Il s’appelait
Nicolas James Dassart, il était né le jeudi 23 septembre 1976 et
décédé le mardi 10 novembre 2009 à l’âge de 33 ans.
C’est
tout ce que je savais sur ce type. Notre but était d’être le premier à
trouver sa tombe. Je sais, c’est stupide et irrespectueux comme "jeu" et
j’en assume entièrement les conséquences. Pourtant, Jeremy et moi le
trouvions à la fois angoissant, ce qui est dû à la séparation dans un
cimetière à une heure tardive, et existant. Tous ceux ayant vu un
quelconque film d’horreur penseront à la scène qui les a fait frissonner de
la tête aux pieds pendant une balade nocturne dans un cimetière. L’endroit
ultra-classique des phénomènes paranormaux.
Nous
sortions d’un anniversaire lorsque cette idée m’avait effleuré. Je ne
vous cache pas qu’à ce moment-là nous n’étions pas dans un état des plus
clean. Jeremy devait passer la nuit chez moi parce que personne ne
pouvait le ramener. Je lui avais donc proposé de dormir à la maison.
Pour rentrer chez moi, on est obligé de longer le mur d’un cimetière et
c’était là que ce fameux "jeu" m’était venu à l’esprit. C’est
moi, moi seul, qui ai proposé cette sorte de course puérile. Jeremy,
lui, était très impatient de commencer la partie. Je nous ai donc mis
au défi de chercher un homme ayant perdu la vie à l’âge de 33 ans.
Pourquoi 33 ans ? Je n’en ai aucune idée. La première personne à trouver
ce qu’on devait rechercher devrait crier haut et fort "Trouvé !" et
remporter la partie. Nous avons donc débuté.
Au
départ nous courions partout, on ne voyait pas grand-chose étant donné
l’obscurité et la légère brume qui recouvraient l’espace du cimetière.
Nous hurlions à chaque craquement de branche pour ensuite nous rendre
compte que nous étions les seuls responsables de ce bruit. J’ai alors
commencé à lire les inscriptions sur toutes les tombes. Au bout d'un
certain moment, nous nous sommes retrouvés tous les deux afin de
chercher ensemble, mais sans succès. Nous n'avions trouvé personne mort à
l’âge de 33 ans. Au final, nous sommes rentrés à la maison.
Le
lendemain matin, je me souviens avoir eu un horrible mal de crâne. Je
me suis donc dit que c'était à cause de la soirée précédente, mais cela
a duré tous les jours pendant une semaine. Heureusement, ça a fini par aller
mieux assez rapidement. Pourtant, je continuais à m’imaginer le pire: je pensais
avoir chopé quelque chose, une maladie, un virus. Je n’étais pas du tout
serein cette semaine-là. Je m’étais juré aussi de ne plus boire un seul
verre d’alcool. Sept jours après la soirée, cette foutue migraine avait
enfin disparu. Quel soulagement quand je me suis réveillé ce matin-là
!
La
nuit venait de tomber ce dimanche 17 novembre. À cette période de
l’année, le soleil se couche plus tôt que d’habitude. La pluie était elle
aussi au rendez-vous. Pour me fondre dans l’ambiance, j’avais décidé de
regarder un film d’horreur. Il s’agissait de « The Ring ». Vous ne
connaissez pas l’histoire ? Alors je vais vous la résumer vite fait. En
gros, le film fait sujet d’une cassette portant en elle-même une
malédiction. Une fois que la cassette aurait terminé sa bande, la personne
l’ayant visionnée recevrait un appel lui révélant qu'elle mourra dans
sept petit jours. Pas mal comme concept vous ne trouvez pas ? C’est
digne d’une légende urbaine ! Ne trouvant pourtant pas le film très
pertinent, je m'étais endormi devant. Je me suis par la suite réveillé
soudainement à cause du bruit de mon portable qui vibrait, ce qui a provoqué la chute de celui-ci. Le film quant à lui était fini, il ne
restait plus que le générique qui défilait. Comme c’est ironique de
recevoir un message juste après que ce film soit terminé. En plus de ça,
je ne connaissais pas la personne qui l'avait envoyé. Le numéro m’était
inconnu. J'ai donc ouvert le message afin de le lire. La personne qui me
l'a envoyé, à 00h38, avait juste écrit: "Bonne nuit."
