Le Massachusetts peut être le théâtre de certains des automnes les plus magnifiques. Cette année ne faisait pas exception. Parti vers l’est depuis Spencer, le bus dépassait des hectares et des hectares de forêt vierge. Toutes colorées de rouge flamboyant, de jaune, d’orange, d’or et de violet. Je me rendais à Elmridge pour voir un vieil ami… Quelqu’un que je n’avais pas vu depuis au moins trois ans.
Le bus s’était arrêté à Elmridge depuis une bonne heure et demie, me laissant à l’arrivée avec une faim accablante, ainsi que quelque chose d’autre que je n’ai pas été capable de reconnaître sur le moment. Sans voiture et sans panneau d’indication, je me suis dit que le meilleur moyen de trouver le chemin jusqu’à la maison de mon ami était de demander aux passants. J’ai découvert avec déplaisir que les habitants d’Elmridge n’étaient pas très accueillants envers les « étrangers ». La seule autre chose à faire, me suis-je dit, c’était improviser. Passer son temps à marcher à travers la ville et espérer trouver la bonne maison. Je connaissais au moins l’adresse : 28, Walnut Circle.
Eh bien, j’ai trouvé… à 8:30 le soir. Le dîner était bon… Aussi bon que pouvaient l’être des restes. Mon sommeil a été agité, car je n’arrivais pas à me débarrasser de la sensation d’être observé pendant la nuit. Lorsque j’ai enfin réussi à m’endormir, j’ai été harcelé par des cauchemars. À chaque fois que je me réveillais, j’étais submergé par un sentiment de terreur pure, et pour une quelconque raison étrange, je savais que c’était un présage des choses à venir.
– Allons-y… Prends ton fusil, a ordonné mon ami.
– Où allons-nous ? ai-je demandé, nerveux, non pas parce que je n’avais jamais chassé auparavant, mais à cause du peu d’informations que j’avais. Mon ami était très bon pour ne donner aucune information.
– La forêt de Birchfield, a-t-il dit d’un ton impatient.
– Je sais ça, crétin. Je voulais juste dire… par exemple… est-ce qu’on va à un endroit particulier où on va s’installer, ou est-ce qu’on va simplement se balader en tirant sur ce qui passe devant nous ?
– Ce n’est pas comme ça qu’on chasse habituellement.
– Avec toi, on ne peut jamais être sûr.
– Bon, bon, voilà le plan, on va simplement se balader… Et on s’arrêtera de temps en temps pour voir si quelque chose vient vers nous, a-t-il dit.
– Ça semble pas mal, ai-je répondu en haussant les épaules.
– Juste une chose, a-t-il ajouté après une longue pause. Si on se retrouve séparés… Cours, ne t’arrête surtout pas. Tu devrais finir par arriver à une cabane, et si c’est le cas, entre-y le plus vite possible.
– Quoi ?
– Ne pose pas de question… Allons-y, a-t-il conclu d’une voix soudainement plus forte.
Croyez-le ou non, à peine deux heures plus tard, un brouillard épais est tombé et nous avons été séparés peu de temps après. J’ai complètement ignoré ce que mon ami avait dit, j’ai continué à marcher, en criant son nom dans l’espoir de recevoir une réponse. Je désespérais de plus en plus et l’obscurité était en train de s’installer. Perdant espoir, j’ai commencé à tenir compte du conseil de mon ami et à courir le plus vite possible. La chose dont je me rappelle ensuite est que j’étais étendu sur le sol, ne sachant pas comment j’avais atterri ici. À ce moment, un grognement bas s’est fait entendre dans les buissons qui se trouvaient juste à côté de moi. Comme je sursautais et que je me relevais précipitamment, des bruissements ont commencé à se faire entendre depuis les buissons. Le grognement est devenu plus fort lorsque j’ai dégainé mon arme… Un Smith & Wesson à calibre .38 Special. Mais je savais que ça ne changerait rien. Comme la peur m’envahissait, je me suis mis à courir dans la direction opposée tandis que les grognements devenaient plus intenses. Un cri strident et, semble-t-il, plus fort que ce que je n’avais jamais entendu a retenti au-dessus de moi et, alors que je levais les yeux, la seule chose que j’ai pu voir était une masse gris-noire qui volait pratiquement d’arbre en arbre. J’ai alors aperçu la cabane environ 150 mètres plus loin et j’ai donné tout ce que j’avais dans un effort désespéré de l’atteindre. L’adrénaline parcourait mes veines, je ne me rappelle de rien après cela… Juste de m'être réveillé dans la cabane.
