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Pourquoi ? Pourquoi ne
veux-tu pas de moi ? Je t'aime tu sais, je t'aime à en crever, alors
pourquoi ? C'est parce que tu me trouves moche, c'est ça, c'est parce
que tu me trouves moche ? Tu te crois belle avec ton maquillage à la
con et tes cheveux lissés ? On dirait un pot de peinture avec une
perruque ! Un joli pot de peinture avec une aussi jolie
perruque...Pourquoi putain, pourquoi ? Je ne signifie donc rien pour
toi ? Juste ce "non", avec cette expression mi dégoûtée mi railleuse,
c'est tout ? Comment oses- Non se cacher, se cacher !
Ouf, tu ne m'as pas vu. J'ai été idiot aussi, de la suivre. J'aurais dû passer de l'autre côté comme je fais d'habitude. Mais tu m'as jeté comme un malpropre ! Je ne mérite pas ça, je t'aime ! Pour qui tu te prends ? Tu te retournes. Ne t'inquiètes pas, je ne fais que te surveiller, que te protéger, parce que je t'aime. Alors personne ne te suivra. Parce que c'est ce que je suis, personne ! Tu n'as pas le droit de me traiter comme ça, pas le droit, pas après tout ce que j'ai fait pour toi, tout ce que ferais pour toi, tout ce que toi, tu m'as fait.
De là où je suis, je t'entend déverrouiller puis reverrouiller la porte de chez toi. Que crains-tu tant ? Dis-le moi. Aussi longtemps que je serai avec toi, rien ne t’arrivera. Je sors de ma cachette, continuant mon chemin jusqu'à prendre la rue perpendiculaire à la tienne. J'escalade rapidement le mur - tu serais étonnée de ce que je peux faire rien que pour toi - et traverse la série de jardins pour arriver au tien.
Je sais que tous les vendredis, tu vas directement à la salle de bains où tu laisses couler l'eau pour un bain, "histoire de me détendre avant le week-end" ; tu vois, je me souviens, je n'oublie rien. Je peux ouvrir la porte sans que tu l'entendes. Avant, je crochetais la serrure, mais j'ai pu t'emprunter la clé pour me fabriquer une copie pour venir en cachette. Je l'avais prévu, au cas où tes parents n'auraient pas été d'accord sur notre relation. Et tu m'as dit non. Je traverse la cuisine, attendant dans l'angle des escaliers que tu ailles dans ta chambre écouter de la musique le temps que les billes parfumées fassent effet. Ce sont celles à la framboise, il me semble.
Je me cale à l'intérieur du placard, tu n'y vas pas parce que tu as déjà sorti tout ce dont tu avais besoin. Tu es parfaite mon amour, parfaite. Tu l'es tellement plus, quand je prends aussi ma caméra, quelquefois. Mais pas aujourd'hui.
Te voilà enfin. Je me fais le plus silencieux possible alors que tu ôtes chaussures, chaussettes et pantalon. C'est la culotte verte que tu as mise ! Elle te va si bien, tout te va si bien ma chérie. Tu remues tes belles fesses rebondies pendant que tu enlèves tes hauts. Que je voudrais sortir et arracher moi-même ton soutien-gorge ! Tu comptes t'y allonger, profitant un peu de cette chaleur que je ne peux te fournir, et après tu attraperas ta savonnette, en disposant un peu sur ton gant de toilette, et tu frictionneras ton corps nu et humide avec. Je ne te cache pas que c'est la partie que je préfère.
Tu t'avances, tout de même assez surprise par la quantité de mousse qui s'est formée, mais tu hausses tes petites épaules. J'ai même vu ta poitrine se soulever un peu, et tu y rentres.
Tu hurles. Grâce à moi. Tu ne t'échapperas pas mon amour, retourne dans le bain de soude et d'eau oxygénée.
Ouf, tu ne m'as pas vu. J'ai été idiot aussi, de la suivre. J'aurais dû passer de l'autre côté comme je fais d'habitude. Mais tu m'as jeté comme un malpropre ! Je ne mérite pas ça, je t'aime ! Pour qui tu te prends ? Tu te retournes. Ne t'inquiètes pas, je ne fais que te surveiller, que te protéger, parce que je t'aime. Alors personne ne te suivra. Parce que c'est ce que je suis, personne ! Tu n'as pas le droit de me traiter comme ça, pas le droit, pas après tout ce que j'ai fait pour toi, tout ce que ferais pour toi, tout ce que toi, tu m'as fait.
De là où je suis, je t'entend déverrouiller puis reverrouiller la porte de chez toi. Que crains-tu tant ? Dis-le moi. Aussi longtemps que je serai avec toi, rien ne t’arrivera. Je sors de ma cachette, continuant mon chemin jusqu'à prendre la rue perpendiculaire à la tienne. J'escalade rapidement le mur - tu serais étonnée de ce que je peux faire rien que pour toi - et traverse la série de jardins pour arriver au tien.
Je sais que tous les vendredis, tu vas directement à la salle de bains où tu laisses couler l'eau pour un bain, "histoire de me détendre avant le week-end" ; tu vois, je me souviens, je n'oublie rien. Je peux ouvrir la porte sans que tu l'entendes. Avant, je crochetais la serrure, mais j'ai pu t'emprunter la clé pour me fabriquer une copie pour venir en cachette. Je l'avais prévu, au cas où tes parents n'auraient pas été d'accord sur notre relation. Et tu m'as dit non. Je traverse la cuisine, attendant dans l'angle des escaliers que tu ailles dans ta chambre écouter de la musique le temps que les billes parfumées fassent effet. Ce sont celles à la framboise, il me semble.
