Shadowofheart.blogspot.com
13 Juin 2013
13 Juin 2013
Aujourd’hui, j’ai décidé d’être franche. Dans tout ce que je fais, dans
tout ce que je dis… Car j’ai peur. J’ai peur que ce soit ma dernière
occasion. Je ne me cacherai plus, je ne me masquerai plus derrière une
façade entièrement construite. J’avais appelé ce blog Shadow Of Heart
pour ça mais aujourd’hui, je chasse les ombres.
J’ai trop peur. Peur d’être seule. J’ai peur des ombres. Quand elles m’entourent la nuit. Quand le sommeil me submerge. Quand le silence semble crier et que je sens une multitude de mains traverser l’obscurité pour s’approcher de moi avec mesquinerie.
Il est 4h49, il faut que j’écrive. Que j’appelle à l’aide, avant qu’il ne soit trop tard.
Dimanche dernier, j’étais une bibliothèque mobile. C'est un camion allant de ville en ville et transporte une bibliothèque libre service où les gens peuvent venir prendre ou déposer un livre. Et comme je n’aime pas trop ça, je suis allée près d’une étagère pour trouver de quoi bouquiner jusqu'à ce que mes parents m’appellent pour partir. J’ai commencé à chercher sur l’étagère puis j’ai vu un titre familier : « Alice In Wonderland ». Je connaissais l’histoire, j’avais vu les diverses interprétations cinématographiques, je me suis dit que je lirai ça. Donc j’ai pris le livre et je suis allée m’asseoir par terre, entre deux étagères.
Il n’y avait pas d’auteur précisé sur la couverture, ni de maison d’édition. Comme le livre était vieux, ça ne m’a pas dérangée, je me suis dit que c’était comme ça qu’on faisait avant. J’ai jeté un coup d’œil à la quatrième de couverture pour lire le synopsis, il ne disait que
« Découvrez ce qui est arrivé à Alice, dans le pays imaginaire. »
C’était un peu primaire comme description, je me suis dit. Puis je me suis plongée dans la lecture.
Le début était assez succinct, et décrivait la chute d’Alice dans cet univers sorti de nulle part. Je suivais l’héroïne dans sa découverte, mais il y avait des éléments qui me dérangeaient car ça ne ressemblait pas à l’histoire originale. Le pays imaginaire n’était qu’un chemin au milieu d'un champ désert et envahi par la flore. Je refermai le livre pour étudier la couverture et voir si c’était précisé quelque part que c’était une version alternative. Mais rien.
Je repris. Des passages descriptifs mentionnèrent un château au loin, mais Alice avait beau marcher pendant des heures, le château ne se rapprochait pas. Alors qu’elle continuait, une forêt apparut.
De temps en temps j’arrêtais de lire car le style d’écriture était très lourd et les lettres petites. Des phrases compactées et une syntaxe directe qui laissaient peu de temps pour respirer. Par exemple : « Alice marcha. La forêt l’enferma. Le chemin n’arrêtait jamais. Les branches faisaient un bruit comme KRR. KRR. KRR. Que le bruit. Alice était seule seule seule. ». Parfois j’avais besoin d’arrêter et je me penchais de droite à gauche pour apercevoir ou entendre quelqu’un qui passait, et me dire que je n’étais pas toute seule dans la pièce. Puis je reprenais la lecture.
