Comme tous les soirs, j'étais devant mon écran, à jouer, à discuter, comme tous les soirs...
Mais je vais vous raconter ce qui m'est arrivé et ce pour quoi je ne veux plus être éveillé tard le soir...
En plein jeu, en pleine partie, le casque sur les oreilles, le clavier et la souris sous mes mains, dans un état quasi euphorique à l'idée d'en finir avec ces adversaires. Après des heures sans bouger mis à part mes mains et mes doigts, mon corps me grattait et se bloquait.
La partie se terminait, j'ai envoyé mes félicitations aux joueurs adverses et relançai une partie malgré la douleur et la fatigue. Pendant la recherche, j'ai décidé d'aller prendre un verre d'eau. Je me suis levé et étiré, j'ai pris mon courage à deux mains et je me suis dirigé vers la cuisine. Sans faire un bruit et sans allumer une lumière, j'ai ouvert mon réfrigérateur doucement, j'ai jeté un œil à l'intérieur à l'affût de nourriture, et après un certain temps, j'ai pris la bouteille de soda et j'ai rejoint ma chambre.
La porte fermée, la partie trouvée, j'étais prêt à me relancer pour quelques heures de jeu. Il me fallait un coup d'air frais avant cela, j'ouvris ma fenêtre qui donnait sur la rue dans laquelle je vivais depuis mon enfance. Elle était typique, avec toutes ses habitations collées et ses routes délabrées. Elle était longue et bien éclairée par une multitude de lampadaires.
J'étais là, à rêvasser des étoiles. Le lampadaire, en bas de chez moi, clignotait depuis quelques jours mais cette nuit là, la lampe avait grillé. Cela ne m'a guère surpris. Mes sens recouvrés, j'ai refermé la fenêtre et je me suis assis devant ma télé. J'ai mis mon casque et j'ai commencé à jouer tel un acharné.
Par simple réflexe, je me suis retourné, sans savoir précisément pourquoi. Bien sûr, derrière moi, il n'y avait rien. Seulement mon mur avec ce grand poster de New York et mon lit contre, défait. J'ai esquissé un sourire puis je suis revenu à l'écran et au moment même où mes yeux ont fixé l'écran, j'ai entendu dans le casque un battement inhabituel. Une nouvelle fois, je me suis retourné mais il n'y avait évidemment rien, je me suis dit que la fatigue me jouait des tours.
Alors que je finissais, mon jeu s'est interrompu d'un seul coup, ce qui eut comme effet de m'énerver. J'ai pris ma bouteille de soda et j'ai bu alors plusieurs grosses gorgées.
J'ai eu mal à la gorge un bref instant et je me suis calmé doucement. J'ai arrêté l'ordinateur puis l'écran, je me suis étiré quelques minutes, cela me faisait du bien. Je voulais dormir, mais bizarrement, je ne le voulais pas non plus. Je suis donc retourné à ma fenêtre et je l'ai ouverte, j'ai pris un grand bol d'air frais...
Juste avant de m'apercevoir qu'une silhouette se tenait dans l'ombre oppressante formée à cause du lampadaire éteint. J'ai fermé les yeux et secoué la tête, et je les ai rouverts: cette silhouette s'était volatilisée.
Malgré cela, des frissons me caressaient la peau tandis que mes membres pétrifiées arrivaient à trembler. J'ai reculé légèrement afin de fermer ma fenêtre, à peine fermée que l'ombre est réapparue dans l'obscurité avec cette fois un détail qui m'a ôté le souffle. Ses yeux, je pouvais les voir, il étaient blancs, un blanc angélique. Je ne pouvais quitter cette chose du regard, au travers de ma fenêtre, ces yeux me fixaient tel un chasseur sa proie. D'un seul coup cette ombre s'envola vers moi. J'ai sursauté, j'ai relevé mon visage de mon bureau. Je m'étais assoupi devant ma télé, encore allumée. J'ai soufflé puis souri mais, par instinct, j'ai regardé dehors pour n'y voir que désert et mon lampadaire éteint.
Soulagé, j'ai souri. Ne voulant plus dormir après cet événement, j'ai lancé un jeu censé faire peur, afin d'oublier mon cauchemar et certainement en faire d'autres. J'avançais dans le long couloir sombre, ce jeu était sombre. Le point unique du jeu est que l'on contrôlait non pas un survivant mais le tueur lui-même. Au loin dans ce que je pensais être un couloir s'allumaient de plus en plus de lumières à intervalles réguliers. De mieux en mieux éclairé, ce couloir se transforma vite en une rue qui me semblait familière.
