C’était il y a un
peu plus d’un an, pendant les vacances de février. Tess, ma meilleure
amie, m’avait invitée à venir passer une petite soirée posée, chez elle,
avec quelques autres de nos amis. Son père était souvent en voyage pour
son travail, elle avait donc la maison pour elle toute seule, et j’y
étais régulièrement invitée, pour passer les vacances, le weekend, ou
juste une soirée. La maison était grande en plus, c’était sympa de
l’avoir pour nous tous seuls.
Ce soir-là, nous nous sommes retrouvés, Tess, moi, Matthieu, Maxime et Fabien, pour passer un moment sympa tous ensemble. La soirée en elle-même n’a rien eu d’extraordinaire. On a discuté, rigolé en buvant quelques verres, on a mis de la musique fort, un autre avantage de vivre dans une maison plutôt que dans un appartement.
Petit à petit, Tess, puis Matthieu sont allés se coucher dans les chambres de l’étage inférieur. Je suis restée discuter une bonne partie de la nuit avec Maxime et Fabien, mais on a fini par tomber de sommeil nous aussi. Je suis allée dans la chambre de Tess, avec qui je devais dormir cette nuit-là. Quand je suis entrée, la chambre était plongée dans le noir, les volets étaient baissés, et les portes fermées. Tess dormait au milieu du lit, et Matthieu de l’autre côté du lit, près du mur. J’ai enfilé mon pyjama et j’ai quand même pris ma place habituelle du côté du lit près de la porte.
Les deux autres dormaient déjà, et comme d’habitude, j’étais celle qui mettait le plus de temps à trouver le sommeil. Je me suis allongée, tournée vers la porte, j’ai enfoncé mes écouteurs dans mes oreilles et j’ai fermé les yeux, écoutant de la musique calme à faible volume pour m’aider à m’endormir.
Il m’a semblé que je m’étais endormie, quand j’ai vu une ombre traverser la chambre depuis la porte jusqu’à l’autre bout du lit. Ensommeillée, je n’avais pas les idées suffisamment claires pour me demander sérieusement ce qui se passait. Je n’ai pas eu le réflexe de me retourner pour voir qui c’était. J’ai simplement supposé que c’était Fabien ou Maxime qui venaient voir si on dormait, même si je ne voyais pas pourquoi ils auraient fait ça. Comme je n’ai pas vu l’ombre revenir vers la porte pour sortir, j’ai supposé que je m’étais rendormie et que je l’avais ratée. Pourtant, je n’avais pas l’impression d’avoir fermé les yeux.
Après ce qui m’a semblé être une éternité, j’ai à nouveau vu une ombre venir du côté de la chambre auquel je tournais le dos et entrer dans la salle de bain, qui était accessible depuis une porte en face du lit, en plein dans mon champ de vision. En toute logique, j’ai pensé que c’était Matthieu qui s’était levé pour aller aux toilettes, mais je n’avais pas senti le matelas bouger, et l’ombre n’avait pas fait le moindre bruit. Je n’avais même pas vu la porte de la salle de bain s’ouvrir, et aucun rayon de lumière ne filtrait sous la porte. Au bout d’un moment, voyant que Matthieu ne revenait pas, je me suis tournée de l’autre côté du lit pour jeter un coup d’œil. J’ai eu l’impression de recevoir une douche froide quand j’ai vu que Matthieu était toujours dans le lit, profondément endormi.
Je suis restée quelques instants sans bouger, pétrifiée. J’ai lentement tourné la tête vers la salle de bain, mais la porte était toujours fermée, sans lumière qui passe en dessous. J’ai hésité à aller voir, mais je n’en avais pas le courage. J’ai soudain eu peur que cette ombre ne ressorte de la salle de bain. Je ne voulais pas savoir ce que c’était. Je me suis rallongée, et dans un réflexe de protection classique, j’ai rangé bras et jambes à l’abri sous la couette. Je me suis recroquevillée contre Tess, le plus loin possible du bord.
