18 novembre 2013
14h30
Je me nomme Sébastien. Depuis ma plus tendre enfance, j'ai une passion pour l'exploration urbaine. Je crois que ça m'a pris quand j'avais six ans.
Ce jour-là, je me promenais avec mes parents en forêt, quand une imposante maison est apparue derrière les arbres. Elle était belle, avec de grands escaliers de chaque côté des murs couleurs abricot. Elle semblait si paisible et accueillante.
Pourtant, à l'intérieur, tout était ravagé. Il y avait des maquettes d'immeubles, du verre brisé, des documents éparpillés sur le sol. On aurait dit qu'une signature de contrat avait mal tourné...
Nous n'y sommes pas restés très longtemps, mais ce jour-là, j'ai su que je voulais recommencer, fouiller les lieux abandonnés par l'être humain, pénétrer le reste de vie des gens sans qu'ils ne le sachent.
J'ai visité quelques endroits, certains m'ont marqué...
Mais cet abattoir abandonné plus que les autres. J'y suis allé une nuit, seul.
L'accès y était très simple et les portes n'étaient pas verrouillées. Je me rappelle qu'il y régnait une odeur de mort, il y avait de vieilles traces de sang au sol. L'atmosphère était lourde et je n'étais vraiment pas à l'aise.
Des papiers abandonnés dans un bureau un peu plus loin indiquaient la date. Ça faisait cinq ans que ce lieu était abandonné, pourtant l'odeur y était omniprésente.
J'ai remarqué des escaliers un peu plus loin. Il y faisait vraiment sombre.Par moments, j'avais même l'impression que la lumière de ma torche avait du mal à percer cette noirceur...
Ma curiosité l'a emporté, je me suis aventuré sur les premières marches. Et l'odeur ! Mon dieu ! Elle était encore plus infâme qu'à l'étage !
En bas, tous les sols étaient munis d'évacuations. Il y avait de gros tuyaux au plafond, je suppose que c'est ici que les abats et autres morceaux arrivaient. D'où l'odeur plus intense...
J'ai regardé les murs. Les placards étaient encore pleins de fournitures d'hygiène, du savon, du papier... C'est alors que je l'ai entendue. Cette voix d'homme qui semblait venir de derrière moi. J'en ai eu le sang glacé. Je suis resté sans bouger pendant quelques minutes, essayant de contenir ma respiration. Puis, avec ma lampe, j'ai balayé l'endroit autour de moi.
Je n'avais aucune envie de revenir en arrière, je ne voulais pas croiser cet homme. Devant moi, il y avait un grand couloir, je n'en voyais pas le bout. J'avançais avec précaution, en essayant de faire le moins de bruit possible. Les murs étaient décrépis, il y avait quelques traces de moisissure à certains endroits.
Au moment où j'atteignais le milieu du couloir, l'homme s'est mis à parler de nouveau, mais cette fois une jeune femme lui a répondu. Ce coup-ci j'en étais bien sûr, je n'étais pas seul et ce n'était pas mon imagination ! J'essayais de comprendre, mais je n'entendais qu'un mot sur deux, ils semblaient parler d'une troisième personne. L'homme s'est mis à hurler des choses incompréhensibles puis le silence total est revenu.
J'ai continué à longer ce couloir en espérant trouver une autre sortie, mais il n'y avait qu'une vieille salle d'attente sur la droite. Trois chaises étaient collées aux murs. J'ai alors remarqué ce tableau noir au fond de la salle. Alors que je m'avançais, mon pied a heurté quelque chose, c'était un verre avec une vielle bougie dedans. En éclairant mes pieds, je me suis aperçu que j'étais au milieu d'un cercle avec d'étranges symboles autour. J'ai relevé la tête pour lire ce qui était écrit sur le tableau.
"Règle 1 : Ne jamais revenir sur ses pas.
Règle 2 : Ne jamais se retourner.
Règle 3 : Ne jamais aider les autres. Sinon tu perdras la partie.
1 coup pour moi, 2 coups pour toi, 3 coups pour elle."
Je me suis figé sur place en me demandant si ça m'était destiné. C'est alors que 3 coups ont résonné dans la pièce.
