En 2002, à Sligo en Irlande du Nord, 3 jeunes gens projetant de faire un camping près d'un lac découvrent les cadavres horriblement mutilés de 4 personnes. Effrayés par leur découverte, les 3 adolescents alertent les autorités, s'en suivra une des affaires criminelles les moins connues mais une des plus mystérieuses de notre siècle.
Il est 15h, quand les 3 adolescents s'apprêtent à monter leur camp à l'orée des bois près du lac. Ils connaissent parfaitement les lieux, ayant l'habitude d'y aller pour pêcher. Arrivés sur les lieux un évènement brise la routine, le plus vieux du groupe découvre 4 cadavres d'hommes, semblant sortir des bois, espacés chacun d'environ 3 mètres. Ils sont tous couchés sur le ventre, habillés de grosses vestes malgré la chaleur qui règne à cette période de l'année.
Ce qui intrigue le plus les policiers est qu'ils ne retrouvent absolument aucune pièce d'identité qui permette d'identifier les victimes, leurs empreintes digitales et dentaires ne donnent rien, de plus personne n'est venu demander les dépouilles, c'est comme si ces quatre personnes n'avaient jamais existé.
Ce qui frappe les jeunes gens, c'est l'horreur qui vient à leurs yeux. Un des corps et retrouvé sans ses jambes (elles seront retrouvées sur les rives du lac, le meurtrier les ayant sûrement jetées à l'eau). Le deuxième à ses côtés est retrouvé tranché en deux et les organes ont disparu. Quant aux deux autres hommes, rien à première vue ne peut permettre de connaître les causes de la mort. Seul le rapport d'autopsie du Dr Irvin Flaming permet de faire la lumière sur les causes de la mort et ses circonstances.
"[...] ce que j'ai pu déduire de la position des corps est qu'ils étaient en train de courir, comme s'ils fuyaient quelque chose; ceci me surprend d'ailleurs, du fait que la personne, la "chose" qui la poursuivait devait être plus rapide ou aurait réussi à la tuer à distance. Cependant cette hypothèse est contredite par les deux autres cadavres, plus éloignés des deux premiers.
Ceux-ci ont dans le dos d'étranges symboles gravés, les experts penchent sur leur signification, qui est encore assez floue. La cause de leur mort, à première vue, reste obscure; j'ai donc réalisé quelques radiographies et le résultat m'a surpris. Outre une mâchoire cassée, les deux hommes, d'une trentaine d'années, ont littéralement le crâne brisé en mille morceaux. Il est réellement impossible qu'un homme ait pu faire ça, surtout en condition de fuite . Je note donc que la cause de la mort serait "une force [psychique] irrésistible". Je tiens à rajouter que quelque chose m'a vraiment choqué lors de l'autopsie. À peine ai-je réalisé une incision que le sang d'une des victimes a jailli avec force jusqu'à mon visage, comme si la personne n'était pas morte.
Passons aux deux autres victimes. Il m'est à l'heure actuelle impossible de réellement connaître l'arme du crime, sans doute une longue lame telle celle d'une faux ou d'une longue hache, voir une hallebarde bien que ces dernières hypothèses soient les moins plausibles.
La première victime a les jambes coupées à hauteur du genou. Elles semblent avoir été tranchées d'un coup sec, la lame a tranché les os comme du plastique. Cependant la personne est morte sur le coup et rien ne me permet de dire comment, celle-ci ne comporte aucune trace de poison, de coup mortel...
Après radio je remarque que sa colonne vertébrale est réduite en miettes comme si son assassin lui avait marché dessus, dans ce cas sont poids devait être conséquent; cependant nous n'avons retrouvé aucune empreinte près de la scène de crime qui puisse appartenir à cette "personne".
La deuxième victime coupée en deux semble l'avoir été de biais. Ses organes ont disparu, sans doute emportés par le meurtrier. Là aussi la lame a tranché sans rencontrer de résistance.[...]"
Quelques heures après la découverte des corps, un homme habillé de la même manière que les autres arrive dans la ville de Sligo. Les témoins diront qu'il était complètement déboussolé et effrayé. Il n'arrête pas de regarder derrière lui comme s'il voulait échapper à quelque chose. Il se fait renverser par une voiture mais le choc n'est pas puissant. Il est envoyé à l'hôpital de Sligo, où, après s'être reposé, il est interrogé par la police qui le relie immédiatement aux autres victimes.
Il s'éteint 10 minutes après avoir parlé aux policiers, et leur avoir répété " His eyes are the color of hell and he has sulfur of smell..."(Il a les yeux aux couleurs de l'enfer et l'odeur du soufre...)
Le mystère demeure encore 11 ans après. Peu de temps après les évènements, la forêt a été victime d'un incendie, de nombreuse personne ont été accusées puis relâchées par manque de preuves. Quoi qu'il en soit le mystère perdure, les légendes et les rumeurs continuent de se propager dans la ville de Sligo et alentours. Cette histoire en rappelle une autre un peu plus connue qui s'était déroulée à Bodom en Finlande en 1960.
Comme celle ci, la Grande Faucheuse en serait elle la cause ?
Il est 15h, quand les 3 adolescents s'apprêtent à monter leur camp à l'orée des bois près du lac. Ils connaissent parfaitement les lieux, ayant l'habitude d'y aller pour pêcher. Arrivés sur les lieux un évènement brise la routine, le plus vieux du groupe découvre 4 cadavres d'hommes, semblant sortir des bois, espacés chacun d'environ 3 mètres. Ils sont tous couchés sur le ventre, habillés de grosses vestes malgré la chaleur qui règne à cette période de l'année.
