- Bien. Si vous le voulez bien, commençons. Veuillez décliner votre identité ainsi que votre emploi.
- Je me nomme Sacha Alvarez, je suis le prêtre assigné à cette ville, depuis 10 ans.
- Très bien. Racontez-nous donc ce que vous avez à dire. Je vous rappelle que cette conversation est enregistrée.
- Fort bien. Sachez, mon enfant, que je suis tiraillé entre deux volontés : celle de garder secret ce que je sais, comme il est d'usage pour les confessions, et celle de tout vous raconter, car cela est très grave. Comme des vies sont en jeu, j'ai pris la décision de tout vous révéler. Le Seigneur saura me pardonner.
- C'est tout à votre honneur, mon Père.
- Bien. Commençons par le début. Il y a de ça une semaine, j'ai reçu en confession un certain Juan. Je n'avais alors pas idée de ce que j'allais entendre. Voyez-vous, ce Juan était un meurtrier. Il m'a fait part de tous ses méfaits, avec tous les détails. C'était atroce.
- Pouvez-vous nous donner ces détails ? C'est important pour l'enquête.
- Oui... J'imagine que oui. Comment pourrais-je oublier ces atrocités ? Cet homme... Ce Juan... Disait entendre des voix. Que son esprit était contrôlé par une entité maléfique. Cette entité lui donnait l'ordre de tuer certaines personnes, et d'une certaine manière. J'ai même cru voir pendant un instant ses yeux virer à un noir de jais... Mais je-
- Passons au vif du sujet, si vous le voulez bien.
- Oui, pardon. Le premier meurtre a été commis sur la personne de Franck D., le directeur de l'usine en centre-ville.
- Franck D... Le directeur qu'on a retrouvé étouffé chez lui il y a 6 semaines ?
- Oui, celui-là même. Juan m'a avoué l'avoir forcé à avaler des pièces de monnaie, jusqu’à ce qu'il n'en puisse plus. Une fin bien ironique pour un homme qui avait passé sa vie à entasser toujours plus d'argent, au détriment de ses employés.
- Nous savons maintenant pourquoi nous avons trouvé toutes ces pièces de monnaie dans son estomac... Max, peux-tu aller me chercher un crayon et du papier ? Mon Père, cela ne vous dérange pas que je prenne quelques notes ?
- Non, non, allez-y... Jack, si je me souviens bien ? Je peux vous appeler Jack ?
- Pas de problèmes, mon Père. Veuillez continuer.
- Bien. Son autre meurtre remonte à 5 semaines. Avez-vous eu vent de la mort du jeune Peter V. ?
- Le joueur de foot ? Oui, une bien triste nouvelle... Quelqu'un de si jeune. Nous avions dû intervenir chez son entraîneur deux jours avant sa mort, suite à une dispute entre les deux. Le jeune Peter n'avait pas apprécié d'être sur le banc cette saison et désirait la place de gardien. Il avait une belle carrière devant lui. Les détails de sa mort ne me reviennent pas, néanmoins...
- Je peux vous les rappeler. Une autre victime de Juan. Il lui a écrasé la tête avec ses propres chaussures de foot. Vous vouliez des détails, les voilà : il est venu à l’appartement de Peter, a attendu qu'il rentre, puis l'a assommé par derrière. Il l'a attaché, l'a rué de coups, avant de le finir à coups de crampons.
- Savez-vous comment il est entré chez la victime ?
- Malheureusement, non, mon Fils.
- Donc, nous avons Franck et Peter. Cela fait deux victimes... Laissez-moi noter cela et nous pouvons continuer.
- Faites donc.
- Voilà, je vous écoute.
- Sa troisième victime était une femme. Je ne sais pas son nom, c'était une prostituée qui avait l'habitude de "travailler" dans les bois de la ville. Il l'a droguée, puis amenée dans une usine désaffectée de la ville. Là, il l'a attachée, puis poignardée avec des crochets, avant de la suspendre par les seins. De là, il a assisté au spectacle, laissant la jeune femme agoniser et appeler au secours. Quand il en a eu assez, il l'a égorgée et l'a laissée là.
- Attendez, nous n'avons pas eu vent de ce meurtre. Savez-vous de quelle usine il s'agit ?
- Oui, de l'ancienne usine de conserves dans la partie nord de la ville.
