Début 2013, nous avons retrouvé un petit carnet appartenant au tueur en série Tom Greg, qu'on recherche depuis des mois. Il s'est évadé, et tous les indices sont bons pour le retrouver. Après quelques semaines d'intenses recherches, un coup de fil anonyme nous demanda de chercher près d'un vieux hangar, comme la première fois qu'on avait retrouvé ce dangereux criminel. On y était allé, mais rien d'intéressant. Le vieux hangar était en désordre, il y avait de la nourriture, comme si quelqu'un avait squatté ici quelques temps. On savait tout de suite que c'était lui. Pourquoi ? Les murs étaient tapissés de sang, ou plutôt de mots écrit à partir de sang. "Candy". Cela ne nous étonnait même plus à force. On savait que ce type était un grand malade. Bref, fin de la parenthèse, nous avons donc trouvé un petit carnet. Il n'y avait rien de très important, mis à part quelque chose qui nous dérangea, mais je vous en parle après. Tom Greg racontait, dans un premier temps, la vie qu'il menait en prison.
"Enfin, chère sœur, je suis sorti de cet enfer. Je n'en pouvais plus, et la seule source de réconfort que j'avais était d'entendre ta voix, qui me disait tout le temps d'écrire mon surnom. Je sais à quel point il compte pour toi, et il compte aussi énormément pour moi, sois-en sûr. Je ne sais pas par où commencer...
Les prisonniers me regardaient comme si j'étais une bête sauvage. D'autres étaient mal à l'aise, mais certains me dévisageaient, m'insultaient de monstre. Ce sont eux les monstres, ce sont eux qui tuent pour le plaisir, moi, je tue... Pour toi. Tu le sais n'est-ce pas ? Les nuits, c'est pareil, je n'arrivais pas à dormir, trop de choses me préoccupaient. Toi, arracher ma peau avec mes ongles pour écrire mon doux surnom et le fait qu'un des prisonniers chantait en pleine nuit, des poèmes assez morbides... Je ne l'aimais pas, il me faisait un peu peur, je te l'avoue... Mais c'est grâce à lui que j'ai pu m'enfuir, je t'expliquerai cela après.
Comme je te l'ai dit, je ne pensais qu'à toi, et à la chose à laquelle tu tiens tant. Une fois, des prisonniers m'ont agressé, et m'ont cassé le nez. Et la seule chose que j'ai fait sœurette, c'est ce que tu m'as dit de faire, écrire, à partir de mon sang, mon surnom. C'est vrai, tu pourrais penser que je t'en veux car c'est toi qui me demande d'écrire Candy avec du sang autre que le mien, et que c'est pour cette raison que je suis en prison, mais non. Je ferais tout pour te faire plaisir, quitte à me sacrifier... Et puis, je suis sorti de cet enfer, c'est le principal. Comment, me dis-tu ? C'est très simple !
Te rappelles-tu du prisonnier dont je t'ai parlé ? Et bien, il avait préparé une évasion, je ne sais pas vraiment comment, mais j'en ai profité. J'ai tué un des policiers, et je me suis habillé comme lui. Avec toute cette agitation, je suis passé inaperçu, et j'ai réussi à quitter cette prison. Avec le seul désir en tête de te faire plaisir. Le premier innocent que j'ai vu, je lui ai arraché la gorge avec mes propres dents, et j'ai écrit sur un mur "Candy". Je te sentais joyeuse."
Ceci est la fin de la première partie. Il ne nous apprend pas grand-chose, on avait effectivement vu le corps du jeune homme s'étant fait arracher la gorge. Par contre, il nous a appris quelque chose à propos de sa libération. La deuxième partie est beaucoup plus inquiétante.
"Je ne sais pas ce qui se passe ma sœur. Je t'ai vu... Je t'ai vu hier ! Co... Comment fais-tu pour me parler, pour être dans ma tête alors que tu es... Vivante ? Tu ne sembles pas comprendre... Hier, je longeais les rues, dans l'ombre des personnes, quand je t'ai vu dans un parc... Les mêmes yeux, les mêmes cheveux en couettes... C'était toi, je te l'assure ! Tu étais là devant mes yeux... Pourquoi ne me crois-tu pas ? Tu es vivante ma sœur, pourquoi je te sens... Bizarre... ? Je ne voulais pas te froisser ma sœur... Ne t'inquiète pas, je ferai tout pour prouver que c'était bel et bien toi ! Mais je dois me coucher... Regarde, pour que tu t'endormes bien... Candy (Ce mot est écrit avec du sang)... Dort bien ma sœur, et fais de beaux rêves...
