Michael avait à peine 15 ans quand c’est arrivé. C’était un garçon si souriant, si heureux, mais toute cette joie cachait forcément quelque chose.
Ce jour-là, rien ne semblait signaler quelque chose d’étrange. Il prit son petit déjeuner et parla un peu avec sa mère, avant de prendre son père dans les bras et de partir en cours. Ce n’était pas un garçon très populaire, il était très timide et portait de grosses lunettes, on le traitait souvent de caniche à cause de ses cheveux frisés mais il le prenait avec humour. Mais cette journée n’était pas si ordinaire finalement.
Marc, la grosse brute de sa classe, le prit à part avec sa bande, et le menaça avec un couteau. Il lui dit de lui donner tout son argent et de n’en parler à personne, sinon il le tuerait. N’étant pas un garçon très fort ou courageux, il s’y résigna. C’est ainsi que tout commença…
Jour après jour, cette petite enflure le rackettait, et jour après jour, le psychisme de Michael se dégradait... Oh, je vous ai précisé que depuis ce jour-là, il commençait à imaginer les multiples façons de tuer Marc ? Malgré tout cela, il continuait de sourire, un sourire forcé, un sourire qui serait bientôt son symbole...
Un jour, Michael fut las de cette tyrannie et décida de faire payer ce petit enfoiré tout ce qu’il avait fait. En plein milieu de la nuit, il descendit dans la cuisine, prit deux couteaux et sortit de chez lui, sourire aux lèvres. Déambulant dans la nuit il avait son plan bien en tête, il comptait profiter de l’absence des parents de Marc pour se faufiler à l’intérieur. Ah oui, je ne vous avais pas dit qu’il traquait son bourreau depuis plusieurs mois ? Il savait tout sur lui, il connaissait toutes ses habitudes, toutes ses manies, tous ses tics. Il savait très bien que cet abruti ne fermait jamais la fenêtre pour s’enfuir si quelqu’un venait le tuer. Quelle ironie…
Ainsi, il grimpa sur l’arbre qui était proche de la chambre de Marc, y pénétra doucement, mais ne fit rien… Il savourait ce moment, il attendait que cette «brute » se lève et qu’elle le remarque, qu’elle remarque son sourire de démon, qu’elle comprenne que la mort avait sonné. Vers 00h30, Marc, assoiffé, ouvrit les yeux, Michael pouvait passer à l’acte. Il planta rapidement son couteau dans la gorge de Marc, et se servit du deuxième pour le lui planter dans le cœur. Assis près du corps, il se sentait apaisé, ne perdant en rien son sourire, il se servit du sang du cadavre pour dessiner un sourire sur le mur et il écrivit un message sur le carnet qui était sur le bureau :
Tu m’es enfin sympathique, Marc ! Sache que maintenant que je souris pour de vrai, je ne compte pas m’arrêter, je me suis toujours demandé pourquoi tu étais si sérieux, je ne le saurai jamais apparemment. Mais vous savez, comme l’a dit un grand homme, vous n’avez encore rien vu. À tous ceux qui m’ont tourmenté, ne dormez plus, ne vivez plus, craignez seulement le démon rieur.
Vous vous demandez comment je connais cette histoire hein ? Disons que je connais bien Michael. Rassurez-vous, il est mort, mais j’espère pour vous ne jamais m’avoir provoqué, car qui sait ? Le démon rieur viendra peut être vous voir ?
Ce jour-là, rien ne semblait signaler quelque chose d’étrange. Il prit son petit déjeuner et parla un peu avec sa mère, avant de prendre son père dans les bras et de partir en cours. Ce n’était pas un garçon très populaire, il était très timide et portait de grosses lunettes, on le traitait souvent de caniche à cause de ses cheveux frisés mais il le prenait avec humour. Mais cette journée n’était pas si ordinaire finalement.
Marc, la grosse brute de sa classe, le prit à part avec sa bande, et le menaça avec un couteau. Il lui dit de lui donner tout son argent et de n’en parler à personne, sinon il le tuerait. N’étant pas un garçon très fort ou courageux, il s’y résigna. C’est ainsi que tout commença…
Jour après jour, cette petite enflure le rackettait, et jour après jour, le psychisme de Michael se dégradait... Oh, je vous ai précisé que depuis ce jour-là, il commençait à imaginer les multiples façons de tuer Marc ? Malgré tout cela, il continuait de sourire, un sourire forcé, un sourire qui serait bientôt son symbole...