Mon ami m’observait d'un air inquiet.
– Je pensais que tu étais mort, a-t-il dit sur un ton sombre.
– Qu’est-ce qui se passe, bordel ?
– Comme si je le savais. Je me souviens juste qu’après que tu sois arrivé en t’écrasant sur le sol, j’ai regardé par la fenêtre et… ÇA… ça faisait simplement les cent pas… ça attendait… Je vais aller voir si c’est toujours là, a-t-il dit en se levant.
– Fais ce que tu veux, ai-je répondu d’un air maussade.
Il a ouvert la fenêtre et les volets et moins d’une minute après cela, j’ai entendu un bruit de suffocation venant de lui. Inquiet, je suis allé vers lui et… j’ai hésité. Je savais que quelque chose n’allait pas et, d’une certaine manière, je savais aussi que ce que j’allais voir était la chose la plus affreuse que je verrais dans ma vie entière. Mes mains tremblaient. J’ai tiré mon ami en arrière et j’ai vu avec horreur qu’il n’avait plus de visage. Il semblait avoir été simplement arraché. Des morceaux de chair sont tombés et se sont mis à pendre. Les veines et les artères continuaient de saigner, le sang a produit un affreux « ploc » lorsqu’il a touché le sol en bois de la cabane. J’étais terrifié, mais j’avais encore davantage peur de regarder à travers la fenêtre, car je savais que ça allait être là.
Je n’ai pas pu tenir et j’ai fini par regarder, et je n’ai même pas été surpris de voir que ça m’observait. La bouche béante et une masse de viande dans ses mains, elle semblait se délecter de ce qu’elle venait de faire. Je n’arrivais pas à me défaire de son regard. Puis, instinctivement, j’ai claqué les volets, refermé la fenêtre et me suis blotti dans le coin le plus éloigné. Tout a alors commencé à trembler… Le volet s’ouvrait et se fermait, et se rouvrait et se refermait, presque en rythme, et frappait violemment contre la fenêtre de la cabane. Au dehors, je pouvais voir la… chose… qui se tenait simplement devant, avec sa bouche, sa fichue bouche qui ressemblait plutôt à une fosse noire, grande ouverte, à une taille impossible. La porte vibrait et j’avais peur qu’elle sorte de ses gonds. Et tout s’est arrêté. Sans réfléchir, j’ai déboulé hors de la cabane et ai couru sans m’arrêter. Je pouvais entendre le grognement provenant de chaque buisson et de chaque arbre. Je ne pouvais rien faire d’autre que prier. L’épreuve me faisait devenir tout d’un coup de plus en plus religieux. La seule chose dont je me souviens ensuite est de m’être retrouvé étendu sur le trottoir… de nouveau sans pouvoir dire comment j’étais arrivé là. C’est à ce moment que j’ai décampé d’Elmridge, et je n’ai jamais lancé un regard en arrière.
Apparemment, on n’est pas en sûreté même quand on arrive à ne pas se retrouver séparé.
Le bus s’était arrêté à Elmridge depuis une bonne heure et demie, me laissant à l’arrivée avec une faim accablante, ainsi que quelque chose d’autre que je n’ai pas été capable de reconnaître sur le moment. Sans voiture et sans panneau d’indication, je me suis dit que le meilleur moyen de trouver le chemin jusqu’à la maison de mon ami était de demander aux passants. J’ai découvert avec déplaisir que les habitants d’Elmridge n’étaient pas très accueillants envers les « étrangers ». La seule autre chose à faire, me suis-je dit, c’était improviser. Passer son temps à marcher à travers la ville et espérer trouver la bonne maison. Je connaissais au moins l’adresse : 28, Walnut Circle.