J’essayais de me rassurer en me disant que c’était simplement Maxime ou Fabien, mais je ne voyais aucune raison pour qu’ils entrent dans notre chambre. De plus, ces ombres étaient trop silencieuses, trop floues, comme immatérielles. Je savais bien que sans source de lumière, je ne pouvais pas les distinguer clairement, mais je sentais que quelque chose n’allait pas. Sans savoir si cela venait de moi ou non, j’ai eu l’impression que la température de la pièce avait chuté de plusieurs degrés. J’avais peur, mais je ne voyais pas ce que je pouvais faire. Alors j’ai simplement attendu, sans bouger, en espérant de tout cœur m’endormir pour échapper à cette angoisse. J’ai fermé les yeux et je me suis encore plus recroquevillée. Je n’osais pas faire le moindre mouvement, comme si bouger permettait aux ombres de se rendre compte de ma présence.
Rien ne s'est passé pendant un long moment. Je commençais à me dire que tout ça n’était que le fruit de mon imagination et que je commençais à me détendre, quand j’ai entrouvert les yeux, et j’ai vu les pieds d’une silhouette, de mon côté du lit, tout près de moi. Je me suis figée, et j’ai refermé les yeux aussi doucement que possible, en espérant que l’ombre n’avait rien remarqué. C’était peut-être une réaction idiote, mais dans les films d’horreur, tant que la victime n’a pas remarqué que quelque chose ne va pas, il ne lui arrive rien. À partir du moment où elle se réveille, où elle se retourne et voit le tueur, il attaque. En faisant semblant de dormir, j’espérais être en sécurité. Maintenant je savais que j’étais incapable de dormir. J’ai eu la sensation d’un souffle froid sur mon visage, mais je n’ai pas bougé, malgré ma peur.
Je ne sais pas combien de temps je suis restée comme ça, mais ça m’a semblé durer une éternité avant que les premiers rayons du soleil ne filtrent à travers les volets. À travers mes paupières, je voyais qu’il ne faisait plus aussi noir. J’ai ouvert les yeux. Les ombres avaient disparu. Il faisait encore sombre à cause des volets baissés, mais j’ai pris mon courage à deux mains et je suis sortie de la pièce. J’ai grimpé les escaliers à toute vitesse, et une fois dans le salon rempli de lumière, je me suis sentie beaucoup mieux. Rien ne remplaçait la lumière réconfortante du soleil.
Tout en me servant un bol de céréales, j'ai réfléchi à ce qui s’était passé cette nuit. À la lumière du jour, je voyais les choses bien différemment, et je me suis mise à rire doucement. J’avais rêvé, c’était évident. J’avais dû alterner les moments de rêve et d’éveil, si bien que j’avais fini par confondre la réalité avec mes rêves. Rien de plus. J'ai ri de ma propre peur et j’ai attendu que les autres se réveillent. Tess fut la première à me rejoindre, et elle m'a demandé pourquoi j’étais levée si tôt. Je lui ai raconté ce qui m’était arrivé cette nuit, mais je l'ai vue froncer les sourcils et me regarder avec un drôle d’air. Quand je lui ai demandé ce qui se passait, elle m’a répondu :
« Ce n’est pas possible, Matthieu et moi on a dormi tous les deux dans la chambre d’ami. »
Ce soir-là, nous nous sommes retrouvés, Tess, moi, Matthieu, Maxime et Fabien, pour passer un moment sympa tous ensemble. La soirée en elle-même n’a rien eu d’extraordinaire. On a discuté, rigolé en buvant quelques verres, on a mis de la musique fort, un autre avantage de vivre dans une maison plutôt que dans un appartement.
Petit à petit, Tess, puis Matthieu sont allés se coucher dans les chambres de l’étage inférieur. Je suis restée discuter une bonne partie de la nuit avec Maxime et Fabien, mais on a fini par tomber de sommeil nous aussi. Je suis allée dans la chambre de Tess, avec qui je devais dormir cette nuit-là. Quand je suis entrée, la chambre était plongée dans le noir, les volets étaient baissés, et les portes fermées. Tess dormait au milieu du lit, et Matthieu de l’autre côté du lit, près du mur. J’ai enfilé mon pyjama et j’ai quand même pris ma place habituelle du côté du lit près de la porte.