Aujourd'hui, je t'ai revu ma sœur! Tu étais dans ce même parc, toujours si souriante ! Je voulais te parler, mais une femme est venue te chercher... Ce n'est pas grave, j''essayerai la prochaine fois... Pendant ce temps, bonne nuit sœurette, je t'aime très fort...
Je t'ai parlé ma sœur aujourd'hui, je t'ai parlé ! Tu marchais seule dans la rue, quand je me suis approché de toi... Je t'ai demandé si tu me reconnaissais, mais tu pleurais... Sûrement le choc de m'avoir revu... Quand la femme, accompagnée d'un homme, sont venus et m'ont crié dessus... Qui sont-ils, et pourquoi te prennent-ils... ? Je sais quoi faire et ensuite, tu auras tout le temps pour me prendre dans tes bras, promis...
Voilà, ce soir, tu es maintenant complètement à moi. Je me suis introduit chez les personnes qui te retenaient prisonnières, et je les ai égorgées, ils n'ont pas eu le temps de crier. J'ai mis quelques pièces dans leur gorge, je ne sais pas pourquoi, je trouvais cela d'une beauté... Je suis allé dans ta chambre, je t'ai réveillé. Tu as crié de toutes tes forces, mais cela venait de la joie de me voir, tel un prince charmant, te libérer de tes chaînes. Je t'ai planté le couteau dans le ventre, et là, je t'ai entendu dans ma tête, tu me disais que tu étais contente... J'ai pris ton sang, et j'ai écris doucement "Candy", avant de te prendre dans mes bras."
On ne savait pas pour ces meurtres. En ayant lu cela, on a tout de suite cherché dans le voisinage, avant de trouver les corps. On ne voulait pas alerter le voisinage, mais il était trop tard. Maintenant, on est au point mort, on ne sait pas où il peut bien être. Et après tout, ce type souffre déjà beaucoup, il est victime de sa propre folie.
"Enfin, chère sœur, je suis sorti de cet enfer. Je n'en pouvais plus, et la seule source de réconfort que j'avais était d'entendre ta voix, qui me disait tout le temps d'écrire mon surnom. Je sais à quel point il compte pour toi, et il compte aussi énormément pour moi, sois-en sûr. Je ne sais pas par où commencer...
Les prisonniers me regardaient comme si j'étais une bête sauvage. D'autres étaient mal à l'aise, mais certains me dévisageaient, m'insultaient de monstre. Ce sont eux les monstres, ce sont eux qui tuent pour le plaisir, moi, je tue... Pour toi. Tu le sais n'est-ce pas ? Les nuits, c'est pareil, je n'arrivais pas à dormir, trop de choses me préoccupaient. Toi, arracher ma peau avec mes ongles pour écrire mon doux surnom et le fait qu'un des prisonniers chantait en pleine nuit, des poèmes assez morbides... Je ne l'aimais pas, il me faisait un peu peur, je te l'avoue... Mais c'est grâce à lui que j'ai pu m'enfuir, je t'expliquerai cela après.
Comme je te l'ai dit, je ne pensais qu'à toi, et à la chose à laquelle tu tiens tant. Une fois, des prisonniers m'ont agressé, et m'ont cassé le nez. Et la seule chose que j'ai fait sœurette, c'est ce que tu m'as dit de faire, écrire, à partir de mon sang, mon surnom. C'est vrai, tu pourrais penser que je t'en veux car c'est toi qui me demande d'écrire Candy avec du sang autre que le mien, et que c'est pour cette raison que je suis en prison, mais non. Je ferais tout pour te faire plaisir, quitte à me sacrifier... Et puis, je suis sorti de cet enfer, c'est le principal. Comment, me dis-tu ? C'est très simple !
Te rappelles-tu du prisonnier dont je t'ai parlé ? Et bien, il avait préparé une évasion, je ne sais pas vraiment comment, mais j'en ai profité. J'ai tué un des policiers, et je me suis habillé comme lui. Avec toute cette agitation, je suis passé inaperçu, et j'ai réussi à quitter cette prison. Avec le seul désir en tête de te faire plaisir. Le premier innocent que j'ai vu, je lui ai arraché la gorge avec mes propres dents, et j'ai écrit sur un mur "Candy". Je te sentais joyeuse."