Mon cœur s'est mis à battre à toute vitesse, et si ce message était vraiment pour moi? Et si les personnes que j'avais entendues derrière moi étaient des sadiques sans cœur ? Peut-être qu'ils avaient manigancé tout ça pour me faire subir je ne sais quoi ? Dans le doute, j'ai préféré prendre les instructions à la lettre.
Je ne pouvais qu'aller vers la porte devant moi. Je l'ai ouverte. Derrière, des couloirs et des portes à n'en plus finir. Mais dans quoi j'étais tombé ? Des squatteurs avaient peut-être, avec le temps, creusé des galeries et aménagé les lieux pour y faire des fêtes ou je ne sais quoi... une chose est sûre, cette partie ne devait pas être là à l'origine. Je marchais droit devant moi en espérant ne croiser personne. Je n'osais pas me retourner ni même revenir en arrière. Je regardais tout autour de moi pour voir s'il n'y avait aucun piège sur mon passage. Il faisait très chaud là-dessous.
La voix de la jeune femme s'est fait entendre. Elle rigolait à gorge déployée. On aurait dit qu'une petite fille était en train de lui parler, des espèces de chants enfantins résonnaient le long des couloirs, j'avais l'impression qu'ils venaient de partout à la fois.
Puis la jeune fille a hurlé. Un cri horrible. Il ne faisait qu'encourager mon esprit à se faire les pires scénarios possibles. Et le silence est revenu...
J'ai trouvé un renfoncement dans le sol et je m'y suis caché. Je ne pouvais m'empêcher de réfléchir, et si cet endroit était en fait le lieu d'une expérience bizarre ? Peut-être que les cris et les rires venaient de haut-parleurs ? Cette histoire commençait à me rendre dingue !
Deux coups se sont fait entendre, c'était logiquement mon tour. Sans savoir vraiment quoi faire, j'ai décidé d'attendre, en éteignant ma lampe pour ne pas me faire remarquer. J'étais dos à la paroi. J'écoutais attentivement le moindre bruit, voir si quelqu'un s'approchait de moi.
C'est alors que j'ai senti une dizaine de mains sur mon corps ! Elles étaient bien là, des mains d'enfants bien réelles me plaquaient contre la paroi, les rires venaient étouffer mes cris. Je n'arrivais presque plus à respirer, j'avais l'impression que mes côtes étaient sur le point de se casser. J'ai réussi à attraper ma lampe, je l'ai allumée, et tout s'est arrêté. Je ne suis pas fou ! Je sais ce que j'ai vécu, j'en suis certain !
Je me suis levé aussi vite que j'ai pu, j'ai couru avec ma lampe allumée. À quelques pas en arrière, la voix d'une fillette me répétait, inlassablement : "rien ne sert de courir, tu vas perdre, je suis derrière toi !"
C'est alors que j'ai trébuché sur quelque chose, m'affalant de tout mon long sur le sol en béton. En me relevant, j'ai découvert le corps d'une jeune femme. Elle était ensanglantée, deux grandes plaies sur le visage donnaient l'impression d'un large sourire, jusqu'aux oreilles. Ses bras étaient lacérés. Je n'ai pas pu en voir plus. J'ai repris ma course de plus belle en étouffant un cri.
Je tremblais, je voulais hurler, j'avais envie de pleurer. C'était quoi ce bordel ?! Je voulais sortir de ce cauchemar au plus vite....
J'ai dû pousser des dizaines de ces portes battantes. Je commençais à m'essouffler, mon cœur battait tellement fort que ma poitrine me faisait mal. J'étais sur le point d'abandonner, de me laisser tomber à genoux sur le sol et d'attendre de finir comme cette femme... Et j'ai poussé la dernière porte.
Je n'arrivais pas à y croire, je ne rêvais pas, l'air frais emplissait mes poumons, le soleil commençait à se lever. J'ai repris mon souffle quelques instants, laissant échapper quelques larmes de joie. Je venais de gagner ce jeu malsain.
J'ai regroupé le peu de forces qu'il me restait pour rentrer chez moi.
Si j'écris ces mots, c'est que je ne sais toujours pas qui ou quoi était présent ce soir-là, je ne sais pas si j'en suis débarrassé ni même ce qui m'attend...