- Max ! Envoie une patrouille fouiller toutes les usines du nord de la ville. Il y a sans doute un cadavre qui vous attend là-bas. Merci, mon Père... Votre aide est précieuse.
- Eh bien, je fais ce qui est juste. Mais ce n'est pas tout, écoutez-moi. Ce meurtre date d'il y a environ 3 semaines. Le victime est un ancien boxeur, "Mickaël au sang chaud", comme on le surnommait.
- Oui, je le connais, on avait l'habitude d'intervenir chez lui. Il battait sa femme, son fils, et ceux qui avaient le malheur d'intervenir. Une vraie brute qui démarrait au quart de tour, son surnom n’était pas usurpé. Je ne savais pas qu'il était mort.
- Oui, car il n'y pas eu d’enquête. La cause serait une crise cardiaque, alors qu'il revenait de sa salle de musculation. Mais ce que je peux vous dire, c'est qu'une nouvelle fois, Juan est passé par là. Savez-vous quel est l'effet de l'adrénaline ?
- Je ne m'y connais pas forcément, mais dans les séries que j'ai pu voir elle était utilisée pour réanimer quelqu'un dont le cœur s’était arrêté.
- Exactement, cela donne un "coup de boost" au cœur. Mais, en trop grande quantité, savez-vous ce qu'il se passe ?
- J'imagine que cela peut faire l'effet inverse... Ah, vous voulez dire que...
- Oui, ce n’était pas une simple crise cardiaque.
- Très bien, nous allons rouvrir l’enquête, je note ça dans un coin. Poursuivez, je vous prie.
- Je vais cette fois vous parler d'un total inconnu. Juan ne connaissait même pas son nom. Il s'agit d'un homme de 40 ans, sans emploi, célibataire, obèse, qui vivait encore chez ses parents. Une vraie loque, selon Juan. Il passait ses journées devant la télé ou son ordinateur. Juan l'a enlevé, le forçant à appeler ses parents pour les avertir qu'il allait passer une semaine chez des amis. Quand vous avez une arme sur la tempe, vous savez vous montrer convainquant. Comme il aimait si bien ne rien faire et se reposer, Juan l'a enfermé dans un container, sur les docks. Là où, je cite, "il ne pourra plus rien faire jusqu’à la fin de ses jours...".
- Attendez, sur les docks vous dites ? Cela fait combien de temps ?
- Environ 2 semaines, à ce qu'il m'a dit.
- Si personne ne l'a trouvé, il y a peu de chances qu'on le retrouve en vie. Max, envoyez une autre patrouille. Et, allez avec eux. Faites attention à ce que personne ne sache cela, éloignez les journalistes. Nous devons voir si aucune preuve n'a été laissée par ce tueur en série. Identifiez la victime, mais attendez un peu avant de prévenir les parents. Mon Père, avez-vous encore des choses à nous dire ?
- Oui, il reste un meurtre à raconter. Le dernier, la semaine dernière. Il s'agit cette fois d'un enfant. Le petit Kevin...
- N'en dites pas plus... J'ai moi même annoncé le décès à sa mère. Quel genre de monstre peut s'attaquer à un enfant de la sorte... Je le connaissais depuis sa naissance. Un grand amateur de sucreries ! Mais quel enfant ne l'est pas... Bon, dites le quand même pour l'enregistrement. C'est l'acte de Juan, n'est-ce pas ? .
- Oui. C'est peut-être dû au fait que ce soit un enfant, mais il a fait en sorte que ce soit rapide. Il l'a noyé, comme vous devez le savoir, dans un baril rempli de soda...
- Oui... Oui... Le pauvre...
- C'est tout ce que j'avais à dire.
- Mon Père, je ne sais comment vous remercier. Grâce à votre témoignage, nous avons assez de preuves pour que ce Juan passe sa vie derrière les barreaux.
- Comment l'avez-vous attrapé ?
- Il est venu se rendre... Il persiste à dire qu'il n'était pas lui même ces derniers mois. Mais cela ne change rien au fait que ces meurtres s’arrêtent enfin. Je vais pouvoir l'annoncer aux médias.
- Cela va sûrement vous faire valoir une promotion, toute la ville va vous encenser...
- Cela est normal, après tout je suis celui qui a arrêté ce tueur en série. Je vais sûrement avoir une promotion, pour mon état de service formidable. Quelle réussite !