Je me cale à l'intérieur du placard, tu n'y vas pas parce que tu as déjà sorti tout ce dont tu avais besoin. Tu es parfaite mon amour, parfaite. Tu l'es tellement plus, quand je prends aussi ma caméra, quelquefois. Mais pas aujourd'hui.
Te voilà enfin. Je me fais le plus silencieux possible alors que tu ôtes chaussures, chaussettes et pantalon. C'est la culotte verte que tu as mise ! Elle te va si bien, tout te va si bien ma chérie. Tu remues tes belles fesses rebondies pendant que tu enlèves tes hauts. Que je voudrais sortir et arracher moi-même ton soutien-gorge ! Tu comptes t'y allonger, profitant un peu de cette chaleur que je ne peux te fournir, et après tu attraperas ta savonnette, en disposant un peu sur ton gant de toilette, et tu frictionneras ton corps nu et humide avec. Je ne te cache pas que c'est la partie que je préfère.
Tu t'avances, tout de même assez surprise par la quantité de mousse qui s'est formée, mais tu hausses tes petites épaules. J'ai même vu ta poitrine se soulever un peu, et tu y rentres.
Tu hurles. Grâce à moi. Tu ne t'échapperas pas mon amour, retourne dans le bain de soude et d'eau oxygénée.
J'avoue n'avoir pas trop compris la fin, à moins que l'eau oxygénée et la soude fasse fondre la peau mais j'ai vérifié et c'est censé blanchir les dents.
RépondreSupprimerPersonnellement, j'ai trouver l'histoire un peu longue et plate.
Cordialement.
Sincèrement, je n'ai pas vraiment compris non plus ^-^
SupprimerLe voyeur a attendu l'absence de l'être aimé pour lui préparer un bain corrosif...
SupprimerD'accord j'étais arriver à une conclusion semblable mais la fin aurait à y gagner si le voyeur y avait mit du chloroforme pour l'endormir et montrer son "amour"
Supprimersi l'eau oxygénée est concentrée, elle sert a blanchir le bois, alors imagine ce que cela peut faire a la peau.
SupprimerOuais, l'eau oxygénée, c'est pas très bon pour la peau. Mais vous passez tous à côté de la soude putain.. Genre.. De la soude quoi ! XD
SupprimerBen c'est Pedobear, il suit une jolie fille et la fait souffrir à la fin parce qu'il aime bien le SM :3 Non, je ne suis pas une folle psychopathe :D
RépondreSupprimerPas compris non plus...
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerIl a mis de la soude et de l'eau oxygéné dans le bain ce qui crée un corrosif donc quand elle entre dans le bain elle hurle car ça la brûle .
RépondreSupprimerElle est rentrée dans le bain en sautant à pieds joints dedans?
RépondreSupprimerTu m'as tué, tout simplement x)
SupprimerYup. Elle a sauté pieds joints dedans. Puis a glissé, est rentrée en entier en rien de temps...
Supprimerentre le bleu qu'elle a du se faire, le bain corrosif dans lequel elle est rentrée en entier en une seconde et la peur que provoque la glissade tu m'étonnes qu'elle hurle-
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
SupprimerPour être plus précis, en lisant la creepy j'ai imaginé la scène ainsi: la fille sautant en faisant la bombe dans sa baignoire, hurlant "yiiiiiiiiiiiii!" puis nous refaisant le célèbrissime "je fooooonds" de Qui veut la peau de Roger Rabbit?
Supprimervous m'avez tuez X)
SupprimerYukki ... x)
RépondreSupprimerTu m'as tué X) (Mirai nikki)
SupprimerTripoda, je suis l'auteur d'une vidéo où je raconte ta creepypasta, je voulais savoir si cela te dérangeait ou non, car j'avais adoré ton écriture. Si cela te gêne dis le moi, sinon, voilà la vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=QM74wiHDzYE
RépondreSupprimerElle est pas de moi. Comme la quasi-totalité de ce qui est publié ici.
SupprimerSi j'avais pas lut les commentaires j'aurai crut que c'était l'eau le serial killer...
RépondreSupprimerT'es un bon toi mdr
SupprimerMoi je croyais que c'était le bain le serial killer :')
SupprimerMdr
SupprimerMoi perso j'aime bien
RépondreSupprimerJ'aime assez cette Pasta
RépondreSupprimerMaeva Praud je suis dacord! (moi non plus je ne suis pas une dangeureuse psychopate (pas encore lol!))
RépondreSupprimerJ'ai vraiment aimé cette creepy. J'ai tellement pensé a Mirai Nikki x)
RépondreSupprimerJen ai fait une vidéo. Vous pouvez me dire ce que vous en penser ?
MERCI A VOUS :3
https://www.youtube.com/watch?v=TCkRkA_zk3Q
Juste.....Épique ! :3
RépondreSupprimerlol le gars moche qui aime la fille belle sa me fait trop penser à quasimodo et esmeralda mais bon quasi était quand meme un peu plus sympa :3
RépondreSupprimerJ'ai une seule chose à dire: Yandere..
RépondreSupprimerheu sa veut dire quoi yandere
SupprimerC'est une personne qui est prête à TOUT pour avoir une chose ou une personne rien qu'à elle.Même à ... Tuer
SupprimerExemple: Mirai Nikki ( Yukki et Yuno ) ou Yandere Simulator
j avais pas comris au debut
RépondreSupprimerPOURQUOI JE BANDE???
RépondreSupprimerWOOOOOO ! Oh putain c'est quoi ça ?! Elle est exellente bordel ! (Au passage : Rabadu, sale pervers.)
RépondreSupprimerD'après ce qu'il en dit, la meuf à l'air bonne
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