Si vous lisez ceci, je suis sûrement mort.
"Ma vie n'a été bercée que par la pauvreté. Je n'ai jamais eu d'endroit où dormir. Je n'ai presque jamais pu manger quelque chose de propre, les seuls aliments que je mange viennent des poubelles. Aussi, je ne supporte pas les gens qui vivent dans un état supérieur au mien. Quand je dis "supérieur", je parle des gens qui ont un toit, qui mangent des choses propres...
Je voue une haine complète pour ces personnes, je rêve depuis tout petit de les tuer... une famille en particulier m'énerve, elle passe tout les jours et ils me prennent de haut, me rabaissent dès qu'ils en ont l'occasion... Une fois, j'étais entrain de fouiller les poubelles afin de trouver un peu de nourriture. La femme vint vers moi, puis, elle me crache dessus. Je ne pouvais rien faire, juste m'apitoyer sur mon sort... cette situation m'énervait trop, il fallait que ça change...
J'ai donc commencé à dealer pour me faire de l'argent afin d'acheter quelque chose de pointu, qui me permettrait de mettre fin à leurs existences... au bout de 3 ans de loyaux services, on finit par me donner un Colt. Par chance, la famille était toujours là.
Le meurtre, je voulais qu'il se passe comme ça :
Pendant un mois, j'observerai la famille pour savoir l'horaire de départ des parents, le moment où ils laissent leurs enfants seuls. Une fois que j'aurai trouvé une faille, je viendrai sonner à la porte. La petite fille m'ouvrirait, je lui dirai que je suis un ami de son père, qu'il fallait qu'elle me laisse entrer.
Du haut de ses douze ans, elle me dira que ses parents ne sont pas là et elle fermera la porte. Mais j'aurai mis mon pied devant et j'entrerai de force, lui enfonçant la porte dans la tête. Je logerai une balle entre les deux yeux de la gamine, entre temps, leurs frères rappliqueraient et je leur réserverai le même sort qu'à leur pute de sœur.
Je me cacherai derrière la porte et j'attendrai les parents. Je tuerai le père de sang froid. Mais, cette pute, cette pute qui me méprise chaque jour, elle elle souffrirait, je la tirerai par les cheveux et je lui montrerai le cadavre de ses trois chers enfants, puis, celui de son mari. Si elle pleure, je tirerai des balles dans le corps de ses gamins, jusqu'à ce qu'elle me supplie d'arrêter. Si je n'ai plus de balle, je lui arracherai les yeux, je lui briserai les côtes, je la poignarderai jusqu'à ce que mort s'en suive.
Les cinq vies détruites, j'attendrai la nuit, je regarderai les corps avec passion, avec amour, l'amour de voir mon travail accompli, la conscience d'un pauvre homme soulagé . Pendant la nuit, je tracterai les corps vers la forêt, je les abandonnerai et je remettrai ça avec toutes les familles qui oseraient recommencer.
En réalité, ça ne s'est pas passé comme prévu...
Après avoir finement observé leurs allers et venues, je me mis en route vers leur domicile. Aussitôt après avoir toqué, la petite me répondit mais n'ouvrit pas la porte. Elle me demanda ce que je voulais. Je lui dis que j'étais un ami de son père, que je devais absolument le rencontrer, j'essayais de ruser, plus que prévu.
Elle ne marcha pas. Je partis, déçu. Une heure après, je suis revenu. J'ai sonné, je suis parti. Elle ouvrit. Elle semblait avoir oublié mon passage. Je me jetai sur elle, l'empêchant de crier. Je sortis mon Colt, je lui tirai une balle dans la tête. C'est à ce moment là que j'ai perdu le contrôle. Ses frères avaient peur et ils n'osaient pas descendre. Je suis allé dans la cuisine et j'ai pris un couteau. Je me suis penché vers elle. J'ai commencé à creuser sa peau, à enlever ses yeux, briser tous les os. Je m'amusai avec son pauvre corps mort.
Quand mon désir satanique fut apaisé, je montai à l'étage, je sifflotait une chanson, je ne sais plus laquelle c'était... les deux garçons étaient mal cachés, ils étaient sous leurs lits. Pour m'amuser avec leurs vies, je posa le couteau à terre, je l'envoya valser sous le lit. Le plus jeune poussa un cri de douleur : je lui avais crevé l'œil gauche.
Je le pris avec moi, je le tirai hors du lit. Il pleurait, c'était jouissif, c'était unique. Je pris son corps et lui ouvris le ventre. L'estomac, le foie, les tripes sortaient et gisaient à terre. Le pauvre enfant venait d'expirer. NON. Je voulais m'amuser plus.