Ceci est la fin de la première partie. Il ne nous apprend pas grand-chose, on avait effectivement vu le corps du jeune homme s'étant fait arracher la gorge. Par contre, il nous a appris quelque chose à propos de sa libération. La deuxième partie est beaucoup plus inquiétante.
"Je ne sais pas ce qui se passe ma sœur. Je t'ai vu... Je t'ai vu hier ! Co... Comment fais-tu pour me parler, pour être dans ma tête alors que tu es... Vivante ? Tu ne sembles pas comprendre... Hier, je longeais les rues, dans l'ombre des personnes, quand je t'ai vu dans un parc... Les mêmes yeux, les mêmes cheveux en couettes... C'était toi, je te l'assure ! Tu étais là devant mes yeux... Pourquoi ne me crois-tu pas ? Tu es vivante ma sœur, pourquoi je te sens... Bizarre... ? Je ne voulais pas te froisser ma sœur... Ne t'inquiète pas, je ferai tout pour prouver que c'était bel et bien toi ! Mais je dois me coucher... Regarde, pour que tu t'endormes bien... Candy (Ce mot est écrit avec du sang)... Dort bien ma sœur, et fais de beaux rêves...
Aujourd'hui, je t'ai revu ma sœur! Tu étais dans ce même parc, toujours si souriante ! Je voulais te parler, mais une femme est venue te chercher... Ce n'est pas grave, j''essayerai la prochaine fois... Pendant ce temps, bonne nuit sœurette, je t'aime très fort...
Je t'ai parlé ma sœur aujourd'hui, je t'ai parlé ! Tu marchais seule dans la rue, quand je me suis approché de toi... Je t'ai demandé si tu me reconnaissais, mais tu pleurais... Sûrement le choc de m'avoir revu... Quand la femme, accompagnée d'un homme, sont venus et m'ont crié dessus... Qui sont-ils, et pourquoi te prennent-ils... ? Je sais quoi faire et ensuite, tu auras tout le temps pour me prendre dans tes bras, promis...
Voilà, ce soir, tu es maintenant complètement à moi. Je me suis introduit chez les personnes qui te retenaient prisonnières, et je les ai égorgées, ils n'ont pas eu le temps de crier. J'ai mis quelques pièces dans leur gorge, je ne sais pas pourquoi, je trouvais cela d'une beauté... Je suis allé dans ta chambre, je t'ai réveillé. Tu as crié de toutes tes forces, mais cela venait de la joie de me voir, tel un prince charmant, te libérer de tes chaînes. Je t'ai planté le couteau dans le ventre, et là, je t'ai entendu dans ma tête, tu me disais que tu étais contente... J'ai pris ton sang, et j'ai écris doucement "Candy", avant de te prendre dans mes bras."
On ne savait pas pour ces meurtres. En ayant lu cela, on a tout de suite cherché dans le voisinage, avant de trouver les corps. On ne voulait pas alerter le voisinage, mais il était trop tard. Maintenant, on est au point mort, on ne sait pas où il peut bien être. Et après tout, ce type souffre déjà beaucoup, il est victime de sa propre folie.
Suite de l'histoire de Candy. Episode précédent ici.
Le coup du prisonnier qui chante des poèmes morbide la nuit me rapelle Razor Jim.... :)
RépondreSupprimerj'adore les histoire de candy j’espère qu'il aura encore une suite
RépondreSupprimerUne petite rencontre entre Razor Jim et Candy en prison :P .
RépondreSupprimerc'est moi ou Razor Jim apparaît dans cette épisode de Candy ?
RépondreSupprimerOui,en fait, Razor Jim a un lien avec Tom .
Supprimerc'est qui Tom
Supprimerc'est qui Tom
SupprimerUn petit manque d'ambiance mais toujours très bon
RépondreSupprimerBRAVISSIMO
RépondreSupprimer"on ne sait pas où il peut bien être. Et après tout, ce type souffre déjà beaucoup, il est victime de sa propre folie.". ok, il est en train de tuer tous les gens de la ville mais il se sent mal alors laissons le. lol
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