J’ai
trouvé ça tellement étrange que je n’ai pas osé répondre au
destinataire. J’ai attendu le lendemain pour me rendre en cours afin
d’essayer de voir qui aurait pu m’envoyer ce message. Dans le bus, je
n’arrêtais plus d’y penser. J’en étais arrivé à la conclusion qu’il
s’agissait sûrement d’un ami voulant me faire une farce, ou tout
simplement quelqu’un qui aurait changé de téléphone. À chaque fois que
j’allais voir un ami, j’étais forcé de demander si c’était lui l’auteur
du message où s’il connaissait le numéro. Mais à chaque fois, j’avais
une réponse négative.
À la cantine, j’ai pris mon courage à deux
mains et j’ai envoyé un message à mon tour à une personne qui m'était
inconnue. Comme toute personne ne connaissant pas un numéro, j’avais
envoyé "C’est qui?" J'ai reçu directement une notification me disant
qu’il était impossible d’envoyer mon message et qu’il fallait que je
réessaie. Au bout de plusieurs essais, j'ai pris la décision de l’appeler.
Le numéro que j’avais composé n’était plus attribué. Lorsque cette
voix m'en a informé, j'ai vraiment commencé à m’inquiéter. Au final,
j’ai essayé par tous les moyens d’oublier petit à petit cet
évènement.
Je
me sentais vraiment mieux quand je suis enfin rentré chez moi. Ma mère
me posait les questions habituelles du genre: "Comment s'est passée ta
journée ?" ou encore "T'as eu des notes ?". Je me sentais mieux, c’est
vrai, mais j’étais fatigué, comme tous les lundi soir. Je suis allé me coucher tout de suite après avoir mangé.
Durant
la nuit, je me suis réveillé. Il faisait terriblement chaud dans ma
chambre. Il y avait comme un bruit sourd que je ne pouvais pas situer
dans la pièce. J’en suis arrivé à ouvrir ma fenêtre, quand
j’ai entendu la porte se claquer alors que j'étais certain de l'avoir déjà fermée. Puis tout est redevenu normal. Cette chaleur avait
disparu.
C’est alors que j'ai reçu un message. Mais cette
fois-ci, le portable n’était plus sur vibreur. Au contraire, il y avait
une sonnerie que je n’avais pas sur mon portable. C’était une chanson très ancienne. Je ne pourrais malheureusement pas vous
donner le nom, mais rien qu’à la qualité du son je pouvais comprendre
qu’elle ne datait pas d’aujourd’hui. Le message s’est directement
affiché sans que je prenne la peine de déverrouiller mon téléphone.
L’auteur de ce message était le même que celui de la nuit dernière. Il
avait également pris soin de l’envoyer à la même heure. J'ai alors lu le
message.
"C’est moi qui t’ai trouvé."
Pris de
panique et envahi par la peur, j’ai sans plus attendre éteint mon
portable et retiré la batterie. Je me suis ensuite placé sous les
couvertures en essayant de me rendormir. J’ai pensé qu’il s’agissait
de Jeremy, car lui seul aurait pu avoir un lien avec ce message.
Celui-ci me rappelait furieusement la balade dans le cimetière où il
fallait trouver un homme mort à l’âge de 33 ans. Je n'ai pas dormi de toute la nuit.
Au matin, j’ai supplié ma mère de me laisser rester à la maison. J’ai vraiment eu du mal à la
convaincre, mais par chance, elle me l'a accordé. Je me suis remis dans mon lit et j’ai rallumé mon
portable afin d’appeler Jeremy. Il a juré sur sa propre vie qu’il n’était pas l’auteur de ces deux messages. Ce qui ne m'a pas rassuré pour autant.
Je n’ai pas parlé de la nuit dernière à ma mère car j’avais peur
qu’elle me prenne pour un fou, ou qu’elle me dise: "C’est sûrement un
de tes amis qui te fait une blague !". Mais plus j'y pensais, plus je me
disais qu’il s’agissait de quelque chose de bien plus inquiétant.
