La fin. Un terme parfait. C’était, en fait, terminé. J’ai écris ceci depuis le seul petit coin, le petit espace où je travaillais, le seul que je considérais comme « sûr ». Chaque jour, chaque horrible jour est une lutte pour rester en sécurité. Ah, je m’égare. Je suppose que je devrais faire un bref résumé de ce qui s’est passé. Mon nom est Ridley Peirce. Ma vie était celle d’un journaliste débutant. J’avais un studio à Toronto. J’avais une Ford F-250. Je vivais d’un rien. Et oui, j’étais heureux. Exerçant ma passion, vivant en paix. Quand c’est arrivé.
J’utilise ce terme car le public en général n’a jamais été informé sur ce que c’était. L’idée la plus répandue était que ce devait être le produit d’une sorte de pollution, ce qui était l’idéalisme des politiciens. Il fit son effet le 16 juin 1998. Je m’en rappelle très bien. Je n’avais pas été bien payé récemment, et je manquais d’argent. Je suis allé à la quincaillerie pour acheter quelques affaires, et je l’ai entendu. Un cri à vous glacer le sang. Je me suis élancé sur le trottoir devant la boutique, tout le monde courait. Ma première pensée opta pour un meurtre. Je n’en avais jamais vu, mais j’avais déjà vu un homme se faire agresser.
C’est là que j’ai vu un des premiers infectés. Il devait avoir la quarantaine, travaillant probablement dans la construction car il était habillé pour. Il était humide et pâle, dans un état très étrange. Il avait une longue trace de griffure sur son bras gauche et ses yeux étaient injectés de sang et gonflés. Une personne revenant de ses courses fut attrapée, dans un public de personnes frénétiques, par cet homme. Il a eu de la chance et a connu une mort rapide- sa gorge fut déchiquetée. Lui, ce passant inconnu, je le saurais plus tard, a eu beaucoup de chance d’être tué si vite. L’infecté a mangé son cadavre sous les yeux affolés des passant en train de s’enfuir. Une détonation retentit soudain. Le marchand de la quincaillerie avait un pistolet et a vite éliminé l’infecté. Aussi vite qu’il tomba, je courus aussi vite que possible vers le parking. Ma mission de survie était à présent de monter dans mon camion. Je gardais toujours mon Colt de calibre 45 dans la boîte à gants. J’avais le mauvais sentiment que peu importe ce que ces choses étaient, elles étaient nombreuses.
J’ai ouvert mon camion, ai grimpé dedans puis ai vite fermé les portes. J’ai démarré aussi vite que possible et ai remonté l’avenue principale. J’étais choqué, je ne savais pas où aller. Je me suis retourné et ai vu les infectés grouillant autour de la boutique, attirés par le bruit. J’ai dépassé un grand nombre d’entre eux autour des cafés et des maisons. Ils étaient habillés comme des gens normaux. Un T-shirt basique ici, une robe gentillette par là. C’était ahurissant. La seule chose que je savais était que je devais m’enfuir loin et aussi vite que possible. Maintenant, je n’avais plus sur moi que mon couteau, mon Colt, mes clés, ma valise, mon portefeuille et quelques centimes. Pas la meilleure sélection d’objets pour se battre contre une horde affamée. Je roulai vers ma maison et là, je n’en ai plus vu beaucoup, mais plutôt des tonnes. Sur le bas-côté, près des maisons, DANS les maisons. Je roulais presque au maximum de mon camion, regardant furtivement par ma fenêtre. J’ai vu des gens s’enfuir loin des infectés, des gens qui se battaient contre des infectés. Et des gens dévorés par les infectés.
J’ai appuyé sur l’accélérateur. J’ai vu mon voisin courir, une version infectée de mon patron le poursuivant. Je me rappellerai de le tuer, celui-là. J’ai couru à l’intérieur de ma maison. J’ai fermé la porte, et l’ai barricadée avec mon lit et ma commode. J’ai fermé tous les rideaux. J’ai rassemblé mes esprits. Je devais trouver ce qui se passait. J’ai allumé la télé, rien. Je me suis assis, et j’ai attendu. C’était il y a cinq jours. Je suis tombé à cours de nourriture décente 3 jours plus tôt. L’eau courante stoppa juste avant ça. Oh mon Dieu, la déshydratation est horrible… Mais j’ai toujours mon Colt. 4 recharges. C’est assez pour 3 infectés. Si j’en arrive là, je saurai quoi faire.
J’utilise ce terme car le public en général n’a jamais été informé sur ce que c’était. L’idée la plus répandue était que ce devait être le produit d’une sorte de pollution, ce qui était l’idéalisme des politiciens. Il fit son effet le 16 juin 1998. Je m’en rappelle très bien. Je n’avais pas été bien payé récemment, et je manquais d’argent. Je suis allé à la quincaillerie pour acheter quelques affaires, et je l’ai entendu. Un cri à vous glacer le sang. Je me suis élancé sur le trottoir devant la boutique, tout le monde courait. Ma première pensée opta pour un meurtre. Je n’en avais jamais vu, mais j’avais déjà vu un homme se faire agresser.