Eh bien, j’ai trouvé… à 8:30 le soir. Le dîner était bon… Aussi bon que pouvaient l’être des restes. Mon sommeil a été agité, car je n’arrivais pas à me débarrasser de la sensation d’être observé pendant la nuit. Lorsque j’ai enfin réussi à m’endormir, j’ai été harcelé par des cauchemars. À chaque fois que je me réveillais, j’étais submergé par un sentiment de terreur pure, et pour une quelconque raison étrange, je savais que c’était un présage des choses à venir.
– Allons-y… Prends ton fusil, a ordonné mon ami.
– Où allons-nous ? ai-je demandé, nerveux, non pas parce que je n’avais jamais chassé auparavant, mais à cause du peu d’informations que j’avais. Mon ami était très bon pour ne donner aucune information.
– La forêt de Birchfield, a-t-il dit d’un ton impatient.
– Je sais ça, crétin. Je voulais juste dire… par exemple… est-ce qu’on va à un endroit particulier où on va s’installer, ou est-ce qu’on va simplement se balader en tirant sur ce qui passe devant nous ?
– Ce n’est pas comme ça qu’on chasse habituellement.
– Avec toi, on ne peut jamais être sûr.
– Bon, bon, voilà le plan, on va simplement se balader… Et on s’arrêtera de temps en temps pour voir si quelque chose vient vers nous, a-t-il dit.
– Ça semble pas mal, ai-je répondu en haussant les épaules.
– Juste une chose, a-t-il ajouté après une longue pause. Si on se retrouve séparés… Cours, ne t’arrête surtout pas. Tu devrais finir par arriver à une cabane, et si c’est le cas, entre-y le plus vite possible.
– Quoi ?
– Ne pose pas de question… Allons-y, a-t-il conclu d’une voix soudainement plus forte.
Croyez-le ou non, à peine deux heures plus tard, un brouillard épais est tombé et nous avons été séparés peu de temps après. J’ai complètement ignoré ce que mon ami avait dit, j’ai continué à marcher, en criant son nom dans l’espoir de recevoir une réponse. Je désespérais de plus en plus et l’obscurité était en train de s’installer. Perdant espoir, j’ai commencé à tenir compte du conseil de mon ami et à courir le plus vite possible. La chose dont je me rappelle ensuite est que j’étais étendu sur le sol, ne sachant pas comment j’avais atterri ici. À ce moment, un grognement bas s’est fait entendre dans les buissons qui se trouvaient juste à côté de moi. Comme je sursautais et que je me relevais précipitamment, des bruissements ont commencé à se faire entendre depuis les buissons. Le grognement est devenu plus fort lorsque j’ai dégainé mon arme… Un Smith & Wesson à calibre .38 Special. Mais je savais que ça ne changerait rien. Comme la peur m’envahissait, je me suis mis à courir dans la direction opposée tandis que les grognements devenaient plus intenses. Un cri strident et, semble-t-il, plus fort que ce que je n’avais jamais entendu a retenti au-dessus de moi et, alors que je levais les yeux, la seule chose que j’ai pu voir était une masse gris-noire qui volait pratiquement d’arbre en arbre. J’ai alors aperçu la cabane environ 150 mètres plus loin et j’ai donné tout ce que j’avais dans un effort désespéré de l’atteindre. L’adrénaline parcourait mes veines, je ne me rappelle de rien après cela… Juste de m'être réveillé dans la cabane.
Mon ami m’observait d'un air inquiet.
– Je pensais que tu étais mort, a-t-il dit sur un ton sombre.
– Qu’est-ce qui se passe, bordel ?
– Comme si je le savais. Je me souviens juste qu’après que tu sois arrivé en t’écrasant sur le sol, j’ai regardé par la fenêtre et… ÇA… ça faisait simplement les cent pas… ça attendait… Je vais aller voir si c’est toujours là, a-t-il dit en se levant.
– Fais ce que tu veux, ai-je répondu d’un air maussade.