Les deux autres dormaient déjà, et comme d’habitude, j’étais celle qui mettait le plus de temps à trouver le sommeil. Je me suis allongée, tournée vers la porte, j’ai enfoncé mes écouteurs dans mes oreilles et j’ai fermé les yeux, écoutant de la musique calme à faible volume pour m’aider à m’endormir.
Il m’a semblé que je m’étais endormie, quand j’ai vu une ombre traverser la chambre depuis la porte jusqu’à l’autre bout du lit. Ensommeillée, je n’avais pas les idées suffisamment claires pour me demander sérieusement ce qui se passait. Je n’ai pas eu le réflexe de me retourner pour voir qui c’était. J’ai simplement supposé que c’était Fabien ou Maxime qui venaient voir si on dormait, même si je ne voyais pas pourquoi ils auraient fait ça. Comme je n’ai pas vu l’ombre revenir vers la porte pour sortir, j’ai supposé que je m’étais rendormie et que je l’avais ratée. Pourtant, je n’avais pas l’impression d’avoir fermé les yeux.
Après ce qui m’a semblé être une éternité, j’ai à nouveau vu une ombre venir du côté de la chambre auquel je tournais le dos et entrer dans la salle de bain, qui était accessible depuis une porte en face du lit, en plein dans mon champ de vision. En toute logique, j’ai pensé que c’était Matthieu qui s’était levé pour aller aux toilettes, mais je n’avais pas senti le matelas bouger, et l’ombre n’avait pas fait le moindre bruit. Je n’avais même pas vu la porte de la salle de bain s’ouvrir, et aucun rayon de lumière ne filtrait sous la porte. Au bout d’un moment, voyant que Matthieu ne revenait pas, je me suis tournée de l’autre côté du lit pour jeter un coup d’œil. J’ai eu l’impression de recevoir une douche froide quand j’ai vu que Matthieu était toujours dans le lit, profondément endormi.
Je suis restée quelques instants sans bouger, pétrifiée. J’ai lentement tourné la tête vers la salle de bain, mais la porte était toujours fermée, sans lumière qui passe en dessous. J’ai hésité à aller voir, mais je n’en avais pas le courage. J’ai soudain eu peur que cette ombre ne ressorte de la salle de bain. Je ne voulais pas savoir ce que c’était. Je me suis rallongée, et dans un réflexe de protection classique, j’ai rangé bras et jambes à l’abri sous la couette. Je me suis recroquevillée contre Tess, le plus loin possible du bord.
J’essayais de me rassurer en me disant que c’était simplement Maxime ou Fabien, mais je ne voyais aucune raison pour qu’ils entrent dans notre chambre. De plus, ces ombres étaient trop silencieuses, trop floues, comme immatérielles. Je savais bien que sans source de lumière, je ne pouvais pas les distinguer clairement, mais je sentais que quelque chose n’allait pas. Sans savoir si cela venait de moi ou non, j’ai eu l’impression que la température de la pièce avait chuté de plusieurs degrés. J’avais peur, mais je ne voyais pas ce que je pouvais faire. Alors j’ai simplement attendu, sans bouger, en espérant de tout cœur m’endormir pour échapper à cette angoisse. J’ai fermé les yeux et je me suis encore plus recroquevillée. Je n’osais pas faire le moindre mouvement, comme si bouger permettait aux ombres de se rendre compte de ma présence.
Rien ne s'est passé pendant un long moment. Je commençais à me dire que tout ça n’était que le fruit de mon imagination et que je commençais à me détendre, quand j’ai entrouvert les yeux, et j’ai vu les pieds d’une silhouette, de mon côté du lit, tout près de moi. Je me suis figée, et j’ai refermé les yeux aussi doucement que possible, en espérant que l’ombre n’avait rien remarqué. C’était peut-être une réaction idiote, mais dans les films d’horreur, tant que la victime n’a pas remarqué que quelque chose ne va pas, il ne lui arrive rien. À partir du moment où elle se réveille, où elle se retourne et voit le tueur, il attaque. En faisant semblant de dormir, j’espérais être en sécurité. Maintenant je savais que j’étais incapable de dormir. J’ai eu la sensation d’un souffle froid sur mon visage, mais je n’ai pas bougé, malgré ma peur.