- Eh bien, mon Fils, quelle fierté ! Le sentez-vous ? Ce sentiment... d'orgueil ? Exactement comme je l'avais prévu.
- Comme vous aviez prévu ? Je ne comp- Attendez, vous parlez d’orgueil... Mais oui... Tous ces meurtres... Ils sont liés ! Mais il en manque... Non... Ce n'est pas possible... Mon père... Vos yeux !
La suite de l'enregistrement n'est faite que de cris. L'agent Jack M. a été retrouvé seul dans la pièce, un stylo planté dans l’œil. Avec son sang, le tueur a dessiné au-dessus de sa tête une couronne.
Le prêtre, lui, n'a jamais été retrouvé.
- Je me nomme Sacha Alvarez, je suis le prêtre assigné à cette ville, depuis 10 ans.
- Très bien. Racontez-nous donc ce que vous avez à dire. Je vous rappelle que cette conversation est enregistrée.
- Fort bien. Sachez, mon enfant, que je suis tiraillé entre deux volontés : celle de garder secret ce que je sais, comme il est d'usage pour les confessions, et celle de tout vous raconter, car cela est très grave. Comme des vies sont en jeu, j'ai pris la décision de tout vous révéler. Le Seigneur saura me pardonner.
- C'est tout à votre honneur, mon Père.
- Bien. Commençons par le début. Il y a de ça une semaine, j'ai reçu en confession un certain Juan. Je n'avais alors pas idée de ce que j'allais entendre. Voyez-vous, ce Juan était un meurtrier. Il m'a fait part de tous ses méfaits, avec tous les détails. C'était atroce.
- Pouvez-vous nous donner ces détails ? C'est important pour l'enquête.
- Oui... J'imagine que oui. Comment pourrais-je oublier ces atrocités ? Cet homme... Ce Juan... Disait entendre des voix. Que son esprit était contrôlé par une entité maléfique. Cette entité lui donnait l'ordre de tuer certaines personnes, et d'une certaine manière. J'ai même cru voir pendant un instant ses yeux virer à un noir de jais... Mais je-
- Passons au vif du sujet, si vous le voulez bien.
- Oui, pardon. Le premier meurtre a été commis sur la personne de Franck D., le directeur de l'usine en centre-ville.
- Franck D... Le directeur qu'on a retrouvé étouffé chez lui il y a 6 semaines ?
- Oui, celui-là même. Juan m'a avoué l'avoir forcé à avaler des pièces de monnaie, jusqu’à ce qu'il n'en puisse plus. Une fin bien ironique pour un homme qui avait passé sa vie à entasser toujours plus d'argent, au détriment de ses employés.
- Nous savons maintenant pourquoi nous avons trouvé toutes ces pièces de monnaie dans son estomac... Max, peux-tu aller me chercher un crayon et du papier ? Mon Père, cela ne vous dérange pas que je prenne quelques notes ?
- Non, non, allez-y... Jack, si je me souviens bien ? Je peux vous appeler Jack ?
- Pas de problèmes, mon Père. Veuillez continuer.
- Bien. Son autre meurtre remonte à 5 semaines. Avez-vous eu vent de la mort du jeune Peter V. ?
- Le joueur de foot ? Oui, une bien triste nouvelle... Quelqu'un de si jeune. Nous avions dû intervenir chez son entraîneur deux jours avant sa mort, suite à une dispute entre les deux. Le jeune Peter n'avait pas apprécié d'être sur le banc cette saison et désirait la place de gardien. Il avait une belle carrière devant lui. Les détails de sa mort ne me reviennent pas, néanmoins...
- Je peux vous les rappeler. Une autre victime de Juan. Il lui a écrasé la tête avec ses propres chaussures de foot. Vous vouliez des détails, les voilà : il est venu à l’appartement de Peter, a attendu qu'il rentre, puis l'a assommé par derrière. Il l'a attaché, l'a rué de coups, avant de le finir à coups de crampons.
- Savez-vous comment il est entré chez la victime ?
- Malheureusement, non, mon Fils.
- Donc, nous avons Franck et Peter. Cela fait deux victimes... Laissez-moi noter cela et nous pouvons continuer.
- Faites donc.
- Voilà, je vous écoute.
