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Alors, ça fait un moment que je n'ai pas raconté mes histoires sympathiques pour toute la famille, on va rectifier le tir. Oui, on a été sur le pied de guerre avec le Covid et je n'avais plus trop le temps de venir discuter et raconter tout ça. Maintenant que la crise est un peu passée, je reviens, prêt à vous rendre phobiques des hôpitaux ! Si je me souviens bien, j'avais parlé des bizutages la dernière fois, il y a encore plein de trucs à dire, mais j'ai envie de varier un peu. Alors, voyons quel thème on pourrait aborder aujourd'hui ? Ah oui, les services psychiatriques. Là aussi il y a une tonne d'anecdotes horribles qui devraient vous ravir, mes petits psychopathes adorés ! Avant, j'aimerais répondre à une remarque qui revient régulièrement sur le fait que je sois détaché et manquerais de respect aux victimes, quelque part. Bon, vous vous doutez bien que j'ai eu le temps de prendre du recul sur ces histoires, que j'essaie de faire quelques blagounettes pour rendre le tout moins lourd et moins déprimant, mais aussi que je suis médecin et donc que je dois savoir prendre du recul. Quand un pinpin arrive aux urgences avec un bras à moitié arraché parce qu'il s'est amusé à jouer avec une grenade que son grand-père gardait de la Seconde Guerre, il faut savoir garder son sang-froid. C'est le principe du boulot les glandus (mais vous êtes de mignons glandus, je vous rassure).
Alors de base, la psychiatrie ce n'est pas ce que j'aime, franchement les malades mentaux me font peur. Oui, ce n'est pas gentil, mais c'est comme ça. Ils sont imprévisibles et ont des réactions super bizarres la plupart du temps. Et pourtant, il faut que l'on fasse une partie de notre internat en institut ou service psychiatrique pour valider nos études. C'était l'enfer pour moi, et en plus le service de mon hôpital était, et est toujours d'ailleurs, affreusement glauque. Je vous jure, imaginez un vieux sanatorium peint à la va-vite en couleurs « chaudes et positives » mais qui se sont délavées au bout de trois mois. Je vous assure, on dirait la chaufferie de Krueger reconvertie en garderie. Donc bon, personnellement, je m'arrangeais toujours pour être le moins possible au contact des patients en me farcissant toute la paperasse dont personne ne voulait (un échange de bons procédés avec les collègues). Un jour, j'ai malheureusement dû m'y résoudre à contrecœur suite aux coups de gueule du chef de service. Je me suis ainsi occupé des soins d'une jeune femme nommée « Micheline » (oui, les noms sont modifiés comme d'habitude) et qui est sérieusement schizophrène. Le souci avec Michmich était qu'elle avait la fâcheuse manie de ne jamais prendre ses médicaments. Elle trouvait CONSTAMMENT un moyen de nous rouler pour ne pas les avaler, en les cachant dans sa bouche ou en les régurgitant… Même maintenant, je n'en reviens pas d'un tel génie et d'une telle créativité pour ne pas suivre son traitement. Impressionnant.
Bref, elle avait donc souvent des crises à cause de sa maladie et délirait souvent. La plupart du temps, elle restait prostrée dans un coin en observant nerveusement tout ce qu'il se passait dans la salle de repos (où les patients passent la majeure partie du temps). Ouais, ses délires étaient de type paranoïaque. Son psy galérait à établir la communication, mais le bougre y arrivait quelquefois ! Parfois, il nous racontait un délire récurrent et étrangement cohérent qu'avait Michou. Oui, secret médical tout ça, tout ça… Nous sommes de fieffés filous et l'Ordre ne serait pas fier, je sais sniff. Ce délire était assez particulier. Une à deux fois par semaine, quelque chose venait l'observer depuis la vitre de la porte de sa chambre, systématiquement vers deux heures du matin. Elle décrivait le monstre comme une chose affreusement déformée et écarlate, un nez patate avec des croûtes et creusé par endroit, des yeux vitreux et globuleux, marrons, parsemés de nerfs rouge vif et qui semblaient sur le point d'être éjectés de leurs orbites. Les dents de la chose étaient noires et brisées, pourries et infâmes, tout comme ses lèvres étaient gercées et trouées des plaies régulières. Le reste du visage était à l'image du nez, immense et creusé, empli de croûtes et de creux d'où suintait un liquide blanc immonde mêlé à des sudations abondantes ; les gouttes de sueur perlaient de sa longue barbe trouée et irrégulière. La patiente appelait ce croquemitaine « Mugriento » (elle est d'origine espagnole).