Je ne sais pas combien de temps je suis restée comme ça, mais ça m’a semblé durer une éternité avant que les premiers rayons du soleil ne filtrent à travers les volets. À travers mes paupières, je voyais qu’il ne faisait plus aussi noir. J’ai ouvert les yeux. Les ombres avaient disparu. Il faisait encore sombre à cause des volets baissés, mais j’ai pris mon courage à deux mains et je suis sortie de la pièce. J’ai grimpé les escaliers à toute vitesse, et une fois dans le salon rempli de lumière, je me suis sentie beaucoup mieux. Rien ne remplaçait la lumière réconfortante du soleil.
Tout en me servant un bol de céréales, j'ai réfléchi à ce qui s’était passé cette nuit. À la lumière du jour, je voyais les choses bien différemment, et je me suis mise à rire doucement. J’avais rêvé, c’était évident. J’avais dû alterner les moments de rêve et d’éveil, si bien que j’avais fini par confondre la réalité avec mes rêves. Rien de plus. J'ai ri de ma propre peur et j’ai attendu que les autres se réveillent. Tess fut la première à me rejoindre, et elle m'a demandé pourquoi j’étais levée si tôt. Je lui ai raconté ce qui m’était arrivé cette nuit, mais je l'ai vue froncer les sourcils et me regarder avec un drôle d’air. Quand je lui ai demandé ce qui se passait, elle m’a répondu :
« Ce n’est pas possible, Matthieu et moi on a dormi tous les deux dans la chambre d’ami. »
Très bonne pasta c'est la dernière phrase qui m'a fait flipper XD
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerCe commentaire fait trop flipper ! o_O Mais je suis habitué à ce genre de chute maintenant ^-^ Mais j'ai quand même aimé **
RépondreSupprimerCette histoire*
SupprimerJ'imagine trop l'auteur qui se colle au fantôme/à la chose parce qu'elle voit rien dans le noir
RépondreSupprimerHorriblement génial cette pasta ^_^
Comment je serai pas rentrée dans la chambre o_O Ou alors j'aurai allumé la lumière avant >_<
SupprimerPareil, j'aime pas quand c'est un noir d'encre dans une pièce
SupprimerImagine la surprise une fois la lumière allumée --->
Y aurait de quoi flipper sur le coup, crise cardiaque direct pour moi °^°
à moins que les fantômes aient disparu sur le coup mais ça reste pas sûr
Supprimersi après faut re-éteindre pour dormir...
ça fait une bonne nuit ça...
Vous mes faites encore plus flipper o_o
SupprimerMerci je vais plus dormir grâce à vous
Moi je serai vraiment, mais vraiment pas rentrer dans la chambre ! o_O Je vois des ombres je pars de la pièce en courant !!! >_<
SupprimerMais j'aime ce genre d'histoire :3 J'en écris moi aussi des dans ce genre ^-^ Des livres en fait xD Et parfois je lis les Pasta pour avoir quelques petites idées, mais j'ai jamais écrit une histoire de ce genre '-'
À part mon second livre peut-être xD
Ps : Pour le commentaire en-dessous de mon premier, moi aussi j'aurai fait une crise cardiaque >_<
SupprimerEt bien qu'attend tu pour balancer le lien de tes bouquins!!!
Supprimer>_<
J'en veux!!
XDDDD
SupprimerQuand le second livre sera en vente ;)
En ce moment il est en cours de publication
Sans dec'???
SupprimerTu te fais publier et tout???
Fort!
Oui oui je me fais publier ^-^
SupprimerLa sse-cla!!
Supprimer;)
Mdr ^^
SupprimerVraiment géniale \(^-^)/ Ça fait plaisir une bonne pasta comme celle-ci de temps en temps ;) la chute est inattendue, alors que l'idée est classique. Le texte est bien écrit et bien tourné, ce qui met tout de suite dans l'ambiance :) . J'adore.