Mon ventre s'est serré, mes mains et tout mon corps recevaient des sueurs froides, je tremblais. J'ai appuyé sur le bouton d'arrêt mais rien ne se passait, mon personnage que je contrôlais regardait vers une fenêtre... Ma fenêtre.
Les larmes aux yeux, j'ai regardé à mon tour. Je la voyais, cette silhouette , elle s'approchait doucement tout en regardant dans ma direction. J'ai décidé de débrancher mon écran et mon ordinateur, tout est resté allumé. Rapidement, j'ai pris mon écran et je l'ai fracassé sur le sol, ainsi que ma tour. De retour à la fenêtre, je n'ai plus vu plus l'ombre. Apaisé sans vraiment l'être, je me suis mis dans mon lit, la couette jusque sur le cou, la lumière allumée.
Mon ampoule clignotait finalement à son tour, celle de la rue faisait cela depuis quelques jours. Était-ce un hasard?
Je ne peux vous dire que si vous lisez ce message, je serais ou ne serais pas mort. Puisque moi même je ne le sais pas.
Si vous voulez en savoir plus, venez au 1405, Senkrad Avenue, Ohio.
Oserez-vous?
Je n'ai jamais habité ici...
Quelque chose n'est pas normal. Il se déplace avec... Oui... il se déplace avec les fils et les réseaux...
L'électricité est sa vie...
Oh mon dieu... Je suis désolé... Je vous ai... Je vous ai envoyé cet E-Mail. Fuyez.
Mais je vais vous raconter ce qui m'est arrivé et ce pour quoi je ne veux plus être éveillé tard le soir...
En plein jeu, en pleine partie, le casque sur les oreilles, le clavier et la souris sous mes mains, dans un état quasi euphorique à l'idée d'en finir avec ces adversaires. Après des heures sans bouger mis à part mes mains et mes doigts, mon corps me grattait et se bloquait.
La partie se terminait, j'ai envoyé mes félicitations aux joueurs adverses et relançai une partie malgré la douleur et la fatigue. Pendant la recherche, j'ai décidé d'aller prendre un verre d'eau. Je me suis levé et étiré, j'ai pris mon courage à deux mains et je me suis dirigé vers la cuisine. Sans faire un bruit et sans allumer une lumière, j'ai ouvert mon réfrigérateur doucement, j'ai jeté un œil à l'intérieur à l'affût de nourriture, et après un certain temps, j'ai pris la bouteille de soda et j'ai rejoint ma chambre.
La porte fermée, la partie trouvée, j'étais prêt à me relancer pour quelques heures de jeu. Il me fallait un coup d'air frais avant cela, j'ouvris ma fenêtre qui donnait sur la rue dans laquelle je vivais depuis mon enfance. Elle était typique, avec toutes ses habitations collées et ses routes délabrées. Elle était longue et bien éclairée par une multitude de lampadaires.
J'étais là, à rêvasser des étoiles. Le lampadaire, en bas de chez moi, clignotait depuis quelques jours mais cette nuit là, la lampe avait grillé. Cela ne m'a guère surpris. Mes sens recouvrés, j'ai refermé la fenêtre et je me suis assis devant ma télé. J'ai mis mon casque et j'ai commencé à jouer tel un acharné.
Par simple réflexe, je me suis retourné, sans savoir précisément pourquoi. Bien sûr, derrière moi, il n'y avait rien. Seulement mon mur avec ce grand poster de New York et mon lit contre, défait. J'ai esquissé un sourire puis je suis revenu à l'écran et au moment même où mes yeux ont fixé l'écran, j'ai entendu dans le casque un battement inhabituel. Une nouvelle fois, je me suis retourné mais il n'y avait évidemment rien, je me suis dit que la fatigue me jouait des tours.
Alors que je finissais, mon jeu s'est interrompu d'un seul coup, ce qui eut comme effet de m'énerver. J'ai pris ma bouteille de soda et j'ai bu alors plusieurs grosses gorgées.
J'ai eu mal à la gorge un bref instant et je me suis calmé doucement. J'ai arrêté l'ordinateur puis l'écran, je me suis étiré quelques minutes, cela me faisait du bien. Je voulais dormir, mais bizarrement, je ne le voulais pas non plus. Je suis donc retourné à ma fenêtre et je l'ai ouverte, j'ai pris un grand bol d'air frais...
Juste avant de m'apercevoir qu'une silhouette se tenait dans l'ombre oppressante formée à cause du lampadaire éteint. J'ai fermé les yeux et secoué la tête, et je les ai rouverts: cette silhouette s'était volatilisée.
