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vendredi 12 février 2016

Mémoire de flic

Salut à tous.  
Ça fait longtemps que j’ai pas updaté, je suis désolé. Mais j’ai du lourd.  
Comme je l’ai dit sur mon dernier post, j’ai récemment interviewé des anciens enquêteurs pour leur parler de leur métier, ce qu’ils ont aimé et détesté et surtout pour leur demander de me raconter l’expérience qui les a le plus marqués. Les trois quarts d’entre eux ça été leur première investigation, ou lorsqu’ils ont attrapé un tueur en série (pour les plus chanceux). Une histoire cependant m’a beaucoup marqué et je vais vous en faire part. 

C’était l’entretien que j’ai eu avec Frédéric Vanier. Ancien enquêteur retraité depuis 7 ans. Un homme impressionnant, grand et bourru mais chaleureux. Un homme, cependant, que la vie a rendu sec. Après m’avoir proposé un café dans son petit appartement en banlieue Parisienne, il m’a longuement parlé de sa vie au sein de la police. Ses espoirs, ses déceptions, ses collègues… Quand est venu le moment de parler de l'expérience qui l’a le plus marqué, son regard s’est voilé. 
 

Ci dessous j’ai réécrit mot à mot toute la conversation que j’ai enregistrée avec lui.
 


"Ah, vous savez, il s'en est passé des choses en 45 ans de carrière. Mais, je pense qu'il y en a une... Je ne l'ai encore racontée à personne. Il n'y a pas un jour où je ne repense pas à cette petite fille. Mon coéquipier est mort, et je pense que c'est le moment de raconter ce qui s'est passé, j'ai envie de me libérer de cette histoire,

C’était en 91. J’étais dans le Loir-et-Cher.
Ça a commencé par ce type qui arrive dans le commissariat, affolé. Il était grand et mince, un peu dégingandé, et, surtout, des cernes immenses. Comme s'il n'avait dormi depuis plusieurs jours.
On prend sa déposition, il répète qu’on vient le réveiller tous les soirs à 2h du matin. On était dans une petite ville, tout le monde se connaît un peu, et c'est étonnant d'entendre parler d'effractions à répétion comme ça en plein centre. Tu sais, il y avait pas mal de vieux qui vivaient là bas, et leur passe temps favori c'était de s'observer les uns les autres. S'il y avait eu un cambrioleur, on l'aurait probablement su plus tôt.
Je décide de m'occuper de cette affaire, et on, Maurice, mon coéquipier et moi, le suit jusqu'à chez lui. Je regrette encore aujourd'hui d'avoir embarqué Maurice là dedans.

Sa petite maison était très mignonne. C'était celle qui était en vente depuis plusieurs années. Il nous dit qu’il s'est installé ici, seul, après son divorce avec sa femme. Tout allait bien au début mais depuis quelques temps il entend des bruits dans la chambre du haut et dans l'escalier. Un peu en bas aussi mais il n'est pas sûr. Il a regardé plusieurs fois, rien n'a été volé. Il pense que ce sont des squatteurs étant donné que la maison est restée vide longtemps mais il n'ose pas descendre les chasser. Il pensait qu'ils s'en iraient tout seuls.

On commence à inspecter sa petite maison. Pas de trace d'effraction. C'est pas très étonnant, si les squatteurs venaient depuis un moment ils devaient avoir un double de la clef. Il n'y avait pas grand chose à voir. On lui propose de dormir avec un ami ce soir et de nous appeler si jamais ça recommençait. C'est là qu'il a éclaté en sanglots. Il nous a dit qu'il n'arrivait plus à dormir, il ne se sentait pas bien et il ne connaissait encore personne ici. Et puis il nous a dit, je m'en souviens comme si c'était hier :
‘’Messieurs, je serai prêts à vous payer 1000 francs si vous restez avec moi cette nuit’’.
Bon, 1000 francs, ça fait dans les 150 euros je crois aujourd'hui, mais le pouvoir d'achat était pas vraiment le même il y a 25 ans, et c'était une petite somme facilement gagnée. Donc Maurice et moi avons accepté de revenir le soir même.