Micheline expliquait à son psy qu'elle avait conclu un marché avec Mugriento, enfin, plutôt qu'elle accomplissait une sorte de rituel afin de conjurer la créature. Il venait avec sa respiration difficile et bruyante, puis la fixait en souriant depuis la vitre tout en soufflant sur cette dernière afin d'écrire des messages avec la buée. Selon elle, c'est ainsi qu'ils auraient conclu leurs accords. Elle faisait passer ses médicaments en-dessous de la porte (notamment ses antipsychotiques) et devait ensuite mettre sa main sur la vitre. Mugriento faisait de même puis tentait d'ouvrir la porte (toujours en vain, on ferme les chambres à clef). Il récupérait les médicaments après ses essais avant de s'en aller, jusqu'à la prochaine fois.
Bon, après diverses théories psychanalytiques, mon collègue en a conclu qu'il était largué et prévoyait de transmettre son cas à son ancien directeur de thèse qui était une pointure en psychiatrie. Très peu de temps après, pendant que l'on se baladait dans le couloir des chambres, alors que les patients étaient dans la salle de repos, nous avons fait quelques blagues douteuses sur le Mugriento. C'est alors que je me suis approché de la vitre de Micheline, et que j'y ai vu de la buée avant de remarquer qu'il y avait VRAIMENT des messages écrits dessus. On a paniqué, puis on s'est dit que c'était elle qui les avait écrits, mais on s'est vite rendu compte qu'ils étaient marqués depuis l'extérieur. On a appelé les infirmiers, souvent très costauds, et la police. Un agent envoyé par le commissariat local et les infirmiers ont fouillé le bâtiment à la recherche d'un intrus. Sans succès. Le flic est reparti en pensant à une mauvaise blague d'un de nos pensionnaires, ce qui était possible, mais super problématique. Déjà, ça voulait dire que l'un d'entre eux avait les clefs de sa chambre et qu'il s'amusait à empêcher une patiente de prendre son traitement.
Il fallait donc l'attraper. Là, certains doivent se poser la question des caméras de sécurité et des infirmiers de garde. Il faut savoir que l'on a plus un sou dans l'hôpital, alors on n'a pas remplacé les caméras défectueuses depuis un bon moment et on n'a pas de personnel de nuit. Enfin si, mais ils viennent en renfort dans les autres ailes pendant que les patients psychiatriques dorment alors… Oui, c'est sans surveillance. Bref, un groupe de volontaires s'est mis en planque tous les soirs de la semaine pour trouver le responsable (pas moi, pas question que j'entre dans cet enfer de nuit pour traquer un boogeyman en plus. Je suis docteur, pas héros de film d'action des années 80). Le reste, ce sont mes collègues présents qui me l'ont raconté, et il est possible que ce soit un brin exagéré, je ne le saurai jamais. Un type s'est effectivement présenté vers deux heures du matin, avec une démarche étrange et pataude. D'abord effrayés, ils ont pas osé y aller jusqu'à ce que l'homme prenne la fuite en remarquant leurs présences. Ils ont donc poursuivi Mugriento jusque dans son repaire qui n'était pas très loin, dans l'hôpital en fait. Il faut savoir que nous avons de vieux sous-sols désaffectés accessibles par de petites fenêtres au sol depuis l'extérieur, et c'est là que vivait ce type. Un SDF complètement fou qui se shootait aux produits médicaux et vivait dans cette cave sombre remplie de déchets et d’excréments. Il venait voir Micheline pour se droguer avec son traitement, qu'il mélangeait avec du whisky au vu du nombre de bouteilles Label 5 vides qui traînaient là-bas. C'est là que les infirmiers ont fait une erreur, en voulant le poursuivre afin de le virer. Alors qu’ils descendaient dans son repaire, le vieux clochard a poignardé Jacquot (nom modifié blabla) plusieurs fois avec une seringue usagée. Il est vite sorti et la police s'est chargée de faire dégager ce cinglé. Jacquot s'en pas mal sorti, il n'a pas chopé la peste bubonique et va bien aujourd'hui, mais bon, il s'approche plus des vieux SDF louches.