Peut-être était-ce l’œuvre d’un hackeur ? Mais comment ça pourrait
expliquer ce claquement de porte alors que je n’avais même pas eu le
temps d’ouvrir la fenêtre, d'autant plus que je l’avais déjà fermée avant
d’aller me coucher ? Et cette chaleur, ce bruit ? Tellement de choses que
je ne pourrais pas expliquer. Dans l’après-midi, je me suis baladé sur
divers forums pour trouver une explication. Mais je tombais sans arrêt sur des forums parlant de spiritisme, de paranormal, de démons
maléfiques. Bref, des forums sur lesquels je ne trouvais rien de crédible. J’ai même composé le numéro de la personne dans la
barre de recherche pour tenter de la trouver. Sans résultat bien sûr.
Par la suite, j’ai recherché toutes les personnes décédées à l’âge de 33
ans dans la région. Je suis tombé sur un site proposant une liste
immensément grande des personnes disparues à cet âge-là. Il y en avait
une qui avait été enterrée dans le petit cimetière à côté de chez moi.
Pourtant, cette nuit-là, nous n’avions trouvé aucune tombe d’un
homme s’appelant Nicolas James Dassart. Il avait eu un accident de
voiture un mardi et était mort sur le coup.
Cette
histoire me rendait fou. J’ai relu les forums concernant des
témoignages sur le paranormal. J’ai également découvert qu’il y avait
trois stades dans l’activité démoniaque. Infestation, oppression puis
possession. L’infestation se résume à des chuchotements, des bruits
sourds ou la sensation d’une autre présence, ce qui nous amène à
l’oppression. C’est-à-dire que la victime, généralement sensible
psychologiquement et vulnérable, est ciblée par une force externe qui va
tenter de l’envahir pour la détruire moralement. C’est une fois que la
victime est au plus faible que nous arrivons au troisième stade: la
possession.
Je
regardais même des documentaires sur les forces invisibles. Cela me
faisait trembler mais pourtant je continuais. Au bout d’un moment,
j’ai fixé mon téléphone en chuchotant qu'on me laisse tranquille. Même
si je ne savais pas vraiment à qui m'adresser. Je suis resté tellement
longtemps à le regarder que ma mère m'a surpris en train de parler tout
seul. Je n’avais même pas remarqué qu’elle était rentrée du boulot. Je
me souviens m’être énervé contre elle car elle m’avait demandé en
rigolant si tout allait bien. Je l’avais violemment mal pris.
Je
me suis tranquillement couché sur mon lit en écoutant de la musique
avec mes écouteurs pour me détendre. Je somnolais, quand ma musique s'est coupée pour laisser entendre un bruit strident. Je
les ai vite retirés et j'ai couru vers la porte, mais celle-ci était bloquée de
l'extérieur. Je hurlais pour que ma mère vienne me voir, jusqu’à ce que
j’entende à nouveau cette sonnerie. Je ne voulais même pas lire le
message, alors j’ai retiré la batterie sans même prendre la peine de
l’éteindre. Le portable sonnait encore. L’écran clignotait sans arrêt.
La sonnerie avait un son légèrement modifié, ce qui la rendait de plus en
plus angoissante. Lorsque j’ai posé les yeux sur le téléphone afin de
lire le message, la sonnerie s'est stoppée et j'ai de nouveau senti cette chaleur.
"Regarde dans ton miroir."
Dans ma chambre
se situait un assez grand miroir qui était implanté sur l’armoire en
face de mon lit. J'ai perçu à nouveau un bruit sourd qui
s'est transformé petit à petit en chuchotement. Je me retournais partout où
je pouvais pour tenter de comprendre d’où provenaient ces chuchotements
incompréhensibles, quand j’ai remarqué au coin de l’œil mon miroir. Je
me suis arrêté aussitôt pour me retourner délicatement en face du
miroir. Je suis resté bloqué un moment, et j'ai pu voir un sourire se dessiner
sur mon reflet.
C’est alors que j'ai aperçu ma mère derrière
moi. J’avais l’impression d’avoir raté quelque chose. Elle m’a
demandé pourquoi je hurlais comme ça. Je n’avais même pas eu la force de
lui répondre tellement je n’étais pas sûr de ce que j’avais vu.