Vers 21h lorsque la nuit s’est mise à tomber on est partis avec nos sacs de couchage pour se rendre chez lui. Il nous demande si on peut dormir dans la salle où les bruits commencent, toujours vers 2h du matin. C’est une petite pièce totalement vide et en travaux au bout du couloir. On décide de s’endormir pas trop tard, si on doit se réveiller à 2h.
Maurice avait pris son petit réveil et le règle pour 1h30 histoire de rien rater du spectacle.

[J’ai coupé une partie inintéressante pour cette histoire mais en gros ils s’endorment] 

Ça fait une bonne demie heure qu’on est assis sur nos sacs de couchages, il est 2h pile et il se passe rien. Alors on discute en chuchotant, de tout et de rien, de la femme de Maurice qui va accoucher de jumeaux, et de mon célibat, enfin, des conversations entre amis.
Il fait nuit noire et à part nos chuchotements et les moustiques, il n' y a vraiment pas un bruit.

C'est Maurice qui l'a entendu en premier. Un bruissement de drap, comme quelqu’un qui se lève. Là j'ai pensé que les squatteurs étaient dans la pièce. Et qu'ils sont entrés pendant qu'on dormait. On allume la lampe de poche, une grosse lumière dirigé en plein visage ça te réveille n'importe qui. Mais il n'y a personne. Pourtant, le bruit continue. Je me souviens que Maurice a commencé à crier : "Il m'a frôlé, il est sorti de la pièce". On sort donc. On ne voit pas grand chose avec ces lampes mais on inspecte un peu partout. Puis on entend la porte de l'escalier s'ouvrir et quelqu'un le dévaler de façon assez maladroite. Les pas sont étonnamment légers pour un squatteur. Une squatteuse me paraissait donc plus correct. J'ai commencé à me détendre. Ça serait plus facile que prévu. On descend à notre tour, on se dirige à l'oreille, on passe dans le salon, puis vers la cuisine.

C'est là que la porte de l'entrée a claqué. Encore une fois, on a suivi. Bon, on l'avait fait fuir, tu me diras, ça suffisait, mais j'avais comme un instinct. Je voulais savoir qui était cette petite.
Dehors, devant la maison, il y avait des graviers, ça faisait du bruit et on entendait clairement les pas de la personne devant nous sans réussir à la voir. Étrangement elle contournait la maison plutôt que de partir. Arrivée dans le jardin derrière, le silence est revenu.
On éclaire, personne aux alentours. C'est vraiment bizarre.
Encore une fois Maurice a été plus observateur que moi : il a remarqué le tout petit passage formé par un trou dans les fondations de la maison. Il y avait des traces de pas devant, les petites pierres étaient dégagées.
Ça descendait direct à la cave : elle était allée se cacher.
On s'est regardés en souriant, et c'est là qu'on a entendu un gros boum, un peu étouffé par l'épaisseur des murs et de la porte. Je pense pas que notre hôte aurait pu l'entendre.

J'ai cassé la vitre et je me suis glissé par la fenêtre qui menait au sous-sol. Heureusement que j'étais pas gros à l'époque. En plus il y avait tellement de meubles que ça formait un petit escalier de fortune.
Tu vois, dans ce genre de village, toutes les maisons sont agencées pareil, et je savais que cette jeune squatteuse ou fugueuse était coincée en bas.

La pièce est assez sale. Et ça sent une odeur absolument infecte. Des relents de pourriture. On éclaire chacun une partie de cette pièce. Il y a des boites en carton, une échelle, et au fond de la pièce, une grosse armoire. Elle est tombée sur le sol « face contre terre » comme on dit.
On entend des pleurs, des sanglots qui viennent de l'armoire.
Bon alors, ce que je vais te raconter, je ne l'ai encore jamais dit à personne, parce que je ne pense pas qu'on pourrait me croire. Mais je te dis ce qu'on a vu Maurice et moi.

Je m’approche de l’armoire. Avec Maurice, on la soulève pour la remettre droite. À ce moment précis, les pleurs se sont arrêtés. On se regarde.
J’inspire. J’ouvre la porte.