14h30
Je me nomme Sébastien. Depuis ma plus tendre enfance, j'ai une passion pour l'exploration urbaine. Je crois que ça m'a pris quand j'avais six ans.
Ce jour-là, je me promenais avec mes parents en forêt, quand une imposante maison est apparue derrière les arbres. Elle était belle, avec de grands escaliers de chaque côté des murs couleurs abricot. Elle semblait si paisible et accueillante.
Pourtant, à l'intérieur, tout était ravagé. Il y avait des maquettes d'immeubles, du verre brisé, des documents éparpillés sur le sol. On aurait dit qu'une signature de contrat avait mal tourné...
Nous n'y sommes pas restés très longtemps, mais ce jour-là, j'ai su que je voulais recommencer, fouiller les lieux abandonnés par l'être humain, pénétrer le reste de vie des gens sans qu'ils ne le sachent.
J'ai visité quelques endroits, certains m'ont marqué...
Mais cet abattoir abandonné plus que les autres. J'y suis allé une nuit, seul.
L'accès y était très simple et les portes n'étaient pas verrouillées. Je me rappelle qu'il y régnait une odeur de mort, il y avait de vieilles traces de sang au sol. L'atmosphère était lourde et je n'étais vraiment pas à l'aise.
Des papiers abandonnés dans un bureau un peu plus loin indiquaient la date. Ça faisait cinq ans que ce lieu était abandonné, pourtant l'odeur y était omniprésente.
J'ai remarqué des escaliers un peu plus loin. Il y faisait vraiment sombre.Par moments, j'avais même l'impression que la lumière de ma torche avait du mal à percer cette noirceur...
Ma curiosité l'a emporté, je me suis aventuré sur les premières marches. Et l'odeur ! Mon dieu ! Elle était encore plus infâme qu'à l'étage !
En bas, tous les sols étaient munis d'évacuations. Il y avait de gros tuyaux au plafond, je suppose que c'est ici que les abats et autres morceaux arrivaient. D'où l'odeur plus intense...
J'ai regardé les murs. Les placards étaient encore pleins de fournitures d'hygiène, du savon, du papier... C'est alors que je l'ai entendue. Cette voix d'homme qui semblait venir de derrière moi. J'en ai eu le sang glacé. Je suis resté sans bouger pendant quelques minutes, essayant de contenir ma respiration. Puis, avec ma lampe, j'ai balayé l'endroit autour de moi.
Je n'avais aucune envie de revenir en arrière, je ne voulais pas croiser cet homme. Devant moi, il y avait un grand couloir, je n'en voyais pas le bout. J'avançais avec précaution, en essayant de faire le moins de bruit possible. Les murs étaient décrépis, il y avait quelques traces de moisissure à certains endroits.
Au moment où j'atteignais le milieu du couloir, l'homme s'est mis à parler de nouveau, mais cette fois une jeune femme lui a répondu. Ce coup-ci j'en étais bien sûr, je n'étais pas seul et ce n'était pas mon imagination ! J'essayais de comprendre, mais je n'entendais qu'un mot sur deux, ils semblaient parler d'une troisième personne. L'homme s'est mis à hurler des choses incompréhensibles puis le silence total est revenu.
J'ai continué à longer ce couloir en espérant trouver une autre sortie, mais il n'y avait qu'une vieille salle d'attente sur la droite. Trois chaises étaient collées aux murs. J'ai alors remarqué ce tableau noir au fond de la salle. Alors que je m'avançais, mon pied a heurté quelque chose, c'était un verre avec une vielle bougie dedans. En éclairant mes pieds, je me suis aperçu que j'étais au milieu d'un cercle avec d'étranges symboles autour. J'ai relevé la tête pour lire ce qui était écrit sur le tableau.
"Règle 1 : Ne jamais revenir sur ses pas.
Règle 2 : Ne jamais se retourner.
Règle 3 : Ne jamais aider les autres. Sinon tu perdras la partie.
1 coup pour moi, 2 coups pour toi, 3 coups pour elle."
Je me suis figé sur place en me demandant si ça m'était destiné. C'est alors que 3 coups ont résonné dans la pièce.