Malgré cela, des frissons me caressaient la peau tandis que mes membres pétrifiées arrivaient à trembler. J'ai reculé légèrement afin de fermer ma fenêtre, à peine fermée que l'ombre est réapparue dans l'obscurité avec cette fois un détail qui m'a ôté le souffle. Ses yeux, je pouvais les voir, il étaient blancs, un blanc angélique. Je ne pouvais quitter cette chose du regard, au travers de ma fenêtre, ces yeux me fixaient tel un chasseur sa proie. D'un seul coup cette ombre s'envola vers moi. J'ai sursauté, j'ai relevé mon visage de mon bureau. Je m'étais assoupi devant ma télé, encore allumée. J'ai soufflé puis souri mais, par instinct, j'ai regardé dehors pour n'y voir que désert et mon lampadaire éteint.
Soulagé, j'ai souri. Ne voulant plus dormir après cet événement, j'ai lancé un jeu censé faire peur, afin d'oublier mon cauchemar et certainement en faire d'autres. J'avançais dans le long couloir sombre, ce jeu était sombre. Le point unique du jeu est que l'on contrôlait non pas un survivant mais le tueur lui-même. Au loin dans ce que je pensais être un couloir s'allumaient de plus en plus de lumières à intervalles réguliers. De mieux en mieux éclairé, ce couloir se transforma vite en une rue qui me semblait familière.
Mon ventre s'est serré, mes mains et tout mon corps recevaient des sueurs froides, je tremblais. J'ai appuyé sur le bouton d'arrêt mais rien ne se passait, mon personnage que je contrôlais regardait vers une fenêtre... Ma fenêtre.
Les larmes aux yeux, j'ai regardé à mon tour. Je la voyais, cette silhouette , elle s'approchait doucement tout en regardant dans ma direction. J'ai décidé de débrancher mon écran et mon ordinateur, tout est resté allumé. Rapidement, j'ai pris mon écran et je l'ai fracassé sur le sol, ainsi que ma tour. De retour à la fenêtre, je n'ai plus vu plus l'ombre. Apaisé sans vraiment l'être, je me suis mis dans mon lit, la couette jusque sur le cou, la lumière allumée.
Mon ampoule clignotait finalement à son tour, celle de la rue faisait cela depuis quelques jours. Était-ce un hasard?
Je ne peux vous dire que si vous lisez ce message, je serais ou ne serais pas mort. Puisque moi même je ne le sais pas.
Si vous voulez en savoir plus, venez au 1405, Senkrad Avenue, Ohio.
Oserez-vous?
Je n'ai jamais habité ici...
Quelque chose n'est pas normal. Il se déplace avec... Oui... il se déplace avec les fils et les réseaux...
L'électricité est sa vie...
Oh mon dieu... Je suis désolé... Je vous ai... Je vous ai envoyé cet E-Mail. Fuyez.
Pas mal,mais quelques modifications ne seraient pas de trop.
RépondreSupprimerMais cela reste quand même une assez bonne creepy. ;)
J'ai bien aimé :) C'est une bonne creepy on peut y croire facilement =3
RépondreSupprimerj ai cru a une reference a Herobrine a un moment quand il parlait de la silouhette sombre aux yeux blanc
RépondreSupprimerTrop
Supprimeril est ou l'email il est ou mon copain
RépondreSupprimera oui on veu voir l'imeil!
Supprimerouf neived ej
XD wtf
SupprimerOui
RépondreSupprimerPutain faut que j'arrête de jouer à ghosts moi XD
RépondreSupprimerXD
SupprimerJe trouve la fin un peu réchauffée, mais ça reste mangeable :P
RépondreSupprimerOui un super plat...euh une super creepy :')
SupprimerLol
SupprimerAttendez, il dit écrit d'avoir envoyé son e-mail... Avant d'envoyer son e-mail ? Fucking logic !
RépondreSupprimeril écrit*
Supprimerbien vu
SupprimerOk, il fracasse son écran et sa tour d'ordinateur qui doit valoir super cher et il va se coucher.
RépondreSupprimerF*ck la logique.
XD il se couche oklm,posay
SupprimerAussi il dit ne jamais avoir habité dans cette maison alors que le lampadaire est dans la rue de son enfance qu'il dit... Re-fuck la logique
RépondreSupprimerComment a-t-il envoyé le mail si il a cassé son pc ?
RépondreSupprimerPas mal, j'aime bien
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