Une odeur pestilentielle.
Sur le bois, il y avait des traces de griffures. Quelque chose qui était enfermé là dedans et qui avait essayé de sortir. Il y en avait partout. Tout en bas de cette armoire, y avait des draps. Et en dessous de ces draps il y avait quelqu'un. La literie se soulevait au rythme d'une respiration haletante.
Je les retire. Maurice m'éclaire, les deux lampes dans ses mains C’est là que je l’ai retrouvée. Ça n'était pas une fugueuse, c’était une petite fille, 7 ans, 8 tout au plus, fine comme pas possible. Des jambes comme des allumettes, des joues creusées.
J’ai compris qu’elle était morte de faim et de soif, enfermée dans cette cave depuis des années. Malgré l'effet du temps et de la mort, elle ressemblait plus à une momie de jeune princesse égyptienne qu'à un cadavre pourri. La décomposition avait bien sûr joué son rôle mais elle encore presque jolie, pâle, et ses boucles blondes tombaient gracieusement sur son visage, comme si elle dormait.

Puis j'ai fait le lien. La maison. Les anciens propriétaires. Ils étaient partis il y a 3 ans après une tragédie : l'enlèvement de leur fille, Annie.
C'était Annie.
La porte de la cave étant condamnée, nous sommes remontés, Maurice et moi, par le même passage qu'à l'entrée.

On a dit au propriétaire que nous avions chassé les squatteurs et on est revenu le lendemain matin pour, soit-disant, "réinspecter la maison".  Nous sommes descendus directement dans la cave par la fenêtre (lui-même nous a dit qu'il n'avait jamais mis un pied dedans, il stockait tout au grenier, devant sa mine surprise je pense même pas qu'il savait qu'il avait une cave, c'est vrai que le murage de la porte avait été très bien fait).
Là, nous avons fait semblant de découvrir la fille. Nous ne voulions pas raconter tout ce qui s'était passé à nos collègues et perdre notre crédibilité.
Tout s'est accéléré, il ont récupéré l'enfant, et, 3 ans après sa disparition, elle a enfin pu avoir un enterrement digne de ce nom.

J'ai parlé avec les parents de la petite. Je voulais comprendre ce que j'avais vécu.
Ils m'ont tout raconté. Il y avait cette indicible douleur dans leur ton, mais je pense qu'ils étaient apaisés de l'avoir retrouvée.

Quand ils ont emménagé, Annie avait quelques mois. Ils ont tout de suite fait murer la cave, ils avaient peur que leur fille tombe dans les escaliers quand elle saurait marcher.
Et puis ils ont oublié cette pièce.
Ils m'ont dit qu'elle était somnambule. Une nuit, elle avait juste disparu, elle n'était plus dans son lit. Je leur ai demandé quand même, comment est-ce qu'ils ont fait pour ne pas l'entendre. Les accidents, tu sais, c'est toujours atrocement con : lui dormait avec ses boules Quiès et elle avec son Valium.

Somnambule, tu comprends ? Le bruit de drap, les petits pas qui descendent les escaliers maladroitement.
Mais le pire, je vais te le dire : elle n'a jamais pu appeler à l'aide. La pauvre petite était sourde et muette.
Ils ont cherché partout. Sans penser à cette pièce qu'ils avaient condamnée il y a des années. Elle, elle s'est réveillée coincée dans cette armoire, sans pouvoir crier. Personne ne l'a entendue. Seule. Prisonnière du meuble.
Abandonnée par ses parents.
Au bout de quelques mois ils n'ont plus pu vivre dans cette ville qui leur avait pris leur petite fille. Ils sont partis.

J'ai beaucoup de peine pour elle. Mais je pense que maintenant, elle est en paix.

Voilà, tu sais tout maintenant. " 




On a continué à discuter autour du café après ça. Voilà, je ne sais pas quoi en penser. Donc j’ai décidé que le mieux serait de le partager.

43 commentaires:

  1. Han, dur ! Ça aurait pu être vraiment pas mal du tout si il n'y a avait pas eu une bonne incohérence : la cave avait été murée, il n'est pas logique que la petite se soit retrouvé dedans. Ensuite quand tu as une petite sourde et muette, tu évites de dormir avec des boules Quies histoire de ne rien entendre, fin du moins tu t'arranges avec l'autre pour que un ai les oreilles libres. Fin bref sans la grosse incohérence de la pièce murée, c'était pas mal :)

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    1. Hum... sauf que tu oublies un truc : la cave avait été murée, ok, mais y'a une fenêtre qui donne sur la cave, dans le jardin (fenêtre qu'a justement pris "l'enquêteur" pour accéder à la cave). Et sachant que les policiers ont poursuivi "la squatteuse" jusque dans le jardin, je suppose qu'elle est passée par cette fenêtre, justement.