Mon cœur s'est mis à battre à toute vitesse, et si ce message était vraiment pour moi? Et si les personnes que j'avais entendues derrière moi étaient des sadiques sans cœur ? Peut-être qu'ils avaient manigancé tout ça pour me faire subir je ne sais quoi ? Dans le doute, j'ai préféré prendre les instructions à la lettre.
Je ne pouvais qu'aller vers la porte devant moi. Je l'ai ouverte. Derrière, des couloirs et des portes à n'en plus finir. Mais dans quoi j'étais tombé ? Des squatteurs avaient peut-être, avec le temps, creusé des galeries et aménagé les lieux pour y faire des fêtes ou je ne sais quoi... une chose est sûre, cette partie ne devait pas être là à l'origine. Je marchais droit devant moi en espérant ne croiser personne. Je n'osais pas me retourner ni même revenir en arrière. Je regardais tout autour de moi pour voir s'il n'y avait aucun piège sur mon passage. Il faisait très chaud là-dessous.
La voix de la jeune femme s'est fait entendre. Elle rigolait à gorge déployée. On aurait dit qu'une petite fille était en train de lui parler, des espèces de chants enfantins résonnaient le long des couloirs, j'avais l'impression qu'ils venaient de partout à la fois.
Puis la jeune fille a hurlé. Un cri horrible. Il ne faisait qu'encourager mon esprit à se faire les pires scénarios possibles. Et le silence est revenu...
J'ai trouvé un renfoncement dans le sol et je m'y suis caché. Je ne pouvais m'empêcher de réfléchir, et si cet endroit était en fait le lieu d'une expérience bizarre ? Peut-être que les cris et les rires venaient de haut-parleurs ? Cette histoire commençait à me rendre dingue !
Deux coups se sont fait entendre, c'était logiquement mon tour. Sans savoir vraiment quoi faire, j'ai décidé d'attendre, en éteignant ma lampe pour ne pas me faire remarquer. J'étais dos à la paroi. J'écoutais attentivement le moindre bruit, voir si quelqu'un s'approchait de moi.
C'est alors que j'ai senti une dizaine de mains sur mon corps ! Elles étaient bien là, des mains d'enfants bien réelles me plaquaient contre la paroi, les rires venaient étouffer mes cris. Je n'arrivais presque plus à respirer, j'avais l'impression que mes côtes étaient sur le point de se casser. J'ai réussi à attraper ma lampe, je l'ai allumée, et tout s'est arrêté. Je ne suis pas fou ! Je sais ce que j'ai vécu, j'en suis certain !
Je me suis levé aussi vite que j'ai pu, j'ai couru avec ma lampe allumée. À quelques pas en arrière, la voix d'une fillette me répétait, inlassablement : "rien ne sert de courir, tu vas perdre, je suis derrière toi !"
C'est alors que j'ai trébuché sur quelque chose, m'affalant de tout mon long sur le sol en béton. En me relevant, j'ai découvert le corps d'une jeune femme. Elle était ensanglantée, deux grandes plaies sur le visage donnaient l'impression d'un large sourire, jusqu'aux oreilles. Ses bras étaient lacérés. Je n'ai pas pu en voir plus. J'ai repris ma course de plus belle en étouffant un cri.
Je tremblais, je voulais hurler, j'avais envie de pleurer. C'était quoi ce bordel ?! Je voulais sortir de ce cauchemar au plus vite....
J'ai dû pousser des dizaines de ces portes battantes. Je commençais à m'essouffler, mon cœur battait tellement fort que ma poitrine me faisait mal. J'étais sur le point d'abandonner, de me laisser tomber à genoux sur le sol et d'attendre de finir comme cette femme... Et j'ai poussé la dernière porte.
Je n'arrivais pas à y croire, je ne rêvais pas, l'air frais emplissait mes poumons, le soleil commençait à se lever. J'ai repris mon souffle quelques instants, laissant échapper quelques larmes de joie. Je venais de gagner ce jeu malsain.
J'ai regroupé le peu de forces qu'il me restait pour rentrer chez moi.
