L'Horreur a plusieurs visages, plusieurs noms. Cette horreur se cache partout où elle peut, dans les moindres recoins de votre esprit, ou de votre maison.
Elle peut être animale, ou virtuelle, voire imaginaire.
De chair et de sang ou de fumée et d'ombre.
Mais en chacun de nous, elle est présente, toujours tapie dans l'ombre, prête à se réveiller et à vous sauter à la gorge...
Certains expriment cette horreur par des peintures, d'autres par des hurlements, mais d'autres n'arrivent pas à contenir cette horreur grandissante de jour en jour.
Parlons de ces gens, ces gens qui n'arrivent plus à contenir l'Horreur qui les habite. Ils commencent par se mutiler, de profondes plaies sanglantes; le sang coule, mais ils veulent en voir plus, ressentir plus.
Alors ils tuent des animaux, de petites bêtes innocentes; regardez le sang qui s'échappe de la fourrure blanche de cette hermine, n'est-ce pas jouissif d'être à la place de Dieu, et d'avoir le pouvoir de vie ou de mort ?
Alors ces gens s'enferment dans leur folie, jusqu'à passer le pas, ne ressentant plus rien à la vue du sang de simples animaux inutiles... D'autres humains sont encore moins utiles qu'eux, alors pourquoi ne pas jouer avec aussi fort?
Ils chassent, et trouvent une proie. D'abord une jeune fille, une jolie robe blanche descendant en dessous de ses genoux; le prédateur sourit et se jette sur la petite fille, l'entraînant dans son atelier où sont entreposés des tas de corps décomposés, dont certains sont attachés misérablement aux murs, exposant un crime artistique: une fouine, les intestins disposés en croix inversée, une hermine avec les intestins formant une étoile, bref, un tableau macabre.
Ces gens ayant perdu l'esprit et rencontré l'Horreur ne s'attardent pas à tuer de petites filles, ils s'en prennent enfin à des gens de leur âge, leur corpulence; mais l'Horreur n'a pas atteint son paroxysme.
Un changement d'identité, et quelques années plus tard à retenir leur horreur, ces gens sont acteurs d'une grande battue; ils chassent.
La partie de chasse commence simplement, dix personnes dont l'Horreur a rongé les âmes, lâchés dans une ville.
Et le soir, ils font les comptes.
Peut-être que bientôt, c'est dans votre ville que les battues auront lieu.
Elle peut être animale, ou virtuelle, voire imaginaire.
De chair et de sang ou de fumée et d'ombre.
Mais en chacun de nous, elle est présente, toujours tapie dans l'ombre, prête à se réveiller et à vous sauter à la gorge...
Certains expriment cette horreur par des peintures, d'autres par des hurlements, mais d'autres n'arrivent pas à contenir cette horreur grandissante de jour en jour.
Parlons de ces gens, ces gens qui n'arrivent plus à contenir l'Horreur qui les habite. Ils commencent par se mutiler, de profondes plaies sanglantes; le sang coule, mais ils veulent en voir plus, ressentir plus.
Alors ils tuent des animaux, de petites bêtes innocentes; regardez le sang qui s'échappe de la fourrure blanche de cette hermine, n'est-ce pas jouissif d'être à la place de Dieu, et d'avoir le pouvoir de vie ou de mort ?
Alors ces gens s'enferment dans leur folie, jusqu'à passer le pas, ne ressentant plus rien à la vue du sang de simples animaux inutiles... D'autres humains sont encore moins utiles qu'eux, alors pourquoi ne pas jouer avec aussi fort?
Ils chassent, et trouvent une proie. D'abord une jeune fille, une jolie robe blanche descendant en dessous de ses genoux; le prédateur sourit et se jette sur la petite fille, l'entraînant dans son atelier où sont entreposés des tas de corps décomposés, dont certains sont attachés misérablement aux murs, exposant un crime artistique: une fouine, les intestins disposés en croix inversée, une hermine avec les intestins formant une étoile, bref, un tableau macabre.
Ces gens ayant perdu l'esprit et rencontré l'Horreur ne s'attardent pas à tuer de petites filles, ils s'en prennent enfin à des gens de leur âge, leur corpulence; mais l'Horreur n'a pas atteint son paroxysme.
Un changement d'identité, et quelques années plus tard à retenir leur horreur, ces gens sont acteurs d'une grande battue; ils chassent.
La partie de chasse commence simplement, dix personnes dont l'Horreur a rongé les âmes, lâchés dans une ville.
Et le soir, ils font les comptes.
Peut-être que bientôt, c'est dans votre ville que les battues auront lieu.
Gore inutile ou mal exploité, événements très improbables, même pour une creepypasta, c'est dire...
RépondreSupprimerEt la répétition du mot "Horreur" est insupportable.
Ecrite sans doute en vingt minutes, sans relecture.
Je suis d'accord.
SupprimerMais le début m'a bien plu.
Je ne dis pas, à moi aussi, mais la fin est bâclée.
SupprimerLe début est bon, mais la fin tombe dans une sorte de "Gore Sectaire Satanique avec des étoiles et des croix inversées"...mais cette Creepy' a un bon potentiel !
RépondreSupprimerje me mutile cela veu dire que je suis fou comme les autre?
RépondreSupprimer.sius el eJ
oui
SupprimerEuh ... Pas très clair tout ça x)
RépondreSupprimerMême si elle est pas bien construite, c'est pas con de parler de ça. Je pense qu en la développant un peu plus elle peut faire un carton!!
RépondreSupprimerMaz
Pas mal, certaines parties seraient assez sympas pour l'audio d'une BA de film d'horreurs à la American Nightmare
RépondreSupprimerQuasiment le Nazisme .
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