      Après, moi ce qui m'a vraiment embêté, c'est que le type maîtrise pas l'utilisation des temps verbaux. x)

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  2. Je viens de relire, elle est passée par la petite entrée à l'arrière. Mouais. C'est ça qui est dommage, les incohérences qui parsèment la creepy : tu perds ta fille et tu "oublie" de regarder dans la cave ? :D
    Bon, sinon bon effort de l'auteur quand même.

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  3. Et sinon Maurice ?
    J'ai rien compris au fameu Maurice qu'il a regretter d'avoir enmenner en mission !

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  4. Moi j'avoue ne pas avoir compris pourquoi dans l'armoire elle respirait encore "la literie se soulevait au rythme d'une respiration haletante" et pourquoi ils ont fait comme si ils ne la découvraient que le lendemain ?

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    1. La petite était déjà morte, c'était son fantôme qui avait attiré les mecs dans la cave.

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  5. Pour le texte qui est dans plusieurs temps différents c'est un texte oral retranscrit à l'écrit et la cave comme on l'a dit plus haut elle a été murée. Lorsqu'un enfant disparaît on pense au kidnapping, au jardin, au puit. Une pièce qui a été murée il y a des années... Si l'idée sur lesquelles sont partis les policiers de l'époque était un enlèvement, le quadrillage du quartier, la recherche dans la cave murée ça n'est pas la priorité.
    Ah et les boules quies ça n'est pas parce qu'une petite est sourde qu'il n'y a pas de bruit dans la rue ;)

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  6. Pas mal, mais bon, effectivement des grosses incohérences: la petite fille ne sait pas ouvrir la porte d'une armoire? On dit à un moment que l'armoire est "face contre terre", mais c'est suite au BOUM qu'ils entendent juste avant, donc la fille aurait dû pouvoir sortir sans souci. Et puis, oui, c'est quoi le truc avec Maurice? On a absolument aucun détail sur ce qui lui est arrive, et puis c'est pas vraiment très creepy... juste des parents un peu stupides quoi x).

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    1. Pour ce qui est de l'armoire, je suppose qu'elle était face contre terre depuis plus longtemps que ça, et que le fantôme de la fillette a fait "revivre" la scène où elle s'est retrouvée piégée aux deux gars.

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    2. quand tu relis tu apprend que la fille na a ce moment que quelque moi donc difficile pour elle d’ouvrir un armoire qui est "face contre terre".

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  7. En effet je veux pas faire le mec "g pa compri" mais à part un possible traumatisme (non évoqué) de Maurice je ne vois pas pourquoi tant d'allusions du regret qu'il a de l'emmener là-bas. Si quelqu'un ayant mieux compris le texte pouvais me l'expliquer ce serait cool :). Sinon très bonne creepypasta assez simple mais fluide à lire.

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    1. Sa doit être celui qui l'a écrite qui as oublié ce passage XD

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  8. Maurice, qu'est il devenu ?

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  9. J'ai compris que ce qu'ils ont vécu était une répétition paranormale des événements qui se sont déroulé la nuit de la disparition de la petite fille
    D'où le boom entendu alors que l'armoire était tombée depuis des années

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  10. ouais ya des mecs ils sont teubés pr lhistoire mdr c juste que tout ce qu'ils ont entendu et vu le déplacement etc c'était la réplique exacte de ce qu'il c passé à l'époque c'est tout c'est un pb dans la boucle spatio temporelle c pas dur à comprendre -_-''

    parcontre javoue maurice jsp il a quoi mais c pas le poisson qui a manger le yaourt ds la pub?

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  11. @Lady : Mouais, non je ne suis pas du tout convaincu. Quand ton gosse se fait kidnapper tu "n'oublies pas" que tu avais une cave. Et même si tu n'y penses pas direct, au bout d'un moment tu fais tilt. Pis bon, il y aurait donc eu un trou dans le mur de la taille d'une gamine et personne n'aurait rien vu ? Un trou pareil dans les fondations, pierres déplacées ? Ouais nan, là c'est too much. J'ai l'impression que la creepy a été un peu rafistolée pour que la cohérence colle, et au final c'est pas encore ça. Mais après ce n'est que mon avis hein, je ne la trouve pas cohérente, c'est pas bien grave, d'autres lecteurs aimeront sans doute :)
    PS: sinon, pareil que les comms du haut sur Maurice.