Il y eut un passage très bizarre. Le style d’écriture était tellement tordu que j’avais du mal à comprendre ce qu'il se passait. Avec des majuscules et des minuscules qui se mélangeaient. Quelque chose comme « Alice s’ARRÊta. Observée. Yeux. QUELQU’UN. Là, tout PrÊt Alice vOiT. sUrveillée, épiÉE. C’EST LUI. UNE TÊTE, UN cOrPS, il est là. »
Il y eut un vide dans cette masse de texte étouffante. Un dialogue. Alice avait trouvé le Chat de Cheshire et maintenant ils discutaient. Je me souviens du dialogue. Même très bien d’ailleurs :
- « Bonjour Alice. Dis bonjour. »
- « Bonjour. »
- « Tu es perdue ? »
- « Je crois. »
- « Qui je suis ? »
- « Je ne sais pas ? »
- « JE VAIS TE LE DIRE. Avant il y avait du monde ici. Et là, le Chapelier et le Lièvre de Mars ont réalisé qu’ils étaient fous. »
- « Je ne comprend pas. »
- « LE PLUS FOU C’EST MOI. MOI. ILS ONT CRU QU’ILS ÉTAIENT PLUS FOUS QUE MOI. ILS SONT MORTS. IL N’Y A PLUS PERSONNE. JE SUIS DIEU. MOI. »
La suite du texte fit tambouriner mon cœur. Je n’y comprenais rien. Alice meurt. Le Chat de Cheshire lui arrache la gorge. Je n’aurais jamais cru à une telle violence dans un roman d’Alice Au Pays des Merveilles. D’accord c’était une version alternative manifestement, mais elle me laissa sans voix et le souffle coupé. C’est là que mon père me rejoignit pour me dire que nous partions. Je voulus lire la suite en diagonale. Mais il n’y avait pas de suite. Je n’en revenais pas. Alice meurt et l’histoire s’arrête. Il n’y avait qu’une image à la fin. C’était une illustration du Chat de Cheshire. Je ne m’étais pas du tout imaginé le chat de Cheshire comme ça. Comme quiconque s’imagine le chat de Cheshire : un sourire, des grands yeux, une fourrure épaisse.
Là, c’était plein de dents qui avaient l’air humaines, mais extrêmement pointues. Un corps tordu, un cou enroulé sur lui-même. Les pattes qui finissaient en mains, avec des griffes sortant des doigts. Les parties génitales apparentes. Et des yeux rouge sang exorbités, énormes.
J’ai refermé le livre pour le laisser là, et j’ai couru rejoindre mon père.
Le soir même, j’ai passé la nuit dans mon lit, les yeux grands ouverts. Je n’arrivais pas à m’endormir, car je n’arrêtais pas de repenser à cette phrase. « Je suis dieu ». Et l’image abominable de ce faux chat de Cheshire revenait. Mais est-ce que c’est moi qui repensais à cette phrase, ou est-ce que c'est elle-même qui revenait… Prononcée… C’est vrai qu’à force, j’avais presque la voix du chat de Cheshire en tête, alors que ça n'avait été que de l’écrit.
Je m'endormis d'un sommeil difficilement acquis. Aux environs de 3h40, je me réveillais déjà.
J'avais fait un rêve dans ce court sommeil.
Les images me revenaient : lui, m'épiant, me toisant et me sautant à la gorge. Son énorme bouche, ses yeux exorbités. Tout ça était si vrai. J'en avais presque mal.
La journée, j’ai fait comme si tout allait bien.
La nuit suivante (c’était la nuit du 11, la nuit dernière), je n’ai toujours pas dormi. J’ai essayé. Je me suis installée dans mon lit, j’ai regardé le plafond, puis j’ai fermé les yeux. La voix a crié.
« ES-TU PLUS FOU QUE MOI ? »
J’ai rouvert les yeux en sursaut et je suis restée paralysée. Une vraie voix, si forte, comme si on l'avait hurlé à mon oreille. Ma gorge, elle me faisait mal. Je l’ai effleurée des doigts, elle me piquait comme si elle était brûlée. Impossible que je dorme une seconde de plus.
Le lendemain, mes parents ont vu que j’étais très fatiguée, et ils m’ont autorisée à rester à la maison pendant qu’eux allaient travailler. J’ai passé la journée dans mon lit, sans bouger. Ma gorge me faisait souffrir. Mes yeux ne se fermaient pas. Je sentais une fatigue si lourde sur moi. Tout mon corps me suppliait de dormir. Mais impossible. Je ne m'endormais pas. Je restais figée. Quelque chose au fond de moi savait qu'il ne fallait surtout pas que je dorme. Quelque chose sentait le danger si proche. Et cette chose me maintenait strictement éveillée. J’avais peur. Peur de bouger. Peur de lui. De sa voix. La revoilà. Nette. Elle provenait de quelque part dans ma chambre.
