de Rémi et se jeta sur lui. Il lui planta le compas en plein dans l’œil, puis dans le deuxième. Il saisit la chaise qui était à côté et lui fracassa le crâne. Il se releva en titubant. Thomas le prit par le bras et le balança par la fenêtre.
Il s'approcha, en regardant dehors, Rémi gisait 2 étages plus bas, il était en morceaux, son ventre complètement ouvert, les membres étaient détachés et ensanglantés. Il souriait en voyant la scène. Il était heureux, il n'en pouvait plus... Enfin... Il semblait... Heureux, alors qu'il rouvrait les yeux.
« Hey... gueule de con ! Répond ! ».
Un jeune collégien comme les autres, un peu « je-m’en-foutiste » sur les bords, il ne s'intéressait qu'à l'informatique, il n'était pas vraiment intégré aux autres, un peu le souffre-douleur de certains, il ne voulait pas se défendre. Pour lui, c'était inutile, enfin il le pensait, tout humain craque quand on le pousse à bout, c'est ainsi fait, et notre protagoniste n'y fait pas exception.
C'était la fin du week-end, le Lundi, la journée qu'il détestait le plus : il haïssait l'Histoire-Géographie, et manque de chance, c'était la matière qui entamait sa semaine.
Notre jeune ami s'appelle Thomas, âgé de 14 ans, il était en 3e et ne rêvait que d'une chose : Quitter son collège qu'il trouvait horrible. Enfin, ce qu'il trouvait horrible, ce n'était pas le collège, mais ses élèves, surtout certains d'entre-eux, il était le mouton noir, alors il se prenait des remarques, insultes, et autres « petits rien » que tout le monde a subit au moins une fois, à longueur de journée. Au début il s'en fichait, il n'écoutait pas, ne leur montrait aucun intérêt. Mais au bout de plusieurs années, il faiblissait, petit à petit, au début c'était un soupir, puis un froncement de sourcil, puis la mâchoire qui se serrait...
Malgré tout, il gardait le contrôle, il pensait qu'une fois la 3e achevée, il quitterait enfin son collège et serait en paix pour un long moment, mais il pensait pouvoir tenir..
À 17h, les cours étaient finis, il rangeait ses affaires, se leva, mais quelqu'un le heurta avant qu'il n'ait le temps de franchir la porte. C'était Rémi, l'emmerdeur de service; il l'avait bousculé exprès avant de lui lancer un « Oups, désolé la gueule de con, je t'avais pas vu. » d'un air plus qu'ironique et uniquement provocateur. Thomas ne lui prêta guère attention, se releva et repartit sans y penser plus que ça, c'était devenu son quotidien, il y passait tous les jours..
Sur le chemin du retour, Rémi était encore là, cette fois-ci il lui percuta l'épaule de derrière en le dépassant. Thomas voulait tenter de riposter : « T'as vraiment que ça à foutre, guignol ? »
Rémi commença à rire d'un air moqueur : « Non mais vous avez vu ça ? « Guignol »... Tu vis dans les années 70, mec ? ». Thomas ne répondit qu'avec un soupir émoussé, avant de reprendre la route.
Quand il était rentré, il frappa le mur avec violence, la colère l'avait envahi : «Hm...... Si je revois ce connard, je lui fais bouffer la terre.....». Après quelques minutes de calme, il partit dîner, le peu de temps qu'il lui restait lui servait à faire ses devoirs, avant de se coucher et de recommencer la même journée, encore et encore..
Le lendemain, il était de mauvaise humeur: toutes ces années de moqueries et de mépris l'avaient achevé, il ne pouvait plus en supporter davantage. Il était en cours de maths, assis, essayant d'écouter. Rémi, positionné derrière lui ne pouvait s'empêcher de le faire chier, en lui claquant le crâne, en tapant sa chaise, en lui chuchotant : « Hey ! Gueule de con ! Regarde derrière... »
Thomas se retourna, et se pris une règle en plein dans l’œil. Il était à bout, il saisit son compas qui était posé sur la table, attrapa le cou de Rémi et se jeta sur lui. Il lui planta le compas en plein dans l’œil, puis dans le deuxième. Il saisit la chaise qui était à côté et lui fracassa le crâne. Il se releva en titubant. Thomas le prit par le bras et le balança par la fenêtre.
Il s'approcha, en regardant dehors, Rémi gisait 2 étages plus bas, il était en morceaux, son ventre complètement ouvert, les membres étaient détachés et ensanglantés. Il souriait en voyant la scène. Il était heureux, il n'en pouvait plus... Enfin... Il semblait... Heureux, alors qu'il rouvrait les yeux.
« Hey... gueule de con ! Répond ! ».
Même commentaire que sur cette creppypasta..
RépondreSupprimerhttp://creepypastafromthecrypt.blogspot.be/2013/10/zoey.html#comment-form
Histoire sympathique, jolie.. Mais en quoi c'est creepy?
L'esprit même d'une creepypasta, c'est faire peur, frissonner, ne pas se sentir rassuré..
En lisant ce texte, en plus de savoir ce qui allait se passer avant même la fin, ben, j'ai juste rien ressenti..