C’est là que j’ai vu un des premiers infectés. Il devait avoir la quarantaine, travaillant probablement dans la construction car il était habillé pour. Il était humide et pâle, dans un état très étrange. Il avait une longue trace de griffure sur son bras gauche et ses yeux étaient injectés de sang et gonflés. Une personne revenant de ses courses fut attrapée, dans un public de personnes frénétiques, par cet homme. Il a eu de la chance et a connu une mort rapide- sa gorge fut déchiquetée. Lui, ce passant inconnu, je le saurais plus tard, a eu beaucoup de chance d’être tué si vite. L’infecté a mangé son cadavre sous les yeux affolés des passant en train de s’enfuir. Une détonation retentit soudain. Le marchand de la quincaillerie avait un pistolet et a vite éliminé l’infecté. Aussi vite qu’il tomba, je courus aussi vite que possible vers le parking. Ma mission de survie était à présent de monter dans mon camion. Je gardais toujours mon Colt de calibre 45 dans la boîte à gants. J’avais le mauvais sentiment que peu importe ce que ces choses étaient, elles étaient nombreuses.
J’ai ouvert mon camion, ai grimpé dedans puis ai vite fermé les portes. J’ai démarré aussi vite que possible et ai remonté l’avenue principale. J’étais choqué, je ne savais pas où aller. Je me suis retourné et ai vu les infectés grouillant autour de la boutique, attirés par le bruit. J’ai dépassé un grand nombre d’entre eux autour des cafés et des maisons. Ils étaient habillés comme des gens normaux. Un T-shirt basique ici, une robe gentillette par là. C’était ahurissant. La seule chose que je savais était que je devais m’enfuir loin et aussi vite que possible. Maintenant, je n’avais plus sur moi que mon couteau, mon Colt, mes clés, ma valise, mon portefeuille et quelques centimes. Pas la meilleure sélection d’objets pour se battre contre une horde affamée. Je roulai vers ma maison et là, je n’en ai plus vu beaucoup, mais plutôt des tonnes. Sur le bas-côté, près des maisons, DANS les maisons. Je roulais presque au maximum de mon camion, regardant furtivement par ma fenêtre. J’ai vu des gens s’enfuir loin des infectés, des gens qui se battaient contre des infectés. Et des gens dévorés par les infectés.
J’ai appuyé sur l’accélérateur. J’ai vu mon voisin courir, une version infectée de mon patron le poursuivant. Je me rappellerai de le tuer, celui-là. J’ai couru à l’intérieur de ma maison. J’ai fermé la porte, et l’ai barricadée avec mon lit et ma commode. J’ai fermé tous les rideaux. J’ai rassemblé mes esprits. Je devais trouver ce qui se passait. J’ai allumé la télé, rien. Je me suis assis, et j’ai attendu. C’était il y a cinq jours. Je suis tombé à cours de nourriture décente 3 jours plus tôt. L’eau courante stoppa juste avant ça. Oh mon Dieu, la déshydratation est horrible… Mais j’ai toujours mon Colt. 4 recharges. C’est assez pour 3 infectés. Si j’en arrive là, je saurai quoi faire.
Traduction: Teru-Sama
Creepypasta originale ici.
Elle est pas mal celle la j'aime bien !
RépondreSupprimerElle me fait penser au film wordl war Z
RépondreSupprimerElle est bien !
D'habitude , ce type d'histoires ne me plait pas vraiment , mais je trouve cette pasta bien écrite et très prenante ;)
RépondreSupprimerPrincesaRomi
Elle me fait penser au film 28 jours plus tard
RépondreSupprimerMoi sa me fait penser au film Shaun of the dead
RépondreSupprimerElle est très prenante cette histoire et bien écrite, mais, personnellement, je m'attendais à ce qu'elle soit plus longue et ai donc été un peu déçu par sa taille. Je la trouve un peu trop courte, voilà tout.
RépondreSupprimerBonne pasta sur ce theme!
RépondreSupprimerC'est marrant, le type qui pète les plombs au volant d'un camion, ça me rappelle un fait divers que j'avais lu où un mec avait piqué un camion de fraises et avait foutu une sacré pagaille sur sa route, et quand il avait été arrêté, il avait déclaré qu'il était poursuivi par des zombies. Mais ça s'est passé après l'écriture de cette pasta, je crois (je vais essayer de retrouver l'article).
RépondreSupprimerhttp://www.huffingtonpost.com/2013/04/10/zombie-apocalypse-jerimiah-hartline-crash-i-15_n_3053399.html
SupprimerAh non, ça date de quelques jours avant finalement ^^ L'inspiration de la pasta ?