- Sa troisième victime était une femme. Je ne sais pas son nom, c'était une prostituée qui avait l'habitude de "travailler" dans les bois de la ville. Il l'a droguée, puis amenée dans une usine désaffectée de la ville. Là, il l'a attachée, puis poignardée avec des crochets, avant de la suspendre par les seins. De là, il a assisté au spectacle, laissant la jeune femme agoniser et appeler au secours. Quand il en a eu assez, il l'a égorgée et l'a laissée là.
- Attendez, nous n'avons pas eu vent de ce meurtre. Savez-vous de quelle usine il s'agit ?
- Oui, de l'ancienne usine de conserves dans la partie nord de la ville.
- Max ! Envoie une patrouille fouiller toutes les usines du nord de la ville. Il y a sans doute un cadavre qui vous attend là-bas. Merci, mon Père... Votre aide est précieuse.
- Eh bien, je fais ce qui est juste. Mais ce n'est pas tout, écoutez-moi. Ce meurtre date d'il y a environ 3 semaines. Le victime est un ancien boxeur, "Mickaël au sang chaud", comme on le surnommait.
- Oui, je le connais, on avait l'habitude d'intervenir chez lui. Il battait sa femme, son fils, et ceux qui avaient le malheur d'intervenir. Une vraie brute qui démarrait au quart de tour, son surnom n’était pas usurpé. Je ne savais pas qu'il était mort.
- Oui, car il n'y pas eu d’enquête. La cause serait une crise cardiaque, alors qu'il revenait de sa salle de musculation. Mais ce que je peux vous dire, c'est qu'une nouvelle fois, Juan est passé par là. Savez-vous quel est l'effet de l'adrénaline ?
- Je ne m'y connais pas forcément, mais dans les séries que j'ai pu voir elle était utilisée pour réanimer quelqu'un dont le cœur s’était arrêté.
- Exactement, cela donne un "coup de boost" au cœur. Mais, en trop grande quantité, savez-vous ce qu'il se passe ?
- J'imagine que cela peut faire l'effet inverse... Ah, vous voulez dire que...
- Oui, ce n’était pas une simple crise cardiaque.
- Très bien, nous allons rouvrir l’enquête, je note ça dans un coin. Poursuivez, je vous prie.
- Je vais cette fois vous parler d'un total inconnu. Juan ne connaissait même pas son nom. Il s'agit d'un homme de 40 ans, sans emploi, célibataire, obèse, qui vivait encore chez ses parents. Une vraie loque, selon Juan. Il passait ses journées devant la télé ou son ordinateur. Juan l'a enlevé, le forçant à appeler ses parents pour les avertir qu'il allait passer une semaine chez des amis. Quand vous avez une arme sur la tempe, vous savez vous montrer convainquant. Comme il aimait si bien ne rien faire et se reposer, Juan l'a enfermé dans un container, sur les docks. Là où, je cite, "il ne pourra plus rien faire jusqu’à la fin de ses jours...".
- Attendez, sur les docks vous dites ? Cela fait combien de temps ?
- Environ 2 semaines, à ce qu'il m'a dit.
- Si personne ne l'a trouvé, il y a peu de chances qu'on le retrouve en vie. Max, envoyez une autre patrouille. Et, allez avec eux. Faites attention à ce que personne ne sache cela, éloignez les journalistes. Nous devons voir si aucune preuve n'a été laissée par ce tueur en série. Identifiez la victime, mais attendez un peu avant de prévenir les parents. Mon Père, avez-vous encore des choses à nous dire ?
- Oui, il reste un meurtre à raconter. Le dernier, la semaine dernière. Il s'agit cette fois d'un enfant. Le petit Kevin...
- N'en dites pas plus... J'ai moi même annoncé le décès à sa mère. Quel genre de monstre peut s'attaquer à un enfant de la sorte... Je le connaissais depuis sa naissance. Un grand amateur de sucreries ! Mais quel enfant ne l'est pas... Bon, dites le quand même pour l'enregistrement. C'est l'acte de Juan, n'est-ce pas ? .
- Oui. C'est peut-être dû au fait que ce soit un enfant, mais il a fait en sorte que ce soit rapide. Il l'a noyé, comme vous devez le savoir, dans un baril rempli de soda...
- Oui... Oui... Le pauvre...
- C'est tout ce que j'avais à dire.
- Mon Père, je ne sais comment vous remercier. Grâce à votre témoignage, nous avons assez de preuves pour que ce Juan passe sa vie derrière les barreaux.
- Comment l'avez-vous attrapé ?