Ce qui intrigue le plus les policiers est qu'ils ne retrouvent absolument aucune pièce d'identité qui permette d'identifier les victimes, leurs empreintes digitales et dentaires ne donnent rien, de plus personne n'est venu demander les dépouilles, c'est comme si ces quatre personnes n'avaient jamais existé.
Ce qui frappe les jeunes gens, c'est l'horreur qui vient à leurs yeux. Un des corps et retrouvé sans ses jambes (elles seront retrouvées sur les rives du lac, le meurtrier les ayant sûrement jetées à l'eau). Le deuxième à ses côtés est retrouvé tranché en deux et les organes ont disparu. Quant aux deux autres hommes, rien à première vue ne peut permettre de connaître les causes de la mort. Seul le rapport d'autopsie du Dr Irvin Flaming permet de faire la lumière sur les causes de la mort et ses circonstances.
"[...] ce que j'ai pu déduire de la position des corps est qu'ils étaient en train de courir, comme s'ils fuyaient quelque chose; ceci me surprend d'ailleurs, du fait que la personne, la "chose" qui la poursuivait devait être plus rapide ou aurait réussi à la tuer à distance. Cependant cette hypothèse est contredite par les deux autres cadavres, plus éloignés des deux premiers.
Ceux-ci ont dans le dos d'étranges symboles gravés, les experts penchent sur leur signification, qui est encore assez floue. La cause de leur mort, à première vue, reste obscure; j'ai donc réalisé quelques radiographies et le résultat m'a surpris. Outre une mâchoire cassée, les deux hommes, d'une trentaine d'années, ont littéralement le crâne brisé en mille morceaux. Il est réellement impossible qu'un homme ait pu faire ça, surtout en condition de fuite . Je note donc que la cause de la mort serait "une force [psychique] irrésistible". Je tiens à rajouter que quelque chose m'a vraiment choqué lors de l'autopsie. À peine ai-je réalisé une incision que le sang d'une des victimes a jailli avec force jusqu'à mon visage, comme si la personne n'était pas morte.
Passons aux deux autres victimes. Il m'est à l'heure actuelle impossible de réellement connaître l'arme du crime, sans doute une longue lame telle celle d'une faux ou d'une longue hache, voir une hallebarde bien que ces dernières hypothèses soient les moins plausibles.
La première victime a les jambes coupées à hauteur du genou. Elles semblent avoir été tranchées d'un coup sec, la lame a tranché les os comme du plastique. Cependant la personne est morte sur le coup et rien ne me permet de dire comment, celle-ci ne comporte aucune trace de poison, de coup mortel...
Après radio je remarque que sa colonne vertébrale est réduite en miettes comme si son assassin lui avait marché dessus, dans ce cas sont poids devait être conséquent; cependant nous n'avons retrouvé aucune empreinte près de la scène de crime qui puisse appartenir à cette "personne".
La deuxième victime coupée en deux semble l'avoir été de biais. Ses organes ont disparu, sans doute emportés par le meurtrier. Là aussi la lame a tranché sans rencontrer de résistance.[...]"
Quelques heures après la découverte des corps, un homme habillé de la même manière que les autres arrive dans la ville de Sligo. Les témoins diront qu'il était complètement déboussolé et effrayé. Il n'arrête pas de regarder derrière lui comme s'il voulait échapper à quelque chose. Il se fait renverser par une voiture mais le choc n'est pas puissant. Il est envoyé à l'hôpital de Sligo, où, après s'être reposé, il est interrogé par la police qui le relie immédiatement aux autres victimes.
Il s'éteint 10 minutes après avoir parlé aux policiers, et leur avoir répété " His eyes are the color of hell and he has sulfur of smell..."(Il a les yeux aux couleurs de l'enfer et l'odeur du soufre...)
Le mystère demeure encore 11 ans après. Peu de temps après les évènements, la forêt a été victime d'un incendie, de nombreuse personne ont été accusées puis relâchées par manque de preuves. Quoi qu'il en soit le mystère perdure, les légendes et les rumeurs continuent de se propager dans la ville de Sligo et alentours. Cette histoire en rappelle une autre un peu plus connue qui s'était déroulée à Bodom en Finlande en 1960.
Comme celle ci, la Grande Faucheuse en serait elle la cause ?
Bonne pasta, mais quelque petite faute que j'ai pu trouver comme : "près d'un lac découvrent" je trouve qu'il manque quelque chose, un mot, une virgule...
RépondreSupprimerBon, j'encourage l'auteur même ce n'est pas ma pasta préférer... ;)
"de nombreuse personne ont étaient accusées" Juste ça qui m'a déboussolée (violente douleur aux yeux tellement la faute est horrible), sinon j'aime bien cette pasta.
RépondreSupprimerHeureusement que les médecins légistes ne sont pas aussi incompétents dans la vraie vie, sinon on serai pas dans la m****e ! XD
RépondreSupprimerVB
"Yeux de l'enfer et odeur de souffre"
RépondreSupprimerSelon la légende,une bête avec les yeux de l'enfer et surtout l'odeur de souffre appartiendrais au suce-chèvre plus communément appellé "Chupacabra" http://fr.wikipedia.org/wiki/Chupacabra
bonne pasta! on parle du lac de Bodom, donc c'est bien, parce que Children of Bodom, c'est bien, donc Bodom, c'est bien!
RépondreSupprimer(oui, c'est comme ça qu'on reconnait un metalleux! x) )