« JE SUIS DIEU. »
Maintenant, nous sommes le 13 juin 2013 et il est 5h24. Et j’ai toujours peur. J’ai peur de ne pas pouvoir lutter encore longtemps contre le sommeil. J'ai peur que cet éveil constant ne soit pas en train de me ronger à petit feu. Et à la fois, je sais. Je sais que si je dors, je ne me réveillerais pas. Qu'IL me trouvera, et me tuera. Je ne sais plus quoi faire. Je suis comme déchirée en deux. Je n'ai aucune idée de qu'est ce qui peut me sauver. Alors j’écris. Quelqu’un, à l’aide.
J’ai trop peur. Peur d’être seule. J’ai peur des ombres. Quand elles m’entourent la nuit. Quand le sommeil me submerge. Quand le silence semble crier et que je sens une multitude de mains traverser l’obscurité pour s’approcher de moi avec mesquinerie.
Il est 4h49, il faut que j’écrive. Que j’appelle à l’aide, avant qu’il ne soit trop tard.
Dimanche dernier, j’étais une bibliothèque mobile. C'est un camion allant de ville en ville et transporte une bibliothèque libre service où les gens peuvent venir prendre ou déposer un livre. Et comme je n’aime pas trop ça, je suis allée près d’une étagère pour trouver de quoi bouquiner jusqu'à ce que mes parents m’appellent pour partir. J’ai commencé à chercher sur l’étagère puis j’ai vu un titre familier : « Alice In Wonderland ». Je connaissais l’histoire, j’avais vu les diverses interprétations cinématographiques, je me suis dit que je lirai ça. Donc j’ai pris le livre et je suis allée m’asseoir par terre, entre deux étagères.
Il n’y avait pas d’auteur précisé sur la couverture, ni de maison d’édition. Comme le livre était vieux, ça ne m’a pas dérangée, je me suis dit que c’était comme ça qu’on faisait avant. J’ai jeté un coup d’œil à la quatrième de couverture pour lire le synopsis, il ne disait que
« Découvrez ce qui est arrivé à Alice, dans le pays imaginaire. »
C’était un peu primaire comme description, je me suis dit. Puis je me suis plongée dans la lecture.
Le début était assez succinct, et décrivait la chute d’Alice dans cet univers sorti de nulle part. Je suivais l’héroïne dans sa découverte, mais il y avait des éléments qui me dérangeaient car ça ne ressemblait pas à l’histoire originale. Le pays imaginaire n’était qu’un chemin au milieu d'un champ désert et envahi par la flore. Je refermai le livre pour étudier la couverture et voir si c’était précisé quelque part que c’était une version alternative. Mais rien.
Je repris. Des passages descriptifs mentionnèrent un château au loin, mais Alice avait beau marcher pendant des heures, le château ne se rapprochait pas. Alors qu’elle continuait, une forêt apparut.
De temps en temps j’arrêtais de lire car le style d’écriture était très lourd et les lettres petites. Des phrases compactées et une syntaxe directe qui laissaient peu de temps pour respirer. Par exemple : « Alice marcha. La forêt l’enferma. Le chemin n’arrêtait jamais. Les branches faisaient un bruit comme KRR. KRR. KRR. Que le bruit. Alice était seule seule seule. ». Parfois j’avais besoin d’arrêter et je me penchais de droite à gauche pour apercevoir ou entendre quelqu’un qui passait, et me dire que je n’étais pas toute seule dans la pièce. Puis je reprenais la lecture.