J’étais
épuisé par ce qui s’était passé depuis le premier message. Aurais-je dû
en parler ? Je ne pense pas. On m’aurait sans doute pris pour un fou
bon à finir à l’asile. Raconter une histoire pareille à des personnes
inconnues, je n’y pensais même plus. J’avais complètement perdu espoir de
ce côté-là. Je sentais cette chaleur me suivre partout dans la maison,
mais ma mère m'a fait comprendre que j’étais le seul à la sentir vu la
réponse qu’elle m’a donnée lorsque j'ai mentionné le sujet. J'avais perdu l'appétit. J’avais le sentiment
que quelque chose me suivait où que j’aille. Je n'ai toujours pas trouvé
les mots pour vous décrire à quel point j'étais persuadé que cette chose
était tout le temps à mes côtés. Je n’osais même plus me regarder dans
un miroir. J’étais persuadé que c’était la fameuse personne que nous
recherchions dans le cimetière.
Peut-être que tout est dans ma
tête. Peut-être que cette histoire m’est trop montée à la tête.
Peut-être que j’ai été naïf de croire en ce que disait de nombreux
témoignages sur internet. Peut-être qu’à force d’y penser je ne fais que
voir des choses qui n’ont pas eu lieu. J’aimerai être sûr que tout cela
ne soit qu’une petite partie de ma vie et que plus tard j’en rigolerai,
mais j’ai le sentiment que ce n’est pas près d’arriver.
00h38. Je n’ai pas reçu de message, même si je
m’attendais à en recevoir un. Le lendemain, je suis retourné en cours et
je peux vous dire que je me sentais beaucoup mieux que chez moi. Je ne
voulais même plus que la journée se termine. Dans le bus, je redoutais
le retour à la maison. Je ne voulais plus être confronté à de tels
évènements. Le pire dans tout ça, c’est que je me sentais affreusement
seul. Il n’y avait que moi pour me sortir de ce cauchemar. Quand j’ai
ouvert la porte d’entrée, j'ai pu distinguer une odeur dérangeante
partout dans la maison. Sur le comptoir de la cuisine, il y avait un mot
de ma mère qui disait : "Laurent, Nicolas m’a appelé, il va venir te voir pour les devoirs vers 18h. Ne fais pas de bêtises."
J'ai tenté plusieurs fois d’appeler ma mère mais je tombais sur son
répondeur. Aussitôt après, j'ai reçu un message de ce fameux
Nicolas.
Je
ne voyais plus son numéro. Il avait été remplacé par "Ton nouvel ami".
Nicolas avait rédigé sur son message: "Je suis devant ta porte d’entrée.
Ouvre-moi." Je suis resté figé un long moment devant la porte quand
celle-ci a commencé à trembler dans tous les sens comme si quelqu’un
voulait absolument entrer. J'ai couru sans plus attendre dans ma chambre
afin d’appeler la police, mais mon portable ne réagissait plus.
J’ai entendu la porte d’en bas s’ouvrir au point de claquer contre le mur,
puis elle s'est fermée à nouveau. La chaleur était de nouveau présente.
L’odeur empestait de partout. Au bout d’un moment, j'ai pu remarquer des empreintes humides se déplacer dans le couloir en se dirigeant
vers ma chambre. Je me suis précipité vers la porte pour la fermer. Je
l’ai ensuite bloquée grâce à la chaise de mon bureau. Puis tout s'est
calmé d’un seul coup. La température était de nouveau normale et l’odeur
avait disparu.
J’ai entendu ma mère derrière la porte me dire de
lui ouvrir. Encore sous le choc, je lui ai demandé de me prouver qu’il
s’agissait bien d’elle. Elle n'a pas répondu tout de suite. Puis, elle
m’a à nouveau ordonné d’ouvrir la porte en haussant le ton. Afin de pas
l’énerver, j’ai ouvert la porte. Il n’y avait personne.