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  12. Pas mal,c'est juste dommage qu'ont sache pas ce qu'est arrivé à Maurice.


    Et plein d'incohérences....

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  13. tu veux pas que ta fille aille dans une pièce précise ?
    ben il suffit de murer l'entrée avec de gros parpaings...
    Les verrous c'est pour les lopettes, mieux vaut amputer sa maison d'une pièce c'est plus classe.

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  14. Pour ce qui ont pas compris la "squatteuse" c'est le fantôme de la petite fille qui fait du bruit pour qu'on la retrouve et quand on entends boom c'est juste ce qui c'est passé à l'époque où elle c'est enfermée l'armoire est tombée pendant qu'elle étais dedans donc impossible à 7 ans de sortir la cave étais murée et les Parent ne savais pas qu'il y avais une petite fenêtre par terre dans lejardin qui menais à la cave donc voilà pourquoi y ont pas pensé à la cave quand à Maurice il voulait pas le mêler à sa car Maurice étais je pense plutôt nouveau et voir une fille de 7 ans mort de faim dans un placard et le fantôme de cette petite fille c'est assez traumatisant donc voilà ma vision j'espère avoir éclairer quelque lanterne

    Cerberos111

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  15. C'est une bonne creepypasta dans l'ensemble, malgré toutes les incohérences qui ont déjà été relevées ci dessus. Mais j'ai encore quelque chose à dire : Je trouve que la creepypasta est un peu "trop". La petite fille à la fois somnambule, sourde et muette, je suis désolée mais c'est pas crédible...Ensuite la non concordance des temps n'est pas gênante, je trouve même que ça donne une ambiance à la creepy...

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  16. y a pas d'incohérences, j'ai tous comprit. Il regrette d'avoir entrainé Maurice là dedans parce qu'il a surement étais traumatisé.Pour le fait qu'ils ont ait mine d'avoir découvert le corps que le lendemain c'est parce que en tant que policiers, ils n'ont pas le droit d'enquêter hors du travail et encore moins accepter des services avec de l'argent supplémentaire de leur clients. Ensuite bien évidemment que les parents n'ont pas penser à la cave vu qu'ils ont condamné la cave dés leur déménagement pour leur fille. Pour eux impossible qu'elle y soit. Les bruits comme l'amoir qui se renverse étais les bruits qui se répéte de l'esprit de la petite fille qui voulait qu'on la retrouve.

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  17. Mais si, si, y en a des incohérences, et si l'auteur pouvait apporter quelques éclairages, ou même reconnaître les faits, ça m'arrangerait bien! x)
    Sérieusemeeeeeeent! D'où la petite fille va s'enfermer dans une armoire? Quand t'es somnambule, tu vas pas dans un endroit que tu connaîs pas, puique ton cerveau sait pas où c'est! xD C'est pas très réaliste tout ça! Mais bon, c'est qu'une creepypasta, pas un roman, 'fin quand même.
    Et puis, s'il te plaît, Ô auteur de cette pasta, dis-nous ce qu'il est advenu de Maurice!
    Merci. '-'

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  18. bonne creepypasta mais pas la meilleur

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  19. Je n'ai lu que les premiers paragraphes à cause du problème de concordance des temps c'est beaucoup trop désagréable. Et à ceux qui disent que c'est normal parce que c'est un discours retranscrit et que ça donne un ryhtme, c'est quelque chose qui se fait de façon cohérente et subtile, on ne passe pas d'un temps à l'autre dans une seule et même phrase, ou d'une phrase à l'autre au petit bonheur la chance !