Il y eut un passage très bizarre. Le style d’écriture était tellement tordu que j’avais du mal à comprendre ce qu'il se passait. Avec des majuscules et des minuscules qui se mélangeaient. Quelque chose comme « Alice s’ARRÊta. Observée. Yeux. QUELQU’UN. Là, tout PrÊt Alice vOiT. sUrveillée, épiÉE. C’EST LUI. UNE TÊTE, UN cOrPS, il est là. »
Il y eut un vide dans cette masse de texte étouffante. Un dialogue. Alice avait trouvé le Chat de Cheshire et maintenant ils discutaient. Je me souviens du dialogue. Même très bien d’ailleurs :
- « Bonjour Alice. Dis bonjour. »
- « Bonjour. »
- « Tu es perdue ? »
- « Je crois. »
- « Qui je suis ? »
- « Je ne sais pas ? »
- « JE VAIS TE LE DIRE. Avant il y avait du monde ici. Et là, le Chapelier et le Lièvre de Mars ont réalisé qu’ils étaient fous. »
- « Je ne comprend pas. »
- « LE PLUS FOU C’EST MOI. MOI. ILS ONT CRU QU’ILS ÉTAIENT PLUS FOUS QUE MOI. ILS SONT MORTS. IL N’Y A PLUS PERSONNE. JE SUIS DIEU. MOI. »
La suite du texte fit tambouriner mon cœur. Je n’y comprenais rien. Alice meurt. Le Chat de Cheshire lui arrache la gorge. Je n’aurais jamais cru à une telle violence dans un roman d’Alice Au Pays des Merveilles. D’accord c’était une version alternative manifestement, mais elle me laissa sans voix et le souffle coupé. C’est là que mon père me rejoignit pour me dire que nous partions. Je voulus lire la suite en diagonale. Mais il n’y avait pas de suite. Je n’en revenais pas. Alice meurt et l’histoire s’arrête. Il n’y avait qu’une image à la fin. C’était une illustration du Chat de Cheshire. Je ne m’étais pas du tout imaginé le chat de Cheshire comme ça. Comme quiconque s’imagine le chat de Cheshire : un sourire, des grands yeux, une fourrure épaisse.
Là, c’était plein de dents qui avaient l’air humaines, mais extrêmement pointues. Un corps tordu, un cou enroulé sur lui-même. Les pattes qui finissaient en mains, avec des griffes sortant des doigts. Les parties génitales apparentes. Et des yeux rouge sang exorbités, énormes.
J’ai refermé le livre pour le laisser là, et j’ai couru rejoindre mon père.
Le soir même, j’ai passé la nuit dans mon lit, les yeux grands ouverts. Je n’arrivais pas à m’endormir, car je n’arrêtais pas de repenser à cette phrase. « Je suis dieu ». Et l’image abominable de ce faux chat de Cheshire revenait. Mais est-ce que c’est moi qui repensais à cette phrase, ou est-ce que c'est elle-même qui revenait… Prononcée… C’est vrai qu’à force, j’avais presque la voix du chat de Cheshire en tête, alors que ça n'avait été que de l’écrit.
Je m'endormis d'un sommeil difficilement acquis. Aux environs de 3h40, je me réveillais déjà.
J'avais fait un rêve dans ce court sommeil.
Les images me revenaient : lui, m'épiant, me toisant et me sautant à la gorge. Son énorme bouche, ses yeux exorbités. Tout ça était si vrai. J'en avais presque mal.
La journée, j’ai fait comme si tout allait bien.
La nuit suivante (c’était la nuit du 11, la nuit dernière), je n’ai toujours pas dormi. J’ai essayé. Je me suis installée dans mon lit, j’ai regardé le plafond, puis j’ai fermé les yeux. La voix a crié.
« ES-TU PLUS FOU QUE MOI ? »
J’ai rouvert les yeux en sursaut et je suis restée paralysée. Une vraie voix, si forte, comme si on l'avait hurlé à mon oreille. Ma gorge, elle me faisait mal. Je l’ai effleurée des doigts, elle me piquait comme si elle était brûlée. Impossible que je dorme une seconde de plus.
Le lendemain, mes parents ont vu que j’étais très fatiguée, et ils m’ont autorisée à rester à la maison pendant qu’eux allaient travailler. J’ai passé la journée dans mon lit, sans bouger. Ma gorge me faisait souffrir. Mes yeux ne se fermaient pas. Je sentais une fatigue si lourde sur moi. Tout mon corps me suppliait de dormir. Mais impossible. Je ne m'endormais pas. Je restais figée. Quelque chose au fond de moi savait qu'il ne fallait surtout pas que je dorme. Quelque chose sentait le danger si proche. Et cette chose me maintenait strictement éveillée. J’avais peur. Peur de bouger. Peur de lui. De sa voix. La revoilà. Nette. Elle provenait de quelque part dans ma chambre.