On part sur la seconde et dernière anecdote du jour, je n'en ai pas des masses sur ce thème (comme je vous le disais, je suis parti le plus vite possible de la psychiatrie). Celle-ci a surtout été vécue par Mauricette (ce n'est toujours pas son vrai nom et heureusement pour elle), une collègue et amie que je connais depuis longtemps. On travaillait ensemble dans l'aile psycho et elle avait en charge un patient avec un trouble assez spécial. Le syndrome de la main étrangère dans sa variante « corps calleux ». Bon, je vous fais une description rapide (les intéressés, allez voir sur wikipédia) : en gros, il s'agit d'un trouble neurologique faisant que le patient ne contrôle plus une de ses mains. Cette dernière semble possédée par une volonté externe, en réalité l'inconscient, et dans la variante « corps calleux », la main cherche à nuire aux actions de l'autre main comme une sorte d'antagoniste étrange. Enfin, nuire, plutôt devenir la main dominante en effectuant les actions à la place de la « bonne » main comme écrire ou toutes autres actions faites par la main motrice.
Alors, c'était un patient très gentil de base (nous allons l'appeler Pierre-Jules), mais son syndrome le rendait très spécial. Il se tenait toujours la main, comme s'il voulait éviter qu'elle ne fasse des bêtises. Les premiers temps, il réclamait la camisole de force et faisait tout pour la récupérer lorsqu'on la lui ôtait. C'était un moyen pour lui d'éviter que sa main ne fasse n'importe quoi, je pense. Le plus perturbant était qu'il pouvait passer des heures à discuter avec sa main, qui lui répondait par des signes, afin de marchander pour qu'elle se calme. Je vous jure, j'avais l'impression d'entendre un négociateur tenter de convaincre un forcené de libérer les otages. Visiblement, le succès n'était pas au rendez-vous, forcément on ne parlemente pas avec le subconscient. C'était assez triste en réalité, Pierre-Jules voulait vraiment que ça s'arrête afin de reprendre une vie normale. Oui, ce n'était pas un syndrome de naissance, mais le résultat d'un choc émotionnel. Il avait dû subir une intervention neurochirurgicale suite à un traumatisme crânien après un accident de car. Il y avait eu pas mal de morts ce jour-là, mais il s'en était sorti heureusement, même si c’était avec séquelles. Le signe manifeste de celles-ci étant ce syndrome.
Ma collègue était partie sur une théorie : que ses négociations et ses discussions avec sa main étaient une concrétisation d'un complexe du survivant et donc d’une culpabilité refoulée. Mauricette voulait justement accompagner et déclencher ces discussions afin que le patient exprime et extériorise ce qu'il refusait d'admettre. À cette fin, elle avait installé un dispositif personnel d'enregistrement dans la chambre du patient (non, je ne vous les ferai pas écouter. Trois raisons : d'une, la flemme de faire la retranscription ; de deux, je ne veux pas qu'on puisse identifier ma pote car ce n'est pas totalement légal comme pratique ; et de trois, je ne les ai pas). Elle essayait aussi de limiter au maximum la camisole pour que la main puisse rester libre, estimant qu’elle n’était qu’une béquille n'ayant que pour conséquences d’entraver la thérapie de Pierre-Jules. Je suis très sceptique sur la psycho en règle générale, et cet épisode ne m'a pas convaincu. Ouais, c'est très beau sur le papier, mais ça l’est moins dans la pratique.