Tu avais deviné dès le départ qu'il ne faisait que visualiser le meurtre au lieu de le commettre vraiment?
SupprimerLa démarche, ici, c'est justement de faire naître un sentiment d'insécurité - le titre, en cela, est transparent. J'admets que c'est un genre un peu particulier, mais il existe et il a ses maîtres. Puisqu'on en est à envoyer des liens, je t'en propose une autre qui repose plus ou moins sur le même principe:
http://creepypastafromthecrypt.blogspot.fr/2013/04/les-veritables-pensees-des-gens.html
je voudrais savoir l'adresse mail de ce forum pour envoyer mes propres creepypasta,j'ai essayé de m'inscrire mais l'addresse e-mail était déjà prise
RépondreSupprimerLe pire dans cette histoire (pour moi) c'est qu'il m'arrive la même chose...
RépondreSupprimerOn l'a tous déjà vécu, et tous -à moins que je ne sois une psychopathe- voulu buter tous ces sales cons.
SupprimerPlus qu'à l'appliquer..
Supprimer#Ad
Fait comme moi: une boucherie a la recréation 5jours d'exlusion tout ça a cause d'un con mais un sentiment de satisfaction!
Supprimerj'ai vecu moi meme au moins dix fois cette histoire et apres quand tu le regarde, tu y repense et tu souris
RépondreSupprimermoi je ne me sent pas menacer suite a cette pasta car: "on a peur du monstre sous notre lits jusqua se qu'on se rende compte qu'il est en nous"-le joker
RépondreSupprimerEuh,je m' appelle Thomas,j'ai 14 ans et j'etait en troisième l'an passé...je me souviens pas avoir balancé un connard par la fenetre .je suis exactement ce perso:j'étaie le mouton noir...ma vie se résume assez bien a cette histoire sauf pour la fin.��.
RépondreSupprimerJe trouve cette pasta magnifique !
RépondreSupprimerhaaaaaa j'ai l'habitude mais avecc ma royale force de kokiri je suis incapable de faire un truc pareil... en plus, je suis une fille
RépondreSupprimerseulement, je peux ruser! un jour, un mec qui arrête pas de me faire chier, en cours d'espagnol, il arrêtait pas de mettre ça main sur ma trousse pour m'empêcher de prendre mes affaires, alors j'ai mis mon compas de sorte à ce que la pointe depasse de la trousse... résultat:
il à saigner et j'en ai pris plein la gueule... - -'
Le fait que tu sois une fille ne t'empêche en rien de te venger au contraire même...
SupprimerMais je suis pas si méchant moi!
RépondreSupprimermoi je suis quasiment harcelé depuis la maternel, j'ai même était victime d'happy slaping. dans mon école, il n'y avait pas une personne qui m'aimait, et tous les profs ne me croyaient pas. c'était l'enfer...jusqu'aux jours ou j'ai craquer. on m'a poussé a bout. au cerlf, on m'avais fait un cloche pied en en disant''est! pouyeuse!'' c'est sa qui m'a fais craquer, je lui est balancer mon plateaux dans la gueule, prix le couteau est lui a enfoncer dans la jambe. j'ai était renvoyer, est j'ai frôlé le tribunal. mes parents ne m'on pas détesté, il savait que j'était a bout, et il m'aidé...mais rien n'y a fais. les prof on même étaient jusqu'à me traité d'harceleuse. mais aujourd'huit, sa va mieux, les gens du collège sont sympa.
RépondreSupprimersa s'appelle "pulsion meurtrier"j'en ai souvent eu parce qu'on me donne des surnom bizarre,personne n'aime vraiment s'approcher de moi et je suis toujours seul (de la maternelle jusqu'à maintenant)qu'lle vie
RépondreSupprimersuper pasta franchement j'ai trop kiffé la fin ça m'a fait trop rire car j'ai moi même était dans cette situation, comme tant d'autre, je suis restée 6 ans dans un collège à me faire harceler par la plus part d'entre eux, crachats, insulte, etc... je ne foutais rien en cours, je me battais quelque fois j'étais seule, de temps en temps j'avais des amies mais c'était rare y'en a qui avait pitié de moi mais qui regardé sans rien faire, personne ne m'a défendue, j'ai comme lui failli pété un câble en dernier année de collège on m'a frappé pour un simple regard j'ai cru que j'allais tous les tuer mais je me suis retenue. bref c'était l'horreur mais je gardais espoir en me disant qu'au lycée ça allait s'arranger et en fait c'était juste super j'ai passée 2 années super encore maintenant je regrette le bon vieux temps ^^ tout ça pour dire qu'il ne faut pas désespéré et surtout il faut en parler quand ça nous arrive et changer d'établissement si ça devient grave. moi en tout cas ça m'a rendue très rancunière cette "expérience"
RépondreSupprimerBon sang vous m'avez fait pleuré (sérieusement) c'est exactement moi!
RépondreSupprimerUn jour j'ai batty une file avec une raquette de badminton à cause de ça!
PS: J'avais 14 and de jour là et aujourd'hui (16 ans) j'ai toujours ces pulsions....
HELP!
Je tue souvent les gens dans ma tête. Mais la fin est tout de même frustrante :(
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