« JE SUIS DIEU. »
Maintenant, nous sommes le 13 juin 2013 et il est 5h24. Et j’ai toujours peur. J’ai peur de ne pas pouvoir lutter encore longtemps contre le sommeil. J'ai peur que cet éveil constant ne soit pas en train de me ronger à petit feu. Et à la fois, je sais. Je sais que si je dors, je ne me réveillerais pas. Qu'IL me trouvera, et me tuera. Je ne sais plus quoi faire. Je suis comme déchirée en deux. Je n'ai aucune idée de qu'est ce qui peut me sauver. Alors j’écris. Quelqu’un, à l’aide.
-Publié par Heart à 5:26
- Dernier message en date. Blog laissé à l'abandon. -
J'aime beaucoup, mais j'aurai aimé que l'histoire ne se termine pas comme ça. Sinon j'aime bien ^^
RépondreSupprimerAvant quand j'étais petite, j'étais effrayée par le chat dans Alice au Pays des Merveilles et, après avoir lu cette description de lui, je sens que ma peur va revenir >.<
Ne vois jamais celui de Alice Madness Return alors ;p Et encore moins jouer au jeux. Il est génial, mais extrêmement glock X)
SupprimerSinon super pasta encore une fois, merci de partager!
Aaaah oui, Alice Madness Returns est un jeu extrêmement glauque mais sympa :D Par contre le dernier niveau/monde est défini comme l'un des plus dérangeant de l'histoire du jeu vidéo.
SupprimerSinon excellente pasta, soi-disant j'aimerais bien que vous en postiez plus sur le thème d'Alice au Pays des Merveilles, merci.
Alice Madness Return ? Ah ! XD Un de mes oncles y a joué alors que j'étais chez lui... >.< Effrayée à vie '-'
Supprimerwhat Alice Madness Return? VITE POUVOIR ECRIR PASTA DESSUS
SupprimerSuper pasta, j'cracherais pas sur l'image du chat en question :)
RépondreSupprimer-general bol
Earl ta pub tu te la gardes, il a plus de 200 000 abos la pib devrait être dans l'autre sens alors on se passera de ta pub inutile
RépondreSupprimerSuper pasta, pleine de bonnes idées, bien que j'aurais apprécié un peu plus de détails, et honnetement je la pense pas mal inspirée par Alice Madness Returns, qui est sans conteste dans mon top five des jeux les plus horribles auxquels j'ai jamais joués... Celle qui a écrit cette pasta a du juste finir ce jeu et go berseck et écrire ça pour exorciser toute la terreur qu'elle a ressentie... En plus la description du chat me rappelle TELLEMENT celui du jeu.. -shivers-
RépondreSupprimerMon pauvre chou, j'ai comme l'impression que tu arrives trop tard pour jouer ton grand moralisateur ... :3
RépondreSupprimerUn TubeChop rien que pour toi:
RépondreSupprimerhttp://www.tubechop.com/watch/3601375
Cette pasta est génial ! J'ai une amie qui l'a lu et qui m'avais dit que elle avais adoré et elle avais raison parce que elle est vraiment bien écrite. Je pense que la fille a fini comme Alice dans le livre, tué par le chat Cheschire... La pauvre ! Je l'ai toujours trouvé étrange ce chat...
RépondreSupprimerSe chat de cheschire...je l'ai déjà vu quelque pars je sais plus ou....autre que Alice Madness Return
RépondreSupprimerSuper creepypasta . Elle me fait penser , pour l'univers d'Alice , à Threedrowned que je vous conseil .
RépondreSupprimerOn peut dire qu'elle avait un chat dans la gorge . Un peu violent, quand-même, ce "symptôme ?" de chat dans la gorge .
RépondreSupprimer