- Il est venu se rendre... Il persiste à dire qu'il n'était pas lui même ces derniers mois. Mais cela ne change rien au fait que ces meurtres s’arrêtent enfin. Je vais pouvoir l'annoncer aux médias.
- Cela va sûrement vous faire valoir une promotion, toute la ville va vous encenser...
- Cela est normal, après tout je suis celui qui a arrêté ce tueur en série. Je vais sûrement avoir une promotion, pour mon état de service formidable. Quelle réussite !
- Eh bien, mon Fils, quelle fierté ! Le sentez-vous ? Ce sentiment... d'orgueil ? Exactement comme je l'avais prévu.
- Comme vous aviez prévu ? Je ne comp- Attendez, vous parlez d’orgueil... Mais oui... Tous ces meurtres... Ils sont liés ! Mais il en manque... Non... Ce n'est pas possible... Mon père... Vos yeux !
La suite de l'enregistrement n'est faite que de cris. L'agent Jack M. a été retrouvé seul dans la pièce, un stylo planté dans l’œil. Avec son sang, le tueur a dessiné au-dessus de sa tête une couronne.
Le prêtre, lui, n'a jamais été retrouvé.
je vais au toilette
RépondreSupprimerPTDRRRRRRR
SupprimerPetite précision pour ceux qui on mal compris:Le prêtre n'est pas le tueur !C'est plutôt le démon qu il a en lui car Juan avez les yeux bizarres selon le prêtre et le policier lui fait la même remarque.
SupprimerPS:JE N'AI RIEN A VOIR AVEC CHRIS (poisson fécon) ce pseudo vient de mon minecraft créé en 2010 et je ne connaissait pas sa chaine en ce temps la.
Belle pasta .enfin "belle"
petite correction je ne pense pas que cela soit un demon mais plutot une entité divine qui tel un bourreau chati les auteurs de pechés capitaux fesant le bonheur des demons je vous rappelle sinon super creepy j'adore meme si perso je voyais la fin venir ;)
SupprimerEfficace
RépondreSupprimerAh oui first (pour la première fois de ma vie)
Même pas ;-;
SupprimerSympa, j'ai pas vu venir tout de suite les péchés capitaux. Même si je me doutais qu'il y allait avoir un truc du genre "c'est le prêtre", c'était quand même assez sympa ^^
RépondreSupprimerAaaaah! C'est grâce à ton commentaire que j'ai compris pour les péchés capitaux... Franck : L'avarice, Peter : L'envie, la prostituée : La luxure, Mickaël : La colère, l'homme obèse : La paresse, Kevin : La gourmandise et donc Jack l'orgueil...
SupprimerOuah, franchement chapeau.
Pour moi, ça fait une bonne chute, le prêtre qui se révèle être le tueur... Nice.
Je m'incline. Je tire pa révérence.
Et désolée (ou de rien?) pour le résumé! ^^
*ma
SupprimerPardon faute de frappe x)
Baah l'histoire des péchés capitaux c'est évident à peu près depuis la moitié, quand on se rend compte que l'auteur développe des aspects de la personnalité des victimes assez particulier, et donc que ça sert nécessairement l'intrigue :D mais sinon excellente creepypasta, vraiment.
SupprimerAprès, ça dépend aussi quand on comprend l'histoire et si on l'a comprise! ;)
SupprimerMoi,j'avais pas vraiment compris , j'avais relu la fin plusieurs fois puis j'ai lu les commentaires, seulement là (grâce à Bastien Allier) que j'ai compris! ;)
Nan au contraire merci pour le résumé moi je pansais que le prêtre était juste fou mais c'est beaucoup plus subtil, merci de ton explication ;)
RépondreSupprimer*pensais
SupprimerDe rien alors ! :)
SupprimerMais c'est surtout au commentaire de Bastien Allier que j'ai compris! ;)
Puisqu'il l'a clairement dit :p
SupprimerSeven en moins bien.
RépondreSupprimerUn peu prévisible, le coup des 7 péchés capitaux se captent dès la première mort. Tous les éléments sont données dans une bonne description compacte des meurtres, donc on peut faire le lien très rapidement. Les personnages sont évidemment stéréotypés : la catin, le méchant capitaliste, le no-life etc... Je pense que ça aurait mérité plus de travail, surtout pour un thème aussi récurrent et cliché que les 7 péchés capitaux. #JéromeBosch #Seven #OttoDix #AmericanHorrorStory #Judge #DivineComédie #FullMetalAlchemist #Bible.