    "Ça a commencé par ce type qui arrive dans le commissariat" Rien que ça, c'est pas français, c'est dommage mais je me rattraperai sur une prochaine pasta, et malgré mon commentaire merci pour les publications régulières =)

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    1. Je sais que c'est TON avis donc je devrais pas le remettre en question mais je vois mal le policier bourru retraité qui tutoie un inconnu sortir une phrase parfaitement construite . Et puis on fait tous des erreurs . (D'ailleurs des erreurs il doit y'en avoir un paquet dans mon commentaire)

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  20. trop de hasard (ce texte contient toute les incohérence pour l'auteur et qu'il s’améliore,les autre qui ont la flemme de tout lire regarder le conclusion)
    le coup des boule quies et du valium explique un peu trop le coup,la maison se trouvent en centre donc pas près d une autoroute de plus c'est un quartier de vieux donc pas de boite de nuit et en avouant que le témoignage est récent le plus jeune vieux devait avoir dans les 45 ans a l’époque et son gosse devrait être majeur donc pas la faute des ados en imaginant que la femme ronfle et dort mal et quel bosse tôt et que le père doivent porter des boule quies,la petite age de 7 ans somnambule ne saurait pas ouvrir la porte d'entrer
    -le policier a dit que toute ces maisons se ressemblent ,donc pendant l'interrogatoire de l’époque(1988)ce serait une de ces questions qui viendrait, mais si on imagine qu'ils l'avait lier avec l'affaire Waxin les parent aurait repenser a la cave pendant le déménagement comme disait @lady
    -dans la cave il y avait des couvertures et une armoire quand meme au marcher au puce sa vaut de l'argent meme si il s en foutait il l'aurait donner a un voisin
    -comment l armoire est tombe? en imaginant que la petit l'aurait confondu avec son lit sa voudrait dire que le porte de cette armoire sont rester ouvert et en imaginant quel est vielle au point de ceder sous 30 kilos elle se serait casser en tombant laissant au pire (ou au mieux pour les sadique :p)un cadavre que n'aura pas supporter du bois pourrie meme avec des couverture dessus

    conclusion : pour un poil de réalisme changer les boules quies et le valium par la mère est morte il y a quelque semaines a cause d'un accident dans la cave le pere mura cette porte,mais un jour de retour du bar il laissa la porte d'entrer ouverts et s endormit aussi tot dans sa chambre ,la petit fille somnambule alla dehors tomba dans cette entrer oublier qui la réveilla croyant être toujours dan sa chambre elle retourna dans son "lit" qui s’écrasa a terre,enfermer dedans les jambes coincer elle mourut de faim ,le père averti la police mais ne la retrouvant pas il me fin a ses jour

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    1. re
      si quelqu'un fait un blague avec eddy malou: je te retrouverai et te turai

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  21. L'histoire est trop triste... :'( Pauvre enfant ! </3

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  22. Elle est géniale, mais triste et tragique comme creepypasta :(
    Sinon,elle est très bien ;)

    Scandinav

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  23. triste histoire j'ai de la peine pour cette petite ! superbe pasta !

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  24. Si les parents ont peur que leur fille tombe dans les escaliers qui mènent à la cave, pourquoi pas ceux qui mènent au deuxième étage, ils avaient qu'a fermer sa porte ou à mettre une barrière devant l'escalier, tous parents avertis doivent faire ça

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  25. Personnellement, je ne trouve pas qu'il s'agisse d'une creepypasta, mais plutôt d'une belle histoire de "héros" qui ont "sauvé" une petite...
    Après c'est vrai que je ne comprend pas l'histoire de Maurice :x

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  26. Une très bonne pasta, je vous juste un problème : l'homme raconte qye Maurie est mort mais la j'ai pas vu la mort de Maurice!!

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  27. Je trouve que l histoire et bien mais comment et mort Maurice car il dit bien au début comme quoi il a perdu un de c est coéquipier sinon c est cool

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  28. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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  29. J'habite dans le Loir-et-Cher... J'ai matérialisé toute la scène, brrrr... Horrible!

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  30. Ah oui tiens. J'crois j'ai compris pour Maurice ! Il doit pas être mort, durant l'affaire, mais d'autre chose. Flic, on s'en doute pas, c'est un métier plutôt dangereux. Du coup quand il dit "Mon coéquipier est mort", on peut comprendre ça dans le style d'un "Il n'est plus là, je reste le dernier encore au courant de tout ce qui s'est produit." S'ensuit alors le fait qu'en parler, ça le libérerait, le soulagerait d'un poids sur sa conscience. Voili voilouuuu.

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