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jeudi 22 août 2013

Le Gardien de St Vincent

D’après l’histoire que l’on raconte sur lui, il n’aurait pas d’identité, pas de prénom. Ce serait un véritable fantôme, ce qui expliquerait pourquoi personne ne l’a encore trouvé à ce jour. Cet homme est inconnu pour tous mais pourtant bien réel. En fait, on ne sait pas vraiment à quoi il ressemble car certaines versions racontent que ses parents l’ont abandonné lorsqu’il fut en âge de se débrouiller seul. Selon cette théorie, le jeune garçon avait été élevé comme un vulgaire animal assoiffé de sang de manière à le transformer en un redoutable prédateur. A vrai dire, personne ne connaît réellement la vérité sur ce monstre à l’apparence humaine dévorant toute chose vivante se trouvant à sa portée. Ne ressentant pas la pitié, il pourrait s’attaquer à n’importe qui lorsqu’il a faim ou qu’il éprouve un sentiment d’insécurité. Tout ce qu’on sait c’est qu’il est formellement déconseillé de se promener au sein de ces bois.     

      

La naissance de cette rumeur débuta peu de temps après le second meurtre qui avait eu lieu dans la forêt de Saint-Vincent-Jalmoutiers dans la région de Bordeaux. En s’aventurant dans celle-ci, des randonneurs avaient fait une macabre découverte lorsqu’ils s’apprêtaient à faire une pause. Ils avaient remarqué la présence d’un individu couché, face contre terre, ne bougeant plus. Le père de famille alerta immédiatement les autorités lorsqu’il s’était rendu compte que le visage de la victime avait été entièrement arraché. Sa gorge, elle, avait été dévorée. Le sang était encore frais selon les recherches, qui avaient été faites sans plus attendre. Les journaux ayant rapporté les paroles des policiers présents sur les lieux ont annoncé qu’il était impossible qu’il puisse s’agir d’un quelconque animal. De plus, le visage de l’homme retrouvé mort lui avait été parfaitement retiré sans le moindre défaut.      

Je tiens à vous rappeler qu’il s’agissait du second meurtre relié à l’histoire du fantôme de St Vincent. En effet, le premier crime était vraiment similaire à la façon dont le meurtrier avait procédé. Mais aucune recherche de ces deux atrocités n’avait pu amener à retrouver la créature qui avait pu faire une chose pareille.      

      

Le dernier homicide de la chose de Saint-Vincent date du 9 juin 2013. L’homme avait été tué différemment par rapport aux précédentes proies. La victime n’a toujours pas pu être identifiée. Elle avait été retrouvée suspendue à sept mètres du sol par des promeneurs venus cueillir des champignons. La tête du malheureux avait été localisée quelques mètres plus loin. En fait, il ne restait plus que son crâne. La peau ainsi que ses cheveux n’ont toujours pas été retrouvés. Le dépeceur aurait accumulé un total de douze victimes depuis ces cinq dernières années, sans parler des nombreux disparus qui habitaient aux alentours de cette vaste forêt. A chaque nouvel assassinat, aucune empreinte ne fut retrouvée ni aucune autre chose qui pourrait nous conduire à l’identité du coupable. Le crime parfait. En approfondissent mes recherches, j’ai pu trouver un article comportant une image censurée volontairement de la scène du crime.     

      


      

De nombreux témoignages affirment l’avoir vu rôder tard le soir dans les rues du village le plus proche de la forêt. Selon les dires, il ne ferait pas moins d'1 m 85. Il porterait un vieux manteau noir en très mauvaise état ainsi qu’un pantalon gris foncé et des chaussures de randonnée.      

Certaines personnes le surnomme « L’homme aux multiples visages », d’autres « Le collectionneur de Saint-Vincent » ou plus récemment « Vincent, le dépeceur ».     

      

Vous vous demandez sans doute pour quel raison je vous raconte cette histoire n’est-ce pas? Tout comme vous, je ne connaissais pas cette oppressante rumeur. Et il se trouve que j’habite depuis quelques temps dans un petit village situé aux alentours de cette fameuse forêt. Je me suis fait des amis depuis mon arrivée. Un jour, nous avions décidé de faire une promenade nocturne autour de la forêt, sans y pénétrer. J’étais le seul à vouloir m’aventurer à l’intérieur, mais eux ne voulaient pas me suivre. Le vent donnait l’impression que les branches d’arbres se battaient entre elles. L’ambiance était angoissante. Nous étions forcément les seuls à nous promener à cet endroit vu l’heure qu’il était. Nous avons entendu le bruit d’un craquement de branche, comme si quelqu’un avait marché maladroitement dessus, ce qui a provoqué un silence des plus torturants. Mes amis commencèrent aussitôt à s’inquiéter. Clément, l’un d’entre eux, avait chuchoté d’un air ironique qu’il s’agissait de Vincent, le dépeceur. Ne savant pas qui c’était, je hurlai inconsciemment en voulant faire le malin:      

      

« Vincent ! C’est toi ? »     

      

C’est alors qu’ils ont commencé à accélérer le pas du côté opposé de la forêt, ce qui les conduisait droit dans un champ de maïs. Je leur ai demandé de m’attendre car d’après moi il n’y avait personne.     

