Thomas vivait dans un coin de campagne en France, il y était pour les vacances d'été, avant de revenir à Paris et de retourner aux études dans son lycée.
Il s'y ennuyait à mourir, donc, dès qu'il en avait l'occasion, il partait dans la forêt sur un sentier qu'il aimait bien, là-bas il y avait une très grosse fourmilière, plus grosse que la normale. Il s'y rendit pour la voir de plus près. Avec un bâton, il la tâta et des milliers de fourmis rouges en sortirent et s’affolèrent alors qu'elles essayaient d'y retourner à leur vue. Thomas ressentit un frisson glaçant. Un jour où Thomas y était venu en vélo, il perdit le contrôle lors d'une tentative de roue avant et fonça droit sur la fourmilière, le chemin qui y menait était plein de bosses et Thomas chuta car il avait pris trop de vitesse. Il perdit connaissance. Lors de son réveil, il se trouvait dans un endroit sombre et avait du mal à bouger, il sentait des milliers de petites bêtes courir sur son visage et ses bras, il avait la phobie de tout ce qui touchait aux insectes. D'un grand coup il réussit à se délivrer, il s'était retrouvé à l'intérieur de la fourmilière. Ayant peur que certaines fourmis se trouvent encore sur lui, il retira son T-shirt et se tâta tout le corps pour les faire partir, une vingtaine de fourmis rouges tombèrent aussi tôt à terre, il recula de plusieurs mètres, lorsqu'il regarda d'où elles venaient, il fut surpris qu'aucune piqûre ne lui eut été faite, à l'exception d'une toute petite au bras, mais rien de bien grave.
Le lendemain, quelque chose lui grattait au bras, il regarda son bras, une grosse marque rouge et noire y était, on aurait dit que sa peau avait brûlée de l'intérieur pendant la nuit, il pensait que c'était une mauvaise allergie à la piqûre de fourmi rouge, ça n'arrangeait pas sa peur des insectes en tout cas. Il voulut retourner sur le sentier, comme à son habitude, mais lorsqu'il est arrivé, la fourmilière avait disparu. Mais quand il se rappelait de la taille gigantesque que faisait celle-ci, elle ne pouvait pas disparaître entièrement du soir au matin, il rentra en espérant que son cas s'arrangerait, son bras commençait sérieusement à le brûler.
Quelques jours plus tard, son bras lui faisait affreusement mal, lorsqu'il le regarda, son bras semblait pourrir, la vision était affreuse, il souffrait le martyre mais préférait garder ça pour lui.
Lors de la nuit du même jour, il n'arrivait plus à dormir à cause de sa blessure, non seulement il souffrait, mais il n’arrêtait pas d'y penser également, son bras tombait en lambeaux, sa blessure était entièrement noire et du sang semblait s'y écouler. Il avait froid, il décida d'aller fermer la fenêtre. Au moment où il commença à la fermer, il entendit des grouillements venant de son lit, il se retourna lentement, des fourmis sortaient par milliers de dessous de son lit. Il tenta de sortir, mais les fourmis étaient déjà sur la porte et sur la poignée, il pris la bombe anti-insecte sur son armoire et aspergea les fourmis avec rage, sa chambre pullulait de ces bestioles, la bombe n'était pas rechargée et des fourmis commençaient déjà à rentrer par sa fenêtre. Il monta sur son lit, debout, comme dernier espoir, mais plusieurs dizaines de fourmis lui tombèrent dessus du plafond, il tomba à terre en essayant de se débattre, les fourmis grouillaient sur son corps et plantaient leurs mandibules sur lui avant de lui injecter leur poison avec leur dard. Après quelques instants il ne bougeait plus, les fourmis finirent par le laisser et repartirent par là où elles sont rentrées. Elles laissèrent Thomas agoniser pendant que le poison se rependait dans son sang, son corps semblait avoir été dévoré, il ne restait presque rien de lui, mais il vivait toujours, il était toujours conscient, conscient qu'il ne faut JAMAIS énerver les fourmis rouges.
Il s'y ennuyait à mourir, donc, dès qu'il en avait l'occasion, il partait dans la forêt sur un sentier qu'il aimait bien, là-bas il y avait une très grosse fourmilière, plus grosse que la normale. Il s'y rendit pour la voir de plus près. Avec un bâton, il la tâta et des milliers de fourmis rouges en sortirent et s’affolèrent alors qu'elles essayaient d'y retourner à leur vue. Thomas ressentit un frisson glaçant. Un jour où Thomas y était venu en vélo, il perdit le contrôle lors d'une tentative de roue avant et fonça droit sur la fourmilière, le chemin qui y menait était plein de bosses et Thomas chuta car il avait pris trop de vitesse. Il perdit connaissance. Lors de son réveil, il se trouvait dans un endroit sombre et avait du mal à bouger, il sentait des milliers de petites bêtes courir sur son visage et ses bras, il avait la phobie de tout ce qui touchait aux insectes. D'un grand coup il réussit à se délivrer, il s'était retrouvé à l'intérieur de la fourmilière. Ayant peur que certaines fourmis se trouvent encore sur lui, il retira son T-shirt et se tâta tout le corps pour les faire partir, une vingtaine de fourmis rouges tombèrent aussi tôt à terre, il recula de plusieurs mètres, lorsqu'il regarda d'où elles venaient, il fut surpris qu'aucune piqûre ne lui eut été faite, à l'exception d'une toute petite au bras, mais rien de bien grave.