En effet, sa main « possédée » parasitait constamment les agissements de l'autre. Il voulait boire un coup de sa main droite (directrice) et la gauche (possédée) agrippait le verre en tentant de l'arracher à l'autre main. De même pour manger, s'habiller ou toutes autres activités quotidiennes. Vous vous doutez bien que ce n'était pas des plus simples pour le pauvre bougre, il devait compter sur les infirmiers comme s'il était manchot. Et dans les faits, il l'était tant que sa main gauche pouvait agir librement. Mauricette s'est donc particulièrement penchée sur son cas et elle a appris de ses enregistrements quelque chose de particulièrement intéressant. Pierre-Jules était persuadé que sa main était habitée par l'esprit de sa femme morte dans l'accident de car. Il décrivait cette dernière comme totalement obsédée par le contrôle et cherchant constamment à faire les choses à sa place. Une conjointe particulièrement dominatrice. Le pauvre gars alternait entre périodes de rage et crises de larmes lors de ses discussions avec sa main. Forcément, pour lui il parlait à sa femme morte… Cette découverte n'a fait que renforcer la conviction de Mauricette sur un complexe du survivant et d'une culpabilité sous-jacente, le fait d'associer sa femme à son trouble n'étant pas anodin. Elle pensait que le type s’en voulait d’autant plus en raison de sa sensation de libération par rapport à la domination de sa femme. Le mélange de tout ça, entre chocs, problèmes psy et complexes… créaient ainsi cette situation particulière. Sans compter les superstitions auxquelles Pierre-Jules croyait dur comme fer depuis son enfance. Enfin, vous voyez le cocktail.
Bref, le temps passait, et ma collègue n'obtenait aucune avancée sur son cas, ce qui la frustrait beaucoup. Pire encore, l'état mental du patient se dégradait. Son délire le poussait à penser qu'il n'avait aucune intimité, qu'il ne pouvait plus agir seul, que son propre membre était sous le contrôle de quelqu'un d'autre. Au fil des semaines, l'anxiété et la dépression gagnaient du terrain dans l'esprit du malade et cela peu importe les médicaments, traitements ou mesures prises par le personnel. C'est simple, Mauricette commençait à être dépassée par ce cas. Elle essayait des trucs expérimentaux comme organiser des thérapies de couple entre lui et sa main par exemple. Une chose notable est que cette dernière, bien que n'étant pas directrice de base, écrivait parfaitement et avec une écriture totalement différente de celle de Pierre-Jules. Ce genre de trucs on peut le retrouver dans d'autres troubles comme le dissociatif de l'identité, mais toujours est-il que ça renforçait notre pinpin dans son délire. Bon, sans surprise, la thérapie de couple n'a pas très très bien marché et la situation continuait à empirer. Sans mauvais jeu de mots, ils en sont venus aux mains. Oui, après une engueulade publique (ce qui arrivait de plus en plus souvent) avec sa « femme », sa main l'a frappé au visage et il a rétorqué en explosant cette dernière contre le mur. Bon, le garçon a été maîtrisé et mis sous sédatif, mais c'était pas alarmant quand même. Le plus bizarre était que lors de son isolement, il a discuté avec sa « moitié » pour que cela ne se reproduise plus. Un profond sentiment de culpabilité semblait l'atteindre.
On ne peut pas dire que les semaines suivantes ont amélioré son état, mais la cohabitation semblait plus harmonieuse. La discussion avait visiblement porté ses fruits. Sa main ne cherchait plus à tout faire et notre homme prenait soin d'elle (manucure, vernis, etc.), un compromis précaire, mais évitant des crises de violences. Enfin, cela n'a pas duré car les tensions sont vite revenues. Les deux ont relâché leurs efforts et les « disputes » (en gros, lui criait et sa main écrivait en lettres capitales) étaient quotidiennes. Un calvaire. De fil en aiguille, la situation s’aggravait de plus en plus et les accès de violences se sont faits plus réguliers. Si bien qu'il a fallu le laisser sous camisole, au grand dam de mon amie. Bref, son cas était loin de s'améliorer et aucune issue possible ne se dessinait. Le pire était que le délire se renforçait, la main était au courant de détails de la vie de la femme de Pierre-Jules que lui-même ne semblait pas connaître (enfin, que sa mémoire consciente ne connaissait pas en tout cas). Que ce soit des souvenirs d'enfance, des éléments précis de la vie de celle-ci. Enfin, ce genre de choses, vous voyez l'idée. Ce n'était pas bon signe du tout, le délire était très bien ancré dans l'esprit du patient.