Il a ouvert la fenêtre et les volets et moins d’une minute après cela, j’ai entendu un bruit de suffocation venant de lui. Inquiet, je suis allé vers lui et… j’ai hésité. Je savais que quelque chose n’allait pas et, d’une certaine manière, je savais aussi que ce que j’allais voir était la chose la plus affreuse que je verrais dans ma vie entière. Mes mains tremblaient. J’ai tiré mon ami en arrière et j’ai vu avec horreur qu’il n’avait plus de visage. Il semblait avoir été simplement arraché. Des morceaux de chair sont tombés et se sont mis à pendre. Les veines et les artères continuaient de saigner, le sang a produit un affreux « ploc » lorsqu’il a touché le sol en bois de la cabane. J’étais terrifié, mais j’avais encore davantage peur de regarder à travers la fenêtre, car je savais que ça allait être là.
Je n’ai pas pu tenir et j’ai fini par regarder, et je n’ai même pas été surpris de voir que ça m’observait. La bouche béante et une masse de viande dans ses mains, elle semblait se délecter de ce qu’elle venait de faire. Je n’arrivais pas à me défaire de son regard. Puis, instinctivement, j’ai claqué les volets, refermé la fenêtre et me suis blotti dans le coin le plus éloigné. Tout a alors commencé à trembler… Le volet s’ouvrait et se fermait, et se rouvrait et se refermait, presque en rythme, et frappait violemment contre la fenêtre de la cabane. Au dehors, je pouvais voir la… chose… qui se tenait simplement devant, avec sa bouche, sa fichue bouche qui ressemblait plutôt à une fosse noire, grande ouverte, à une taille impossible. La porte vibrait et j’avais peur qu’elle sorte de ses gonds. Et tout s’est arrêté. Sans réfléchir, j’ai déboulé hors de la cabane et ai couru sans m’arrêter. Je pouvais entendre le grognement provenant de chaque buisson et de chaque arbre. Je ne pouvais rien faire d’autre que prier. L’épreuve me faisait devenir tout d’un coup de plus en plus religieux. La seule chose dont je me souviens ensuite est de m’être retrouvé étendu sur le trottoir… de nouveau sans pouvoir dire comment j’étais arrivé là. C’est à ce moment que j’ai décampé d’Elmridge, et je n’ai jamais lancé un regard en arrière.
Apparemment, on n’est pas en sûreté même quand on arrive à ne pas se retrouver séparé.
Traduction: Magnosa
Creepypasta originale ici
Un petit récit sans prétention, mais que je trouve tout de même sympathique.
J'adore ce genre de creepy (: simple mais un peu angoissante...merci je commençais à être en manque ^-^
RépondreSupprimerJ'adore ! ^^
RépondreSupprimerJ'ai ressenti les émotions à travers chaque personnage. Et la créature, je me la suis bien imaginée. J'ai écrit un livre qui sera publié quand j'aurai terminé certaine modification et étant donné que je suis une future écrivaine, j'ai trouvé cette histoire très bien écrite.
*Curiosity mod : On*
SupprimerUn livre? Super ! Mais dis moi, de quel genre est-ce? J'en écris un moi aussi, et je peux pas m'empêcher de me réjouir en voyant que d'autres personnes sont autant motivées que moi pour la littérature ! ^^
*Curiosity mod : Off*
Par contre, je dois avouer que je ne suis pas du tout d'accord en ce qui concerne cette creepy pasta. Je suis en général assez bon publique, mais je dois avouer que l'enchaînement de l'histoire me semble un peu trop... rapide on va dire. Les personnages ne m'ont pas l'air extrêmement développés (je sais que c'est pas forcément la force de ce genre de littérature, mais c'est quand même appréciable parfois de plus ou moins bien connaître certaines facettes des personnages), ce qui fait que je ne les trouve pas vraiment attachant. L'histoire en elle même me paraît relativement moyenne (excusez-moi, mais un monstre qui attaque des gens dans une forêt isolée, en plein brouillard qui plus est, c'est du vu et revu). La qualité de la rédaction laisse quant à elle à désirer (plus à certains endroits que d'autres,certes, mais y'a encore de gros progrès à faire). Le texte devient même parfois désagréable à lire.
M'enfin, personne n'est parfait vous me direz, mais cette pasta ne me plaît tout simplement pas.