      

J’ai de nouveau entendu le même bruit de craquement, mais cette fois-ci bien plus proche qu’avant. Je me suis retourné de façon à rester le plus calme possible.  
 
Il se tenait à quelques pas devant moi. Son visage, qui n’était pas le sien, le rendait encore plus effroyable que dans toutes les descriptions qu’on a pu me raconter par la suite. Les cheveux devenus siens partaient dans tous les sens. Il portait une veste marron foncé qui était ouverte, en dessous il avait un t-shirt gris ou blanc, je n’ai pas très bien distingué la couleur puisque directement après je me suis enfui dans la même direction que mes amis. Il était impossible de savoir vers où je me dirigeais exactement. J’étais totalement perdu, mais tout ce que je voulais c’était m’éloigner de cette chose. Pourtant je pouvais l’entendre me suivre derrière moi. Je ne voulais pas me retourner, de peur de trébucher, mais je savais très bien qu’il était là. Sa respiration était identique à celle d’un animal pourchassant sa proie.     

Après être sorti du champ, je me suis retrouvé sur la route. Une voiture ayant manqué de justesse de me renverser s’était arrêtée. La femme à l’intérieur me demanda ce que je faisais là à une heure pareille. Envahi par la peur, je lui avais supplié de me conduire jusqu’au prochain village. Elle accepta sans poser de questions. Je me sentais enfin en sécurité. En fouillant mes poches, je me suis aperçu que mon portable avait disparu. Sûrement lorsque je fuyais Vincent. Je n’osais pas en parler à cette femme car je n’étais pas sûr de ce que j’avais réellement vu. En fait, je n’osais pas du tout parler. J’étais encore sous le choc après ce qui s’était passé.      

      

Une fois rentré chez moi, je me suis connecté pour voir si mes amis étaient déjà rentrés chez eux. Mais à ma plus grande déception, il n’y avait personne. Je me suis alors rendu dans le salon pour prendre le téléphone. Je me souvenais seulement du numéro de Clément, mon meilleur ami. Par chance, il a directement répondu. Il était en route vers chez lui avec le reste de la bande. J’étais soulagé, je me sentais mieux. Ne voulant pas parler pour le moment de ce qui s’était passé, je lui ai proposé de se connecter demain pour tout lui expliquer. Il était bien entendu d’accord.     

      

Je revoyais encore ce visage. Ses yeux lugubres menaçants m’avaient littéralement paralysé pendant de longues secondes. Son regard noir me faisait comprendre que je n’étais pas le bienvenu dans cet endroit. J’ai immédiatement fait des recherches sur internet en tapant brièvement « le dépeceur de Saint-Vincent-Jalmoutiers ». C’est alors que je suis tombé sur ce que je vous ai raconté ci-dessus.     

      

Le lendemain, dès mon réveil, je me suis connecté. Clément, lui, l’était déjà.     

      

 
    

Moi : Merci de m’avoir laissé tout seul hier soir.     

Clément : Nous avions cru voir quelque chose ! C’est pour ça que nous avons couru ! Je pensais que tu allais nous suivre !     

Moi : Je l’ai vu ce dépeceur. Vous auriez dû m’en parler avant d’organiser cette promenade !     

Clément : OMG, alors il existe !     

Moi : J’ai failli y rester bordel ! J’ai envie de contacter la police.     

Clément : Tu crois qu’ils vont se faire chier à le chercher alors que pendant toutes ces années ils n’ont même pas été foutus d’avoir ne serai-ce qu’une seule piste.     

Moi : Ca n’a pas l’air de t’inquiéter plus que ça…     

Clément : J’ai du mal à te croire en fait…     

Moi : Tu n’as qu’à y retourner pour vérifier.     

Clément : On n'a qu’à y aller en voiture ensemble, il y a des chemins assez grands !     

Moi : Sans moi alors.     

Clément : Tu as peur !     

Moi : Je n’ai juste pas envie de mourir.     

Clément : On y va le jour si tu veux, on prend ma voiture !     

Moi : C’est dingue comme tu peux être inconscient du danger toi.     

Clément : On ne risque rien le jour ! Surtout pas en voiture !     