Un jour, Michael fut las de cette tyrannie et décida de faire payer ce petit enfoiré tout ce qu’il avait fait. En plein milieu de la nuit, il descendit dans la cuisine, prit deux couteaux et sortit de chez lui, sourire aux lèvres. Déambulant dans la nuit il avait son plan bien en tête, il comptait profiter de l’absence des parents de Marc pour se faufiler à l’intérieur. Ah oui, je ne vous avais pas dit qu’il traquait son bourreau depuis plusieurs mois ? Il savait tout sur lui, il connaissait toutes ses habitudes, toutes ses manies, tous ses tics. Il savait très bien que cet abruti ne fermait jamais la fenêtre pour s’enfuir si quelqu’un venait le tuer. Quelle ironie…
Ainsi, il grimpa sur l’arbre qui était proche de la chambre de Marc, y pénétra doucement, mais ne fit rien… Il savourait ce moment, il attendait que cette «brute » se lève et qu’elle le remarque, qu’elle remarque son sourire de démon, qu’elle comprenne que la mort avait sonné. Vers 00h30, Marc, assoiffé, ouvrit les yeux, Michael pouvait passer à l’acte. Il planta rapidement son couteau dans la gorge de Marc, et se servit du deuxième pour le lui planter dans le cœur. Assis près du corps, il se sentait apaisé, ne perdant en rien son sourire, il se servit du sang du cadavre pour dessiner un sourire sur le mur et il écrivit un message sur le carnet qui était sur le bureau :
Tu m’es enfin sympathique, Marc ! Sache que maintenant que je souris pour de vrai, je ne compte pas m’arrêter, je me suis toujours demandé pourquoi tu étais si sérieux, je ne le saurai jamais apparemment. Mais vous savez, comme l’a dit un grand homme, vous n’avez encore rien vu. À tous ceux qui m’ont tourmenté, ne dormez plus, ne vivez plus, craignez seulement le démon rieur.
Vous vous demandez comment je connais cette histoire hein ? Disons que je connais bien Michael. Rassurez-vous, il est mort, mais j’espère pour vous ne jamais m’avoir provoqué, car qui sait ? Le démon rieur viendra peut être vous voir ?
Un démon sourieur qui fait référence au Joker avec sa citation, j'adore :p
RépondreSupprimer... ou à Jeff the killer
RépondreSupprimerce que j'aodre dans cette pasta,c'est qu'il y a un certain appui sur la réalité,car beaucoup de gens qui sont humiliés,insultés ou encore tabassés peuvent devenir comme le démon rieur...
RépondreSupprimerVoila une bonne pasta qui remplacera Jeff the Killer quand une nouvelle génération de creepypasta va voir le jour.
RépondreSupprimerMerci pour cette Super pasta
J'adore cette pasta. L'anonyme du 21 sept a totalement raison ^^
RépondreSupprimerJe trouve ça super de faire ça sous me de témoignages !
C 2 la maird sa fé pa peure wsh bend de tappete ! moi g 11 an é deuxmit et g vs enkul tousse
RépondreSupprimerApprend d'abord l'orthographe et après tu pourras l'ouvrire! Une creepypasta ne fait pas forcément peur, c'est la qualité qui compte.
SupprimerDon't feed the troll.
SupprimerDAT troll puissance 10 000
Supprimersa me fait trop penser a Jeff the killer qu'au démon rieur, mais j'ai rien contre une tourné différente tant qu'elle est bien faite
RépondreSupprimerMon demon rieur '-'
RépondreSupprimerLe sourire m'a fait penser à John Le Rouge dans mentaliste
RépondreSupprimerC'est exactement ce à quoi j'ai pensé aussi, le Smiley larmoyant de Red John
SupprimerLe sourire m'a fait penser à John Le Rouge dans mentaliste
RépondreSupprimerCette pasta est vraiment pas ouf et très classique.
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