Si j'écris ces mots, c'est que je ne sais toujours pas qui ou quoi était présent ce soir-là, je ne sais pas si j'en suis débarrassé ni même ce qui m'attend...
Voilà, celle-là est VRAIMENT la 800ème creepypasta publiée sur ce site. N'aniv.
Joyeux anniversaire CFTC sinon tres bonne pasta
RépondreSupprimerEuh Tripo un anniversaire c'est dans le temps pas dans le nombre...
RépondreSupprimerOn s'en fiche, joyeux anniversaire.
SupprimerJoyeuse Pâques (j'ai bouffé du lapin)
SupprimerAaube D:
SupprimerC est peut etre un de ses abos ont est tous ses lapin
Supprimer#LapinouOfDeath
Happy birthday CFTC ! Très bonne creepy égalemment (flippante à souhait.... miam) . Bravo ;)
RépondreSupprimerJoyeux anniv
RépondreSupprimerJoyeux anniversaire CFTC !! :D
RépondreSupprimerJoyeux anniversaire CFTC et continuer les creepy pasta:D
RépondreSupprimerJoyeux anniversaire CFTC
RépondreSupprimerVive les pastas !
Bon anniv
RépondreSupprimerJ'ai adoré cette Pasta ! Ça me donne une idée d'histoire x)
RépondreSupprimerBonne pasta mais il manque une fin ... Non ?
RépondreSupprimerje t'encule tripoda
RépondreSupprimerToi tu va pas rester longtemps x)
Supprimerla violence gratuite
SupprimerEncule prend un "s" sombre abruti.
SupprimerNon non, c'est bien "je t'encule". Enculer, verbe du premier groupe, à la première personne, c'est "J'encule".
SupprimerBa dis donc t'est cool Tripo!
SupprimerBonne pasta en effet je ne trouve pas que la fin n'en soit pas une!
On à pas besoin d'en savoir plus que le perso principal!
Bonne pasta!
Je trouve plus important de défendre le bon usage du français que de me défendre moi-même, c'est pas pour ça que je suis d'accord pour me faire enculer (mais ça me semblait évident).
SupprimerAttitude très nobles qui t'honore Tripo!
Supprimer;)
Certains disent que cette histoire n'a pas une vraie fin... Mais c'est déjà un peu plus credible que quand le personnage de l'histoire racconte sa propre mort.
RépondreSupprimerJ'ai adorée cette pasta =3 Super sympas mais elle ce termine un peu trop vite :/
RépondreSupprimerSinon bah joyeux anniversaire CFTC (en retard TwT)
Alors là, cette creepy, c'est du 20/20 (je sais, je vais probablement m'attirer les foudres de celles et ceux qui sont contre le fait de donner des notes aux histoires, moi-même, ce n'est que la 3ème fois que je le fais, mais, bon sang, elle le mérite...).
RépondreSupprimerTout y est. J'ai flippé de A à Z...On ne sait vraiment pas dans quoi est tombé le narrateur. Le suspense rend l'histoire encore plus flippante...Et ce "jeu" bizarre, sorti de nulle part, ça tient du génie...Manquait plus que des voix mystérieuses, un labyrinthe bien glauque (dans un abattoir, en plus, que demande le peuple?!), une course poursuite avec le fantôme d'une gamine psychopathe, et (s'il en fallait encore...), le cadavre mutilé d'une jeune femme, sur lequel il manque de trébucher.
Chapeau, l'artiste, vraiment...Cette pasta vient de trouver sa place dans mon top 10 ^_^
En plus, c'est la 800ème publiée sur le site...Ça pouvait difficilement mieux tomber...
Je retiens, en tout cas, pour l'anniv'
RépondreSupprimerDu coup, je me permets de souhaiter un bon anniversaire à CFTC, un peu en avance (désolée, j'essaie de me rattraper d'avoir loupé le précédent...). Mais, je serai là, cette fois, vu que je viens tous les soirs (ou devrais-je dire toutes les nuits...je passe des heures ici...J'adore...)
Merci à CFTC d'exister, et continuez, on vous kiffe de ouf, vous, et les creepys que vous publiez ^_^
Logiquement, maintenant, c'est au tour de l'homme. "1 coup pour moi".
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