RépondreSupprimerÉcrivez quelque chose sur les 7 vertus catholiques, ce serait un peu plus original.
Et les chroniques du mal !
SupprimerBelle reference a Seven,Bonne pasta en tout cas meme si c'etait assez previsible
RépondreSupprimerLà, il l'a attachée, puis poignardée avec des crochets, avant de la suspendre par les seins. "
RépondreSupprimerJ'ai l'impression d'avoir déjà vu ça quelque part......
Va s-y continue...
SupprimerSuper creepy, je m'attendais au début que le prêtre était l'assassin, (qui aurait une double personnalité), mais c'était beaucoup plus poussé que ça, puis merci au commentaire du dessus, je n'avais pas vu venir les pêchés capitaux :)
RépondreSupprimerLà, je vois surtout un démon, qui est nourri grâce au pêchés. ;)
Bonne creepypasta malheureusement quand on en lit trop on devine la chute dès le premier paragraphe j'ai facilement deviné que le prêtre était le meurtrier par contre le coup des 7 péchés capitaux était gros comme un éléphant et j'ai pas remarqué GG
RépondreSupprimerperso j'ai directement compris pour les 7 péchés
RépondreSupprimerperso j'ai directement compris pour les 7 péchés
RépondreSupprimerUn peu léger quand même... Le coup des 7 pêchés est traité de manière vraiment peu original, c'est du vu et du revu et du rerevu. J'ai trouvé les dialogue un peu confus et comment dire, non naturel entre les deux protagonistes, on ne percevait aucune émotions sincères (surtout vers la fin).
RépondreSupprimerBon, ça se laisse lire quand même et tout travail mérite salaire :) alors bravo tout de même.
Je dirais même que c'est du rererevu !
SupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
SupprimerIl entend des voix, c'est Juan d'Arc
RépondreSupprimerHaha haha !! Bueno !
SupprimerMdrrrrr tu m'as tué
SupprimerMdrrrr bien trouvé x)
SupprimerCa rappelle le film seven avec à la fin un des enquêteurs qui s'avèrent être un des pêchés aussi, très prévisible, on capte dès le début.
RépondreSupprimerLe fait qu'un démon punisse en fonction des sept pêchés capitaux ce n'est pas très logique...
Spoil ! Amenez le briquet !
SupprimerPis le lendemain, y a Morgan Freeman et Brad Pitt qui arrivent avec leurs cafés starbuck et leurs manteaux longs de flics.
RépondreSupprimerPas mal la creepypasta, mais c'est un peu du copiage de Seven ^^ J'voudrais pas faire ma raclette, mais faudrait voir à pas trop pomper sur les classiques.
J'voudré pas fère ma raclette mais faut pas paigné la girafe !
SupprimerÇa, ressemble à Seven quand même.
RépondreSupprimerÇa, ressemble à Seven quand même.
RépondreSupprimerJ'allais dire la même chose :')
SupprimerBizarrement c'est tout ce qui se passe dans Seven, c'est pas vraiment une ressemblance, c'est juste un résumé du film :')
La fin laisse penser que le véritable assasin est le diable.
RépondreSupprimerEt si vous en ecriviez une messieurs les ecrivains professionnel? J'aimerais bien voir ca
RépondreSupprimerDonc on est obligé d'etre Stephen king pour critiquer une oeuvre ? fils de pute
SupprimerC'est comme dans le film SEVEN
RépondreSupprimeravarice jalousie luxure colere paresse gourmandise - orgueuil
RépondreSupprimerj'aime beaucoup mais la fin est trop prévisible
RépondreSupprimerJe fais un petit recapitulatif pour ceux qui n'aurait pas compris. Le prêtre est possédé par un démon, comme Juan, et ses différentes victimes representent les 7 péchés capitaux :
RépondreSupprimerFrank.D le directeur --> Avarice
Peter le joueur de foot --> Jalousie
Là prostituée --> Luxure
Mikaël le boxeur --> Colère
L'homme inconnu --> Paresse
L'enfant --> La Gourmandise
Et le policier --> L'orgueil
je me suis douté dès le début que le prêtre parlait de lui mais sans cela c'est très bien raconté !
RépondreSupprimer