Là, je vous avoue, aucun manuel n'a de méthodes pour traiter ça. Alors Mauricette a décidé de faire appel à des gens plus expérimentés, comme une connaissance à elle qui est un éminent chercheur en psychiatrie (j'ai oublié son domaine et j'ai la flemme de rechercher, tant pis) que l'on va surnommer Charles-Esteban. Lui-même était assez désarçonné par ce cas plus que singulier et ne savait pas vraiment quoi faire, en sachant que les IRM ou analyses ne montraient pas grand-chose de spécial par rapport aux standards. Alors, ils ont tenté diverses thérapies un peu à tâtons afin de déterminer un axe plus prometteur que les autres. Je n'ai pas les détails en tête par rapport à ce qu’ils ont pu faire, surtout que j'avais quitté ce service depuis un moment, mais ça a plus ou moins marché ! Enfin, disons que Pierre-Jules a « abdiqué ». Il laissait à présent sa main prendre le contrôle et donc il pouvait peu à peu reprendre des activités quotidiennes normales, ayant récupéré sa motricité. Cependant, sa dépression était rentrée dans une phase apathique, ce qui faisait craindre un effondrement psychotique à ma collègue. Il fallait que le patient s'occupe l'esprit et ne passe plus ses journées à regarder par la fenêtre pendant que sa main faisait des trucs de son côté.
Pierre-Jules a donc consenti à faire une activité : la cuisine, chose qu'il adorait faire avant l'accident. Bien sûr, sous surveillance d'un infirmier et loin des couteaux tranchants. Mais bon, est arrivé ce qui devait arriver… Après quelques semaines à jouer le jeu, la vigilance de l'infirmier s'est relâchée et Pierre-Jules en a profité. Il avait caché sur lui, depuis plusieurs jours, une dose d’anesthésiant qu'il avait volé Dieu-sait-comment. Il se l'est injecté brutalement dans le bras gauche, avant de le plonger dans le broyeur à viande pendant que sa main tentait vainement de l'en empêcher. L'infirmier, ayant réagi immédiatement, a témoigné que l’homme pleurait simplement de soulagement et de douleur mêlés. Malgré sa prise en charge rapide, sa main a dû être amputée, peut-être pour le mieux finalement. Aujourd'hui, il semble complètement guéri sans que ni ma pote ni le prof ne comprennent bien pourquoi. Ce syndrome est normalement la manifestation d'un trouble, et le membre n’est pas censé être le problème en soi.
Je vous laisse vous faire votre propre avis ! Perso, je m’en vais sur cette dernière anecdote. Sincèrement, je ne suis vraiment pas à l'aise avec les cas psy et ces souvenirs ne m'enchantent pas. Bon, n'oubliez pas de me laisser votre avis, vos anecdotes (abonnetoimetslaclochemdr)… J'aime bien vous lire et échanger avec vous, c'est un peu pour ça que je vous raconte mes anecdotes à la base !
Autres chapitres :
Cette creepypasta vous est offerte grâce au travail de Wasite, qui a assuré la compilation des éléments nécessaires à sa rédaction, de Noname et Kitsune qui ont participé au processus d'analyse et de sélection conformément à la ligne éditoriale, et de Noname et Litanie qui se sont chargés de la correction et la mise en forme. L'équipe de Creepypasta from the Crypt n'affirme ni ne dément la véracité du présent article et invite les lecteurs à se faire leur propre avis sur la question. L'équipe décline également toute responsabilité en cas de disparition ou de mort, douloureuse ou non, s'ensuivant des éventuelles recherches menées à cet effet.
Il y aura combien de parties ?
RépondreSupprimerCela te regarde t'il ?
SupprimerBah oui, j'ai le droit de demander si je veux
SupprimerAno qui tente de combler son manque de charisme
Supprimer-Rabadu
Le syndrome de la main étrangère, c'est toujours une bonne idée de creepy, d'ailleurs je m'étonne qu'elle ne soit pas utilisée plus souvent !
RépondreSupprimerJ'ai adorée, j'espère que nous aurons une suite, la lecture et agréable et même si je n'aime pas les hôpitaux, j'apprécie beaucoup les histoires qui on parle surtout de ce genre!
RépondreSupprimerOù sont les deux autres parties ?
RépondreSupprimerJe m'en doutais qu'il allait finir par vouloir se débarasser de sa main x')
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