Le
couloir était anormalement plus grand et plus large que d’habitude. Il
était vide et sombre. J'ai fait quelques pas, puis je me suis retourné. Il n’y avait plus
de porte, seulement un mur. Je n’avais plus le choix que de m’aventurer
dans ce long couloir. Plus je marchais, plus je me voyais comme si
j’étais hors de mon propre corps, comme si j'étais spectateur de
moi-même. Le silence me faisait mal à la tête. Je ne pouvais pas dire un
mot. Seules mes jambes pouvaient encore bouger. À
partir d’un moment, je ne me suis plus senti marcher, et mon corps
s’éloignait de plus en plus de moi, comme si il m’abandonnait.
Le
silence avait cessé. Je distinguais des cris atroces. Je voyais
les murs trembler comme si quelque chose d’immense se trouvait juste
derrière. Puis, d’un seul coup, je me suis retrouvé face à moi. Et j'ai vu que ce n’était pas vraiment moi, mais une autre personne. J'ai vu de
nouveau ce sourire encore plus malsain que la dernière fois, puis il
s’est approché d’un coup de mon oreille pour me chuchoter:
"Trouvé !"
C’est
alors que je me suis réveillé par terre, dans ma chambre, avec une sale
migraine.
Aussitôt
après, Jeremy est venu me voir en me demandant si j’avais bien dormi.
Étonné, je lui ai demandé ce qu’il faisait là. Et il m’a répondu
:
"Je
te rappelle au cas où qu'hier soir j’ai été en soirée avec toi et que
nous avons même fait un jeu dans le cimetière! L’alcool ne t'a pas
réussi, mon pauvre…"
À
peine quelques jours plus tard, en allumant mon ordinateur, j'ai constaté qu'une page
internet était déjà ouverte. C’était exactement le même site que dans mon rêve. Il y avait tous les
noms des personnes mortes à l’âge de 33 ans. Dans la liste, il y avait celui de Nicolas James Dassart.
Super, cette pasta me rappelle une émission que je regardais sur Planète No Limite, c'était "Hanté" qui racontait des histoires comme celle-ci avec des esprits malsains et des démons basé sur "des faits réels". A la lecture on ressent la même sensation qu'en regardant ce genre d'émission, franchement j'ai aimé
RépondreSupprimerJ'ai beaucoup apprécié également, cependant je regrette le début et la fin un peu posés genre "BAM il s'est passé ça et ça et pis ça a fait ça qui a...", j'étais vachement frustré, je m'attendais à un plot twist un poil mieux préparé. Mais j'ai bien frissonné !
RépondreSupprimerJe trouve le début brouillon .
RépondreSupprimerSinon , c'est quand même une bonne pasta , même si elle n'est pas dans mon style habituelle .
c'est assez original, la fin ne pas trop surprit.
RépondreSupprimerQuelqu'un pourrait-il m'expliquer la fin siouplaît ? Pas sûre d'avoir tout compris ^_^
RépondreSupprimerD'après ce que j'ai compris, ce n'était en fait qu'un rêve qui avait une part de réalité en soit vu qu'à la fin on comprend que nicolas à bien exister !
SupprimerDac merci :)
SupprimerLe coup du rêve gâche tout ! - -' Mais principalement, l'ambiance était vachement bonne , on se mettait bien dedans
RépondreSupprimerl'histoire était super!!! rien a dire!! et by the way ton blog est canon ;) jle suis depuis quelques jours et jle trouve trop bien fait!!! continue :) "Une admiratrice"
RépondreSupprimerAu moment où je lis: " J'ai alors lu le message:
RépondreSupprimer"C'est moi qui t'ai trouvé"
Pris de panique je regarde... C'était une notification Clash of Clans pour me dire que mon extracteur d'elixir avait fini d'être améliorer au niveau 7... --'
Mon téléphone vibre*
SupprimerCest moi ou il a un nom un peu galère le gars?
RépondreSupprimerj'ai flipper tout le long de la pasta
RépondreSupprimerSuper pasta, les pastas de ce genre me manquent
RépondreSupprimerchute assez original qui rend l'histoire encore meilleure
RépondreSupprimerSi je m'appelais Nicolas James je ferait de toute façon en sorte de mourir le plus tôt possible .
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