Le livre est un genre fantastique ^^ Je suis plus douée en fantastique que dans n'importe quel autre genre >.<
SupprimerAh oui ? Tu en écris un toi aussi ? Cool :)
Ah? Du fantastique? L'un de mes genres préférés (sans déconner, c'est vrai o_o ) !
SupprimerEspérons donc que tu va rencontrer du succès alors ! x)
Mais dis moi (quitte à faire un HS, autant bien le garnir), tu compte l'appeler comment ton ouvrage? x)
Sinon oui, j'écris un roman d'heroic fantasy ( et je compte bien arriver à le transformer en best seller... d'une manière ou d'une autre è_é). Je compte l'appeler "L'héritage du Néant" pour le moment, mais rien n'est définitif. ._.
Bref, je te souhaite bien de la chance pour tes projets.
À bientôt (qui sait) !
Sympa ton titre ! :)
SupprimerMoi perso j'ecris plutot un roman policier,horror,mystere rien de bien concluant pour le moment XD. Bonne chanche pour vos projets a tout et bonne nuit !
un autre genre d'histoire *
SupprimerWow, wow, wow ! Attention avec les infos personnelles partagées publiquement car tu risquerais de te faire spammer ou autres, à l'avenir, penses-y afin d'éviter des soucis.
SupprimerRob Nukem : Merci du conseil ^^ C'est vrai que j'y ai pas réfléchi sur le coup ^^'
SupprimerMouais en effet un texte sans prétention. Histoire pas du tout originale, aucun rebondissement, tout est convenu. J'ai aussi un gros soucis avec la narration que je ne trouve pas fluide, il y a trop d'ellipses (l'ellipse en elle-même peut avoir son charme mais là je n'ai pas la sensation que ce soit une volonté de la part de l'auteur), on a presque la sensation qu'il manque des bouts (or j'imagine que le traducteur a bien fait son job et n'a pas oublié quelques lignes^^).
RépondreSupprimerDe même en ce qui concerne les personnages, c'est plat, sans profondeur. Certes on pourra me rétorquer que la creepypasta est un genre bref et que souvent les personnages et leurs personnalités/caractères sont à peine esquissés. J'en conviens mais ici on sent un peu le texte écrit par dessus la jambe quand même. Qu'il faille imaginer la créature de a à z n'est pas un soucis mais les protagonistes manquent tellement de relief qu'on perd tout effet d'empathie, aucun choc suscité par ce qui leur arrive. On n'y croit juste pas une seconde (et à mon sens c'est ce qui fait qu'une creepypasta est réussie, quand elle réussit à nous faire nous dire juste le temps d'une seconde "et si c'était vrai? Une seule seconde avec cette question à l'esprit et c'est gagné selon moi).
Tous ces défauts dans la construction ajoutés à une intrigue vue et revue, ça donne un récit assez médiocre à mon gout.
J'espère qu'on ne me prendra pas pour un troll, je pense avoir donné mon avis de façon argumentée, un troll se serait contenté d'un "NUL!!!" :D
Personnellement, j'aime l'histoire et l'ambiance de cette creepypasta mais c'est assez difficile de se l'imaginer étant donné le manque cruel de descriptions. On se sait pas à quoi ressemble le bus, la maison du pote, la ville, la forêt, la cabane. De plus, le titre est "Dark Wood" et l'auteur n'a quasiment pas jouer sur les ténèbres de la forêt.
RépondreSupprimerUne brève description du monstre aurait été un plus. (Taille, forme humaine/animale, dentition, griffes,...)
De plus, la sortie de la forêt est trop rapide, l'homme n'est même pas blessé et il sort sans grand problème.
Bref! Cette creepypasta est à améliorer!
Pas terrible, j'avoue que je ne me suis pas ennuyée mais je n'ai pas réussi à m'imaginé le monstre ni la fôret.
RépondreSupprimerC'est dommage que ce ne soit pas plus détaillé que ça car je trouvais l'idée assez bonne.
Bref merci pour la traduction et bonne continuation !
Ça aurait été mieux d'avoir une description du monstre .
RépondreSupprimer