RépondreSupprimerJe ne peux rien ajouter à ce comm' tant il est proche de mon avis concernant cette pasta!
SupprimerSi peut etre ajouter que perso il m'arrive un truc comme ca,meme le la,demain en plein jour et tout, au mieux je ne dort plus jamais chez cette nana et meme ailleur mes nuits seront angoissées et au pire je meurt sur place de peur ac ma cuillere encore à hauteur des lèvres!!!!!!!!!!
°^°
Oh la chute �� C'est tout simplement génial. Je ne m'y attendais pas du tout. En plus, avec le "héros" qui se colle contre une ombre... Bien flippant tout sa ������
RépondreSupprimerP.S : En une phrase, tout peut changer
SupprimerJe m'attendais un peu à la chute quand la narratrice a écrit "Je me suis recroquevillée contre Tess", j'étais quasi sûre qu'à la fin on aurait un truc du genre "et-en-fait-c'était-pas-elle". Mais bonne pasta quand même :)
RépondreSupprimerUne nouvelle pasta flippante -:)..bravo a l'auteur, j'adore ce genre de chutes.
RépondreSupprimerSuper pasta , des petit frisson mon parcourut le corps durant toute la lecture! Génial vraiment :) Même en tant qu'habituée de pasta je ne m'attendais absolument pas à cette chute! Bravo en tout cas :)
RépondreSupprimerPar où commencer... Voyons voir...
RépondreSupprimerJ'AI RIEN À REDIRE ÇA M'ÉNERVE
Yo Neko !!!!!
SupprimerEn ton temps t'as été un gros contributeur sur CFTC me trompe-je ????
Heu... Non!
SupprimerFranchement non, j'ai pas de compte forum ni rien!
Je viens juste squatter ici quand je m'ennuie (je m'ennuie très souvent xD)
Ah ok au temps pour moi!
SupprimerJ’étais sur tu étais ce Neko!
C’était peut être avec un c je ne sais plus!
Probablement!
SupprimerMais c'est pas grave, tout le monde peut se tromper x)
En effet!
Supprimer':)
La vrai question est :
RépondreSupprimerqu'est ce que pouvait bien faire Mathieu et Tess seul tout les deux dans la chambre d'ami
Ils jouaient à....*tousse* aux... * tousse* aux cartes.
SupprimerOui c'est ça...
Aux cartes
Bin à ton avis? c'est évident!
SupprimerJe n'ai pas compris la chute
SupprimerComment ne plus prendre au sérieux cette pasta ?
RépondreSupprimerEn pensant à "Gangster 2 Tess" dès le début.....X)
Sinon bonne pasta *·*
Ah!
SupprimerMoi j'ai pensé à Rap 2 tess de Ne2s!
^^
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerCourt , efficace et absolument géniale ;) Ça change de ces creepypasta qui font 30000000 lignes et qui sont ennuyantes à mourir ( Comme Ben Drowned , qui est une bonne pasta , mais qui est beaucoup trop longue … ) !
RépondreSupprimerBravo à l'auteur ;)
Ca me fait penser à https://www.youtube.com/watch?feature=youtu.be&v=0z6xGU2_g9s
RépondreSupprimer:)
Bonjour Tripoda, je maitrise parfaitement le russe, l anglais et l'ukrainien donc si tu veux des traductions : anaysn.69@gmail.com
RépondreSupprimerSalut poirri
RépondreSupprimerQuand j'ai lu la dernière phrases, j'ai eu un énorme frissons, je ne m'attendais pas du tout a la chute, j'adore c'est excellent, bravo.
RépondreSupprimerDéja que la pasta en elle-même est bien flippante,la chute m'a juste achevée ! X__X
RépondreSupprimerChapeau l'artiste pour cette superbe pasta !
ahahaha le truc le plus flippant >_<
RépondreSupprimerOuaaah, j'ai adoré...
RépondreSupprimerJ'ai flippé en même temps que je lisais, en même temps qu'elle, quoi...Oui, je sais, je m'identifie trop facilement...
Mais, cette chute !!! Bravo à l'auteur(e) ^_^