Son frère pleurait, il me demandait d'arrêter. Mais moi, je ne voulais pas. Je voulais qu'ils souffrent. Que tout le monde souffre. Je le pris, je lui demanda où était sa trousse d'école. Il me l'apporta, sans problème. Je pris sa paire de ciseaux. Je le frappai au visage, je lui brisai les os du nez. Je le pris et je sectionnai ses yeux. J'enveloppai les corps dans leurs couvertures, je les laissai à l'étage, attendant leurs parents.
Justement, ils rentraient ! Je me positionna derrière la porte. Je décidai de tuer le père d'une balle dans la tête. La femme cria, elle se débattit. Pour la punir de son mauvais comportement, je décidai d'arracher ses dents une à une. Elle soufrait, elle saignait. J'étais heureux. Je me mis en route vers le garage, dans le but de trouver un marteau.
L'objet trouvé, je vins retrouver la femme. Elle était en train d'appeler la police, les policiers ne la comprenait pas : en effet, sans les dents, il est difficile de se faire comprendre. Je riai fort, très fort, pour me moquer d'elle. Je m'approchai du téléphone et plantai le marteau dedans. Elle était dépitée, elle pleurait... je l'emmenai sur le canapé. Je lui brisai tout les os, un par un, pour remonter jusqu'au crâne et la tuer. J'embarquai les corps et me mis en route vers la forêt. Un feu de camp était encore allumé. Je plaçai les corps dans le feu. L'odeur de chair brûlée m'emplit les narines. J'étais heureux. C'était ce parfum que j'attendais depuis le début.
Je pensai à mon geste, n'avait-il pas été trop cruel ? Non. Tout ce que j'avais fait, ils le méritaient. Je m'endormis, près du feu. Le sourire aux lèvres.
A mon réveil, j'étais attaché dans un camion. Puis on me transféra dans une cellule. Je ne sais pas pourquoi, il y a une lime dans le pain. Je vais l'utiliser non pas pour m'échapper, mais pour me tuer. Je sauterai de la fenêtre et je serai empalé au poteau.
L'odeur du feu est toujours la meilleure.
"Ma vie n'a été bercée que par la pauvreté. Je n'ai jamais eu d'endroit où dormir. Je n'ai presque jamais pu manger quelque chose de propre, les seuls aliments que je mange viennent des poubelles. Aussi, je ne supporte pas les gens qui vivent dans un état supérieur au mien. Quand je dis "supérieur", je parle des gens qui ont un toit, qui mangent des choses propres...
Je voue une haine complète pour ces personnes, je rêve depuis tout petit de les tuer... une famille en particulier m'énerve, elle passe tout les jours et ils me prennent de haut, me rabaissent dès qu'ils en ont l'occasion... Une fois, j'étais entrain de fouiller les poubelles afin de trouver un peu de nourriture. La femme vint vers moi, puis, elle me crache dessus. Je ne pouvais rien faire, juste m'apitoyer sur mon sort... cette situation m'énervait trop, il fallait que ça change...
J'ai donc commencé à dealer pour me faire de l'argent afin d'acheter quelque chose de pointu, qui me permettrait de mettre fin à leurs existences... au bout de 3 ans de loyaux services, on finit par me donner un Colt. Par chance, la famille était toujours là.
Le meurtre, je voulais qu'il se passe comme ça :
Pendant un mois, j'observerai la famille pour savoir l'horaire de départ des parents, le moment où ils laissent leurs enfants seuls. Une fois que j'aurai trouvé une faille, je viendrai sonner à la porte. La petite fille m'ouvrirait, je lui dirai que je suis un ami de son père, qu'il fallait qu'elle me laisse entrer.
Du haut de ses douze ans, elle me dira que ses parents ne sont pas là et elle fermera la porte. Mais j'aurai mis mon pied devant et j'entrerai de force, lui enfonçant la porte dans la tête. Je logerai une balle entre les deux yeux de la gamine, entre temps, leurs frères rappliqueraient et je leur réserverai le même sort qu'à leur pute de sœur.
Je me cacherai derrière la porte et j'attendrai les parents. Je tuerai le père de sang froid. Mais, cette pute, cette pute qui me méprise chaque jour, elle elle souffrirait, je la tirerai par les cheveux et je lui montrerai le cadavre de ses trois chers enfants, puis, celui de son mari. Si elle pleure, je tirerai des balles dans le corps de ses gamins, jusqu'à ce qu'elle me supplie d'arrêter. Si je n'ai plus de balle, je lui arracherai les yeux, je lui briserai les côtes, je la poignarderai jusqu'à ce que mort s'en suive.
Les cinq vies détruites, j'attendrai la nuit, je regarderai les corps avec passion, avec amour, l'amour de voir mon travail accompli, la conscience d'un pauvre homme soulagé . Pendant la nuit, je tracterai les corps vers la forêt, je les abandonnerai et je remettrai ça avec toutes les familles qui oseraient recommencer.