Moi : Qu’est-ce que tu en sais ?     

Clément : Allez, fait ça pour moi…     

Moi : Tu fais chier sérieux.     

      

 
    

Je sais, j’aurais sans doute dû refuser. Mais la curiosité concernant cette créature me hantait. Je voulais en savoir plus à son sujet, pourtant, j’en avais peur. Je ne sais pas ce qu’il m’a pris d’accepter… Clément était tout excité dans la voiture, contrairement à moi, qui restais calme. Je pensais tellement à lui que j’avais l’impression qu’il était à chaque coin où je posais le regard. La voiture n’était pas faite pour ce genre de chemin. Elle remuait dans tous les sens. Clément en profita pour arrêter sa voiture de peur d’abîmer ses pneus. Il coupa ensuite le moteur. C’était bien trop calme, je n’étais pas du tout rassuré malgré les rayons du soleil qui nous donnaient une vue sur l’ensemble de la forêt. J’avais l’impression qu’elle nous observait, mais pas seulement elle.      

      

Clément eut soudainement l’idée de composer le numéro de mon portable afin de m’appeler. Etant donné que nous n’étions pas très loin du champ de maïs, je l'avais laissé faire. Nous descendions d’emblée de la voiture. On pouvait effectivement entendre la mélodie de la sonnerie. Mais elle ne venait pas du champ de maïs, mais bien de la forêt. Pourtant, je n’étais jamais rentré dans celle-ci. J’ai directement demandé à Clément de raccrocher pour éviter d’attirer ce tueur fou. Il me traita de parano et insista pour retrouver mon portable. Enervé, je lui dis d’y aller tout seul. Bête comme il est, il y est allé. Je me suis ensuite reculé afin de m’éloigner de la forêt. Je n’osais pas la regarder de peur de voir cet homme mais je ne voulais en aucun cas perdre de vue mon ami. Pourtant, il s’éloignait de plus en plus de moi. Au bout d’un moment, je n’arrivais plus à l’apercevoir à cause des arbres. Je l’appelai en criant son prénom mais il ne me répondait pas.      

      

Inquiet, je pris mon courage à deux mains et me dirigeai dans la forêt. Je priais que Clément me fasse un sale coup pour me surprendre même si je lui en voudrais pendant un long moment. Ça faisait au moins dix minutes que je tournais en rond, lorsque je suis tombé sur son portable. J’ai hurlé de nouveau de toutes mes forces le prénom de mon ami, à m’en péter les cordes vocales. J’ai ensuite composé mon numéro pour appeler Clément qui l’avait sans doute récupéré. Je pouvais distinguer la sonnerie juste derrière moi. J’entendis un gémissement qui me fit directement comprendre que cette chose derrière n’allait pas bien du tout, comme si elle souffrait au point de n'avoir plus la force de dire quoi que ce soit. Terrifié, je me suis retourné avec une prudence infinie. C’était Clément.     

      

Son visage avait été complètement retiré. Son sang ne cessait plus de couler sur ses vêtements. Il tenta de me parler mais, épuisé, il s’écroula ensuite par terre. Une hache avait été sauvagement plantée sur le haut de son dos. J’étais rempli de désespoir. Les larmes commencèrent à couler.  
 
Ce monstre qui n’éprouvait aucun sentiment se trouvait juste derrière lui. Il avait toujours ce même visage hideux et, cette fois, il n’avait plus la veste d’hier soir mais seulement un débardeur blanc ainsi qu’un jean bleu se rapprochant fortement du noir. Il retira la hache sans grande difficulté puis me dévora du regard. Dans sa main gauche, il tenait le visage de mon pauvre ami qui avait succombé à ses blessures. Il le balança soudainement en ma direction.      

Le peu de temps que j’avais été distrait par le lancer avait fait en sorte que cette chose inhumaine puisse avoir le temps de s’éclipser. Je voulais vérifier autour de moi s’il était encore dans les parages quand un chuchotement très proche de mon oreille droite se fit entendre.     

      

« C’était bien moi l’autre soir », me disait-il.     

      

Par réflexe, je lui ai mis un coup de coude dans la tête et j’en ai profité pour prendre la fuite. Je l’entendais crier d’une colère indescriptiblement imposante. Arrivé à la voiture, qui était par chance encore ouverte, je me précipitai à l’intérieur puis me mis en route vers la gendarmerie la plus proche.      