Le lendemain, quelque chose lui grattait au bras, il regarda son bras, une grosse marque rouge et noire y était, on aurait dit que sa peau avait brûlée de l'intérieur pendant la nuit, il pensait que c'était une mauvaise allergie à la piqûre de fourmi rouge, ça n'arrangeait pas sa peur des insectes en tout cas. Il voulut retourner sur le sentier, comme à son habitude, mais lorsqu'il est arrivé, la fourmilière avait disparu. Mais quand il se rappelait de la taille gigantesque que faisait celle-ci, elle ne pouvait pas disparaître entièrement du soir au matin, il rentra en espérant que son cas s'arrangerait, son bras commençait sérieusement à le brûler.
Quelques jours plus tard, son bras lui faisait affreusement mal, lorsqu'il le regarda, son bras semblait pourrir, la vision était affreuse, il souffrait le martyre mais préférait garder ça pour lui.
Lors de la nuit du même jour, il n'arrivait plus à dormir à cause de sa blessure, non seulement il souffrait, mais il n’arrêtait pas d'y penser également, son bras tombait en lambeaux, sa blessure était entièrement noire et du sang semblait s'y écouler. Il avait froid, il décida d'aller fermer la fenêtre. Au moment où il commença à la fermer, il entendit des grouillements venant de son lit, il se retourna lentement, des fourmis sortaient par milliers de dessous de son lit. Il tenta de sortir, mais les fourmis étaient déjà sur la porte et sur la poignée, il pris la bombe anti-insecte sur son armoire et aspergea les fourmis avec rage, sa chambre pullulait de ces bestioles, la bombe n'était pas rechargée et des fourmis commençaient déjà à rentrer par sa fenêtre. Il monta sur son lit, debout, comme dernier espoir, mais plusieurs dizaines de fourmis lui tombèrent dessus du plafond, il tomba à terre en essayant de se débattre, les fourmis grouillaient sur son corps et plantaient leurs mandibules sur lui avant de lui injecter leur poison avec leur dard. Après quelques instants il ne bougeait plus, les fourmis finirent par le laisser et repartirent par là où elles sont rentrées. Elles laissèrent Thomas agoniser pendant que le poison se rependait dans son sang, son corps semblait avoir été dévoré, il ne restait presque rien de lui, mais il vivait toujours, il était toujours conscient, conscient qu'il ne faut JAMAIS énerver les fourmis rouges.
Depuis quand les fourmis ont-elles un dard ?
RépondreSupprimerDepuis fort fort longtemps mon ami ! ;)
SupprimerJe t'aime
Supprimerles fourmie rouge en foret n'exsiste pas sauf en afrique les ou se sont des fourmie magnam
RépondreSupprimersinon en france les fourmie qui pourrait ressemblé a sa se sont les fourmie rousse qui ont pas de dard mais un éguillont qui peux envoié de l'acide a quelque centimetre
en Tasmanie y'a une espèce de fourmis qui sont appelés fourmis "bouledogue" elles peuvent tuer un homme en 4 minutes et sont équipés d'un dard j'ai vue un documentaire et elles sont rouges.
SupprimerLe principe de la phobie, c'est que c'est une peur irrationnelle, et paralysante. Un phobique des insectes n'approcherait pas une fourmilière.
RépondreSupprimer...Cette creepypasta me semble étrangement familière.
RépondreSupprimerQuand j'étais plus jeune j'ai fait un rêve, d'un jeune homme nommé Thomas, qui vivait dans une fourmilière. De fourmis rouges.
Le début est très mal raconté La phrase " Un jour où Thomas y était venu en vélo " m'a fait croire qu'il pensait à un souvenir. J'ai donc été assez surpris par le dénouement !
RépondreSupprimerAu passage, je me souviens également d'un rêve que j'ai fais étant plus jeune, où j'étais recouvert d'insectes, tout était rouge, et une voix désincarnée psalmodiait: ET IL MOURUT DANS D'ATROCES SOUFFRANCES. Ce soir là, je m'étais pissé dessus... -_-'
VB
lol...moi j'ai déjà rêver que j'étais dans une piscine de méduse oO
RépondreSupprimerIl aurait dû mettre cette creepy dans le topic naze
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