En réalité, ça ne s'est pas passé comme prévu...
Après avoir finement observé leurs allers et venues, je me mis en route vers leur domicile. Aussitôt après avoir toqué, la petite me répondit mais n'ouvrit pas la porte. Elle me demanda ce que je voulais. Je lui dis que j'étais un ami de son père, que je devais absolument le rencontrer, j'essayais de ruser, plus que prévu.
Elle ne marcha pas. Je partis, déçu. Une heure après, je suis revenu. J'ai sonné, je suis parti. Elle ouvrit. Elle semblait avoir oublié mon passage. Je me jetai sur elle, l'empêchant de crier. Je sortis mon Colt, je lui tirai une balle dans la tête. C'est à ce moment là que j'ai perdu le contrôle. Ses frères avaient peur et ils n'osaient pas descendre. Je suis allé dans la cuisine et j'ai pris un couteau. Je me suis penché vers elle. J'ai commencé à creuser sa peau, à enlever ses yeux, briser tous les os. Je m'amusai avec son pauvre corps mort.
Quand mon désir satanique fut apaisé, je montai à l'étage, je sifflotait une chanson, je ne sais plus laquelle c'était... les deux garçons étaient mal cachés, ils étaient sous leurs lits. Pour m'amuser avec leurs vies, je posa le couteau à terre, je l'envoya valser sous le lit. Le plus jeune poussa un cri de douleur : je lui avais crevé l'œil gauche.
Je le pris avec moi, je le tirai hors du lit. Il pleurait, c'était jouissif, c'était unique. Je pris son corps et lui ouvris le ventre. L'estomac, le foie, les tripes sortaient et gisaient à terre. Le pauvre enfant venait d'expirer. NON. Je voulais m'amuser plus.
Son frère pleurait, il me demandait d'arrêter. Mais moi, je ne voulais pas. Je voulais qu'ils souffrent. Que tout le monde souffre. Je le pris, je lui demanda où était sa trousse d'école. Il me l'apporta, sans problème. Je pris sa paire de ciseaux. Je le frappai au visage, je lui brisai les os du nez. Je le pris et je sectionnai ses yeux. J'enveloppai les corps dans leurs couvertures, je les laissai à l'étage, attendant leurs parents.
Justement, ils rentraient ! Je me positionna derrière la porte. Je décidai de tuer le père d'une balle dans la tête. La femme cria, elle se débattit. Pour la punir de son mauvais comportement, je décidai d'arracher ses dents une à une. Elle soufrait, elle saignait. J'étais heureux. Je me mis en route vers le garage, dans le but de trouver un marteau.
L'objet trouvé, je vins retrouver la femme. Elle était en train d'appeler la police, les policiers ne la comprenait pas : en effet, sans les dents, il est difficile de se faire comprendre. Je riai fort, très fort, pour me moquer d'elle. Je m'approchai du téléphone et plantai le marteau dedans. Elle était dépitée, elle pleurait... je l'emmenai sur le canapé. Je lui brisai tout les os, un par un, pour remonter jusqu'au crâne et la tuer. J'embarquai les corps et me mis en route vers la forêt. Un feu de camp était encore allumé. Je plaçai les corps dans le feu. L'odeur de chair brûlée m'emplit les narines. J'étais heureux. C'était ce parfum que j'attendais depuis le début.
Je pensai à mon geste, n'avait-il pas été trop cruel ? Non. Tout ce que j'avais fait, ils le méritaient. Je m'endormis, près du feu. Le sourire aux lèvres.
A mon réveil, j'étais attaché dans un camion. Puis on me transféra dans une cellule. Je ne sais pas pourquoi, il y a une lime dans le pain. Je vais l'utiliser non pas pour m'échapper, mais pour me tuer. Je sauterai de la fenêtre et je serai empalé au poteau.
L'odeur du feu est toujours la meilleure.
j'ai peur des SDF maintenant xD
RépondreSupprimerJ'adore ce genre de pasta bien violente et sanglante !
RépondreSupprimerHello, je suis l'auteur de la pasta ! Merci pour vos commentaires, qui me font plaisir, je ne sais pas si je ferai une suite mais merci !
RépondreSupprimerJeffthekiller Frenchfangirl
RépondreSupprimerFais une suite please !!
Encore plus gore ! :-) :-)
Faut être gentil avec les SDF faut pas leur cracher dessus...
RépondreSupprimerbon si je finis sdf je sais se qu'il me reste a faire:oui trouver un travail, vous était en train de pensez a quoi?
RépondreSupprimer*-*
RépondreSupprimerdla merde du gore pour du gore pas ambiance rien que du sang aucun interet '-' mais ça ferait un super film pour ado
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