      

Ils m’ont fait savoir qu’ils feront tout leur possible pour retrouver le meurtrier. Je leur ai répondu la même chose que Clément m’avait dite lorsque je voulais contacter la police. Je suis donc aussitôt rentré directement chez moi et me voilà en train d’écrire cette histoire, au bord des larmes. C’est de ma faute, si j’avais insisté pour refuser rien de tout ça ne serait arrivé. Tout ça pour vous dire que si vous habitez dans la région, ou même, si vous voulez faire une escapade dans la forêt de Saint-Vincent-Jalmoutiers, je vous en prie, n’y allez pas. Le danger y est bien réel, je sais de quoi je parle car j’y ai perdu mon meilleur ami.     

      

J’ai trouvé une image publiée sur internet dans un forum dont le sujet a pour titre « L’homme aux mille visages ». Elle ressemble de très près au collectionneur en question. D’après le texte accompagnant la photo, il s’agirait d’une caméra de surveillance qui l’aurait filmé dans les rues d’une commune pas très loin de la mienne. La vidéo n’a pas été publiée pour le moment mais une capture de celle-ci zoomant sur son visage a été prise. Je ne pourrais malheureusement pas vous dire s’il s’agit d’une personne ayant voulu imiter le dépeceur de St Vincent ou si c’est bien lui dessus. Mais au moins vous pourrez vous donner une idée de ce à quoi il ressemble.     

      

 
    

     

     

      

 
    

Il est actuellement plus d’une heure du matin. Cela fait maintenant deux jours que la police est censée être à la recherche de ce cannibale. Pourtant je n’ai toujours pas eu de nouvelle. Je ne sais pas ce que j’ai dans la tête, mais j’ai envie d’appeler avec le portable de Clément, le mien. Je n’y crois pas… J’entends la sonnerie dans la rue en bas. Je vais voir par la fenêtre.     

 
    

C’est lui, il est là. Il sait où j’habite. Comment est-ce possible ? Je l’entends essayer de défoncer la porte. Je publie mon histoire sur-le-champ de peur de ne plus jamais pouvoir le faire.     


18 commentaires:

  1. Mon nouveau coup de coeur ! Comment dire... J'ai ressenti les émotions du personnage ! Le tueur mysterieux ma fait quelque peu frissonner mais la manière dont c'est rédigé: rien à dire ! Bravo !

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  2. Super creepypasta ! J'ai rien a dire ! Par contre, les visages enlevé et la chemise marron me font penser à leatherface.

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  3. Melange de Myers et Leatherface? Très bonne pasta sinon !

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  4. Parfois ce genre de mec vaut mieux les laisser tranquille. Bonne pasta au passage !

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  5. en plus ya vraiment eu un depeceur qui tue des gens a st vincent

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  6. Nimporte quoi cette fin

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  7. J4ai beaucoup aimé ce tueur sans nom ! bravo !

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  8. Superbe histoire, bien rédigé et bien pensé.
    C'est juste dommage pour la toute fin du récit, le coup du tueur qui retrouve sa victime chez lui est, à mon humble avis, de trop. Nous plantez là avec l'image aurait contribué à plus de mystère.
    Mais sinon, c'est vraiment du bon boulot.

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  9. Super pasta j'ai reusi à ressentir la peur de ce personnage !

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  10. Très bonne Pasta,l'image du "Vincent" est vraiment flipante.

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  11. HLM, pas mal, mais je trouve cependant la description au débutdu meurtrier un peu confuse. Un coup, personne ne connaît son apparence, et on n'est même pas sûr qu'il existe. Et puis, il y a pleins de témoignages de gens qui l'ont vu! Et puis, pourquoi nous parler seulement du 2ÈME et du dernier meurtre ? Pourquoi pas le 1er? Et les autres meurtres ? Dernière chose, pourquoi l'appeler d'un coup cannibale ? On ne le voit jamais manger quelqu'un.

    D'un autre côté, j'applaudi pour le non-meurtre du reste de la bande le 1er soir, logique car le dépeceur poursuivait le héros. Et bravo pour le «Ohmondieu, ils ne sont pas connectés. Ils sont... Ah! non, ils n'étaient pas encore rentrés !» Au final, j'aime bien cette pasta :)

    VB

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  12. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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  13. superbe cette pasta !! j'habite Bordeaux et il est hors de question que j'aille mettre les pieds dans cette forêt, je ne sais pas où il se trouve ce village de toute façon ^^

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    1. re* en fait je comprend mieux pourquoi je ne connais pas ce village, c'est parce qu'il se trouve en Dordogne mais à Bordeaux, c'est pas pareil même si c'est à côté ^^ mais j'ai beaucoup aimé la pasta !

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    2. mais pas à Bordeaux** sorry :)

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  14. on dirai le masque du chanteur de Slipknot (Corey Taylor)

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  15. Je pense à la même chose que toi charly x) ou sinon on dirait un cosplay d'Halloween x) sinon très bonne pasta ^^

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